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Une jeune fille prude

Chapitre 1

Erotique
Du haut de ses vingt printemps, Julie était une jeune femme très prude. Fervente catholique, elle n’avait pas connu d’autres hommes que son mari Jérôme, de dix ans son ainé, qu’elle avait épousé à l’aube de sa majorité. Ce bon contribuable centriste ayant réussi à percer dans le prestigieux monde des affaires immobilières souhaitait désormais pouvoir mener une petite vie tranquille et monotone, au sein de leur joli petit pavillon de banlieue, avec femme et enfants, et pourquoi pas un chien.
Mais ce charmant petit foyer n’allait pas tarder à connaître quelques remue-ménages. Tout commença, lors du second mariage de Régine, la mère de Jérôme. Depuis la mort du père de ses enfants, cette dynamique sexagénaire vivait seule, mais elle ne se privait pas de multiplier les aventures d’un soir.
Régine avait repris la direction de l’usine de son défunt mari et gérait l’entreprise d’une main de fer, quoi que parfois doté d’un gant de velours lorsqu’elle désirait séduire l’un de ses collaborateurs. C’était une femme élégante, au physique longiligne et au regard perçant. Sachant donner au premier abord une image naïve et sympathique, elle était extrêmement maligne et avait su, au fil des années, habilement manœuvrer pour gagner en influence.
Derrière son masque amical, Régine dissimulait une certaine froideur, doublée d’une ambition sans limites. C’est cette avidité démesurée qui la poussa à épouser Jean-Paul, un riche homme d’affaires libidineux, assoiffé de pouvoir et de richesse.

Autant dire que le monde dans lequel Julie avait jusqu’à présent évolué n’avait rien de semblable avec la famille de Jérôme, modèle du libéralisme sans vergogne, fidèle à la droite la plus décomplexée.
La famille de Julie était de son côté plutôt du genre « chrétienne démocrate », humaniste et charitable, mais dans la limite du raisonnable. Il était pour eux concevable de donner une petite pièce à la sortie de l’église, à condition qu’elle soit destinée à une femme portant son enfant en guenille, mais certainement pas au profit du premier clochard venu, qui s’empressera de se servir des gains de sa mendicité pour assouvir son vilain penchant alcoolique.
Lors des noces de Régine, Julie s’est vite retrouvée seule, ne parvenant pas à s’intégrer dans les conversations mondaines. Bien qu’ayant toujours méprisée cette gentille petite fille de bonne famille, Régine décida de la prendre sous son aile. Voyant la jeune fille isolée, elle se dirigea vers elle et daigna prendre de ses nouvelles. La conversation démarra de la manière la plus banale qui soit, par quelques formules de politesse sans le moindre intérêt. Puis, Régine ayant envie de tromper son ennui, se montra plus intrusive :
— Et alors ma chérie, comment ça se passe avec mon fils ?
Julie fut un peu surprise par la tournure que prenait la conversation. Elle répondit de manière vague :
— Oh très bien… je dois dire que tout va très bien entre nous… à merveille je dirais même…
Régine eut alors envie de venir l’asticoter un peu. Voyant la jeune fille déstabilisée par sa question, elle se mit alors à la questionner de manière plus sournoise :
— Oh mais alors quand allez-vous décider à me faire des petits enfants ?
Julie était cette fois très mal à l’aise. Elle ne sut pas quoi répondre à cette subite injonction. Régine en remit alors une couche :
— Ne me dis pas que ça ne passe pas bien au lit avec mon fils ? J’aurais vraiment du mal à le croire.
Julie fut alors complétement saisie par cette affirmation. Elle rétorqua :
— Ah bon. Mais comment pouvez-vous affirmer cela ? Qu’est-ce qui vous fait croire que ça doit forcément bien se passer entre Jérôme et moi sur  le plan sexuel ?
La belle-mère avait alors atteint son but. Elle allait désormais pouvoir bien s’amuser au détriment de Julie et lui balança à la figure :
— Oh ma pauvre chérie, si tu savais le nombre de filles que j’ai vu défiler chez moi quand Jérôme vivait encore sous mon toit. — Ah bon ? — Ah tu l’ignorais ? Ecoute je suis vraiment désolée de te l’apprendre, mais après tout il vaut mieux que tu en sois avisée. Mon fils est un sacré coureur de jupon. — Voyez-vous ça…
Julie était alors toute retournée par cette révélation. Elle aurait préféré recevoir ces informations de la part de son époux. Sa confiance en lui en était sacrément ébranlée, mais elle choisit de poursuivre la conversation avec sa belle-mère, de manière à voir ce qu’elle pourrait encore apprendre :
— Mais qui vous dit que toutes ces filles étaient nécessairement satisfaites sexuellement ?
Régine répondit alors de manière totalement hypocrite :
— Oh écoute, j’ai horreur de parler de ces choses, qui sont le domaine réservé du couple, mais je pense que tu en as grandement besoin. — Allez-y, je vous écoute. — Eh bien toutes ces filles dont je te parle… au vu de ce que j’ai pu entendre à travers la cloison, soit elles étaient sacrément douées pour l’art de la simulation, soit c’est que mon fils est un sacré bon baiseur…
Cette fois, Julie fut totalement outrée par cet accès de vulgarité. Elle sentit que la colère commençait à l’envahir. Elle était particulièrement troublée par ces propos car de son côté, depuis le début de son mariage, elle ne se sentait pas particulièrement épanouie sexuellement. Elle n’était même pas en mesure de dire si elle avait déjà eu un orgasme.
Pour autant, elle ne se démonta pas face au discours provocateur de sa belle-mère.
— Et qui vous dit qu’il n’en est pas de même entre nous ?
Régine devint alors particulièrement perverse et n’hésita pas une seconde à se vautrer dans le mensonge et l’hypocrisie :
— Ecoute ma chérie, je peux si tu le souhaites t’en dire plus, mais il faut que tu me jures que cela restera entre nous. Je ne voudrais pas être la cause de la moindre discorde dans votre couple. Es-tu vraiment sûre de vouloir entendre mes confidences ?
Très intriguée, mais aussi particulièrement méfiante, Julie était alors prête à courir le risque, elle rétorqua alors à sa belle-mère :
— Allez-y Madame, je vous écoute. — Ça restera entre nous ? Tu n’en parleras pas à Jérôme ? — C’est entendu. Je vous écoute… — Très bien ma chère. Je vais tout te dire.
Histoire de la tenir encore en haleine, Régine emmena Julie vers le buffet, commanda deux coupes de champagne et lui proposa de se mettre à l’écart. Puis, elle reprit le fil de la conversation :
— Ma chère Julie, ce que je vais te dire n’est pas facile à entendre pour la jeune épouse dévouée que tu es. Comme tu le sais, mon fils Jérôme et moi sommes vraiment très proches. Nous n’avons quasiment aucun secret l’un pour l’autre. Il me raconte tout, depuis sa première fois jusqu’à ce jour.
Julie demanda alors :
— Oui… et donc ? — Et donc, tu dois savoir que mon fils m’a fait des confidences très récemment. — C’est-à-dire ?— Il me l’a dit Julie ! — Mais quoi ? Que vous a-t-il dit ? — Eh bien il m’a dit qu’il n’est pas complètement épanoui sur le plan sexuel.
Julie se sentit complétement désemparée par cette déclaration soudaine. Jamais Jérôme ne lui avait fait part de ce ressentiment. Elle se sentait trahie.
Voyant sa belle-fille encaisser le choc, Régine se montra soudainement bienveillante :
— Mais le plus important ma chère Julie, c’est qu’il m’a dit aussi qu’il t’aime de tout son cœur et qu’il souhaite ardemment que vous ayez des enfants. Ce qui est également sûr et certain, c’est qu’il ne t’a jamais trompée. Mais fais bien attention, car tu sais aussi comme les hommes sont lâches. Il risquerait de céder à la tentation d’une aventure adultérine.
— Mais s’il m’aime, pourquoi ne me dit-il pas ce qui ne va pas ? — Sans doute parce qu’il tient trop à toi pour courir le risque de te blesser. Il est si attentionné qu’il ne veut pas te faire de mal. C’est pour cela aussi que tout cela doit rester strictement entre nous. Veux-tu que je te donne un bon conseil ?
Julie commença alors à baisser sa garde. Sans le vouloir, elle était en train de tomber dans le piège tendu par son odieuse belle-mère. Elle était à présent apte à entendre les conseils prodigués par cette dernière :
— Oui, je vous en prie. Dites-moi, au vu de votre grande expérience, que dois-je faire ? — Eh bien c’est très simple ma chérie, il faut que tu séduises ton homme, que tu te montres plus aguicheuse, que tu parviennes à susciter le désir en lui. Fais-en sorte de te rendre irrésistible pour qu’il ait toujours envie de te faire l’amour. Puis-je te poser une autre question ? — Oui, bien sûr. — Ecoute, je ne veux pas trop me mêler de votre intimité, mais comment se déroulent les préliminaires entre vous ?
La jeune épouse était tellement prude qu’elle n’avait jamais entendu parler de préliminaires. Elle demanda alors à Régine :
— C’est-à-dire ? — Oh ma pauvre petite, tu n’as donc reçu aucune éducation sexuelle ?
Julie baissa la tête, un peu honteuse de devoir avouer son ignorance :
— Je vous en prie Madame, éclairez-moi. De quoi s’agit-il ? — Mais enfin, ce n’est pas possible d’être aussi chaste ! Excuse-moi mais je vais te parler de manière un peu crue. Tu n’as jamais sucé le sexe de ton mari ? Et mon fils t’a bien déjà léché le minou ?— Oh oui, il a voulu le faire une fois, mais je ne l’ai pas laissé faire. Je trouvais ça dégoûtant.— Quoi ? Mais enfin, tu devrais savoir que les hommes adorent ça ! Et surtout que cela peut te mener à l’orgasme ?— Ah bon, en me léchant le sexe ? — Mais oui. D’ailleurs es-tu vaginale ou clitoridienne ? Le sais-tu au moins ?
Julie était alors totalement perdue. Elle ne comprenait rien de ce que Régine racontait. Cette dernière fit alors mine de s’énerver :
— Non mais vraiment, ce n’est pas possible ! Ne me dis pas que tu ne sais pas ce qu’est le clitoris ?
Une fois de plus, Julie baissa la tête. Elle se sentait vraiment honteuse de ne pas connaître toutes ces choses.
Régine E-prit alors les choses en main et déclara :
— Viens avec moi, je vais te montrer quelque chose.
Elle prit la jeune fille par la main et l’emmena avec elle à l’étage de l’hôtel de luxe dans lequel le mariage se déroulait.
Bientôt, les deux femmes se retrouvèrent dans la suite nuptiale où Régine allait passer la nuit avec son nouvel époux. La jeune femme en fut particulièrement gênée, mais elle accepta de la suivre. Elle accepta aussi de s’asseoir sur le lit comme Régine lui demandait de le faire.
La belle sexagénaire se tenait debout face à elle. Elle souleva le bas de sa robe de mariée. Julie découvrit alors à quel point la lingerie féminine peut être ravissante. En effet, Régine portait de très jolis bas blanc tenus par un porte-jarretelles mettant parfaitement en valeur ses belles et longues jambes. Une magnifique culotte en dentelle blanche était assortie à l’ensemble.
Julie commençait à sentir le rouge lui montait aux joues, légèrement émoustillée par la situation. Ce sentiment fut d’ailleurs renforcé lorsque Régine retira doucement sa culotte et vint s’asseoir face à elle, dans un beau fauteuil en velours rouge. Elle écarta alors les jambes afin de lui dévoiler son sexe et lui dit doucement :
— Tu as déjà vu le sexe d’une femme n’est-ce pas ? Plus communément on appelle ça une chatte ou un minou. Tu as le même sexe tu sais. Mais visiblement tu ne connais pas ton corps. Je vais te montrer comment on se donne du plaisir.
Régine tira alors sur les lèvres de sa vulve et commença à se caresser, tout en lui faisant un cours sur l’anatomie féminine.
— La vulve est la partie externe de l’appareil génital féminin. Tu vois là ce sont les grandes lèvres et à l’intérieur il y a les petites lèvres. Si tu laissais ton mari les lécher tu verrais que cela est très agréable. Mais c’est surtout au niveau du clitoris que se trouve l’origine du bonheur suprême.
La jeune élève de Régine se montra alors curieuse d’en savoir plus sur le sexe féminin. Elle se montra alors intéressée :
— Où est-il le clitoris ? — Là, juste au-dessus. Regarde, ce que tu peux voir c’est seulement la partie visible, le gland du clitoris. Tu sais, il comprend autant de terminaisons nerveuses que le gland du pénis des hommes. La seule fonction du clitoris est de l’ordre du plaisir sexuel. Tu veux toucher ?
Timidement, Julie s’autorisa à toucher le sexe de Régine du bout du doigt. Cette dernière en fut agréablement surprise :
— Eh bien jeune fille, j’aurais pensé que tu serais plus farouche. Tu vois comme les hommes, si on le stimule le clitoris peut se mettre à bander. Mais le mieux encore c’est quand on le lèche du bout de la langue. Tu veux essayer ?
Julie eut alors un mouvement de recul. Elle affichait une mine dégoutée, ne concevant pas qu’une relation sexuelle entre deux femmes puissent exister. A nouveau, Régine fit mine de se mettre en colère :

— Oh la la… ce que tu peux être coincée. Franchement tu ne sais pas ce qui est bon. Ecoute-moi bien jeune fille, à présent tu vas t’allonger sur le lit et tu retires ta culotte. Je vais te montrer moi ce que c’est que le plaisir féminin.
Le ton fut si autoritaire que Julie se sentit presque obligée. Elle s’exécuta alors sans broncher, retira sa culotte et s’allongea sur le lit docilement. Il faut dire aussi que la situation l’excitait grandement. Elle avait soudainement envie de découvrir le plaisir que la stimulation du clitoris pouvait procurer. Jérôme ne lui avait jamais expliquer les choses de cette manière.
Régine se montra alors très tendre à l’égard de sa belle-fille. Elle s’allongea à ses côtés, lui écarta délicatement les jambes et se mit à la caresser avec la plus grande douceur. Le cœur de Julie battait la chamade. Régine eut envie de la rassurer et lui chuchota :
— Détends-toi ma belle. Tu vas voir comme je vais te faire du bien.
Tout en lui caressant délicatement les jambes, elle déposa de tendres baisers sur la joue de Julie dont la chaleur l’excitait assurément. La belle élève soupira de plaisir. Elle commença à se laisser aller. 
Régine lui fit un bisou sur le front, puis dans le cou et sur la poitrine tout en la caressant tendrement du bout des doigts, les faisant parcourir tout du long de ses cuisses. Puis, elle fit glisser sa main jusqu’à son sexe et se mit à lui caresser doucement la chatte. Elle souleva ensuite sa robe, fit descendre sa bouche au niveau de son ventre. Elle y posa de doux petits bisous, et se dirigea enfin jusqu’à son pubis qu’elle se mit à embrasser tout en la doigtant délicatement. Julie se mit alors à gémir.

— Hummm… c’est bon ce que vous me faites Madame...— Appelle-moi Régine ma douce.— D’accord Régine. Continuez, je vous en prie. — Ah je savais que tu aimerais ça. Tu voudrais que je te le lèche le minou ?— Oh oui...— Je veux que tu me le réclames. C’est plus excitant.— Oui Régine... par pitié faites-moi découvrir le plaisir en léchant ma petite chatte...— Humm... parfait ma petite...
Régine vint ensuite placer sa tête entre les jambes de Julie et du bout de la langue se mit à la lécher passionnément. Elle lui prodigua un si délicieux et affectueux cunnilingus que Julie n’allait pas tarder pas à jouir :
— Ouiiii… c’est bon… vous me faites du bien Régine…
La belle professeure fut enchantée de cette déclaration et intensifia alors ses coups de langue. Elle se concentra à les appliquer sur son clitoris, cherchant à donner beaucoup de plaisir à sa jeune partenaire. Elle dirigea deux doigts dans sa chatte et la masturba frénétiquement tout en continuant de stimuler son clitoris du bout de la langue. La jeune novice prenait réellement son pied. Tremblante de plaisir, elle se mit à gueuler :
— OOOOHHH… PUTAIN OUIII !!! Comme c’est bon !!— Humm... petite coquine... ça te plaît que je fasse tourner ma langue sur ton clito... tu en veux encore ?— Oh oui... quel bonheur... jamais je n’aurais imaginé prendre autant de plaisir...
Tout en lui disant ces mots, Julie posa ses mains sur la tête de Régine et lui indiqua la marche à suivre. Elle se saisit de ses cheveux afin de lui faciliter la tâche. Elle se redressa et se mit à onduler le bassin tandis que Régine lui procurait un cunnilingus de pure folie. Elle lui léchait le gland du clitoris avec frénésie de manière à la conduire à l’orgasme. Julie ivre de plaisir, au bord de l’extase, se lâcha complètement. Elle s’écria en jouissant :
— HAAAAAA… OUIIII… PUTAIN MA BELLE REGINE !!! VOUS ME LÉCHEZ TROP BIEN !!! HAANNNN… OUIII… PUTAIN… JE SENS QUE JE VAIS JOUIR… AAAAAHHH… OUIIII… OUIIIIII… OUIIIIIIIIIIIIII… ENFIN… JE JOUIIISSS…
Puis, après ce bel orgasme, elle s’affala sur le lit, tout essoufflée, heureuse et épanouie. Régine aussi était heureuse d’avoir pu assouvir le désir sexuelle de Julie, ravie qu’elle ait cessé de jouer les vierges effarouchées.
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