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Une jumelle fascinante

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Bien qu’elle soit au milieu du groupe, elle en semble exclue. D’elle-même. C’est étrange, car elle est magnifique, une grande brune, mince, à la féminité débordante, la classe indéniable de la grande bourgeoisie lyonnaise. Elle présente son profil au reste du groupe tandis qu’elle passe la soirée rivée à son téléphone à pianoter frénétiquement. Pas une fois elle ne relève la tête. Elle semble invisible au reste du groupe qui paraît suspendu aux lèvres de sa sœur jumelle. Autant la première est en retrait, autant la seconde est pleine d’une énergie débordante qui semble emmener tout le monde. C’est une sensation étrange tant les deux femmes, 23 ou 24 ans environ, semblent cultiver une apparence identique, avec les mêmes vêtements, mêmes cheveux, mêmes grandes lunettes de myope, mais aussi mêmes attitudes sensuelles. Pourtant elles n’ont rien à voir l’une avec l’autre, et je subodore que la première a été entraînée par sa sœur ici.
Je ne suis de passage que pour une soirée, pour régler la vente d’un appartement que j’ai reçu en héritage. J’avais envie de voir un peu l’animation de Lyon que je connais mal, mais je ne suis que fasciné et subjugué par cette jeune femme absente, comme invisible. Je voudrais l’aborder, mais je suis certain d’un refus. Ce qui ne serait pas grave, mais cette jeune femme, je voudrais la connaître. Je lui fais parvenir un court mot sur mon rond de verre, avec mon numéro de téléphone, en lui disant que j’aimerais pianoter avec elle. Surprise, elle me cherche du regard ! J’aurais déjà réussi à lui faire lever la tête, voir ses yeux clairs derrière ses grands carreaux, et imaginer une poitrine prometteuse. Je la désire déjà! Elle replonge sur son téléphone, le mien vibre presque instantanément.
[Whatsapp]
— Merci pour votre mot, mais pourquoi échanger avec moi ?— Cela fait une heure que je suis ici, et je ne regarde que vous. J’aimerais susciter cette passion que vous mettez dans vos échanges et qui vous absorbent toute entière.— Oh ! Croyez-vous être capable de susciter une telle envie ?— J’aime les mots, l’asynchronisme de ces messageries qui permettent de se dévoiler sans peur. J’ai toujours été frustré comme peu de mes interlocutrices passées y prenaient goût. Même en vie commune, j’imagine pouvoir échanger des centaines de messages chaque jour, pour partager toutes mes émotions, pour ne rien perdre de l’être qui m’est cher. Et à vous regarder, peut-être est-ce aussi votre goût.— J’aime les mots c’est vrai. J’aime les échanges aussi, comme vous dites. Mais je suis seule et n’échange donc pas avec l’être aimé.— Mais vous avez l’espoir qu’un de ceux avec qui vous échangez le devienne ?— Ces dialogues sont vains le plus souvent, les mots masquent mal une envie basique de tous les hommes, c’est lassant.— Mais vous ne perdez pas espoir, ou alors vous voulez démontrer que c’est impossible et qu’aucun homme ne vous mérite ?— Rires, je n’ai pas cette prétention, non. Cela m’amuse de jouer au chat et à la souris, et puis cela me permet de cerner mes envies.— Aimeriez-vous me les exprimer ? Je ne suis qu’un inconnu de passage qui n’oubliera jamais votre aura !— Mon aura ?— Vous et votre sœur, vous avez chacune une aura incroyable, celle de votre sœur est évidente pour tous, la vôtre me l’est tout autant. Faite de féminité, vulnérabilité, sensibilité, empathie, vous êtes pleine d’émotion, tout en vous émet la sensualité et l’abandon.— Vous en savez des choses !— Je vous sens sarcastique, c’est ce que je ressens. Si je me suis trompé, c’est que je n’ai rien compris à l’émotion que vous me provoquez, et vous devriez cesser cette discussion avec cet inconnu arrogant et stupide ?
A cet instant, elle dit un mot à sa sœur qui me regarde et lui sourit. Ma belle brune se lève et vient s’asseoir à ma table ! Sans un mot, elle reprend son téléphone. La situation est cocasse, mais je joue le jeu.
[Whatsapp]
— Vous ne vous trompez pas. Comment le savez-vous ?— Une heure que je vous regarde, que je plonge en vous. Après j’écoute simplement les émotions qui me viennent.— Et c’est quoi ces émotions ?— Vous prendre, vous emmener, vous guider, vous diriger, vous protéger.— Vous êtes sérieux ?!?— Rarement, mais là oui.— Je ne sais pas quoi vous dire.— Fermez les yeux, et dites-moi quelle image vous avez là tout de suite.— Sans filtre ? (elle ferme les yeux, hésite) j’ai envie que vous me preniez sauvagement.
Je reçois le message comme un coup de poing, comment est-ce possible. Nos regards se croisent, ne se quittent plus. Je pose un billet sur la table, j’espère que ce n’est pas mon billet de 200 euros que j’ai posé, et l’entraîne dehors. Elle a juste le temps d’attraper son sac, de faire un sourire à sa sœur et nous sommes dans la rue. Dès que nous sommes loin des regards, je la colle contre le mur d’un immeuble, je maintiens ses bras levés au-dessus de la tête avec force, tout en l’embrassant doucement. Je l’entends légèrement gémir et venir se coller contre moi, rendant peu à peu le baiser passionnel et fou. Je ne me pose pas de question, je maintiens ses bras toujours levés d’une main, et de l’autre je pars à la découverte de son corps qui ondule contre moi. Le dos est nu, elle est sans soutien-gorge, je sens sa taille marquée, j’adore trop. Je lui caresse le ventre, avant de poser une main sur sa fesse pour la coller contre moi.
A peine ai-je desserré l’étreinte de ses bras, qu’elle m’enlace. Nous faisons la même taille avec ses grands talons, ce qui m’arrive peu avec les filles et mes 1m85 !
Nous reprenons notre souffle, le regard plongé l’un dans l’autre. A cet instant, je découvre mon fétichisme des lunettes. Pas toutes, mais celles qu’elle porte, qui rendent ses yeux magnifiques. Nous avons tous les deux un énorme sourire niais. Elle m’attend, je le sens. Les rues sont désertes, il n’est pas si tard, mais nous sommes à Lyon. Nous marchons à peine pour trouver une ruelle paisible, elle se laisse emmener, ne me dit rien. Je la couche sur le capot d’une voiture, elle tend ses bras en avant pour mieux s’offrir. Je relève sa robe bleu marine en coton, pour dévoiler de belles jambes fuselées et une culotte en satin de la même couleur. Celle-ci est trempée, son sexe coule comme je n’ai jamais vu une femme aussi excitée ! Je prends le temps de lui enlever ce tissu inutile, d’écarter ses cuisses et d’enfiler un préservatif.
Je ne peux retenir un gémissement de bonheur absolu en pénétrant son antre si soyeux. Je pourrais en jouir tout de suite. Elle n’est pas en reste, et se cambre davantage pour s’offrir à mon pieu qui la pénètre en profondeur. Elle est brûlante de désir, je la remplis sans ménagement, nos pubis faisant un bruit mat quand je suis totalement enfoncé, sentant son col écrasé, la faisant gémir à chaque fois. De douleur ou de plaisir ? Des deux peut-être. Je m’enhardis, un pouce lubrifié de sa mouille se pose sur sa rondelle, appuyant doucement, tournant sans jamais forcer, sentant sa corolle s’ouvrir. Là encore elle ne dit rien, elle gémit simplement. Je lui enfonce la culotte dans la bouche, plus pour l’humilier qu’autre chose, voir surtout sa réaction qui ne vient pas. Cette fille est loin d’être passive tant tout son corps se donne, mais est totalement offerte.
Le pouce rentre légèrement, je le lubrifie encore, puis j’enfonce mon index, qui rentre tout entier, elle est détendue, rythmant mes coups de boutoir de gémissements étouffés qui m’excitent plus encore. L’index est rejoint par mon majeur, puis un troisième doigt. Je me retire de son sexe, mon préservatif est couvert de sa mouille, je le positionne à l’entrée de son cul. J’appuie doucement, très doucement. Je marque une pause. Je reviens un peu en arrière pour mieux la reprendre ensuite. Ses gémissements sont continus, elle lance son cul en arrière, une maso qui ne veut pas attendre, prendre son temps, mais moi je le prends. Et ce n’est qu’au bout de cinq minutes que je suis enfoncé et que je vais et viens en elle. Je devine qu’elle demande encore et encore, tandis que je la pilonne maintenant, son cul étant tout ouvert et offert. Je me délecte, j’aimerais que le temps se fige définitivement. Je ne puis être plus heureux.
Trois jeunes se marrent en nous dépassant, je leur propose d’utiliser ma salope s’ils veulent. Ils rient et passent leur chemin. Elle s’est juste tendue, je me demandais comment elle allait réagir et toujours rien. Je suis épuisé, je me retire, enlève mon préservatif, et récupère la culotte dans sa bouche, trempée de sa salive et de sa mouille. Je remplis, non sans mal, son sexe avec, jusqu’à ce que tout le tissu disparaisse en elle. Elle a les jambes qui flagellent quand je la redresse et s’accroche à moi. Elle me regarde intensément. Je craque complètement.
— Tu es complètement dingue !— Pas autant que toi qui suis un dingue comme moi !— Merci, je n’ai jamais baisé de façon aussi jouissive !— Oh vraiment ? Mais la nuit ne fait que commencer !— Vraiment ? Tu veux vraiment continuer ?— Oui je te prends pour toute la nuit.
Je sens qu’avec elle il faut être directif, et elle vient se lover contre moi, ronronner comme une chatte. Je lui arrache son prénom, Blanche, et lui murmure le mien, Louis. Les présentations sont faites maintenant, nous pouvons passer aux choses sérieuses. Mon hôtel n’est pas très loin, rien de somptueux, mais nous y serons très bien.
J’ai à peine dormi deux heures, le soleil brille et mon désir est intact. Pourtant mon sexe me fait mal d’avoir été autant utilisé et d’avoir joui si souvent. Je n’y suis pas habitué. Blanche dort dénudée à côté de moi. Je prends le temps de la détailler, de me remplir de chaque détail. C’est une belle femme avec un corps assez puissant qui rend sa poitrine, pourtant imposante, si harmonieuse. Ses seins portent les marques de mes assauts de la nuit, griffures, morsures et marques de doigts. Si j’ai vite compris que ce n’était pas une zone érogène pour elle, les maltraiter la rendait folle et la faisait couler abondamment. Son ventre est presque plat, peut-être quelques centaines de grammes de trop qui lui donnent une douceur et une sensualité supplémentaire. Il descend jusqu’à son mot de vénus qui ressort fortement, presque provocant. Ses hanches sont larges, généreuses, accentuant la minceur de se taille. J’aime tout de cette fille.
Sur sa grande lèvre droite, je retrouve le petit tatouage découvert hier, un petit cadenas avec deux initiales, la sienne et une autre. Je me doute que c’est sa sœur.
Son souffle est doux, régulier, sa peau est douce, avec un léger duvet enfantin. J’hésite à la réveiller, elle a tellement pris hier. Après l’avoir longuement utilisée, j’ai eu envie d’explorer son plaisir. Sans succès, jusqu’à ce que je la caresse doucement autour du clitoris, lui susurrant des images de plus en plus violentes, avilissantes, dégradantes. La difficulté étant toujours de ne pas aller ni trop loin ni trop vite, mais sinon cela fonctionne si bien. Et avec Blanche si fort ! Elle en était à chaque fois hébétée et sur la dernière image, de devoir nettoyer de sa langue mon pénis couvert de ses excréments, son hurlement a sans doute réveillé tout l’hôtel. Ce qui m’a le plus frappé, c’est la honte en elle de ces images, d’y prendre plaisir. En général, chacune sait bien que ce n’est qu’une image. Blanche, non. Elle a tout pris au premier degré. Elle ose à peine me regarder. Me demande si elle ne me dégoûte pas ! Elle est adorable.
Je la serre fort, nous nous endormons sur cette dernière image si violente.
Ce matin, je prends 5 minutes pour réfléchir à ce que je veux faire, à ce qu’elle aimerait aussi que je fasse. J’écarte ses cuisses doucement, je glisse un doigt dans sa vulve encore sèche. Le souffle s’accélère, mais elle n’ouvre pas les yeux, elle joue, je rentre dans son jeu. Mais son sexe la trahit, elle est vite inondée. Je me plante en elle. D’un commun accord tacite, nous avons abandonné le préservatif cette nuit, nous nous sentions tellement au-delà. Je lève ses jambes à la verticale, la belle toujours endormie, pourtant mon pieu va loin, je sais qu’elle a mal, mais elle s’ouvre pourtant. Mais là n’est pas mon objectif. Une fois mon sexe bien lubrifié, je me positionne sur son cul ainsi offert. J’adore la sodomie à la missionnaire, c’est quelque chose de très fusionnel. Son bassin se positionne pour me recevoir, je rentre dans son cul, sans doute douloureux, mais encore bien ouvert de tout ce qu’elle a subi.
Je ne prends guère mon temps, je veux l’utiliser ce matin, qu’elle se sente utilisée, à la fois humiliée, mais excitée que je la prenne ainsi. Je jouis très vite, mais je ne me retire pas. J’attends quelques instants que la tension baisse et je me soulage en elle.
La sensation est trop inattendue, elle ouvre les yeux, se demandant ce qui se passe. Lorsqu’elle le comprend, à la contraction de ses intestins envahis par mon urine du matin, je sens son sexe se contracter et envoyer des jets de cyprine. Cette fille est inouïe. Elle gémit de honte, implorant son Dieu et ne faisant rien pour échapper à la torture humiliante. Elle doit absorber pas loin d’un litre, pour un réveil, c’est un réveil. Quand je me retire, elle me regarde les yeux flous, elle est tellement vulnérable. Je lui passe les lunettes, je l’embrasse, elle se colle à moi, me demande l’autorisation d’aller se soulager. Je fais durer le plaisir quelques minutes puis je l’autorise à se soulager. C’est une Blanche remplie de honte qui revient se lover contre moi, certaine que je n’ai rien perdu des bruits émis, et cette fois elle ne lève plus le regard sur moi.
J’ai tellement envie d’elle ainsi. Je me retiens comme un fou, et pourtant pour la première fois, j’ai envie de dire je t’aime à une femme. Là je me sens intimidé d’être déplacé. Je la caresse, je la masse, je lui dis des mots doux. Elle me demande quand nous allons nous revoir, certaine que nous ne pouvons pas en rester là. Mon cœur bondit. Vendredi soir, dans trois jours. Est-ce qu’elle pourra attendre ces trois jours ? Elle me répond qu’elle va se dépérir, mais qu’elle fera tout ce que je voudrai et qu’elle me promet qu’elle ne pensera qu’à moi. Je pourrais à la limite rester, mais j’ai besoin de me déconnecter d’elle, de prendre un peu de recul, de comprendre. Je suis un cérébral, même si la nuit passée est peu convaincante là-dessus, et j’ai besoin de ce recul. Blanche s’est connectée sur mon cerveau, comme je me suis connecté sur le sien. Je le sens parfaitement et mes pensées ne sont plus autonomes depuis ce premier baiser. Nous sommes simplement en fusion.
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