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Une journée particulière

Chapitre 3

A la pêche

Avec plusieurs hommes
Deux semaines passèrent tranquillement pendant lesquelles le couple, alimenté par l’expérience du représentant de lingerie, fit l’amour à plusieurs reprises. L’envie pouvait venir à tout moment et c’était justement cette incertitude de l’instant précis où la banalité du quotidien basculait dans une baise effrénée qui était excitante à vivre. Yves prenait Stéphanie avec fougue ou paisiblement, il variait les plaisirs et aimait changer les histoires qu’il lui murmurait dans le creux de l’oreille alors que leurs deux corps fusionnaient.
Un soir il lui avait raconté une histoire abracadabrante où la belle se trouvant attachée à un lit avait dû subir les assauts de deux hommes.Nue, les bras et les pieds liés la maintenant en croix à la merci des deux étalons, elle n’avait qu’à attendre que ces messieurs se décident à faire ce qu’ils avaient envie. Le plus petit des deux bizarrement plus entreprenant avait, semble-t-il, pris la direction des opérations.
Il avait demandé à son complice de commencer à dévorer la chatte de la belle prisonnière, pendant que lui avait entrepris de visiter sa bouche.Yves filmait la scène, appliqué à faire des plans sympathiques qu’il pourrait monter par la suite dans un film porno où sa chérie tenait le premier rôle.Justement c’était le cas !Le plus petit des deux avait quitté la bouche de Stéphanie, car il comptait bien maintenant lui prendre son ventre. Sa queue de dimension honorable était tendue comme un arc et en voyant comme son ami bandait le plus grand lui donna sa place de lui-même. Il y a bizarrement, même chez les baiseurs, une hiérarchie qui s’instaurait d’office et d’instinct, dans ce duo, le plus grand avait jugé que son complice était un mâle dominant. La place que son pote lui laissait était de toute façon une place de choix et quand il glissa sa queue entre les lèvres de Stéphanie, il sut, à la seconde, qu’il éjaculerait ici.
L’autre avait commencé à pilonner la belle et ses coups de reins lui arrachaient quelques petits cris fort sympathiques. Ce fut comme un feu d’artifice, la belle éclata dans un bel orgasme et Yves vit son ventre se contracter à plusieurs reprises, ses doigts qui la caressaient pendant qu’il lui racontait la scène étaient trempés.

Il adorait vraiment ces moments-là où ils étaient deux au lit et où il lui inventait des scènes érotiques. Elle était toujours au centre de l’histoire et ce n’était qu’à cette condition que lui même pouvait prendre son pied. La masturbation réciproque était aussi un de leurs délires coquins.Madame était aussi très douée de ses mains et Yves avait souvent des jouissances mémorables grâce aux branlettes de Stéphanie.
Ce week-end-là, l’expression « Aller à la pêche au large » avait donné une idée à Yves et il avait organisé une surprise à sa chérie. Comme ils habitaient pas trop loin de la côte méditerranéenne, il avait téléphoné à un pêcheur qui organisait des sorties en mer avec possibilité de pêcher du bateau. Le pêcheur organisateur avait été rassurant et persuasif. C’était assez insolite pour plaire à Stéphanie et c’était assez sécurisé pour qu’Yves ose tenter l’aventure. Le départ était fixé à 8 h du matin et le circuit passé sur le bateau devait se terminer à midi, avec la possibilité de repartir avec les fruits de sa pêche.Bon, Yves ne se faisait pas d’idée, il n’avait jamais attrapé un poisson de sa vie bien que, comme il se plaisait à dire, il avait quand même quelques thons à son actif. Il aimait faire de bons mots, mais son humour ne faisait pas toujours dans la dentelle et il ne dépassait pas souvent la hauteur de la ceinture.

Nos deux amoureux arrivèrent au port une demi-heure avant l’heure, ce qui leur permit de prendre un café, croissant, en terrasse face au bleu de la mer. Petits moments plaisants et pleins de charme comme ils aimaient les vivre tous les deux. Leurs regards qui se croisaient, leurs mains qui s’effleuraient et leurs pensées qui se rejoignaient suffisaient toujours à les faire se sentir en osmose.8h pétante, ils montaient sur le bateau et ils faisaient la connaissance du propriétaire et de son fils, ils travaillaient en famille. Le père avait une soixantaine d’années, un homme bâti à la « Kersauson » et son fils la trentaine, beau garçon, avec une fausse allure de « Robert Downey » ils arboraient tous les deux un large sourire aux lèvres et ils respiraient la convivialité. Ils se présentèrent avec une cordialité non simulée et d’entrée le couple se sentit happé par leur sympathie.

Notre aventure commençait !
Quelques minutes après, nous quittions le port pour naviguer à quelques miles de la côte. Stéphanie et moi étions à savourer ce moment délicieux où les embruns venaient nous fouetter le visage. Le tee-shirt blanc qu’elle portait commençait à éponger les projections marines et collait déjà à ses seins. Je savourai autant ce spectacle que celui de notre mer calme et tranquille.
— Nous allons jeter l’ancre, pour pêcher tranquillement à la ligne, si vous le permettez !
Le fils nous avait lancé cette phrase comme s’il avait lancé un filet à la mer, on ressentait son habitude.
— OK pas de problème nous ça nous va !
Oui tout nous allait très bien, mais j’avais déjà de petites idées coquines qui venaient trotter dans la tête. A Stéphanie je murmurais : « Comment tu les trouves ? »
— Sympas !— Oui, mais pas plus ? Ils sont charmants non ?— Oui ils le sont !
Sa réponse avait sonné en moi comme un accord, elle savait, elle ressentait, ce que je pensais et je savais que nous étions sur la même longueur d’onde.
— Nous pouvons visiter l’intérieur du navire, messieurs ? — Oui, pas de problème, faites comme chez vous.
Une proposition que nous allions prendre au pied de la lettre, oui nous allions faire comme chez nous. Une fois descendu dans le ventre du bateau j’expédiai ma chérie sur un matelas que formait un filet de pêche et je commençais à déshabiller ma belle, dans la foulée je quittais mes vêtements et nous nous retrouvâmes corps contre corps à commencer à nous caresser. J’ai toujours pensé que les pêcheurs comme les chasseurs ont un instinct que l’homme lambda ne possède pas, celui de nos hôtes n’a pas tardé à les conduire sur nos traces.
Bientôt le père et le fils, le sourire aux lèvres comme à notre arrivée, regardaient nos ébats d’un air coquin. Quand je vous dis qu’ils ont un 6e sens ! Quelques secondes encore et ils venaient nous rejoindre.Le père prit un cordage et avec notre permission entreprit d’attacher Stéphanie pour l’immobiliser. Un bondage fait par un artisan qui sait maîtriser les différents nœuds est comme une œuvre d’art. Etaient-ils adeptes de shibari, cet art japonais proche du bondage ?
La position de la belle passagère la rendait accessible et ses orifices étaient atteignables, quelle que soit la trajectoire des cordes qui la tenaient fermement. En père responsable et bienveillant, notre capitaine invita son fils à commencer les hostilités.
En bon fils respectueux, il lui obéit.Je vis sa queue s’enfoncer dans la chatte de ma chérie sans autre préliminaire qu’une main pour juger la hauteur du trésor à investir. Il avait commencé ses va-et-vient quand son père décida de s’impliquer, le monsieur avait son idée, il avait aussi de la souplesse.
Avec un peu plus de délicatesse que son fils, il entreprit de se présenter au petit trou de Stéphanie. Il y glissa sa queue doucement et la belle n’eut qu’un faible gémissement.Je pense que nos deux coquins n’en étaient pas à leur coup d’essai et leurs mouvements synchronisés comme un ballet du Bolchoï m’ont convaincu de suite qu’ils avaient l’habitude de travailler ensemble. La double pénétration, c’est un fantasme que Stéphanie avait abordé rapidement avec moi et je savais qu’elle n’était pas contre. Je constatais sous mes yeux qu’elle était même vraiment partante.
Ses ondulations participaient à merveille à cette danse particulière que père et fils lui proposaient.
La pêche doit être une profession qui demande beaucoup physiquement, car les corps musclés des deux hommes semblaient infatigables.J’ai regardé, pendant deux heures pleines, ma belle se faire limer par les deux coquins qui changeaient parfois de place pour goûter à d’autres plaisirs. Stéphanie était labourée comme un champ au printemps, méthodiquement, avec précision et consciencieusement, en véritables professionnels responsables, père et fils se consacraient au plaisir de la belle. Leur complicité était évidente et ma chérie ligotée recevait leur hommage avec des gémissements qui en disaient long. Sans pouvoir bouger, objet de leurs assauts appliqués, et fougueux elle se lâcha d’un seul coup dans un cri étouffé, mais évocateur, il ne leur en fallut pas plus pour qu’ils déchargent à leur tour tout ce qu’ils avaient pu contenir jusqu’alors.
Père et fils éjaculèrent ensemble.Comme s’ils l’avaient prévu entre eux, ils prirent soin de se retirer de leur orifice respectif avant d’exploser. Le père gicla sur le visage de Steph et le fils se répandit sur son ventre, jusqu’aux seins tellement les jets étaient puissants. Les stries de sperme formaient des figures géométriques sur la peau encore bronzée de ma chérie, elle était marquée aux armes des pêcheurs, mais fière de les avoir soulagés. Le calme d’après la tempête s’instaura, d’un coup, entre nous quatre, comme si tout s’était immobilisé aux environs.

Je me donnais alors pour mission de ramener toute la semence des deux hommes dans la bouche de ma belle, je voulais la voir avaler le cadeau liquide de nos marins coquins. Franchement, ce n’était pas la mer à boire !Elle le fit avec toute l’application dont elle fait preuve dans ces moments-là.De retour au port, nous étions bredouilles... Pas la queue d’un poisson !... Mais celles de nos pêcheurs avaient été bien épongées.
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