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Une journée particulière

Chapitre 1

Le représentant de commerce

Avec plusieurs hommes
D’un revers de main, elle s’essuya la bouche et regarda, émue, l’homme qui venait de s’effondrer, épuisé, en face d’elle...Elle l’avait rencontré dans l’après-midi, alors qu’assise à la terrasse d’un café, elle sirotait son cocktail préféré, un pink bloody dont les glaçons lui brûlaient les lèvres. Sans plus de formalité, il lui avait adressé la parole en prétextant qu’il n’était pas du coin et qu’il aurait aimé qu’on lui dise ce qu’il y avait à visiter dans le quartier.
L’homme était charmant, il l’aurait été moins qu’elle n’en aurait même pas fait cas, elle se foutait royalement de son charme.Mais puisqu’il était séduisant, elle ferait avec, et ce serait le côté bonus qui ferait que la suite serait encore plus appréciée. Sans plus de formalités, il avait pris son café avec lui et s’était installé à sa table.
Son sourire dévoilait de belles dents blanches de carnassier et le léger bronzage faisait ressortir ce qu’elle avait déjà classé comme une arme redoutable. Sans même s’en rendre compte, en une fraction de seconde, des images lui revinrent en mémoire ; quelques mois plus tôt, elle avait rencontré un homme qui avait réussi à lui déclencher un orgasme juste en lui mordillant ses tétons.
La voix suave de son invité d’office la ramena à la réalité du moment.Nous étions en septembre, les grosses chaleurs étaient passées, mais le soleil cognait encore très fort, la robe qu’Yves, son compagnon, lui avait offerte, lui collait à la peau. C’était une petite robe légère, fleurie et elle aimait particulièrement la porter, car il lui semblait qu’elle mettait en valeur ses formes agréables comme elle devait le faire. Laissant le côté subjectif à l’appréciation des regards masculins et ne dévoilant que ce qui peut être visible sans que la morale des autres consommateurs ne soit heurtée. Par contre, ses seins ne supportaient pas d’être enfermés dans un soutien-gorge par cette belle chaleur de fin d’après-midi, et Stéphanie n’en portait pas pour se sentir plus libre.
Elle avait goûté aux plages naturistes, et depuis, son attitude avait changé pour laisser son corps plus apte à apprécier les sensations sur elle du vent, des rayons de soleil et même parfois de la pluie. Depuis, elle considérait les vêtements comme des barrières à toutes ses sensations sensuelles.
Parfois, Yves lui demandait de ne pas mettre de culotte sous sa robe et, main dans la main, ils aimaient se promener en ville, lui espérant un petit coup de vent, et elle secrètement désireuse que le souhait de son amour soit exaucé.
— ... Et c’est comme ça que je me suis retrouvé ici ! Je me nomme Vincent, l’homme avait fini sa phrase et elle n’avait pas totalement écouté sa présentation. Qu’importe, elle savait qu’il ferait l’affaire et n’attendait pas grand-chose de lui.
Son prénom était largement suffisant ; Vincent.
— Enchantée Vincent.
Puis la conversation avait suivi son cours sur des sujets sans grande importance. Les échanges de regards et de sourires se faisaient tout de même plus complices au fil des mots échangés, et Vincent qui avait l’habitude d’interpréter les signes subtils des femmes se sentit assez à l’aise pour avancer son pied sous la table. Il avait heurté celui de Stéphanie sans ressentir la moindre résistance, le moindre mouvement de recul et, au contraire, il avait même cru que le pied adverse avait cherché le contact en même temps. Alors en prédateur confirmé, son pied était monté le long des cuisses de Stéphanie, et là, il avait bien senti qu’elles s’étaient ouvertes à sa manœuvre. C’est au moment où il allait être plus direct, encore que la surprise éclata.
— Ha tu as fait une connaissance ?
Yves venait d’arriver et prenant une chaise de la table voisine, il s’installait tranquillement à côté de sa Stéphanie.
— Vous êtes ? — Vincent, je suis de passage dans la ville, je suis représentant.— Ha bon... Et en quoi si ce n’est pas indiscret ? — Ho pas du tout, en lingerie fine, je démarche les boutiques de vêtements de luxe.— Très beau métier dites-moi, vous avez montré quelques articles à Stéphanie ? — Ho non je ne me serais pas permis.— Vous avez tort, elle porte la lingerie à merveille.
Relevant le défi que semblait lui lancer Yves, Vincent se tourna vers Stéphanie et lui lança : « Vraiment ? »Seul l’œil averti d’Yves perçut le léger rouge qui monta aux joues de Stephanie.
— Oui c’est ce que me dit mon amour, dit-elle en regardant Yves dans les yeux.
Il y eut à ce moment-là comme si le temps basculait... Dans un film, le réalisateur aurait, sans aucun doute utilisé le ralenti pour signifier aux spectateurs qu’une nouvelle dimension était en train de se tisser. Le représentant fit le grand saut dans le vide et, comme on dit souvent, il fallait que ça passe ou ça casse. En tout cas, il se lança avec aplomb et courage.
— Mon hôtel est à deux pas, est-ce que ça vous dirait de venir essayer quelques pièces ? — Avec plaisir, je vais adorer regarder ça !
Yves avait répondu avant même que Stéphanie ouvre la bouche. Il savait qu’elle le suivrait au bout du monde s’il lui demandait alors deux pas ce n’était qu’une formalité ! Quand Yves avait répondu à sa place, Stéphanie avait ressenti comme des fourmillements dans son ventre, elle connaissait bien trop Yves pour ne pas se douter comment tout cela allait finir.
Quelques minutes après, les trois se retrouvaient ensemble dans une chambre très confortable d’un hôtel Sofitel. Vincent avait sorti une énorme valise qu’il avait déposée sur une chaise, et l’avait ouverte pour dévoiler ses trésors finement cousus. Yves avait envoyé Stéphanie se déshabiller dans la salle de bain avec une petite nuisette qu’il avait choisie parmi toutes ses petites merveilles qui ne demandaient qu’à vivre sur le corps de sa chérie.
Quelques minutes après, faisant fi du stress qui la gagnait, Stéphanie sortait en petite tenue.La transparence du tissu laissait deviner à Vincent ce qu’Yves connaissait déjà. Le corps de Stéphanie était souple, beau et désirable, il était surtout mis en valeur par ce petit morceau de tissus de qualité qui soulignait ses hanches parfaites, son ventre plat et ses seins qui pointaient déjà au travers du tissu. Les deux hommes étaient aux anges et appréciaient le spectacle en silence.
Encore une fois, le réalisateur aurait fait l’usage du ralenti.Yves s’approcha de Stéphanie et fit glisser la nuisette à terre pour dévoiler sa belle, nue comme une statue antique. Sans même s’en rendre compte, Vincent porta sa main entre ses jambes pour replacer son sexe qui prenait de l’ampleur. Yves le fit s’asseoir sur le lit et approcha sa belle de lui, il la fit se mettre à genoux entre les cuisses du représentant et demanda à celui-ci de se dégrafer le pantalon et de descendre son slip. Le slip était de belle qualité aussi, mais ni Yves ni Stéphanie ne parurent s’en apercevoir.
Déjà aux ordres de son chéri, Stéphanie avait pris le membre du représentant en main et ses mouvements de bas en haut avaient achevé de le durcir comme elle aimait. La main sur son crâne, Yves invita la belle à commencer à sucer la tige qu’elle tenait en main. Alors avec douceur, calmement et avec une adresse qui laissait penser qu’elle aimait faire ça, Stéphanie commença à pomper l’invité. Yves savait à son rythme qu’elle prenait son temps, qu’elle savourait ce moment, elle savait elle de son côté que ça l’excitait de la voir sucer un inconnu.
Sa bouche enveloppait le membre, laissant entendre des bruits de succion, et ses mouvements de va-et-vient se faisaient dans un tempo qui, visiblement, satisfaisait le voyageur de commerce. En quelques instants, la respiration de l’homme se fit plus saccadée, il ne put s’empêcher de mettre ses deux mains sur le crâne de la suceuse qui savourait son engin. Il partit, comme bien d’autres, dans un râle de satisfaction. Avant d’avaler la semence qui lui remplissait la bouche, Stéphanie montra à Yves le trophée qu’elle avait réussi à tirer de l’homme.
Il lui avait envoyé plusieurs jets de liqueur blanche et sirupeuse et maintenant bien au fond de sa gorge, elle savourait le nectar.Yves adorait la voir faire ça, il bandait comme un fou et savait, qu’une fois rentrés chez eux, il allait,à son tour, décharger son sperme dans le ventre de sa belle. Les images qu’elle lui offrait de temps en temps alimentaient les fantasmes dont il avait besoin. Il avait appris par hasard sur un site d’échangisme qu’il était candauliste, un terme qu’il ne connaissait même pas.
Il aimait partager sa Stéphanie.En fins stratèges, notre couple avait mis en place le piège de la terrasse de café pour recruter leurs complices sans qu’ils ne sachent. Entre eux deux, ils appelaient ça « Aller à la pêche au large ».
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