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Une jeune étudiante se dévergonde

Chapitre 6

Prise en main de Florence par sa Maîtresse

Lesbienne
Quand Maîtresse Samia ouvre la porte de l’appartement, elle est agréablement surprise. Florence a mis beaucoup de temps à se préparer en fin d’après midi. Elle s’est maquillée avec soin, et a emprunté une mini robe à une copine. Une mini robe ou plutôt une invitation à la débauche. Le bas de mini robe est juste en dessous de ses fesses, pas plus.  Le haut est minimal, deux pans qui cachent partiellement sa poitrine en partant de la ceinture et se rejoignant derrière le cou laissant le dos nu.
-      Tu es venue comment ? lui demande Samia.-      En taxi Maîtresse, c’était plus sûr. Le chauffeur n’a pas arrêté de me mater dans son rétro. Alors je lui offert un pourboire en lui laissant vérifier que je n’avais pas de petite culotte et lui montrer ma chatte épilée. Une fois sortie du taxi, je suis certaine que ce vieux cochon s’est branlé. Le porte jarretelles et les bas l’ont sûrement excité aussi, Maîtresse.
Samia ne lui laisse pas finir sa phrase. Elle l’a collé au mur avant de l’embrasser et passer sa main sous sa mini robe pour la caresser et faire des allers retours avec deux doigts dans sa caverne.
-      Tu dégoulines déjà, mais tu vas devoir attendre avant de pouvoir jouir. A chaque fois, je vais t’exciter et stopper avant que tu jouisses. Tu vas devoir apprendre à m’obéir et à attendre l’autorisation de ta Maîtresse avant de jouir. Ne jouis pas, sinon tu seras punie. J’ai une cravache et un martinet qui ne demandent qu’à te marquer les fesses. -      Merci Maitresse, c’est tout ce que j’espérais. Vous obéir et connaître de nouveaux plaisirs même si je sais déjà que ce sera parfois douloureux.-      Ici, c’est nue avec bas, porte jarretelles et hauts talons. Tu vas prendre l’habitude de ne rien mettre d’autre et si tu dois aller ouvrir la porte, ce sera dans cette tenue. Je vais profiter de toi toute la nuit. Demain, une amie Dominatrice viendra nous rejoindre.  Mais pour l’instant tu vas t’asseoir sur ce fauteuil et poser tes cuisses sur les accoudoirs. J’ai vu que tu avais laissé un petit toupet de poils au dessus de ta fente. Avec moi, une chatte de soumise c’est totalement imberbe. Je vais m’en occuper.
Cuisses écartées au maximum, attachées avec les poignets sur le fauteuil, Florence ne peut plus bouger d’un millimètre. Sa fente et sa raie sont offertes pour une épilation complète et parfaite.
-      Voilà, c’est comme ça que tu es la plus excitante et en plus ta moule est déjà ouverte. Je vais en profiter pour te gouter sans aller jusqu’à la jouissance. Quand tu seras totalement frustrée demain main, je pourrai t’ordonner ce que je veux et tu obéiras rien que pour avoir l’autorisation de jouir, crois moi. Et que je ne prenne pas à tenter de te faire jouir toute seule, je n’hésiterai pas à te raser la tête en punition. Les yeux bandés, tes sensations vont être bien plus fortes.
Samia caresse les cuisses de Florence dont les yeux sont bandés, avant que sa langue remplace ses mains qui s’occupent de sa poitrine. Samia claque ses seins et joue avec ses tétons. Sa bouche est collée sur la chatte de sa soumise et alterne avec une langue qui mouille sa rondelle et appuie sur le centre du cratère. Samia sait parfaitement amener Florence qui commence à bouger de la tête, mais au plus mauvais moment, elle stoppe et éclate de rire.
-      Alors c’est comment d’être frustrée ma petite salope soumise ?
Florence répond par une longue plainte
-      Quel dommage ! Et ce n’est que le début. Toute la soirée ce sera comme ça. On ne s’y habitue jamais, paraît il, lui confie sa Maîtresse qui éclate à nouveau de rire.
Une nouvelle fois Samia va aller jusqu’au bord de l’orgasme avant de demander  à Florence de remettre sa robe pour aller diner à l’extérieur. Heureusement, le restaurant n’est pas trop loin, car sa tenue est si provocante, que femmes et hommes se retournent sur leur passage, parfois avec des remarques désobligeantes.Florence ne passe pas non plus inaperçue quand elles rentrent dans le restaurant tenu par une amie de Samia.

-      C’est elle dont tu m’as parlé au téléphone ? En effet, une très jolie petite salope prête pour le dressage, lui dit  la patronne qui passe la main sur les fesses et sur la fente de Florence. Et en plus elle à poil dessous, même pas un string, ça promet. Tu sais qu’elle est trempée ? Je la fesserais bien avant qu’elle reparte-      Avec plaisir lui répond Samia  Tu peux aussi lui demander de te lécher, elle ne peut rien te refuser. Elle n’a pas le droit de jouir. Elle doit rester frustrée jusqu’à son dépucelage complet demain. Mais j’y pense, viens à l ‘appartement, je t’invite. Nous serons trois et elle sera filmée.
Avant de commencer à diner, Maîtresse Samia indique à Florence qui ne s’en était pas aperçue, que son épilation et ses frustrations ont été filmées dans l’appartement.
-      Pour le souvenir, mais aussi si il ne prenait la mauvaise idée de désobéir, tes amies, ton frère et pourquoi pas tes parents auraient le plaisir de recevoir le film, avec en bonus ton futur dépucelage par trois lesbiennes plus âgées.
Contrairement à ce que pourraient croire certains, Florence apprécie le diner. A chaque plat, la patronne amène elle même les assiettes et passe les mains sous les deux bandeaux de la robe de Florence pour lui caresser les seins mais surtout exciter ses tétons qui pointent et restent durs en permanence. Au dessert, les deux bandeaux tombent, et Florence finit le diner les seins à l’air.Les autres tables occupées visiblement par des convives libertins suivent le diner de Florence et de sa Maîtresse, en espérant assister à la fessée.
-      Enlève le petit bout de tissu qui nous cache le meilleur de toi, et viens avec moi. Tu vas servir le café et les digestifs.
C’est en talons et porte jarretelles que Florence passe de table en table, avec à chaque fois des remerciements appuyés de caresses sur ses fesses. Florence n’est absolument pas gênée et y prend beaucoup de plaisir.
-      Viens me voir, lui dit la patronne qui s’est assise au milieu de la salle, tu as le droit à une récompense.
Arrivée devant elle, elle lui bande les yeux avant de la basculer sur ses cuisses pour la fesser sévèrement.
-      Ecarte tes cuisses, petite salope, lui rappelle sa Maîtresse. Montre à tout le monde ta chatte qui coule tellement tu aimes ça. Si Annick ne s’arrêtait pas, tu serais capable de jouir.
En effet, à chaque fois que ses gémissements montrent qu’elle va jouir, sa fesseuse s’arrête plusieurs minutes avant de reprendre, une fois l’excitation retombée. Par trois fois, Florence est frustrée au point de supplier sa fesseuse de continuer.Sa Maîtresse, sa fesseuse et tous les convives éclatent de rire.
-      Je vais être obligée de l’attacher pour dormir, elle serait capable de se frotter sur les draps pour jouir même si elle sait qu’en cas de désobéissance, je lui tondrai le crâne.
Le lendemain, c’est Florence, nue, à 4 pattes avec un collier de chienne autour du cou auquel est attachée une laisse, qui va ouvrir la porte aux deux invitées. Annick, la propriétaire du restaurant, la ramène avec la laisse jusqu’au salon.
-      Ta chienne est en chaleur ? demande Annick. Ses fesses sont déjà rouges.-      Juste pour l’exciter un peu plus, avant de lui faire connaître la cravache et le fouet.
Pendant toute l’après midi et la soirée, Florence va être aux mains de ces trois Dominatrices. Elle va faire jouir plusieurs fois chacune d’entre elles alors que les deux autres la caressent sans la faire jouir, lui torturent les tétons qui deviennent douloureux et fouillent sa chatte et son tunnel, interdit jusque là, avec des godemichets de plus en plus larges.Annick qui lui a déjà fait profiter de ses talents de fesseuse décide en fin de journée de la remercier avec la cravache. Attachée sur les genoux avec les fesses bien cambrées par les poignets entravés aux chevilles, Florence offre ses fesses, sa chatte, et sa raie à la Dominatrice. Elle sait ce qui l’attend. Elle n’a jamais été cravachée ou fouettée, et c’est ce qu’elle craint le plus.
-      Vicieuse comme tu es, tu vas passer un bon moment, lui dit sa Maîtresse. Fais moi honneur.
Florence attend le premier coup mais sa fesseuse décide de jouer. Elle passe le bout de la cravache entre ses lèvres trempées, avant de lui faire lécher. Au moment où la cravache a effleuré sa chatte, Florence, surprise, a sursauté.
-      Tout doux, ma belle. Je n’ai pas l’intention de te blesser. Je ne suis pas une sadique.
Florence, un peu moins craintive, ne bouge pas quand la cravache vient effleurer à son tour sa rosette et s’enfonce pour une nouvelle fois enduire le bout de son humidité anale et lui faire lécher. La cravache lui tapote son bouton de plus en plus fort jusqu’à la faire geindre de plaisir avec la douleur qui augmente. Maitresse Annick inflige le même traitement à son œillet. Florence geint. Son œillet la brûle.Sa Maitresse, assise au sol jambes écartées, appuie la bouche de Florence sur sa chatte.
-      Donne du plaisir à ta Maîtresse pendant que Maitresse Annick s’occupe de tes fesses et de tes cuisses. Je te ferai connaître le plaisir du martinet  en dernier.
Maitresse Annick zèbre les fesses et l’intérieur des cuisses. Les gémissements et les cris de Florence sont étouffés entre les cuisses de sa Maîtresse.Les trois femmes lui laissent un peu de répit  et lui donnent un bol d’eau à laper sur le plancher, mains toujours attachées avant de la relever et de la suspendre par les poignets à un anneau au plafond au salon. Comme sa Maîtresse lui a promis, Florence reçoit  le martinet par elle et par Maîtresse Annick qui souhaitait la pousser un peu plus loin sans lui laisser de marques douloureuses. Florence sent l’excitation qu’elle a réussi à contenir jusqu’à présent, monter dans son ventre jusqu’à exploser, en la faisant crier et ne plus se contenir. Elle arrose le parquet de ses sécrétions mêlées à des jets d’urine.
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