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Une journée d'Océane à la plage naturiste

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Océane à la plageDe longs jets de sperme inonde mon vagin, la queue de mon fornicateur encore vaillante sort de ma chatte, je viens de jouir comme une folle. Ce vieux coquin m’a brossée pendant près de trente minutes et a su m’amener à un remarquable orgasme. La levrette accompagnée d’une solide fessée m’a anéantie. Le temps que je récupère mes esprits, Victor sort de ma chatte trempée dirige son gland sur mon œillet, je proteste et lui fais part de la peur d’être sodomisée, d’une petite voix implorante que je manie à la perfection.
— Non, par là, c’est impossible, je n’ai jamais essayé, et en plus ton sexe est beaucoup trop gros.
Les mots magiques, le flatter sur la taille de son sexe, et lui faire croire qu’il peut être le premier à posséder mon anus. L’homme à qui je viens de donner mon vagin est un mature que j’ai rencontré à la plage naturiste, bedonnant, légèrement velu, chauve, mais un sexe de taille intéressante, pas par sa longueur, mais surtout son diamètre. Je l’ai vu se gonfler lorsque je l’ai autorisé à mettre sa serviette près de moi pour me tenir compagnie. Je suis seule, mon mari est en déplacement. Ou du moins c’est ce que j’ai cru jusqu’à ce que je découvre qu’il était parti en séminaire en Allemagne pour une semaine avec la petite chipie de Samira comme secrétaire bénévole. Leur relation perdure, même si ce n’est plus au sein du foyer conjugal. Mon mari se fait du bien avec et cela me permet de butiner de gland en gland comme une abeille au printemps avec les fleurs naissantes.
Par conséquent, en ce jour de solitude, alors que je noircis un peu plus ma peau au soleil, cet homme prénommé Victor, entreprend de me draguer sans complexe malgré notre différence d’âge évidente. Il a dans la soixantaine, mais a de la tchatche pour un mature, nous échangeons nos prénoms, ensuite, il me propose d’aller nager ensemble. Comme un jeu, il se permet de me demander de dire « dis camion Océane » je m’exécute devinant la suite, il m’attrape les seins et me fait pouet en me tripotant allégrement la poitrine. Je lui donne une petite tape sur la joue et lui commande d’exprimer pareil, il s’exécute et lui attrapant le sexe, je fais l’équivalent. Son périscope se dresse immédiatement, il s’allonge peu, mais grossit comme un poisson clown. J’entame une lente masturbation de son manche pendant que lui continue de jouer avec mes seins.
Victor se crispe sur mes mamelles, exhale un râle, je sens sa queue vibrer, De petits nuages blancs font surface près de mon corps, agités par les vaguelettes de l’océan. Mon compagnon de serviette vient de polluer un peu plus l’océan avec une splendide éjac. Je colle son gland contre mon abricot pour sentir ses dernières giclées sur ma fente. Pour me remercier, il m’embrasse à pleine bouche, sa langue envahissant mon clapet. Pendant que son baiser fougueux me submerge, je sens le désir monter en moi. Victor lui vient de jouir donc me peloter sur le sable fin suffit. Je lui fais part que mon minou est affamé, percevant mon envie d’être prise, il me propose de venir dans sa villa à deux pas de la plage. Ainsi, nous marchons main dans la main comme un père promenant sa fille, et nous arrivons à sa magnifique maison.
Nous nous douchons ensemble, Victor aidant à me débarrasser du sable en insistant bien sur mes courbes, en prenant bien soin de doigter mon intimité pour voir si un grain de sable ne s’y soit pas glissé. Puis, il me fait m’agenouiller et me demande de lui sucer la queue, il se révèle être un dominant. Mais, je ne lui en veux pas et m’empare de sa queue ramollie entre mes lèvres, ma langue tournoyant autour de son gland. Comme un pneu de vélo que l’on gonfle à la pompe, sa tige se grossit rapidement. Je m’applique bien à ce qu’il ne jouisse pas, me réservant sa grosse bite pour mon minou. Victor devine mon envie et me fait relever, m’appuyer les deux mains sur le carrelage, les fesses bien en arrière, il promène son champignon entre mes lèvres ouvertes et s’enfile d’un seul coup en moi. Mon cri de surprise ne le ralentit pas, et c’est la chevauchée fantastique dans ma petite chatte.
Je jouis, lui enduisant le sexe d’un lubrifiant naturel, la chaleur de ma cyprine le fait gonfler encore plus, ma jouissance en est douloureuse. Mon ventre se contracte, ma chatte fait de même sur son chibre, lui assurant un grand bien-être. Je jouis encore deux fois avant d’être secouée par un violent orgasme, celui qui vous fait quitter la terre pour flotter dans les nuages en apesanteur. Le salop est doué, il me comble. Par conséquent, nous en revenons à sa tentative de s’octroyer ma pastille. Bien que j’adore la sodomie, je me refuse à lui pour cette pratique, je me dis que de le faire patienter va le stimuler au-delà du raisonnable. Victor me propose de commander un repas chez un traiteur qu’il connaît, et de dormir chez lui. Je minaude, lui faisant croire que mon mari pourrait rentrer plus tôt que prévu à la maison. Alors que je meurs d’envie de passer la nuit dans ses bras et surtout sur sa grosse queue. Après l’avoir laissé me supplier un bon moment, en soupirant, j’accepte.
Victor croit m’avoir convaincue, même si j’en avais très envie. Toujours laisser penser aux hommes qu’ils savent nous convaincre. Dix-neuf heures, j’ai enfilé mon mini maillot de bain, ma robe étant restée dans ma voiture, on frappe à la porte, Victor va ouvrir, il semble très ami avec le traiteur, embrassades, proposition de prendre le champagne. Un commis entre avec plusieurs plats qu’il va mettre à la cuisine, son chef lui dit de rentrer, que lui reste prendre un verre. Le bonhomme est avenant, gouailleur, un accent marseillais, râblé, tout en muscles, un visage rondouillard, mais de magnifiques yeux verts, surmontés de longs cils noirs. Sans me connaître, il me fait la bise, me disant que les amies de son copain sont aussi les siennes. Ses grosses mains sur mes épaules font penser à des battoirs, l’idée que s’il me met une fessée, je ne pourrais plus m’assoir avant longtemps.
Victor amène le champagne et trois coupes, il m’invite à poser mon popotin entre eux, je commence à soupçonner un piège. Après la seconde bouteille, le climat devient franchement paillard et l’ami de Victor, Pierre, me palpe franchement les seins pour voir s’ils sont gonflés à la même pression. Je suis un peu ivre, je laisse le type vérifier. Ses grosses mains englobent mes seins entièrement malgré le volume de ma poitrine. La main de Victor quant à elle se glisse entre mes cuisses, m’entrouvrant celles-ci. Pierre me voyant consentante me délace le haut de maillot et me met les seins à nu. Ses lèvres gourmandes me tètent comme un nourrisson. Je m’abandonne à eux, mon bas se retrouve vite sur mes chevilles et un gros doigt s’infiltre sous le capuchon pour en dégager mon clito bien érigé. Leurs bouches se succèdent sur la mienne, leur salive se mélange à la mienne, chacun me fouille la bouche comme pour savourer l’agilité de ma langue.
Je mouille et Victor dit à son ami que je suis trempée. L’ami met un doigt dans ma chatte pour en constater la véracité. Ainsi, je me retrouve avec deux doigts qui explorent ma minette.
— On doit être bien là-dedans, dit Pierre à Victor.
Celui-ci confirme que c’est le top de la moule, et que je ne rechigne pas à me la faire enfiler et remplir. Victor sort sa queue de son peignoir et m’ordonne de la sucer, je me retrouve à genoux sur le tapis en train de me nourrir du gros sexe de mon maître. Pierre en profite pour passer derrière moi, libérer son sexe de son pantalon, et me l’introduire sans me demander la permission, un long sexe fin et recourbé dans le tréfonds de mon vagin. Hummm quel bonheur de se sentir ainsi remplie, comme leurs caresses m’ont bien excitée, il n’a aucun mal à s’insérer en moi. Il me prend par les hanches et me bourre la chatte à un rythme échevelé, à chaque coup de rein, je m’enfonce la queue de Victor au fond de la gorge. Les deux hommes échangent des propos salaces sur moi entre deux grognements de plaisir. Au lieu de me gêner, cela me stimule, je tortille mon cul pour accentuer la possession de Pierre et garde la queue de Victor le plus longtemps possible enfoncée dans mon gosier.
Je ne regrette pas ma journée morose à la plage qui s’est transformée en partie de jambes en l’air débridées. Les deux queues, en synchronisation, explosent dans ma bouche et dans ma chatte. Je peine à avaler tout le sperme qui jaillit par fortes giclées dans ma gorge. Pour ma chatte, il n’y a aucun problème, elle absorbe sans peine tout le jus expulsé par Pierre. Quand il retire son pénis, je sens son sperme et ma mouille couler le long de mes cuisses. Je reste prostrée un instant, la queue de Victor entre mes lèvres, elle se ramollit lentement, avec quelques soubresauts pour finir de se vider. Pierre rigole, me donne une bonne tape sur les fesses en me disant.
— Tu es vraiment bonne salope, tu es mon meilleur coup de l’année.
Ainsi, je m’assois sur le tapis jambes ouvertes, les laissant mater le jus qui s’écoule de ma chatte sur le tapis.Victor en regardant ma chatte pleurer du sperme dit à son ami.
— Putain, tu avais les couilles pleines, qu’est-ce que tu lui as mis mon salop. Je te suggère d’aller te laver, ma chérie, car la nuit n’est pas terminée.
Effectivement, la suite lui a donné raison.
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