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Une jeune mariée très docile

Chapitre 3

Hétéro
Suite le ma lune de miel...
Hector, le valet de chambre de mon époux, approchait de moi. Je me sentais vulnérable dans ma nudité. Je doutais que mon père est conscience de la vraie nature de cet homme. Enfin, cela me surprendrait mais je n’y crois plus trop.
Hector m’écarta les cuisses sans douceur. Sous le regard de mon époux, je me laissais faire attendant le pire. Je ne savais comment réagir. Il me lava l’intimité. Ses doigts me touchaient et j’avais envie de le fuir le plus vite possible. Je n’aimais pas du tout cet homme.
— Levez-vous comtesse ?
Sans même me dire, ce n’est qu’un domestique, c’est lui qui doit m’obéir, je me suis fièrement relevée comme si j’étais dans une situation tout à fait normale. Il me fit ma toilette prenant soin de me caresser le plus souvent. Il fit pression sur mon dos et je dus me pencher en avant. Mon mari vint fasse à moi et me présenta son sexe. Sans même me laisser le temps de réagir, il m’empoigna la nuque pour que je le suce. Sans douceur, il me secoua la tête d’avant en arrière. Sans aucune délicatesse, il prenait son plaisir et j’obéissais. Il prenait beaucoup de plaisir à me maltraiter devant son valet. Hector ...
Je l’avais oublié. Sans que je mis attende, il introduisit ses doigts dans mon sexe rempli de la semence de mon époux. Ce n’était pas l’homme mais ses doigts me donnaient beaucoup de bien. Ses doigts devaient être trempés. J’aimais être maltraité par les deux hommes. Ma mère serait fière de mon obéissance.
Les doigts d’Hector devenaient plus précis dans leurs intentions. La pénétration de mon petit trou était étrange. Je ne savais si j’aimais ou détestais. Il étala un liquide sur mes fesses les rendant glissantes. Cela facilitait son intrusion dans mon corps.
— Elle est prête Milord.
— Parfait je ne tiens plus.
Sans pitié, on me mit à genoux par terre. Je présentais mon petit trou à leur regard lubrique. Mon époux se positionna derrière moi. Son sexe trouva l’entrée soigneusement préparée par Hector. Sans douceur, il me pilonna et prit son plaisir. J’ai hurlé de douleur et d’autre chose. Cela dura un certain temps et j’étais épuisée. Il se vida et sortit. Je n’étais plus en mesure de réaliser ce qui m’arrivait.

— Ton père n’a pas menti sur la marchandise. Une épouse très obéissante. Pas une seule larme. Cela change de ma première épouse. Celle-là incapable de me donner un fils n’arrêtait pas de pleurer. Il est certain, que tu es beaucoup plus docile. Ne change surtout pas.
— Tout ce que vous souhaitez mon seigneur.
Cette réponse semblait lui plaire.

Nous avons repris la route. J’étais épuisée. J’ai dormis presque tout le trajet de retour. Mon époux m’a caressée, mais ma somnolence ne semblait pas lui déplaire. Nous sommes arrivés dans la demeure. Un majestueux château... L’on m’a fait visiter... J’ai rejoins mon époux dans son bureau à l’heure qu’il m’avait ordonnée. Mon entrée le fit se lever aussitôt.
— La visite des lieux s’est bien passée? — C’était parfait votre demeure est magnifique. — Vous n’êtes pas trop fatiguée? — Non, dormir dans le carrosse m’a fait le plus grand bien, j’espère que cela ne vous a pas ennuyé. — J’avais envie mais je pouvais attendre. — Oh...
Je ne savais que dire de plus. Il me proposa d’avancer vers lui et je le fis. Je fis le tour du bureau et je retrouvai la douceur de ses bras.— Vous caresser dans votre sommeil était un délice comme vous faire l’amour alors que vous dormez encore.
Sa main glissa sous mes jupons. Je m’étais habituée à ses intrusions. Il me plaqua sur son bureau. Je n’attendais que cela je dois l’avouer. Je devais donner du plaisir à mon époux sans quoi ma famille serait déshonorée. Il souleva mes jupons et me pénétra. Il était en pays conquis.
— C’est bon ?— Oui monseigneur.
Sans attendre, il me culbuta encore et encore. Le château tout entier devait entendre le plaisir que me donnait mon époux. On frappa.
— Entrez !fit-il sans pourtant cesser ses aller-retour. Je vis un homme entrer, un prête....
Ma surprise le fit sourire. — Alors mon frère, on profite de sa nouvelle épouse...
A cet instant, mon époux se vida et me libéra de son étreinte. Je ne savais plus où me mettre devant cet homme d’église. Pourquoi le laisser nous voir dans l’accouplement car cela était évident que cela était volontaire.
Qu’elle nouvelle surprise me réserve mon époux ?La suite pour bientôt....
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