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D'une jeune fille à une jeune femme

Chapitre 3

Erotique
Chapitre 3 : Lucifer
Lucifer est le patron d’un cabinet de conseil qui a contacté la maison d’édition dans laquelle je suis en stage il y a quelques jours, il cherche une stagiaire qui travaille dans l’édition afin de rédiger, corriger certains papiers concernant les missions du cabinet. J’y ai tout de suite vu l’opportunité de faire mes preuves et me suis donc proposée pour ce poste ! Ce patron a une réputation dans toute la ville, à ce qu’on raconte, il est beau comme un dieu, énigmatique et froid et je ne peux pas le nier, il dégage une certaine autorité naturelle. J’ai donc passé une sorte d’entretien hier afin de me présenter moi, mes qualités et mes compétences. Je suis quelqu’un de calme et de discret, je suis assidue et j’apprends rapidement, je suis organisée et productive dans mon travail.
C’est ce qui a plu à Lucifer et c’est pourquoi il m’a engagée moi, durant l’entretien, je me souviens qu’il n’a pas beaucoup parlé, il s’est contenté de me fixer avec un regard calme, les seuls mots qu’il m’a adressés sont :
— Bienvenue dans l’entreprise, je suis sûr que vos qualités et compétences nous seront d’une grande aide. Cependant je dois vous mettre en garde, dans ce milieu vous allez entendre beaucoup de discussion formelle, je compte donc sur votre discrétion vis-à-vis des journaux, si vous nous trahissez nous attaquerons en justice.
Ce à quoi j’ai répondu bien évidemment :
— Bien entendu Monsieur, n’ayez crainte, je ne vous décevrai pas.
**
Ce matin, je suis devant les locaux de l’entreprise, un bel immeuble riche qui inspire le respect et la crainte. J’ai rendez-vous à 8h tapante pour mon entretien d’embauche et j’ai dix minutes d’avance et c’est parfait ! Je déteste les retardataires et je ne veux en aucun cas en faire partie !
Dans le mail que Lucifer m’a envoyé hier soir tard dans la nuit, il me demande de prendre les escaliers jusqu’au premier étage et de l’attendre devant... « Salle 1 réunion ». Parfait, je l’ai rapidement trouvée ! Je m’installe sur les fauteuils non loin de la porte et attends. J’avoue, je suis nerveuse, on attend beaucoup de moi ici, il faut que je donne le meilleur de moi et plus encore. Cette nuit, je ne suis pas arrivée à trouver le sommeil tant j’étais angoissée et excitée par ce premier jour de travail, je n’ai même pas déjeuné par peur de tout recracher... La porte s’ouvre, Lucifer apparaît dans un pantalon de costume bleu et une chemise blanche retroussée aux manches, il est sexy, je n’ose même pas le regarder dans les yeux.
(Tu rougis imbécile !)
— Bonjour Clara, bienvenue dans nos locaux, suis-moi, ton bureau est à côté du mien, je trouve ça plus pratique étant donné que l’on doit travailler ensemble.
J’acquiesce comme une idiote incapable de répondre à son patron super sexy. Il ouvre la porte du « Bureau C », il est spacieux, tout en bois de chêne, de grandes vitres m’offrent une superbe vue, le bureau ne contient qu’un espace de travail avec un ordinateur et un fauteuil ainsi que deux autres fauteuils devant et une table un peu plus loin. C’est un beau bureau, je m’y sens déjà à l’aise.

— C’est très beau, merci.
Il acquiesce, rapidement il me brief sur nos missions du jour, rédaction de contrats, envoi de mails, corriger et restructurer ses plans de réunions, etc.Je n’arrive pas à me concentrer, sa bouche est à quelques centimètres des miennes.
(Allô ? Tu comptes lui sauter dessus ou quoi ?)
Il surprend mon regard, je me hâte de détourner les yeux et les rive sur les feuilles devant nous. Il me regarde longuement, ma respiration s’accélère, je commence à avoir des bouffées de chaleur... Il sent cette tension dans la pièce lui aussi ?
(Il fait chaud ici non ? La clim doit être en panne !)
Il se racle la gorge et annonce :
Bien c’est tout pour aujourd’hui. Rentrer chez vous. Cette semaine je vais recevoir beaucoup d’associés donc je n’aurai pas beaucoup de temps à vous accorder, mais vous savez tout ce que vous avec à faire et je vous accorde une certaine confiance.
(YES ! Sauvée)
— Bonne soirée monsieur.
Je me hâte de récupérer mes affaires et sors en trombe du bureau, je dévale les escaliers et me dirige dehors ! J’inspire une énorme bouffée d’air frais. Mon Dieu, mon comportement n’est pas professionnel du tout ! C’est décidé je vais éviter mon patron et me concentrer sur mon travail !
**
La semaine se déroule agréablement bien, j’avance à grands pas dans tous mes travaux, je m’octroie des pauses chocolats chauds quand j’ai le temps et j’ai même le temps de lire quelques bouquins pendant la pause déjeuner. Lucifer lui est très occupé avec ses différents associés, parfois il m’envoie un mail pour me donner d’autres dossiers à corriger et structurer, mais je l’évite comme la peste ! Si ce n’est que ce n’est pas une maladie mortelle, mais un patron super sexy, autoritaire et intelligent. Parfois l’on se jette des coups d’œil dans les couloirs ou au réfectoire, mais je baisse toujours la tête par peur qu’on me voie rougir comme une adolescente.
**
Nous sommes vendredi, il est 14h, ma pause déjeuner est finie, donc je regagne mon bureau. Je découvre sur mon bureau une pile monstrueuse de dossiers !
(Oh non non non ! Ce n’est pas possible !)
Dessus est posé un petit post-it :
— Navré Clara de vous donner ce travail en plus en cette fin de semaine, mais c’est important et vous êtes ma meilleure correctrice, je vous offrirai des chocolats chauds tous les jours pendant la semaine prochaine c’est promis.
Je soupire et souris devant ce post-it. Bon, ce sera une occasion en plus de faire mes preuves ! En plus, je n’avais rien de prévu ce soir... Je m’installe dans mon beau fauteuil en cuir et m’active à mon travail. Contrats de vente, contrats d’associé, contrats de vente, contrats de conseils, contrats financiers, contrats d’associés...Plus tard je m’accorde cinq minutes de pause, me retourne vers les vitres et me rends compte qu’il fait nuit !
(Quoi ? J’ai traversé un espace-temps ? )
J’étais tellement absorbée par mon travail que je n’ai pas vu la journée passer... D’un côté je me rends compte que ce poste me plaît, la maison d’édition me manque, mais je me sens dans mon élément ici aussi. Je regarde ma montre, il est tout juste dix-neuf heures, la nuit commence à tomber dehors. À cette heure-ci il ne doit plus y avoir grand monde dans l’immeuble, les horaires de travail sont assez flexibles ici, c’est un super avantage.
On toque à ma porte. Lucifer entre dans mon bureau le visage fatigué avec une lueur dans les yeux que je n’arrive pas encore à déchiffrer.
— Je suis content que vous soyez encore là ! J’ai des choses à vous dire, venez dans mon bureau, tout de suite.
(Oula... Généralement quand on est convoqué dans le bureau de son patron ça craint non ? Ai-je fait quelque chose de mal ?)
Je commence à angoisser, je passe en revue tous les dossiers finis, est-ce que j’ai fait des erreurs ? Est-ce qu’il trouve mon travail médiocre ?
(T’avais qu’à mieux te consacrer au lieu de boire des chocolats chauds !)
Nos pas résonnent dans le couloir, il m’ouvre la porte et j’entre dans son bureau qui n’est pas bien différent du mien. Il s’installe dans son fauteuil, je reste debout, il est calme et indifférent, je suis nauséeuse et angoissée.
— Clara, je t’apprécie, tu sais. Tu es un excellent élément ici et ton travail est plus que remarquable. Cependant, il y a quelque chose qui me dérange.
Je soupire et je m’autorise à enfin respirer.
— Je vous remercie de votre intérêt à l’égard de mon travail. Pourrions-nous discuter de ce qui vous contrarie ? — Tu m’évites, tu rougis lorsque nos regards se croisent, lorsque je t’approche tu deviens agitée. J’ai peur que nos collègues soient dérangés par cette attitude.
(...)
Je deviens rouge de honte, je sautille sur mes pieds, je me rapproche à grands pas du bureau.
— Oh... Je... Non... En fait...
Je n’arrive même pas à faire une phrase complète. Je ne sais pas comment réagir à l’indifférence de sa voix, il ne m’a pas l’air en colère.
— Navrée de vous avoir mis dans une telle posture Monsieur... Il est vrai que mon comportement est à re...
Il me coupe la parole et me parle d’une voix assurée.
— J’ai une solution pour remédier à cela, rendre plus agréable notre relation, disons.
(Ah bon ? Bah c’est vraiment génial ! Vraiment c’est embarrassant !)
Toujours assis dans son fauteuil, il défait sa cravate, ouvre son tiroir et ouvre deux boutons de sa chemise.
(Heu...)
— Monsieur... Je ne suis pas sûre de comprendre... — Tu verras, tu seras plus à l’aise.
Il sort quelques cordes de son tiroir et les pose sur son bureau.
(IL VA M’ÉTRANGLER ? ME PENDRE ?)
— Approche et saisis une de ces cordes.
Je m’approche d’un pas hésitant, ma tête bourdonne, je ne comprends pas ce qui se passe, et lui, il est tellement serein dans son fauteuil à demi dénudé. Je touche une corde d’une main tremblante. Il se lève, l’attrape et vient se placer derrière moi. Il m’attrape les mains, me les ramène dans le dos et me les attache avec la corde, je sursaute à son contact, je sens que mon entrejambe commence à s’humidifier, je ne bouge pas, je suis intriguée par ce qu’il est en train de faire. Il saisit une deuxième corde et la passe en dessous de mon chemisier, il vient m’encercler la poitrine de haut en bas et relie les deux cordes ensemble. Je me liquéfie sous ses mains, il me caresse le ventre, en profite pour me frôler les tétons. Ma respiration s’accélère, je suis tellement excitée et mouillée. Mais pour autant je me rappelle que je suis dans un bureau et que cet homme dominant est mon patron.
— Monsieur je ne crois pas que...— Tais-toi, sois docile et fais-moi confiance.
D’un geste vif, il me met sa cravate dans la bouche, je serre immédiatement les cuisses. Il exerce une pression sur mes épaules avec ses mains et me met à genoux devant lui.
— Maintenant tu vas obéir et être bien gentille, compris ?
Je hoche de la tête en signe d’approbation, mais ça ne lui suffit pas, d’un ton sec et autoritaire il se penche :
— Est-ce que tu as compris ?!
J’essaie péniblement d’articuler un « oui » à cause de sa cravate dans la bouche. Il se redresse, satisfait de ma réponse. Il reste là, debout, quelques secondes à me regarder, il semble fier et excité. C’était donc ça son regard de tout à l’heure. De ses mains, il vient brutalement déchirer mon chemisier, je suis totalement impuissante et offerte. Il enlève aussi sa chemise et me met deux doigts dans la bouche, je décide d’être « docile » et je les caresse avec ma langue. Il gémit.
— Tu apprends vite, c’est bien.
Je referme ma bouche sur des doigts, je continue de les caresser, de les chatouiller. Il sourit. Il retire ses doigts de ma bouche et retire son pantalon, il approche sa verge déjà tendue vers ma bouche. Je la regarde, elle est belle.
— Tu en as envie n’est-ce pas ?
Il passe ses mains dans mes cheveux.
— Oui monsieur j’en ai envie.
Mais il décide de jouer avec ma patience et mon excitation, je me sens frustrée, j’ai les tétons durs, je suis trempée en bas, je vois des images sensuelles et brutales dans ma tête. Il commence à se masturber, il me regarde et je le regarde avidement. Il approche sa verge, mais la laisse hors de portée, je décide donc d’aller la chercher en tirant la langue. Il gémit.
— Laisse ta langue dehors.
Il défait la ceinture de son pantalon et la saisit. De sa main libre, il vient brusquement m’attraper les cheveux et me relève. Je commence à avoir peur, j’ai les mains liées, je suis sans défense, totalement impuissante. Il m’arrache mon pantalon, descend ma culotte et la met dans sa bouche. Il vient me caresser les fesses avec sa ceinture et me claque subitement. Je sursaute et gémis de plaisir. Il me regarde avec des yeux intenses et excités. Il continue de me fesser quelques secondes.
— Monsieur...
Le gémissement m’échappe des lèvres tant le plaisir est bon, tout mon corps est comme électrisé.Il se rapproche de moi, de sa main libre il commence à me caresser le clitoris. J’explose, je gémis, je le supplie du regard de faire mieux que ça. Je viens me frotter contre sa main.
— Tu en as envie hein ? Dis-le-moi. Supplie-moi.
Je le supplie du regard. Il m’agenouille et pose son gland sur mes lèvres, j’ouvre la bouche et il la rentre lentement. Je le lèche sur toute sa longueur et exerce de légères succions sur son gland. Il grogne de plaisir, je sens que son corps se tend.
— Tu en veux plus ?
Il sort sa verge de ma bouche et commence à se masturber.
— Oui Monsieur.
Il me met à quatre pattes, vient se déplacer derrière moi et me caresse les fesses, ma fente humide. Il vient ensuite lubrifier sa verge de ma propre mouille.
— Demande-la. — Je la veux, monsieur.
Il me pénètre d’un coup vif.
— Oh oui !
Je ne peux pas retenir le cri de plaisir, c’est si bon, je sens toute la tension de mon corps s’envoler pour laisser place au désir. D’une main il me saisit la taille, de l’autre il m’attrape les cheveux pour mieux me cambrer, ses coups de reins se font plus vite, plus forts, délicieux. Je ne me retiens absolument pas mes gémissements, je peux me le permettre, à cette heure-ci pas un chat ne doit traîner dans les locaux, il ne retient pas ses grognements non plus. D’un mouvement vif il me retourne et me fait asseoir sur lui, il place ses mains sous mes fesses et me fait rebondir sur sa verge. Je vais jouir, le sens...
— Je vais jouir.
Il continue, mais cette fois-ci avec des coups de reins longs et profonds, je gémis et jouis puissamment. Mon corps explose, tremble de plaisir, mes yeux se ferment et je savoure.
— Fais-moi jouir, dis-moi ce que tu es Clara.
Je le regarde, le lui lèche l’oreille et lui murmure :
— Je suis votre soumise, je vous appartiens.
Il grogne, il accélère ses coups, il me griffe les hanches.
— Encore !
Je m’y reprends de la même manière.
— Je suis votre soumise, je vous appartiens.— Une vraie petite chienne. — Je le suis pour vous, Monsieur.
Il finit par jouir dans un puissant râle de plaisir. Seules nos respirations se font entendre dans la pièce, nous sommes tous les deux satisfaits. Toujours assise sur lui, il me regarde avec un franc sourire.
— Tu continueras à l’être ?
Je souris à mon tour et acquiesce.
— Oui Monsieur.
(Pas sûr que sa « solution » soit efficace pour notre relation au travail !)
FIN Note de l’auteur : Lucifer (pseudonyme) n’est pas un personnage fictif, c’est un homme qui m’a aidée à créer le scénario et m’a poussée à le rédiger. Je l’en remercie.
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