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Une journée particulière

Chapitre 2

Une petite sortie en voiture

Avec plusieurs hommes
Notre aventure de cet après-midi l’a excité.
Une dernière fois, je sens le coup de reins d’Yves et, avec lui, son abandon total. Son sexe semble grossir et réduire en cadence alors que ses jets de sperme arrivent par saccades pour inonder mon ventre. Il m’a mise en levrette pour cette « mise à mort » et l’estocade arrive après une demi-heure de combat sans répit. J’aime sa queue, je sais qu’il regrette qu’elle ne soit pas plus grosse, mais elle me va bien. C’est comme si elle avait été faite pour moi, pour ma chatte, pour ma bouche, pour mon cul qu’il ne prend jamais.Yves n’apprécie pas plus que ça la sodomie, une de ses anciennes maîtresses l’en a un peu dégoûté.
La dernière fois qu’il avait pratiqué avec elle, juste avant de se séparer, il avait vu au bout de son gland une trace marron qui lui avait soulevé le cœur et fait mollir le sexe. Pour lui, cette trace avait été un signe évident qu’il n’avait plus rien à faire avec cette femme, avec elle, c’était une histoire de merde dès le départ, de toute façon.Certains voyants voient des signes dans leur boule de cristal, lui en avait vu un sur le bout de son gland. La vie réserve bien des surprises.
Ceci dit, je sais qu’il n’a pas officiellement renoncé à cette pratique, mais pour l’instant, il s’en passe très bien.
Ce dont il ne peut pas trop se passer, le coquin, ce sont ses fantasmes à plusieurs protagonistes. Je ne sais pas d’où tout cela lui vient, mais mon chéri a une imagination folle à ce sujet. Parfois j’ai peur que ce soit au détriment de notre couple, mais ce qui me rassure, c’est que je suis toujours le point central de ses délires érotiques. Alors je lui passe ce petit défaut, comme d’autres, quand il ne range pas ses chaussettes sales dans le panier à linge ou lorsqu’il met de l’eau partout en sortant de la douche.Et puis à côté de ça, il est tellement attendrissant avec sa maladresse et ses mots d’amour.
Je l’aime quoi !
Bon cette fois-ci je n’ai pas joui, ce n’est pas à chaque fois et il m’a fallu quelque temps pour lui faire comprendre que ce ne doit pas être systématiquement le but recherché. A ses débuts, il en faisait son but ultime, puis il a compris que les caresses, les baisers et les regards se partagent tout autant qu’un orgasme. Alors il y a des jours où ça me monte au ventre comme un tsunami et d’autres fois c’est comme de belles ondulations et des vagues de plaisir. Je savoure l’un et l’autre. Je savoure sans attendre l’un ou l’autre. Je me laisse voguer à ses sensations qui m’amènent où elles veulent bien m’amener, je ne sais pas qui a dit que dans un voyage ce n’est pas la destination qui compte, mais le chemin parcouru.

Je viens de parcourir une demi-heure de chemin dans l’excitation et le lâcher-prise, moi ça me va !
Il est allongé sur le ventre et sa main vient me pétrir le cul comme si c’était de la pâte à pain.
J’adore ! Putain j’aimerai qu’il soit un poulpe ! Quatre fois plus de sensations !
Sa main me pelote la fesse fermement et ça me fait du bien à mon nerf sciatique, il le sait.

De temps en temps, un doigt vient titiller mon petit œillet et il lui arrive d’aller un peu plus profond en moi. Oui je crois vraiment qu’il n’a pas renoncé à me sodomiser un de ces jours.
— On va faire un petit tour, tout à l’heure, me lance-t-il.
Alors là c’est tout lui et me voici sur ma défensive, je le connais, Monsieur adore préparer des plans sans me tenir informée et il m’annonce ça tranquillement comme si de rien n’était.
— C’est-à-dire !? — En voiture, avec un bandeau sur tes yeux ! Me dit-il avec l’air d’un enfant qui a été pris la main dans le sac.— C’est quoi ce plan encore ?— Un petit plan dogging .— Maintenant ? Je suis en panique.— Non ne t’inquiète pas, dans 10 minutes. Il me dit ça tranquillement !

Le ciel me tombe sur ta tête, comme d’habitude je n’ai rien vu venir, et Monsieur a programmé ça sur le Net méticuleusement.
Par contre il y a une chose dont je lui suis très reconnaissante ; je sais qu’il a déjà eu rendez-vous avec la, ou les, personnes concernées. Je sais qu’il a testé la docilité et le respect du complice et que l’homme n’ira pas plus loin que ce qu’Yves lui demande.

Oui, mais moi ?!
Et bien comme toujours, le moment de stress passé, je vais vivre cette aventure pour l’exciter.
Ce qui me dérange le plus, c’est après, quand il me demande ce que j’en ai pensé, c’est délicat et ça heurte ma pudeur de lui répondre que j’ai aimé. Je me souviens la première fois que je me suis retrouvée avec une femme, il a voulu savoir mon ressenti. Je lui ai dit que ça n’était pas désagréable. Il doit penser de moi que je suis la reine des fellations et des euphémismes. Oui j’avais bien aimé cette expérience et je n’avais pas été passive avec ma partenaire. Huumm j’ai des papillons dans le ventre d’y repenser.

Donc ce sera une sortie en voiture dans un coin tranquille avec un ou deux voyeurs.
J’enfile une robe légère, pas de soutif comme d’hab et une petite culotte quand même, sans croire une seconde qu’elle restera à sa place jusqu’au retour.
Il me regarde :« Tu mets une culotte ? »
— Oui.— OK comme tu veux.
Il passe sa main sur mon cul, il me dit que ça lui appartient, qu’il en a le droit et que je suis SA petite salope. Je mouille déjà, j’aime me sentir à lui, un peu soumise et prête à l’exciter quoiqu’il me demande. Il m’attire à lui et m’embrasse à pleine bouche, sa langue me prend comme son sexe me prend, en prenant sa place naturellement dans ma bouche. Nos deux langues s’entremêlent et partagent salive et trajectoires. Dès le premier jour, j’ai senti que nos bouches s’entendaient bien et nos baisers étaient naturels et tellement excitants qu’ils sont marqués dans ma mémoire.

Je monte dans la voiture, j’ai pris soin de prendre le bandeau qui me masquera les yeux tout à l’heure. On est partis, direction un inconnu qui doit se demander si nous allons vraiment arriver. Sur les sites de rencontres dédiés, il doit y avoir plein de lapins qui se donnent, les faux profils sont légion et rien n’est certain avant que le rendez-vous ne soit vraiment honoré. Pour nous il le sera et j’aurais droit à ce qu’Yves a envisagé de faire. Je n’essaie même pas de retenir la route que nous prenons, peu m’importe. Bientôt il me dit que nous allons arriver et que je dois mettre mon bandeau sur les yeux. Ce bandeau a deux utilités, il me permet de masquer mes yeux et ma pudeur, et me facilite les premiers instants. Parfois je l’enlève, d’autres fois non, il y a des partenaires de jeux que je n’ai jamais vus.
Eric, par exemple, il nous prêtait son terrain à Canet et était, par ce fait, notre premier voyeur. Je me suis fait palper, caresser, peloter, branler par cet homme sans jamais savoir qui il était. Il m’a même dévorée et sa langue a fouillé ma chatte en profondeur.
A ce jour, il est toujours un illustre inconnu pour moi, je le croiserai dans la rue que je ne le saurai pas.
Voyons si ce sera la même chose pour celui qui m’attend, je préfère ne rien m’imaginer et vivre l’instant T. Après quelques secousses et deux, trois virages, la voiture s’arrête dans ce que je pense être un terrain privé. Le frein à main donne le top départ et Yves me demande de baisser ma vitre. J’obtempère. Je place mon siège dans une position plus allongée et je prie pour que je n’aie pas à attendre longtemps dans ce stress.Je n’attends pas, une main passe par l’ouverture de la fenêtre et commence à me toucher.
Les seins en premier, c’est souvent le cas, les hommes sont attirés par notre poitrine d’entrée de jeu, il doit leur rester au plus profond de leur mémoire de bébé le souvenir de ce moment où ils allaient être soulagés de leur faim. Celui-ci s’attarde et me palpe les nichons l’un après l’autre, sa main est précise et délicate, il s’y prend bien et je commence à avoir la chatte qui mouille. C’est très bien, car notre inconnu descend déjà dans sa direction et évitant l’écueil de la robe, il se glisse dans ma culotte. Il sait maintenant, pour le vérifier en live, que je mouille et il commence à me caresser le clitoris en profitant du lubrifiant naturel.
Mes cuisses s’écartent naturellement et un doigt glisse en moi. Je me cambre un peu, ma langue passe sur mes lèvres, je ne peux m’en empêcher, c’est le signe qui signifie que je commence à bien lâcher prise. Je suis décidée à me laisser doigter et à profiter de son savoir-faire. Yves me demande d’ouvrir ma robe et de quitter ma petite culotte, je le fais. Il laisse le voyeur profiter de mon corps et s’amuser avec, il le parcourt de ses mains, à son gré de haut en bas.
— Sors ta queue elle va te sucer ! »
Yves a parlé. C’est ce que l’homme fait, c’est ce que je fais.La portière est maintenant ouverte et je suis en train de lui pomper la tige, il bande dur et il va profond dans ma gorge. J’aime le sucer, j’aime sa façon de s’introduire entre mes lèvres et ses va-et-vient qui me baisent la bouche. J’aime le volume que prend son sexe, j’aime la place qu’il occupe dans ma bouche.
— J’adore te voir sucer un autre que moi, mais je voudrais que tu te mettes en position 90 degrés, j’ai envie de le voir te baiser.
La voix est imperceptible et Yves vient de me la susurrer dans l’oreille, son désir est un ordre et j’arrête la fellation pour me mettre en position.
— Vas-y, tu as la permission ! dit-il à notre complice.

Il y a des ordres dont on ne peut pas se soustraire et le pauvre homme est obligé d’obéir. Non je rigole, bien entendu qu’il le souhaite, de tout son cœur, de toute sa bite. Je la sens bientôt s’introduire en moi et pousser au plus profond de mon corps. Il prend possession des lieux, pas besoin de constat, ils lui conviennent parfaitement. Ses coups de boutoir commencent, ses mains sur mes hanches bien ancrées dans ma chair lui permettent une excellente prise, il me baise maintenant avec des mouvements réguliers qui m’arrachent des « Ha ! » à chacun de ses coups, sa bite glisse profondément en moi et je sens sa longueur frotter sur mon clitoris, j’ai le ventre en feu, ce mec me baise comme une chienne et Yves doit être excité comme un fou. Je pars avec de petits cris en lançant un « Putain c’est bon ! », le mec se lâche à son tour et comme tout à l’heure avec Yves je sens que sa queue gonfle et dégonfle dans mon ventre pendant ses éjaculations successives.
Moi j’ai l’impression que ma chatte suit sa queue dans ses différentes formes, que c’est bon !

N’en jetez plus la cour est pleine, dit-on... Dans le cas présent c’est le préservatif qui l’est. Je n’ai jamais vu un tel volume de sperme, ce mec n’a pas baisé de deux mois sans doute ! Tranquillement Yves récupère le condom et me demande d’ouvrir la bouche.
Ce soir je me passerai de dessert.
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