Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 157 J'aime
  • 4 Commentaires

Une jeune mariée très docile

Chapitre 2

Hétéro
Suite de ma lune de miel...
Je ne réalise pas vraiment. Un mariage éclair. Un mari que je ne connaissais pas Cet homme m’avait caressée dans le carrosse sans même se demander ce que j’en pansais.
Maintenant, seule avec lui dans cette chambre, je me devais d’obéir comme m’avait dis ma mère. J’ai encore le goût de son sexe dans ma bouche. Jamais, je n’aurais cru sentir le sexe d’un homme dans ma bouche. Cela était impensable. Mon époux continuait sans scrupule l’exploration de mon corps. Ma poitrine semblait particulièrement lui plaire. Sans douceur, il me mordit les tétons. J’ai poussé un cri plaintif mélangé à autre chose. Il recommença. J’ai de nouveau crié.
— Oh oui, ma belle, crie pour moi, ordonna-t-il. Demandes-en encore !!!
Je ne comprenais pas vraiment. Il me pinça fortement les deux tétons, je sentais un nouveau sentiment naître en moi. Je n’ai pu m’empêcher de crier.
— Oui, encore.
J’avais obéis à sa demande. Il m’embrassa. Nos langues se mêlèrent l’une à l’autre dans une danse. Mon corps appelait de tout son être les caresses encore inconnues de cet homme. Je devenais une autre entre ses mains. Brusquement, il s’est relevé sans dire un mot. Ce silence me troubla. Il m’a violemment écarté les jambes montrant que je lui appartenais. Je devais réaliser tous ses caprices. Il positionna son sexe à l’entré du mien. Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. Il me fixa droit dans les yeux et entra brusquement. La douleur fut grande.
Il resta sans bougé au fond de moi. Je n’ai pas pleuré ma douleur.
— Tu m’appartiens.
J’ai acquiescé. Il semblait satisfait de cette réponse. Sans attendre, il bougea. Je le sentait aller et venir en moi. Il tapait fort et un plaisir immense grandissait en moi. Je ne pu m’empêcher de crier "encore" et "encore". Plus je criais et plus il augmentait la vitesse. Je criais sans honte car il le voulait. L’auberge tout entière devait entendre le plaisir que me donnait mon époux.
Normalement, j’aurais dû attendre deux ans avant de prendre un époux mais mon père avait exaucé le souhait de mon époux en lui fournissant une jeune fille. J’appartenais à cet homme maintenant. J’étais un comtesse, un femme et plus une enfant...
Un liquide coula dans mon corps et mon époux semblait vidé de son énergie. Il sortit de mon sexe et me poussa sur le côté. Il semblait satisfait et les paroles qui suivirent me le confirmaient.
— Très bien, ma douce, j’ai pris beaucoup de plaisir à te dépuceler. Et j’ai encore beaucoup de choses à t’apprendre. Repose-toi, je continuerais dès que possible.
Cette promesse me laissa sans voix. Je venais d’être dé-fleurée sans douceur par cet homme, et il attendait d’être prêt pour recommencer. Je m’allongeais sur le côté en espérant trouver un peu le sommeil. Il se cala fermement dans mon dos, me pinça les seins. Mon corps a réagi immédiatement. Je m’endormis sans difficulté.
Un étrange sensation me sortit des brumes du sommeil. Je me remémorais la journée de la veille, lorsque le sentit entrer en moi par dernière. Mon corps tout entier réagissait à cette intrusion. Je gémis de plaisir sous chacun des coups. J’en voulais encore et encore. Mon époux me positionna à genoux en restant au fond de moi. Je ne m’attendais pas à une telle secousse de sa part. Il me besognait vite et fort me faisant crier de plus belle. Une nouvelle fois, j’ai senti un liquide se rependre en moi.
Il sortit du lit et se rendit à la commode. Et là, j’ai un cri de surprise. Le valet de mon époux était présent. Il avait assisté à toute la scène. Ma gêne d’avoir été vue était grande. Je ne pris conscience de ma nudité qu’en voyant son regard lubrique sur mon corps. Mon époux me fixa. Il attendait de moi une réaction particulière. Il voulait une épouse obéissante à tous ses caprices. Me faire l’amour devant son personnel devait faire partie de ses petits plaisirs. Je me forçais à rester nue et soumise à toutes ses demandes. Je voulais pourtant me cacher du regard des deux hommes.
— Hector, veux-tu nettoyer ma femme ? Elle dégouline de ma semence.
— Bien sûr, Milord.
— Et veux-tu la préparer pour la suite ? Je n’ai pas fini de la dépuceler. Nous quitterons les lieux lorsque j’en aurais fini avec elle.
Je ne comprenais pas vraiment ce qui venait d’être dit. Je voyais Hector s’approcher de moi et tout ce qui me restait à faire, c’était d’obéir.
J’espère que ce second chapitre vous a plu. La suite viendra en fonction de la demande. Je remercie tous mes lecteurs et en particulier les commentaires d’encouragement. Hector doit préparer Ange ? Encore un dépucelage ?
Diffuse en direct !
Regarder son live