Quand les deux filles pénètrent dans un bar lesbien proche de Pigalle, après avoir sonné, Florence et Pauline ont bien l’intention de passer une bonne soirée, et de faire chacune une rencontre, mais pas seulement.Après le chantage effectué par l‘épicier sur Florence, Pauline sait que ce bar est fréquenté par une avocate redoutable qui, en plus, aime les petites jeunes. Quand Florence a demandé à sa coloc ce qu’elle savait exactement de cette avocate, Pauline est restée très vague. - On raconte beaucoup de choses sur elle, mais personnellement, je n’ai jamais rien vu sauf qu’elle aime les petites jeunes et vu comment tu t’es habillée ce soir, elle va te repérer assez vite. C’est vrai que les 2 filles ont fait des efforts. Florence est en mini jupe au ras des fesses, petit blouson de cuir, facile à ouvrir avec une simple fermeture éclair et hauts talons. Bien sûr, ni soutien gorge, ni culotte. De toute façon, Pauline lui a tout confisqué depuis longtemps.Florence découvre le lieu. Sous une lumière tamisée, un très long bar où les clientes peuvent s’asseoir sur des tabourets hauts, une piste de danse bordée d’une banquette avec des petites tables. Les deux filles tentent de s’approcher du bar pour commander un verre. Elles se savent regardées et Florence sent plusieurs fois des mains lui caresser les fesses. - Tu as vu si elle est là ? demande Florence- Ne t’inquiète pas, elle t’a déjà repérée. Habillée comme tu es, elle ne peut pas te rater. Une jeunette en micro jupe pour montrer qu’elle a chaud aux fesses, tu l’intéresses déjà, lui répond Pauline.- Comment tu peux en être sûre ? - Regarde, elle est assise à la petite table à côté de la piste de danse et elle ne te quitte pas des yeux. Florence aperçoit une femme d’une quarantaine aux cheveux bruns avec une coupe assez courte, habillée classique avec une mini jupe en cuir.Florence n’a pas longtemps à attendre, la femme se lève, son verre à la main, et vient vers elle. - Bonsoir, tu veux un verre ? lui demande cette femme, avant de lui proposer de s’asseoir ensemble au bar. Assise sur ces tabourets, Pauline sait qu’elle ne peut cacher son absence de culotte, ce qui n’a pas échappé à Samia, l’avocate. Après lui avoir demandé si Pauline était sa petite amie, Samia sait que la piste est libre. - Et c’est Pauline, qui t’a demandé d’être à poil sous ta jupe, avec une jolie chatte rasée ? J’ai bien vu que tu me regardais. Tu aimes les femmes dans la quarantaine ? Florence n’a pas besoin d’un verre d’alcool pour être totalement désinhibée, mais ce petit verre de vodka lui met le rouge au visage. Samia ne met pas beaucoup de temps pour lui poser la question suivante, tout en descendant petit à petit la fermeture éclair de son blouson.
- En haut c’est pareil, tu es aussi à poil sous ton blouson ? Ils sont très mignons ces petits seins avec de beaux tétons qui pointent, lui dit Samia qui en profite pour lui caresser la poitrine et rouler son téton avant de lui pincer assez durement le second. - Tu as l’air d’aimer ça. Tu as les tétons sensibles, dit moi. J’aime les petites salopes de ton âge qui ont le feu au cul. Viens avec moi, lui dit Samia après lui avoir enlevé son blouson. Florence quitte le bar, seins nus, et découvre que derrière le rideau en bout du bar, il y a une autre salle dans laquelle Samia l’entraine. Pas de box intime mais une banquette et quelques fauteuils sur lesquels plusieurs couples de femmes s’embrassent, se cajolent. Une femme est à genoux devant sa compagne d’un soir pour l’honorer avec sa bouche entre les cuisses alors que ses mains s’occupent de ses seins. - Tu vas me montrer tes talents de lécheuse de chatte. Pauline m’a dit que tu étais douée. J’adore être léchée, surtout en public, lui dit Samia qui s’assoit sur la banquette, mini jupe en cuir remontée jusqu’à la ceinture. Florence découvre une chatte épilée avec une petite touffe brune taillée très courte au dessus de la fente, et des petites lèvres très développées contrairement aux siennes. Florence, à genoux, embrasse délicatement les cuisses de Samia, en remontant sans précipitation jusqu’à sa fente qu’elle trouve déjà humide. Florence lèche à peine les deux lèvres avant d’aller gouter au miel de Samia du bout de langue en investissant le plus profond possible l’intérieur de sa chatte. Florence est excitée par cette odeur intime épicée et son gout acidulé, mais aussi par les doigts de Samia qui torturent ses tétons alors que ses fesses sont exposées à la vue de toutes, Samia lui ayant bouchonné sa jupe autour de la ceinture. Florence excitée sent sa chatte s’ouvrir et s’humidifier sans y toucher. Elle s’attaque maintenant au clitoris de Samia qui n’attendait que la bouche et la langue de cette gamine, mais là encore, elle ne précipite rien en alternant avec l’exploration de sa langue sur l’œillet de Samia.Au bout de quelques minutes, le traitement qu’elle réserve à ce clitoris entièrement sorti de sa gaine , surtout qu’elle le pince entre ses lèvres et frotte le bout avec sa langue, fait exploser Samia. - Tu es douée, Pauline ne m’avait pas menti. Lèche bien mon jus qui coule, je veux que tu le reconnaisses désormais. Une fois calmée, Samia lui demande ce qu’elle sait d’elle, ce que Pauline lui a dit. - Pauline m’a dit que vous aimez les petites jeunes, et que vous étiez une avocate redoutée, et qu’il y avait beaucoup de bruits qui courraient sur vous. Rien de plus. Florence en profite pour jouer franc jeu. Elle lui explique le chantage de l’épicier et voudrait des conseils pour que cela s’arrête. - Tu es une bonne lécheuse de chatte et en plus tu es cash. Tu vas droit au but, ce qui n’est pas le cas quand tu lèches. J’adore les deux et j’aime particulièrement les filles de ton âge. Si ce soir tu finis de passer ton examen de passage, je m’occuperai de ce salaud. Pour ce qui est des honoraires, tu n’as pas à t’inquiéter, je suis sûre que l’on trouvera une solution. Tu me payeras en nature. Ce soir, tu vas être la reine de la soirée. J’espère que tu me feras honneur. Samia demande à Florence de baisser sa mini jupe et de remettre son blouson, mais de le laisser ouvert avant de l’entrainer aux toilettes pour la remaquiller en un peu plus vulgaire. - Le maquillage, c’est juste pour exciter les autres meufs. Et maintenant, c’est Maîtresse Samia. Compris ? Je suis sûre que la fête n’est pas finie pour toi. Florence se doute que pendant qu’elle était la tête entre les cuisses de Samia, plusieurs lesbiennes sont venues les regarder, surtout qu’elle a senti plusieurs fois une caresse sur des fesses et même des doigts indiscrets la caresser et s’introduire dans sa caverne gluante. Sans compter les cris de jouissance de Samia qui se sont entendus jusqu’au bar.A nouveau assise au bar sur un tabouret haut, plusieurs lesbiennes viennent la caresser entre les cuisses ou passer une main entre les pans ouverts du blouson pour exciter ses tétons avant de l’embrasser goulument.Une femme dans la trentaine s’approche d’elle pour lui proposer un verre que Florence accepte, même si elle sait qu’elle ne tient pas l’alcool. Au pire, Samia ou Pauline la ramèneront. A son look, Florence se doute que cette femme est une Dominatrice. Une fois les deux shoot de vodka servis par la barmaide, cette femme que le serveur a nommé Eliane, emmène le verre de Florence à l’autre bout du bar. Florence la regarde faire avant qu’elle l’interpelle. - Si tu veux boire ce verre, petite salope, il va falloir venir le chercher. Monte à quatre pattes sur le bar et viens ici. Florence obéit. Elle monte sur le bar et à quatre pattes tente de rejoindre Eliane. Elle se doute bien qu’à chaque pas, les femmes vont la caresser ou lui claquer les fesses ou …La première lui retire son blouson et attrape ses tétines qu’elle tord sans ménagement. Florence émet un feulement de douleur mais aussi de plaisir. Elle sent sa chatte s’ouvrir et couler. La seconde lui enroule les quelques centimètres de sa minijupe autour de son ventre. Elle est plus que nue, excitante, et ses fesses sont accessibles comme sa fente. C’est d’ailleurs de ce côté là que le premier doigt inquisiteur plonge pour chercher sa crème intime avant de lui donner à sucer son doigt. La troisième plonge également deux doigts dans sa chatte pour se servir de cette liqueur épaisse et tenter d’ouvrir son œillet. - Oh les filles, cette petite salope est vierge du cul. Je vous propose de lui faire perdre son pucelage anal dès ce soir, qu’en dites vous ? Cette proposition n’excite pas que Florence mais également toute l’assistance. La quatrième indique à toutes les filles que sa fente est trempée et que cela vaut pour un accord de sa part. Quand Florence rejoint enfin Eliane, l’intérieur de ses cuisses sont trempées, et ses fesses sont rouges et brulantes comme ses tétons qui ont été pincés, tirés et torturés.Eliane la voyant prête à boire cette vodka, renverse le verre sur le bar en zinc. - Comme une bonne chienne, tu vas laper cette vodka. Les verres ce sont pour les Dominatrices et pas pour les petites salopes de ton genre. Florence obéit et lape la vodka étalée sur le bar en regardant dans les yeux sa bienfaitrice. Pour exciter un peu plus les Dominatrices, elle cambre ses fesses au maximum en écartant les cuisses, bras tendus pour laper. Ses seins, sa chatte et son cul sont à la disposition de toutes. - Tenez lui les poignets et les chevilles ! On va profiter d’elle avant de la dépuceler. C’est ce que demande Eliane comme si Florence avait l’intention de s’échapper. Excitée et offerte comme elle est, c’est tout le contraire. Florence sent les doigts qui tournent et appuient sur son œillet puis d’autres doigts d’une autre femme qui imite la précédente en les ayant enduits de sa liqueur de plus en plus épaisse qu’elles vont chercher tour à tour au plus profond de ses parois.Florence sent son œillet s’ouvrir et laisser rentrer un premier doigt qui lui branle le cul, puis très vite c’est à deux doigts que son petit trou offre le passage. Florence explose de plaisir, branlée des 2 cotés et shootée à la vodka.Le lendemain matin, quand elle se réveille, elle ne reconnaît pas sa chambre. Elle est dans le lit de Samia qui lui raconte le reste de la soirée dont elle n’a aucun souvenir. - Tu es une sacrée salope, ma petite lesbienne, tu étais déchainée. T’as du lécher une bonne quinzaine de chattes et tu as jouis sous la langue et les doigts d’au moins vingt filles. T’aimes ça te faire doigter le cul. Heureusement pour moi, aucune d’entre nous avait amené un god ceinture. Je vais te dépuceler le cul avec un god de lesbienne. Ce matin tu vas te contenter de me donner un acompte avec ta langue. Vendredi prochain, tu viendras me rejoindre ici pour une belle fête à plusieurs. T’inquiète pas, d’ici là je me serai occupé de ton épicier et il ne bougera plus un cheveu. Tu me règleras mes honoraires en nature. Te connaissant, ça ne devrait pas te déplaire. Allez, viens te mettre au dessus de moi en 69 pour l’acompte, petite vicieuse.
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