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Une journée hors du commun

Chapitre 1

Confidences inattendues

Divers
Je m’appelle Grégoire et j’ai 25ans. Jusqu’à récemment, j’étais l’archétype même du carriériste, mes journées étaient souvent très longues au boulot, me faisant rentrer à pas d’heure, parfois même au crépuscule. Toutefois, ne vous y méprenez pas, cette situation me convenait amplement parce que j’ai toujours eu besoin de savoir que mes lendemains seraient occupés. Seulement voilà, je n’étais qu’en CDD et ce qui devait arriver arriva, je n’ai pas été reconduit, non sans frustration après ces deux années d’effort et d’investissement personnel, mais qu’importe, il faut savoir rester positif dans la vie.
Me voilà donc bloqué à la maison, à écumer les sites d’offres d’emploi à longueur de journée, ce qui a le don de m’épuiser moralement, voire même psychologiquement puisque personne ne m’a répondu pour le moment malgré les nombreux CV envoyés. J’essaie de me rassurer en me disant que je ne suis pas le seul, que le monde entier tourne au ralenti à cause de ce foutu virus, que ça finira par revenir à la normale et que je retrouverai un emploi incessamment sous peu, du moins je l’espère. Quand la fatigue et la lassitude se font sentir, une pause s’impose et se déroule très souvent de la même manière. Ma main gauche glisse sous mon bureau d’appoint et saisit mon sexe à travers mon boxer, pas besoin de pantalon chez soi. Ce mouvement le faisant gonfler d’excitation et ne me laissant d’autres choix que de me masturber pour me détendre. C’est mécanique et je n’y résiste qu’à de rares exceptions, souvent indépendantes de ma volonté, comme une visite impromptue. Ce ne fut pas le cas ces jours-ci.
Comme à mon habitude, je baisse les volets presque entièrement, car ma chambre en colocation donne directement sur la baie vitrée de mes voisins d’en face. Les habitants du quartier étant connus pour être assez pieux et réservés en matière de sexualité, s’ils m’apercevaient en train de m’astiquer, nul doute que les plaintes à mon encontre pleuvraient les jours suivants. Quant à ma colocataire, elle travaille la journée, donc je me sais tranquille pour un moment. Comme à mon habitude, donc, j’attrape mes écouteurs traînant sur la table de chevet que je branche à mon ordinateur puis monte sur mon lit défait. Celui-ci étant contre un mur, je place mes oreillers dans le bas de mon dos puis m’installe confortablement, les jambes allongées, dans la quasi-obscurité de la chambre. Ma routine ne change pas, toujours le même site porno et la catégorie du jour sera ma préférée.
A peine ai-je le temps de la sélectionner que mon téléphone se met à sonner, m’effrayant sur le coup comme à chaque fois, après tout, qui aime être dérangé à ce moment précis ? En le saisissant de ma main droite libre, j’aperçois le nom de mon contact qui m’appelle, il s’agit de Clara.

Clara est une femme que j’ai matchée quelques semaines plus tôt sur un site de rencontres célèbre, on a tout de suite bien accroché et après quelques jours seulement, on s’était rencontrés physiquement dans un petit bar de province. Le feeling était tout de suite passé, à tel point que le soir même, elle avait dormi chez moi. On ne se considère pas en couple, car, habitant relativement loin de l’autre, on ne peut se voir que les week-ends. La surprise laisse immédiatement place à l’interrogation, pourquoi m’appelle-t-elle en semaine et en journée alors qu’elle est censée bosser ? Bien qu’ayant la fâcheuse tendance à laisser courir quand on perturbe mes plans, je décroche.
— Salut Grégoire, je ne te dérange pas j’espère ? dit-elle.— Coucou Clara, oui et non... lui répondis-je.— Comment ça ? Tu ne serais pas en train de te branler par hasard ? — Bingo. — Parfait, j’ai pris ma journée pour te voir, j’attends le train-là, tu peux me récupérer à la gare dans 1h ?
Sans vraiment réaliser ce qui se passe parce que confus par cette demande soudaine et inattendue, j’accepte tout en soupirant, ma marque de fabrique.
— Euh bah ouais... appelle-moi quand tu seras à la gare ?— Super ! Au fait, je n’ai pas eu le temps de me doucher ce matin et si tu savais comme j’ai chaud dans ce jean qui me comprime la chatte... me murmura-t-elle en ricanant avant de raccrocher.
Ce n’est qu’après avoir reposé mon portable sur le lit que j’émerge de mon état végétatif, et me rends compte que sa dernière remarque m’a fait durcir au point de me faire mal. Que sous-entend-elle ? Pourquoi me dire ça maintenant et puis surtout, qu’est-ce qui lui prend de poser des congés sans me prévenir ? Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête pendant que je me préparais pour l’accueillir. Mon pénis toujours tendu sous les jets d’eau de la douche, je n’ai hélas pas le temps de tirer un coup, ou peut-être ai-je envie de préserver cette érection et mon excitation pour la recevoir comme il se doit ? Je ne sais pas trop sur quel pied danser, notre relation étant toute fraiche, je ne voudrais pas la brusquer... J’ai sûrement mal interprété ces dernières paroles.
45 minutes plus tard, me voilà garé, attendant son coup de fil dans ma voiture. Elle n’en aura pas besoin puisqu’elle me reconnait tout de suite après avoir franchi l’imposant porche de la gare centrale. Un léger sourire se dessine sur nos visages alors que nos regards se croisent, et évidemment la bosse dans mon pantalon se reforme au même moment. Clara a la peau blanche et très pâle, couleur typique des gens de la région, ce qui me plaît énormément en plus d’avoir les cheveux mi-longs. Parait-il que le terme adéquat pour en qualifier la coloration est « blond vénitien », selon ses dires en tout cas. Sa tenue, est comme attendue, très simple, un chemisier blanc qui se marie bien avec son jean slim bleu. Pourtant cela me subjugue, ses courbes sont parfaitement mises en valeur, notamment ses fesses rebondies grâce aux séances de squat.

Je lui déverrouille les portes, lui permettant de poser son sac à dos à l’arrière puis elle s’assoit côté passager, visiblement soulagée d’être arrivée, avant de m’embrasser tendrement quelques secondes.
— Merci d’être venu, et désolée, je suis toute transpirante, déjà que je n’ai pas eu le temps de me doucher ce matin, et en plus, il faisait une chaleur étouffante dans le wagon, impossible d’ouvrir les fenêtres ! Une honte d’être traitée comme ça, se plaint-elle.— T’inquiète, ça ne me dérange pas et tu pourras la prendre chez moi pendant que je continue de postuler...
Se rapprochant de mon oreille droite, elle me chuchote :
— Oui, je sais que ça ne te dérange pas... tu sens cette odeur qui sort de mon décolleté ? Elle vient tout droit de mes seins.
Elle me dépose alors un baiser dans la nuque puis se rassoit convenablement. Ne sachant quoi dire, ce qui apparemment l’amuse beaucoup, je me tus tout le trajet en essayant désespérément de cacher cette tâche sur mon pantalon, localisée au sommet de la bosse. Tache, non pas de sperme, mais de liquide pré-éjaculatoire, ce qui m’arrive à chaque fois que je porte des vêtements trop serrés et que je bande en même temps. L’avait-elle repérée ? Serait-ce ce qui l’amusait tant ? La gêne était présente, car j’étais convaincu de croiser des gens entre ma place de parking et mon appartement, quelle honte bordel ! Impossible de faire croire à de l’eau renversée à cet endroit... Clara ne m’a pas décroché un mot, visiblement dans ses pensées jusqu’à ce que je me gare.
Deux tours vers la gauche puis maintenir la position des clefs quelques secondes avant de pousser la porte d’entrée de l’appartement, voilà comment on rentre chez moi. Clara, étant déjà venue quelques fois, c’est tout naturellement qu’elle se dirige vers la porte de ma chambre au bout d’un long couloir juste éclairé par quelques veilleuses. Un tour de clef suffit cette fois-ci et, en une fraction de seconde, elle entre et se jette immédiatement sur mon lit avec son sac, se fichant complètement d’étaler sa transpiration sur mes draps. Un peu irrité, mais la laissant se mettre à l’aise, je referme la porte derrière moi, accroche ma veste sur un cintre et ouvre la fenêtre.
— Désolé, je n’ai pas pensé à aérer ce matin... dis-je à voix basse, un peu honteux. — Ca m’étonne pas de toi ! Mieux vaut tard que jamais hein ! me répondit-elle. Et au moins, l’air sera rafraichi quand je sortirai de la douche. Tu peux fermer les volets pendant que je me déshabille ?
Je m’exécute en appuyant sur le bouton avec une flèche pointant vers le bas, bien pratique qu’ils soient électriques. Avant de sortir mon ordinateur du mode veille, je le replace sur mon bureau et m’installe sur ma chaise à roulettes en face de l’écran. Ma chambre est petite, les loyers étant exorbitants en ville, je ne veux pas dépenser plus pour le moment. Elle est située au deuxième étage d’un immeuble assez récent, proche de l’autoroute, de nombreux commerçants sont à proximité et le quartier est très calme, idéal pour se détendre sur le balcon après une journée chargée. Pour un célibataire c’est suffisant, mais à deux beaucoup moins. La question ne se pose toutefois pas puisque ni Clara ni moi n’envisageons quoi que ce soit pour le moment. Notre relation semblant plus proche de sexfriends que de couple amoureux.
Ce n’est qu’après avoir choisi méticuleusement un soutien-gorge et une culotte propres, du moins c’est l’impression que j’ai en entendant le boucan qu’elle fait dans mon dos, que Clara commence à se déshabiller. Pour autant, je ne perds pas le nord, lance ma playlist préférée avant de mettre mes écouteurs neufs, me coupant complètement du monde. Je n’ai plus la même capacité de concentration que durant mes années lycéennes, c’est pourquoi plus vite mon dossier de candidature sera finalisé et envoyé, mieux ce sera. Un double-clic plus tard, la machine se lance et les mots continuent de noircir cette lettre de motivation commencée la veille.
Absorbé par cette page virtuelle, mon niveau d’attention est drastiquement réduit, à tel point que je ne me rends même pas compte que quelque chose vient me recouvrir le visage. La sensation de manquer d’air m’oblige naturellement à forcer mon inspiration de peur de m’étouffer. A croire qu’il n’en fallait pas plus à mon agresseur pour être satisfait puisqu’il dessert son étreinte au même moment, laissant pendre ce morceau de textile du bout d’un doigt devant mes yeux. Une culotte, il a essayé de m’étouffer avec une culotte !!
— Alors, t’en penses quoi ? dit-il fièrement.
Clara, c’est Clara qui a fait ça ? Mon cerveau ne veut pas y croire, elle n’a jamais été aussi entreprenante ni provocante jusqu’à présent. Alors pourquoi maintenant ? Devant mon air dubitatif, elle enchaîne :
— Ca te plaît, avoue. Ne me dis pas le contraire, la dernière fois qu’on a discuté après avoir couché ensemble, tu m’as révélé certaines de tes envies sexuelles et ça en faisait partie. J’ai exprès pris un jour de congé parce que je n’arrive plus à contenir mes pulsions, tout ce que tu m’as confessé, je veux tout faire avec toi. Maintenant et sans réserve.
J’essaie de tourner la chaise pour lui faire face, lui faire comprendre que j’acquiesce, que j’en ai moi aussi envie. Mais elle m’en empêche, replaçant sa culotte odorante sous mon nez, mes yeux pouvant en apercevoir l’intérieur humide, elle ne m’a pas menti au téléphone. Un mélange de sueur d’entre-cuisses et de mouille, rendant ce liquide légèrement visqueux, mais bizarrement pas rebutant. Et elle s’en est rendu compte. Clara m’autorise finalement à me retourner.
— J’adore te voir renifler mes sous-vêtements, Grégoire, j’en ai fantasmé depuis notre séparation le week-end dernier. Quand je te vois bander aussi fort à en voir les veines de ta queue, ça me chauffe à mort. Alors t’arrête pas s’il te plaît, continue de la sentir devant moi... Je la porte depuis hier soir...
Première fois, c’est la première fois qu’une femme se livre à moi, le sexe à l’air avec ce filet de mouille pendant, faisant bouillir le sang de mon pénis, je n’ai plus qu’une envie, satisfaire cette femelle. Je la regarde droit dans les yeux, passe ma main sous la sienne pour accentuer la pression de sa culotte sur mon nez, puis inspire par le nez bruyamment tout en la fixant droit dans les yeux. Clara se mord les lèvres, son filet de mouille finit par se déposer sur la couverture du lit sur lequel elle est agenouillée, le spectacle est comme qui dirait... alléchant. Moi qui aime tant les senteurs naturelles, je m’enivre des siennes, dans l’attente de sa prochaine requête. Je tends le tissu, ne veux rien en louper, n’hésitant pas à promener mes narines plus ouvertes que jamais sur la zone en contact avec son anus durant tant d’heures.
Clara exulte, mais ne se caresse toujours pas, préférant s’asseoir, cuisses ouvertes dans ma direction, ce qui plaque son filet de mouille sur son entrée des artistes. Tout en soutenant nos regards, elle finit par écarter ses fesses, m’invitant au péché suivant. Je suis aux anges, ma partenaire est aussi perverse que moi. D’un air provocateur, à la limite de l’insolence, mademoiselle me fait part de sa seconde idée:
— Puisque tu aimes tant que ça la senteur d’un tissu qui a frotté mon petit trou, qu’est-ce que tu dirais de profiter pleinement de la source Greg’ ? Regarde-le, il t’attend à présent, approche-toi et hume-le aussi longtemps que tu le souhaiteras, je l’ai préparé spécialement pour toi parce que je veux que tu t’endormes avec la sensation d’avoir encore le nez dessus... En guise d’approbation, tu peux mettre ma lingerie souillée dans ta bouche...
Comment puis-je refuser une telle offre ? Non ! Comment un homme normalement constitué pourrait-il refuser une telle offre ? La tension sexuelle est si forte, alors qu’on ne fait que commencer...
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