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D'une jeune fille à une jeune femme

Chapitre 2

Erotique
Chapitre 2 : Archer
Archer a 28 ans et c’est un homme que j’ai rencontré sur les réseaux sociaux, le courant a été électrique dès le début. Dans mon imaginaire, il apparaissait comme un homme téméraire, confiant, le genre d’homme qui sait ce qu’il veut, qui prend ce qu’il veut et quand il le veut. Je n’imaginais pas un physique extraordinairement magnifique, je n’imaginais pas une queue de trente centimètres comme on aime bien nous faire croire dans les livres. Je l’imaginais en beauté brute et indomptable. J’imaginais cet homme me faire découvrir de délicieuses sensations, faire découvrir à mon corps des nouveaux moyens d’être utilisé. Voilà, c’est ça, je voulais qu’il m’utilise, être son objet de désir et de plaisir. Chaque jour, je fantasmais sur cet homme, je m’imaginais des scénarios avec lui.
**
Nous sommes le week-end, je n’ai rien à faire, je suis vautrée dans mon canapé devant un bon film avec un bon chocolat chaud. Je reçois soudainement un message de la part d’Archer : 3006797873289« Comme la première fois où tu viendras à moi.Habillé normalement d’une jupe ou robe, mais sans dessous, attendant dans la rue une personne que tu n’as jamais vue, car j’aurai gardé le secret.Quand une main baladeuse glissera entre tes cuisses pour vérifier que tu as bien obéi.Te retournant, tu me verras et sans demander quoi que ce soit, je te saisirai la tête pour t’embrasser, mordant ta lèvre. Je te dirai alors juste de me suivre.Je t’emmènerai à mon appart. Te ferai prendre l’ascenseur pour profiter de sa lenteur et examiner ton corps éventuellement en profondeur.Arrivé devant la porte, le temps d’ouvrir, tu devras être à genoux et tu ne pénétreras le seuil qu’à quatre pattes. La porte se refermant derrière toi pour... »Rien que ces mots me font l’effet d’une bombe dans mon corps ! Ma respiration s’accélère, ma bouche devient sèche, et j’ouvre instinctivement les cuisses, mes seins deviennent dur, ils attendent une langue pour les apaiser... Est-il vraiment comme ça ? Me ferait-il toutes ces choses ? Que me ferait-il une fois la porte refermée ? Je veux savoir... Les papillons dans mon ventre et la sensation de mouillé dans mon entrejambe me donnent le courage de lui répondre :
— On va boire un verre ce soir ?
(Alors là, j’en ai pris des décisions bêtes dans ma vie, mais celle-ci restera mémorable quand même, je viens délibérément d’inviter un mec à me baiser.)
Mais n’est-ce pas ça le danger ? Ce que je ressens est exaltant !
— Vingt heures, attends-moi derrière ta librairie préférée.
Je relis son premier message, c’est comme un ordre dissimulé sous l’élégance de sa plume. Pour la première fois de ma vie, je vais obéir à un homme inconnu, et c’est excitant et d’un côté plutôt naïf et irresponsable quand on prend le temps d’y réfléchir...

**
Je marche dans les rues de cette charmante ville en ayant mille sensations dans le corps, ce mal au ventre de que je ressens depuis que j’approche de cette librairie est-il un signe d’impatience ? De peur ? D’excitation ? Je ressens aussi de l’inquiétude, je vous rappelle que je suis en robe et qu’en dessous je n’ai aucune culotte, heureusement qu’il n’y a pas de vent aujourd’hui ! J’arrive devant ma librairie favorite, la devanture est propre et neuve, mais à l’intérieur, tout est vieux, le parquet en bois, les étagères, les livres aussi. A chaque fois que je rentre dans cette librairie, j’ai l’impression de rentrer dans un autre univers. Ici les livres sont vieux, ils traversent les générations ; c’est ici que j’ai trouvé « Macbeth » et « Hamlet » de Shakespeare, mais aussi « Les misérables » de Victor Hugo ou encore « Orgueil et préjugés » de Jane Austen.
Je contourne cette jolie librairie pour arriver dans la petite allée derrière. Je l’attends, comme il me l’a demandé, je sautille sur mes deux pieds d’impatience, fais-je une erreur de rencontrer cet inconnu ? Je n’ai pas le temps de répondre à ma question qu’un homme entre dans l’allée, d’une démarche confiante et assurée, il me regarde droit dans les yeux, il a un regard de prédateur.
(Et suppose que je suis la proie ce soir)

Il me regarde de haut en bas, il m’analyse, il a sûrement noté que j’ai mis une robe comme demandé dans son premier message. Il est grand, 1m85, je dirais, les cheveux noirs et des yeux bleus, il a la peau blanche, elle a l’air aussi douce que de la soie, j’aperçois des lèvres charnues, des lèvres qui appellent aux baisers...

Je m’apprête à le saluer, mais d’un mouvement vif, il me saisit par la gorge et m’embrasse à pleine bouche, c’est un baiser affamé, urgent. Pendant que sa bouche dévore la mienne, il fait lentement glisser ses mains le long de mon corps, il m’agrippe la taille et passe ses mains sous ma robe ; il interrompt son baiser et me regarde, oui je n’ai pas de culotte, il me prend les fesses à pleines mains et les écrase de ses grandes mains puissantes, il grogne et je gémis. Il me dévore des yeux, je peux y lire la promesse d’une folle nuit. Je ne regrette pas d’être venue. Il s’écarte de moi sans un mot, me saisit la main et m’entraîne dans les petites rues de la ville, il marche vite, il est impatient, il me veut. Il s’engage sur les marches d’un grand immeuble, je ne suis jamais venue de ce côté de la ville.
(Mais je ne suis pas ici pour faire du tourisme à mon avis)
On parcourt une grande entrée, il appuie trois fois de suite sur le bouton de l’ascenseur.
(Il a vraiment envie de me baiser, il ne s’en cache pas le moins du monde)
Je le regarde, il porte une chemise noire et un pantalon de costume bleu nuit, sa tenue le rend majestueux. La sonnerie de l’ascenseur retentit, les portes s’ouvrent et ma respiration s’accélère, le message me revient en mémoire :
— Te ferai prendre l’ascenseur pour profiter de sa lenteur et examiner ton corps éventuellement en profondeur.
Il me regarde et me pousse à l’intérieur, il s’y engage lui aussi. D’un mouvement rapide, il me saisit par taille et me plaque contre la paroi derrière, sa langue se fraie un violent passage entre mes lèvres, je gémis contre sa bouche, il embrasse divinement bien, je lui agrippe les épaule. Ses mains agrippent mes fesses, les caressent puis il me retourne, sans savoir pourquoi, comme si je ne contrôlais plus mon corps, je me cambre devant lui.

(Allô ? Y a quelqu’un qui réfléchit là-haut ?)
Il s’agenouille et je sens sans langue me happer l’entrejambe, de ses mains, il m’écarte les deux jambes.
(Tu es dans une sacrée position là ! Jambes écartées et cambrées, bonjour la bienséance !)
Sa langue se fait lente sur ma fente, il remonte un peu plus haut, je laisse échapper un gémissement. La sonnerie retentit une seconde fois, nous sommes arrivés. Il se relève, me reprend la main et m’entraîne avec lui dans le couloir, je vois les portes défiler comme son message dans ma tête.
— Arrivé devant la porte, le temps d’ouvrir, tu devras être à genoux et tu ne pénétreras le seuil qu’à quatre pattes.
Il s’arrête devant sa porte, je suppose, je regarde le numéro inscrit sur la porte : 69. Je ris en mon for intérieur, c’est très ironique tout ça. Je pose les yeux sur lui, il me scrute, il attend, il attend que je me mette à quatre pattes.
(Tu vas vraiment le faire ? Tu vas le faire oui ! Tu vas écouter cet homme, à quoi bon avoir fait tout ce chemin pour lui désobéir maintenant...)
Il n’a toujours pas bougé, mais ses yeux se sont rétrécis, il perd patience. Je prends une grande inspiration, je regarde le sol et décide de me baisser, je me mets à quatre pattes devant la porte, je me sens terriblement gênée et à la fois honteuse, mais je ne peux pas le nier, nier que j’aime ça, être dans cette position. Je l’entends prendre une profonde respiration, j’aimerais qu’il me parle, il n’a rien dit depuis qu’il est venu me chercher. Il insère les clés dans la serrure et la porte s’ouvre, je ferme les yeux et me rappelle de la fin du message :
— La porte se refermant derrière toi pour...
Il ne bouge toujours pas, il veut me regarder rentrer dans son appartement dans cette position. Je déplace donc mes mains et mes genoux afin de rentrer, ses pas me suivent et la porte d’entrée se referme dans un clic derrière nous. Mon cœur bat la chamade, je transpire, j’ai terriblement chaud, mille et une questions se bousculent dans ma tête.
— Avance jusqu’au tapis du salon dans cette position.
Je sursaute, Archer vient de me donner un ordre de vive voix, d’une voix rauque et puissante qui déconseille la désobéissance. Je m’exécute, j’avance mains à mains, genoux à genoux, tout en lui tournant le dos. Je traverse donc la pièce, la décoration est sobre, seulement des meubles pour vivre, ni élégants ni surprenants. J’arrive au tapis, un tapis noir, j’y dépose la main, il est doux. Je m’y installe et me retourne pour faire face à Archer, il me regarde avec des yeux satisfaits.
— A genoux.
Je m’exécute et je soupire, cette position est bien plus agréable, d’autant plus que le tapis ne me meurtrit pas les genoux, je me sens plus à l’aise. Archer se déplace pour venir se mettre debout devant moi, il pose son doigt sous mon menton, signe que je dois relever la tête pour le regarder. Debout devant moi, il est majestueux, il est beau.
— Lève-toi et enlève ta robe.
Une fois nue, il me fait tourner sur moi même afin de mieux voir mon corps. Il passe sa main sur mes épaules, mon cou, le haut de ma poitrine ; il m’analyse. Je mesure 1m73, j’ai des cheveux bouclés châtain, des yeux marron en amande, des lèvres pulpeuses et un petit nez, je ne suis pas fine ni mince, j’ai des rondeurs, je n’ai pas un ventre plat sorti tout droit d’une chaîne de sport YouTube, j’ai des cuisses assez rondes, j’ai une poitrine opulente, de grosses hanches accompagnées d’un bon gros cul. Je ne complexe pas sur ma corpulence, je m’accepte, je me trouve parfois même sexy selon les vêtements que je porte.
Il déplace ses mains, de mes seins, il vient pincer mes tétons, puis descend jusqu’à ma taille. Je soupire d’envie, je trouve le temps terriblement long, il semblait prêt à me prendre dans l’allée de la librairie, mais ici il semble vouloir prendre son temps ! Ses mains sont maintenant sur mes fesses, il les caresse.
Il se retourne et va chercher une chaise posée non loin de là où nous sommes, il la prend et la ramène devant moi, il s’assoit dessus et me regarde.
(Okkkkk... Qu’est-ce qu’il attend là ? Ce type a un réel problème avec la communication verbale... Ah ! Il veut que... je ... OK OK j’ai compris)
Je le regarde, j’inspire lentement et me remets à genoux devant lui, il sourit, j’approche mes mains de sa braguette, la défais, je sens sa verge déjà dure à travers son pantalon. Je me bats maladroitement avec son boxer pour la prendre en main, elle est belle, ni trop grande, ni trop petite, une verge qui donne du plaisir sans faire souffrir. Je commence à le masturber, je fais des va-et-vient de haut en bas avec ma main, sa respiration s’accélère, pour le moment, j’y vais lentement, histoire de faire monter son plaisir, mais je sais ce qu’il veut. J’approche donc ma bouche de son gland et le caresse de ma langue.D’un geste rapide, il met sa main sur ma tête et j’avale sa verge en entier, je continue tout de même de le masturber, il gémit, des sons rauques sortent de sa bouche. Je ne m’arrête pas, tandis que ma bouche monte et descend sur sa verge, que ma langue le caresse sur toute sa longueur et que main est toujours en mouvement, je sens tout son corps se mettre à trembler.
— Fais-moi jouir et je te promets une nuit d’orgasme, gronde-t-il.
Je dépose ma bouche sur son gland et commence à faire de légères succions dessus, tandis que ma main elle s’active sur toute sa longueur. Il se crispe, ses mains attrapent les bords de la chaise, il relève un peu ses hanches, je le sens, il va jouir. Il grogne une dernière fois et je sens sa semence chaude sur ma langue. Je le regarde toute fière de moi, pour la première fois, il me sourit, il se relève et me regarde.
— Bien, tu viens de gagner une nuit d’orgasme et de plaisir.
Il me tend la main pour me relever, me demande de cracher son sperme dans sa main et m’entraîne vers son lit, là où m’attendent mes orgasmes et mon plaisir...
FIN
Note de l’auteur 1 : Archer (pseudonyme) est un personnage non fictif, c’est un homme que j’ai bel et bien rencontré sur les réseaux et m’a envoyé « le message » afin de me pousser dans la création de ce chapitre. Je l’en remercie et j’espère que son chapitre lui plaît.
Note de l’auteur 2 : deux autres chapitres sont déjà écrits et seront publiés si ce premier chapitre vous plaît.
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