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Une jeune maman

Chapitre 4

Mon chéri et son pote

Trash
Comme tous les matins, mon chéri me réveille en me caressant. Nous nous positionnons en cuillère, afin de nous câliner amoureusement. Il commence doucement et tendrement par des caresses sur mon petit bidon qui grandit de jour en jour. Il essaye de sentir les mouvements de notre enfant. Puis, il remonte sensuellement vers mes seins qui ont pris beaucoup de volume depuis le début de ma grossesse. Il s’attarde dessus, malaxant généreusement mes belles pommes ni trop fermes ni trop molles. Entre mes fesses, je sens son énorme sexe dressé et bien dur. Ce contact suffit à éveiller mes sens. Je mouille abondamment, tandis qu’il caresse mon minou imberbe. Mon amoureux finit par se dégager pour descendre son caleçon et retirer mon string. Il me pénètre doucement en continuant à titiller mon clitoris. Ses coups de bassin sont accompagnés de mots doux. Il me dit qu’il m’aime, qu’il veut que soit la mère de ses enfants. Mon compagnon accélère le rythme en s’agrippant à nouveau à mes seins lourds. Il est de moins en moins endurant car mon vagin se rétrécit de jour en jour. Il a l’impression de baiser une petite vierge encore tout étroite. Sa semence brûlante ne tarde pas à se déverser en moi. Toutefois, je n’ai pas encore joui et mon chéri me laisse en plan, car il doit se dépêcher d’aller au travail. Me voilà frustrée, une fois de plus...Et une fois de plus, j’appelle Marty, un jeune mâle à peine sorti de l’adolescence qui est mon sex friend du moment. Alors que je n’ai que 28 ans, il reste beaucoup plus jeune que moi et manque d’expérience. Néanmoins, il a l’avantage d’être extrêmement bien membré et endurant. Le jeunot ne tarde pas à venir et se glisser directement dans mon lit. Sous la couette, il me broute le minou avec ardeur.Mon compagnon revient finalement à la maison dans la matinée, car ses rendez-vous ont été décalés. Il entend mes gémissements. Il pense que je me caresse pour me faire jouir, car il n’a pas eu le temps de me finir ce matin.
— Arrête ça et vient me démonter, ai-je ordonné à Marty. Je me mets à quatre pattes et lui tends bien mon cul pour qu’il puisse admirer ma petite fente.Il m’obéit au doigt et à l’œil. Marty me vénère comme une déesse du plaisir, depuis que je l’ai dépucelé quelque temps auparavant. J’ai dressé le beau mâle pour qu’il me baise comme une petite chienne et qu’il assouvisse mes pulsions de plus en plus dévorantes. Mon amoureux comprend donc ce qui se passe et s’approche discrètement de notre chambre pour entrouvrir la porte. Il voit alors l’un de ses amis les plus proches me prendre en levrette. Le jeune mâle déchaîne toute sa fureur sexuelle et ses pulsions pubères. Mes obus se balancent d’avant en arrière, tandis que le choc de ses hanches sur mes fesses fait trembler toute la chambre. La tête de lit bat le mur au rythme de ses coups de reins violents.Le cocu commence à avoir une énorme trique. Cette scène lui rappelle qu’il y a à peine quelques années, il me regardait avec délice me faire sauter par d’autres mecs. Il s’extasiait davantage lorsque plusieurs me souillaient en même temps. Le voyeur sort sa queue bien dressée et commence à se branler derrière la porte entrouverte.— Oui vas-y ! oui, défonce-moi ! ai-je hurlé, comme si je voulais me faire entendre des voisins. Marty redoubla d’efforts. Il en est tout essoufflé, malgré son corps musculeux. Je sens son énorme queue racler le fond de mon intérieur. Depuis que j’ai mes belles formes de femme enceinte, le jeunot me trouve encore plus bandante.
Je dois m’agripper au lit pour rester bien en place, tellement ce mâle se déchaîne sur moi. Il me saute sauvagement sans aucune délicatesse, en grognant comme un animal. Je sens qu’il va finir. — Ne te retiens pas, balance ton foutre en moi ! Remplis ma petite fente !L’espion a encore plus la trique. Il adore que je dise des cochonneries quand je me fais pilonner... davantage lorsque ce n’est pas lui.Un jet de sperme puissant me fourra entièrement l’abricot.— Encore ! encore ! ai-je crié. Tu ne m’as pas fait jouir, baise-moi encore ! Tu peux remplir ta chienne en cloque autant de fois que tu veux...Marty continue ses mouvements de va-et-vient. Malgré l’éjaculation, il était encore bien assez dur pour me pilonner correctement. Il finit par me faire un énorme orgasme qui me fait couiner comme une truie.
Quant au jeune mâle, il s’apprête à se décharger nouveau en moi et, immédiatement, je me retire pour lui pomper la queue afin de m’abreuver de son foutre.— Approche, que j’avale ton sperme, ai-je ordonné à Marty.En me retournant, j’aperçois mon compagnon, le regard lubrique et son sexe en érection. Par réflexe, je me dégage brutalement. Mais, mon compagnon a l’air d’apprécier et continue de se branler devant moi. Il me fait signe de continuer. Quant à Marty, il ne remarque même pas la présence du cocu.Je joue alors au jeu, en regardant mon amoureux droit dans les yeux, avant de gober entièrement la queue de mon amant. Je lui astique le manche de mes deux mains tout en donnant des coups de langue sur son gland. Son sexe se regonfle dans ma bouche trop petite pour cette énorme matraque. Mais qu’importe, mon envie de semence me pousse à l’enfoncer bien au fond de ma gorge.Le jeunot ne tarde pas à déverser son jus directement dans mon œsophage. J’avale tout ce qu’il me donne. J’adore son sperme de jeune mâle dominant en devenir. Je pourrais m’en abreuver toute la journée.Je récupère même les quelques gouttes de jus au bord de mes lèvres avec mes doigts pour les sucer.
— Surtout, ne bouge pas, ai-je dit à Marty. Je le dirige alors vers la porte de ma chambre et me mis à genoux devant mon mec.— C’est à ton tour, ai-je lancé d’un ton coquin. Mon amoureux me saisit la tête par les cheveux et porte violemment ma tête vers son sexe, afin que lui taille également une bonne pipe.— Alors comme ça tu aimes avaler le foutre maintenant ? demande mon amoureux pendant qu’il baise violemment ma bouche. Marty nous observe tout ahuri, tandis que le cocu me pilonne la bouche. Il s’acharne sur moi comme s’il ne s’était pas vidé depuis plusieurs mois. Terminé le sexe plein de tendresse et de respect. J’avais enfin retrouvé mon mâle dominant du début de notre relation.
— Avale, petite bouffeuse de sperme ! est-il écrié au moment de se décharger, en me tenant fermement la tête pour m’empêcher de me retirer. J’ai envie de vomir et j’ai les larmes aux yeux, mais je parviens à boire tout son lait bien chaud. Je me dégage pour reprendre mon souffle, puis j’entraine mon amoureux sur notre lit et je me mets à califourchon sur lui.— Maintenant que vous êtes tous les deux-là... ai-je dit avec un sourire coquin.Je colle mes obus sur le visage de mon homme et je tends bien mes fesses vers Marty.— Ne reste pas là idiot, viens là Marty. Viens me détruire la rondelle. Je m’empale donc sur le sexe de mon mec, avant de me faire bourrer les intestins par le jeunot.
Je suis donc prise en sandwich par deux mâles surexcités par tant de dépravation. Je ne sais pas comment je peux loger à la fois mon bébé et deux doubles décimètres dans mon intérieur tout étroit, mais cela me procure un plaisir intense.Je me fais ramoner toute la fin de matinée. Sans gêne et avec même de la complicité, mes deux mâles se partagent mes orifices tour à tour, pour y décharger leurs cartouches. Je finis entièrement remplie de foutre et complètement KO après avoir joui à de nombreuses reprises. Je reçois tellement de sperme qu’elle dégouline de ma bouche, de mon cul et de ma fente. Satisfait par le travail accompli, mon amoureux donna une tape sur le dos de son ami Marty.— C’est bien, c’est bien, ça c’est un bon toutou !, dit-il avec plein de fierté.
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