Je suis un jeune homme blond, pas vraiment grand, aux yeux bleu clairs, et prêtant une grande attention à mon physique. Je fais de la musculation depuis plusieurs années maintenant, et je suis assez fier du résultat. J’ai commencé la musculation, parce que, non seulement j’aime le sport, mais j’aime les femmes, et avoir un beau corps. A vrai dire, j’ai une libido plutôt énorme, et je regarde toutes les filles que je vois, dans la rue, dans le bus, partout, tout le temps. Un soir, dans le bus, alors que je rentrais tard chez moi, je me suis retrouvé seul dès le début, avec une superbe blonde devant moi, elle était sur une place où je la voyais très bien, a contre sens donc en face de moi ; mais elle ne pouvait voir que mon visage. Je la matais totalement sans même faire attention à ma discrétion, ses seins étaient énormes, elle avait une taille très fine, et des yeux bleu sublime, un visage d’ange et des lèvres sublimes. Je bandais comme un fou. Sans même m’en rendre compte, j’avais glissé ma main dans mon caleçon, et je caressais mon érection en continuant de mater. De temps à autre, son regard croisait le mien et je faisais comme si de rien était en regardant ailleurs, mais seulement pour quelques secondes. Elle était tellement belle, et sexy, mon érection retenue par mes habits me faisait mal tellement elle était intense. Je cherchais rapidement des yeux la caméra du bus, et je jugeais rapidement que vu mon emplacement, la caméra ne pouvait filmer que ma tête... Je déboutonne alors mon pantalon, baisse ma braguette, et sors ma queue dure comme le fer. L’adrénaline se mêle alors à l’excitation du voyeurisme, et je sens entre mes mains ma queue gonfler encore et encore, elle me fait mal tant je suis dur. Je commence alors de me branler lentement, en essayant d’avoir des mouvements de bras discret. Je l’observe et je continue de me branler, comme devant un porno sauf que je suis dans un bus qui sillonne la ville. Alors que j’étais dans ma bulle, soudain, je suis surpris, en effet, elle se lève de son siège. Je suis foudroyé, non pas par son corps de rêve dévoilé de plus belle devant mes yeux luisant de vice, mais par le fait qu’elle risque de me voir. Elle me lance alors un léger regard, je suis pétrifié, et je ne bouge pas, la fixant aussi, dans les yeux, ma queue entre les mains. Mon gland décalotté, rouge et énorme, illustrant la force de mon excitation. La scène me parait durer une éternité, lorsque finalement, elle sort du bus avec un léger rictus dessiné sur le visage. Dès qu’elle sort, je reprends ma branlette avec une intensité renouvelée, et je profite de la vue de son joli petit cul dans la rue pour faire monter le plaisir. Sans même m’en rendre compte, j’éjacule soudainement dans le bus, des grands jets de spermes viennent se déposer sur le dossier devant moi. Je pousse un léger cri de surprise tant le plaisir est intense, et craignant de m’être fait remarquer, je range ma queue et sors à l’arrêt suivant. Sous l’effet de mon action, je suis sorti trois arrêts trop tôt, ce qui me laisse le temps de réfléchir avant de rentrer chez moi. Le ciel est magnifique, mais je n’arrive pas à avoir d’autres images que cette magnifique fille dans le bus, et mon plaisir de voyeur... Une fois dans mon appartement, je prends ma douche, puis je passe ma soirée dans ma chambre à me branler devant divers films pornos essayant d’éviter de repenser à tout ça. Mais je dois admettre que même les positions les plus impressionnantes des filles les plus incroyables ne changent rien à mon état d’esprit, j’ai envie de faire des trucs en publics, de mater des jolies filles, de me branler... Épuisé après ma soirée de porno, je m’écroule nu dans mon lit, les couilles vide.
Une semaine s’est passée depuis mon aventure nocturne, et je dois dire que j’ai réussi à ne pas trop y penser. Ce qui est à moitié vrai, du fait que ma consommation de porno à encore explosé et que je me suis caché dans le boulot au maximum. Mais la, je n’arrive pas à penser à autre chose alors que j’attends mon bus, le même que la dernière fois, exactement à la même heure. Je prie secrètement pour que cette fille y soit à nouveau.
Le bus tant attendu arrive, j’ai déjà la trique, je rentre, valide ma carte, et je parcours rapidement des yeux les sièges, craignant qu’elle n’y soit pas, mais trop impatient qu’elle y soit pour ne pas regarder. Et je la vois, assise exactement au même endroit ; de l’encadrement du bus, elle est dos à moi, et je profite de cette vue quelque longues secondes avant d’enfin m’avancer dans le bus et me mettre à la même place que la dernière fois. Elle est encore plus excitante que la dernière fois, elle porte une petite jupe noire ultra sexy, dévoilant ses longues jambes fines, et moulant bien ses hanches, marquant encore plus sa taille. Elle porte un petit chemisier blanc, rentré dans sa jupe, et avec un décolleté dévoilant le haut de sa poitrine, qui maintenant que je la vois comme ça me parait énorme. Elle est maquillée, mais pas trop, juste de quoi amplifier le bleu de ses yeux et la pulpe de ses lèvres. Je ne réfléchis même pas, et tout en la fixement droit dans les yeux, je baisse mon short, et mon caleçon, les deux jusqu’au milieu des cuisses afin de libérer entièrement ma queue et mes boules. Je me masse les boules et je me branle tranquillement, laissant l’effet du voyeurisme et de l’adrénaline de cette "exhibition" pour faire monter lentement le plaisir. Le tout sans me soucier le moins du monde que si quelqu’un d’autre entre dans le bus et vient s’installer près de moi, je serais complètement foutu... A chaque fois que son regard croise le mien, ma queue à un soubresaut, et mon érection est de plus en plus imposante. Au bout de quelques minutes, elle sourit discrètement, son sourire la rend encore plus désirable... J’observe les moindres détails de son corps, l’imaginant nue devant moi ; je passerais ma main dans son dos lentement, la laissant tomber sur le haut de ses fesses fermes, puis je les attraperais fermement, passerais une autre main derrière sa tête et viendrait l’embrasser tendrement... Perdu dans mes pensées perverses je ne me rends même pas compte qu’elle est en train de se lever. Et ce n’est que lorsqu’elle me lance un "bonsoir", que le chauffeur prend pour lui, mais qu’elle m’a clairement lancé vu qu’elle me regardait dans le fond des yeux, que je prends conscience que mon fantasme se lève. Et alors que je reprends ma branlette encore plus intense que la dernière fois devant son joli cul dans la rue, je chuchote un léger bonsoir et éjacule encore le long du dossier devant moi. Mais cette fois-ci, je me rhabille juste discrètement puis sors à mon arrêt précis. Je rentre chez moi, puis je vais me coucher en n’attendant qu’une seule chose, la semaine prochaine.
Une semaine de plus s’est passé, je n’ai fait que rêver de cet instant cours dans le bus pendant lequel elle me regardait alors que je me branlais sur son corps... Je rentre dans le bus, encore une fois et comme pour instaurer définitivement un rituel, elle est a la même place et nous sommes seuls. Je me place au même endroit, et sans attendre ni vérifier si elle me regarde, je baisse mes habits comme la dernière fois, libérant ma queue. Je commence alors lentement mon inspection de son corps, je remarque dès le début qu’elle a déjà un rictus sur le visage ; mon excitation bondit et je me branle rapidement. Elle a une mini-jupe en jean cette fois, et elle garde les cuisses écartées, mais légèrement dessalé de moi, de sorte que je ne vois que l’ombre entre ses cuisses, je suis de plus en plus excité... Puis je constate qu’elle ne porte pas de soutien-gorge puisque je vois très clairement ses petits tétons roses contre le tissu blanc transparent de son t-shirt moulant. Cette fille a un corps de déesse, et elle n’hésite pas à me le montrer... Je me branle tellement fort qu’avant même qu’elle ne sorte du bus, j’ai éjaculé partout sur le dossier du fauteuil du bus. Je me rhabille le plus discrètement possible, et alors que je me reboutonne, elle se lève, et au sortir du bus, alors qu’elle me dit encore au revoir avec son plus beau sourire, non seulement je sens ma trique revenir, mais elle laisse tomber un papier de son sac puis sort. Je n’ai pas le temps de la prévenir et le bus repart. Sans réfléchir, je prends le papier, fais arrêter le bus et je cours vers mon fantasme avec son papier dans la main. Du plus loin que je la vois, je remarque qu’elle me sourit en marchant avec un déhanché à faire bander un cadavre. J’arrive devant elle, couvert d’une légère couche de sueur du fait de l’effort :
-Bonsoir, excuse moi, mais tu as laissé tomber ça dans le bus...-Oh, merci t’es trop mignon
Et prononçant ces mots, elle dépose un bisou sur ma joue. Je sens ma queue me faire mal entre mes cuisses, je bande trop fort...
-Oh heu, non enfin, c’est ... tu sais normal je crois enfin voilà.-Ah ah, t’es drôle, Jessica et toi ?-Jessica...-Non, ça, c’est mon prénom !-Oh heu non désolé moi, c’est Lorenzo
Je viens de me ridiculiser là...
-On prend le même bus le mardi soir je, t’ai remarqué les deux autres fois. -Oh oui moi aussi... Enfin, non, je veux dire oui, je crois oui.-Je sais que tu m’as remarqué, tu me fixes.
Woh, elle est directe et là, malgré l’excitation je suis hyper mal à l’aise
-Je... Je suis désolé-T’es trop mignon, mais t’as pas trop l’air désolé dans le bus quand tu te tritures la queue sur mon corps.
Merde, elle sait tout. Là, je suis mort.
-Je... Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
Je suis tout rouge et ma queue me fais de plus en plus mal.
-Je parle de ça là.
Et disant ces mots, elle vient se saisir de mon érection bien visible dans mon jean. Putain, elle me touche la queue, je rêve là. Instinctivement, je recule, mais je le regrette tellement...
-Woh heu désolé, c’est gênant... Tu es plutôt attirante, mais heu voilà désolé
Et alors que j’allais me préparer à partir en courant, elle dit :
-Toi aussi, t’es plutôt attirant, c’est pour ça que je m’habille comme une pute le mardi soir, mon chou.
Je rêve totalement la, elle m’a laissé me branler sur elle, et elle est aussi intéressé par moi...
-T’as l’air perdu Lorenzo, allé, je dois y aller, mais garde le papier, il est pour toi. Bonne soirée.
Et je la vois alors partir devant moi n’hésitant pas a remonter légèrement sa mini-jupe pour me faire voir le bas de ses fesses. J’ai complètement déconne et pas géré du tout... Cette déesse était intéressée par moi, et pas écœuré par mon voyeurisme et mon "exhibition", et j’ai limite pas réussi a balancer une phrase correcte. Je rentre en courant chez moi, tellement en colère. Une fois chez moi, je jette le papier par terre puis je reste sous la douche pendant plus de 30 minutes, tellement dégoûté par moi-même... J’ai tout fais foirer. Je sors de la douche, me sèche lentement le corps puis repense soudain au papier. Je cours dans mon salon, nu et je me jette sur le papier, je l’ouvre, j’y vois alors écrit : 1m68, 54 kg, 95D, et pour le reste, je fais confiance à tes yeux. Le tout suivi d’un numéro de téléphone. Je suis tellement excité à l’idée que cette histoire ne vient finalement que de commencer que je me rue sur mon ordinateur et je passe ma soirée à me branler jusqu’à ce que je tombe de fatigue, la queue entre les mains.
