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Une maitresse comblée

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Re bonjour, c’est Juliette et comme je le racontais lors d’une de mes précédentes aventures, j’ai une maîtresse, Dany, sensuelle, douce, et très soumise. Nous nous fréquentons depuis plusieurs mois, et jusqu’à présent, elle n’a consacré son corps, qu’avec moi et quelques amies. Comme je le disais, elle est bi et un homme lui manque, malgré le plaisir qu’elle peut prendre avec les femmes. J’ai remarqué lors de nos jeux, que le fait de lui faire penser à tel ou tel homme, la faisait jouir encore plus fort. Nous en parlons et elle reconnaît qu’elle aimerait beaucoup, surtout si je suis là pour partager son plaisir. Étant très adepte de l’amour avec un couple, (j’adore voir une femme prendre du plaisir avec moi, et son homme), j’ai pris l’initiative de lui faire partager un moment agréable avec un vieil ami, bi, lui aussi, qui, je dois le reconnaître, est bel homme. Même lesbienne jusqu’au bout des ongles, je sais reconnaître un canon quand j’en vois un. C’est un antillais à la peau claire, bâti comme un adonis, mais surtout très bien membré. Tout ce qu’il faut pour la faire craquer et passer un moment agréable.La semaine dernière, j’ai eu l’occasion de rencontrer Damien, je lui ai demandé s’il était d’accord pour partager une soirée chaude avec mon amie et moi. Comme j’avais quelques photos d’elle dénudée, allongée sur mon lit, je lui ai montré, son accord à été immédiat. Nous avons donc élaboré un scénario ou sa participation serait déterminante. Je n’éprouve aucun plaisir avec un homme, sauf dans de rares occasions, avec un couple, ou la femme s’occupe de moi, et c’est plutôt elle qui me fait prendre mon pied. J’avais déjà eu l’occasion de partager une amie avec Damien, je savais que c’était un super amant, endurant, donnant du plaisir à une femme. Tout un programme.Le vendredi soir, j’avais invité Dany à venir passer le week-end à la maison, sans la prévenir que nous ne serions pas seules. Elle a accepté sans hésitation, m’a demandé comment s’habiller, connaissant mes goûts pour les tenues séxy et accrocheuses.Elle s’est présentée vers 18 heures, vêtue d’une jupe droite en cuir très souple, arrivant à mi-cuisse, d’un chemisier blanc décolleté, qui laissait entrevoir la naissance de ses seins. Ses jambes étaient gainées de fins bas auto-fixant couleur chair, un petit porte jarretelles, qui servait plus de parure sexy que de soutien de ses bas. Un string ficelle blanc tellement transparent que je me suis demandée si elle ne l’avait pas taillé dans ses rideaux. Il ne cachait rien de sa jolie chatte bien dessinée, ornée d’une fine toison blonde comme les blés. Elle était juchée sur des hauts talons, qui lui galbaient magnifiquement le mollet mettant en valeur sa jolie croupe cambrée. Elle était à croquer et je me suis mise à mouiller rien qu’en la regardant. Je n’avais plus aucun doute, elle allait faire des ravages et servir de dessert.Nous nous sommes installées sur le canapé, et comme cela faisait plusieurs jours que nous nous n’étions pas vue, nous avons échangé quelques potins et banalités. Je la regardais, je sentais mon envie grandir, mon string s’humidifier et mes tétons durcir sous ma veste légère. Je lui ai caressé les cheveux pendant que nos lèvres se sont jointes, elle s’est enfoncée au fond du canapé, prête à recevoir l’assaut de mes mains sur ses cuisses, largement découvertes par sa position assise. Je sentais que son envie n’était pas feinte, qu’elle voulait que je la caresse, m’incitant à prendre possession de son corps.J’ai emprisonné un de ses seins, trouvant immédiatement le téton à travers le fin tissu du chemisier. Nos langues s’emmêlaient dans un baiser profond et tendre. Elle laissa échapper un soupir de contentement, tendit son buste, posa une main sur ma cuisse. De sa main libre, elle déboutonna son chemisier, faisant jaillir ses seins hors de leur carcan. Je ne pu m’empêcher de saisir ce fruit offert, ma bouche s’est emparée de son mamelon, et mes lèvres se sont activées autour de son téton offert. Sa main a agrippé mes cheveux derrière ma tête, me plaquant contre elle, laissant échapper un feulement.— Ouiiii! Me dit elle, embrasse moi les seins, j’en ai tellement envie, ça me manquait.Ses doigts s’étaient resserrés sur ma cuisse, comme s’ils devaient pénétrer ma chair. Sa main laissa ma tête pour me saisir le poignet, le guida sur sa cuisse, sous sa jupe, juste au dessus du bas. Au contact de mes doigts sur sa peau tendre, ses lèvres laissèrent échapper un râle et son buste s’est encore tendu. Elle écarta les jambes et mes doigts purent atteindre le fin tissu qui protégeait sa chatte trempée. Son bassin est venu à la rencontre de mes doigts et elle put prononcer ces quelques mots.— Oh oui! Ma chérie, j’ai tellement envie de tes mains.Elle tira sur sa jupe pour la faire remonter le plus possible, écarta les cuisses au maximum qu’elle put, me guida la main pour la faire glisser sous son string, pris mes lèvres et me demanda.— Ouiiii! Fais moi jouir avec tes doigts, ils m’ont tellement manqués.Sa chatte était trempée et je pus enfoncer mes doigts sans difficulté dans son puit d’amour, ne sortant que pour titiller son clito tendu, et sa rondelle palpitante à chaque approche. J’avais repris son mamelon dans ma bouche, aspirant son téton entre mes lèvres. Son bassin avait pris un rythme endiablé et ses cris s’amplifièrent, remplissant la pièce. La caresse entamée, je pus profiter pleinement de ses trésors offerts. Elle s’est tendue, resserrée les jambes autour de mon bras, et m’a inondé les doigts de sa cyprine. Sa main me bloquait le poignet, m’empêchant de le retirer, elle fût prise de convulsions, sa main crispée sur ma cuisse à m’en faire mal. Cela dura une éternité et je la laissai savourer son plaisir, la regardant avec un sourire tendre. Elle mit plusieurs minutes à émerger et ne put s’empêcher de dire.— Bon sang! Quel plaisir, c’est mieux avec toi que toute seule, je n’aurais pas pu attendre! — Ah bon! Lui répondis je avec un sourire moqueur, parce que tu le fais toute seule!— Bien sur! C’est de ta faute, tu me manques et j’avais envie.J’ai retiré mes doigts de sa grotte juteuse et les ai portés à ma bouche, j’aimais son goût, me délectant de ce nectar tant recherché. Elle me regardait souriante, les yeux brillant du plaisir pris, et me lança:— Cochonne! Tu ne peux pas t’en empêcher!— Tu as si bon goût, ce serait idiot de ne pas en profiter.Nous avons rit et nous nous sommes étreintes tendrement. Elle s’est levée, s’est rajustée avant de se diriger vers la salle de bain pour se rafraîchir et remettre un peu d’ordre dans sa chevelure.
C’est moment que choisit Damien pour se présenter, je le reçu avec un large sourire. Il était vêtu d’un pantalon blanc très ajusté, ne laissant que peu de doutes sur ce qu’il cachait. Une chemise ouverte sur son torse musclé et bronzé. Sa nature négroïde dégageait une sensualité, une force rassurante, plaisant énormément aux femmes. Il n’avait aucunes difficultés pour faire des conquêtes se retrouvant souvent avec de très jolis petits lots dont je me serais bien accommodée. Je le fis entrer au salon, et échangeais le dialogue d’usage que l’on partage à la venue d’invité. Nous étions en train de plaisanter quand Dany se présenta à la porte du salon. A la vue de son regard surpris, je lui présentai Damien, comme étant un ami de longue date, qui passait par hasard pour m’inviter à dîner.Elle s’avança vers lui, je pus remarquer le plaisir de le rencontrer. Ses yeux brillaient, un large sourire illuminait son doux visage. Apparemment le courant passait entre eux, et il put constater que l’original était bien au dessus de son imagination.Nous nous sommes installés pour l’apéritif, lui sur un fauteuil, en face, nous sur le canapé, l’une à coté de l’autre. Nous avons discuté quelques instant, et j’ai proposé une boisson que je me suis empressée de servir. Dany, après s’être excusée, m’a accompagnée à la cuisine, surement pour faire tomber la pression. Elle était rêveuse et je lui posais la question.— Alors! Comment le trouves tu?— Super! Me répondit elle, les yeux dans le vague.
— Il est temps que tu baises avec un mec, il faut voir dans l’état que ça te met!— Non, non! Il ne m’intéresse pas, je le trouve beau c’est tout.Je glissais une main entre ses cuisses, accédant directement à sa chatte, constatant qu’elle était trempée, qu’il ne la laissait pas indifférente.— Il ne t’intéresse pas! Je ne dirais pas la même chose! En tout cas tu es bien trempée!— C’est toi qui me mets dans cet état, je ne peux pas m’en empêcher!Je lui posais un baiser sur les lèvres et me séparais d’elle pour retourner au salon, retrouver Damien qui nous attendait bien sagement assis dans son fauteuil. Dany nous rejoignit quelques instants plus tard, les yeux brillant d’envie et de frustration en même temps.Nous avons pris l’apéro et sommes parti au restaurant, Damien nous ayant invitées toutes les deux. Tout se passa sans problèmes, la discussion fut riche et plaisante, empreinte d’humour et de fou rire. Je passais plusieurs fois ma main sur la cuisse de Dany, celle-ci, à chaque contact se redressait, les yeux rivés dans ceux de Damien, les tétons pointés, prêt à jaillir du chemisier. Il n’y avait aucun doute, elle le désirait et faisait tout pour attiser son envie. La soirée risquait d’être très intéressante. Je m’apprêtais à offrir ma maîtresse à un mâle, sachant que j’allais y retirer un énorme plaisir. Moi aussi j’avais l’entrejambe humide et les seins gonflés par l’excitation. Il me tardait que le repas se termine, pour retourner à la maison, assouvir mes envies, et ceux de Dany surement.Nous sommes rentrés et installés de nouveau au salon, mais cette fois, je pris le fauteuil, laissant Damien et Dany confortablement assis sur la banquette. Nous discutions de choses et d’autres, et la conversation est venue sensiblement sur le sexe, narrant ça et là nos expériences mutuelles. J’ai vanté auprès de Dany les atouts de Damien, insistant sur les dires de mes amies qui avaient eu la chance de s’en servir. Dany souriait d’un air entendu, portant les yeux sur la bosse qui déformait le pantalon. Visiblement elle n’osait franchir la distance qui la séparait de l’objet de ses désirs. Je me suis donc assise à coté de Damien et lui ai demandé de montrer ce qui faisait tant craquer les filles. Il protesta, pour le principe, mais finit par déboutonner son pantalon, libérant un membre de taille imposante, bien plus noir que le reste de son corps, dressé comme un obélisque. Je l’aidai à faire glisser son pantalon le long de ses jambes, découvrant la totalité de son sexe à la vue de Dany. Celle-ci ne pouvait détacher les yeux de l’engin, comme hypnotisée. Je déboutonnais la chemise, découvrant un torse musclé, des tablettes de chocolat. La panoplie complète du parfait athlète. Je pris la main de Dany, la guidant vers le membre tendu. Malgré une petite résistance de sa part, elle fini par entourer ses doigts autour de la hampe. Sa queue était plus grosse que mes godes ceinture, même mon plus énorme, que mes compagnes appréciaient plus particulièrement. Je posai ma main sur la joue de Dany et lui dit.— Profites en ma chérie, elle est pour toi, je sais que tu en meurs d’envie.— Non! me répondit elle, je peux m’en passer, tu me suffis.— Ne sois pas bête, prends ce que je t’offre.J’ai attiré sa tête vers moi, posé mes lèvres sur les siennes, qui se sont ouverte pour un baiser tendre. Je l’ai libéré, la laissant libre de ses mouvements. Sa bouche s’est portée sur le gland, sa langue est venue s’enrouler autour de la calotte, s’attardant sur le frein. Sa main a commencé un lent mouvement de bas en haut, sa bouche s’est ouverte, mais l’énorme membre avait du mal à entrer, tant il était imposant. A force de s’acharner, elle fini par le faire entrer dans sa bouche, entamant un lent mouvement de va et vient, bavant pour lubrifier la pénétration. Je la regardais avaler l’objet de ses désirs, appréciant sa détermination. Tout dans sa gestuelle démontrait la douceur de sa caresse, Damien n’allait pas me contredire, vu le plaisir qu’il éprouvait. Il avait posé sa main sur sa tête, lui caressant les cheveux. Dany enserra les boules qu’elle faisait tourner dans sa main, les soupesant et les comprimant entre ses doigts. Damien ne pu retenir un râle de bien être et prononça.— Mon Dieu! Elle suce divinement, elle est douce, quel pied!Je me suis déplacée derrière elle, enserré un de ses seins, excitant le téton à travers le tissu du chemisier. Mon autre main c’est posée sur sa cuisse, lui faisant remonter sa jupe, glissant mes doigts dans son string. Elle avait écarté les jambes pour facilité la caresse, et je pus facilement atteindre son clito et sa chatte dégoulinante. Mes doigts se sont enfoncés dans sa grotte, lui arrachant un cri étouffé par le membre. Elle libera le gland et entrepris de faire courir ses lèvres tout le long du mandrin, léchant les bourses au passage, titillant le frein du bout de sa langue. La caresse devait être des plus gratifiantes, car Damien se tendit et laissa échapper un grognement de plaisir. Mes doigts alternaient entre son clito et son vagin, la faisant se contracter et onduler du bassin.Elle ne mit pas longtemps pour atteindre son plaisir, resserrant les jambes, emprisonnant de nouveau mon poignet, mes doigts bien au fond de sa chatte, le pouce titillant son clito. Ses doigts de contractèrent sur le membre et sur les bourses. Elle laissa échapper un long cri de jouissance, qui s’entrecoupait de silences, cherchant son souffle, pour finir dans un long râle. Elle avait mis Damien dans un état de rut avancé, et l’on voyait qu’il se retenait pour ne pas la pénétrer sauvagement et répandre sa semence. Elle se laissa aller au fond du canapé, desserra les cuisses, libérant enfin mon bras, et resta de longues minutes à reprendre son souffle. Contrairement à ses dires elle avait apprécié cette fellation, et en avait retiré un orgasme immense. Chassez le naturel…….J’ai pris la bouche de Dany, ses lèvres se sont ouvertes, et sa langue est venue s’enrouler autour de la mienne. J’ai déboutonné son chemisier, posé mes mains sur ses seins, et fait rouler ses tétons entre mes doigts. Ils étaient encore tendus et sensibles, et chaque passage de mes doigts sur le bout lui prodiguait une agréable décharge électrique dans tout le corps. Damien a fini de se déshabiller, attiré les jambes de Dany pour l’allonger sur le canapé. Ses mains ont glissé tout le long de ses cuisses, lui remontant la jupe sur la taille. Elle a soulevé le bassin pour faire descendre son string, écarté largement les cuisses, une fois que celui-ci eu quitté ses pieds. Damien pris position entre ses jambes, ses lèvres parcourant l’intérieur des cuisses, jusqu’à sa chatte gorgée d’envie, dégoulinante de cyprine. Sa langue a pénétré le vagin comme un sexe fin. Le corps de Dany s’est tendu comme un arc, ne pouvant retenir le cri qui venait de ses entrailles. Damien lapait et aspirait le clito, enfonçait sa langue dans le vagin, et lubrifiait sa rondelle, cherchant à la pénétrer. Dany ne pouvait plus arrêter ses gémissements, le corps secoué de spasmes, ses mains s’agrippant sur le dossier et l’assise du canapé. J’avais saisi ses seins que je triturais, les embrassant, suçant les tétons dressés comme des crayons. Les mains de Damien écartèrent les globes du fessier, et la langue put enfin forcer la rondelle, s’enfonçant profondément dans l’anus. L’effet fut immédiat, le corps de Dany se tendit, un jet de cyprine jaillit, et son cri retentit, nous surprenant. Elle se laissa retomber, continuant à émettre des gémissements, des larmes coulaient sur ses joues. Le plaisir l’avait submergé, la terrassant, et la laissant pantoise.Damien la laissa reprendre un peu ses esprits, et s’installa entre ses cuisses, frottant son gland le long de sa chatte détrempée. Il l’appliquait à l’entrée de sa vulve, pénétrait un peu et ressortait. Il exécuta plusieurs fois cette manœuvre, et quand il jugea qu’il pouvait aller plus loin, commença à la pénétrer doucement, laissant la grotte s’habituer à la taille de sa queue. Dany s’était soulevée, passé ses jambes autour des hanches de Damien, écartant les cuisses au maximum, l’aidant dans sa pénétration. Je voyais l’engin pénétrer lentement, ressortir, luisant de jus, puis replonger plus profondément. La bouche de Dany était ouverte, cherchant de l’air, le corps tendu, acceptant avec plaisir le mandrin tant désiré. Il arriva enfin au fond, commença de doux mouvements du bassin, la laissant prendre l’initiative du départ. Ce ne fut pas long, et elle s’est mise à onduler du bassin, forçant la pénétration. Je m’écartai, le laissant prendre la direction des opérations, et suivi la lente montée du plaisir de ma maîtresse. Damien amplifiait ses mouvements, et Dany le recevait avec plaisir, elle devait mouiller comme une fontaine, car la pénétration était de plus en plus aisée, les mouvements de Damien devenaient plus longs et plus rapides. La tête de Dany se secouait de droite à gauche, ses mains se crispaient sur le canapé, et elle prononçait des phrases que je ne lui connaissais pas.— Oh ouiiiii ! Vas y défonces moi comme une chienne, baises moi à fond, fais moi jouir comme une salope. Mon gros salaud, t’es monté comme un taureau, que c’est bon! Ses paroles se sont transformées en un hurlement, son corps pris de soubresauts et ses doigts se sont enfoncés plus profondément dans le cuir du canapé.Je m’étais glissé la main dans mon string, m’enfonçant les doigts dans la chatte, atteignant mon plaisir en même temps qu’elle. Elle était retombée, anéantie, mais Damien continuait de la besogner sans ménagement, la faisant repartir de plus belle. Cela dura un peu plus longtemps, mais le plaisir l’envahit de nouveau, se plantant elle-même sur l’énorme pieu qui la perforait.Je voyais Damien accélérer ses mouvements, son plaisir était proche. Il se retira rapidement, l’attrapa par les cheveux et lui planta son membre dans la bouche, qu’elle ouvrit au maximum, pour l’accueillir. Il déversa une quantité énorme de foutre au fond de sa gorge, manquant l’étouffer, mais elle réussi à en avaler une bonne partie. Elle déglutit encore plusieurs fois, avalant le reste, récoltant au coin de ses lèvres les coulures.Je la regardais, fière du plaisir qu’elle venait de prendre, s’évertuant à nettoyer le membre qui venait de la faire monter au septième ciel. Elle me tendit la main pour que je m’approche, et me dit gentiment.— Merci ma chérie, j’en avais très envie, tu es un amour.— Mon plaisir est le tiens lui répondis-je en prenant ses lèvres.
Ma maitresse venait de prendre un énorme plaisir, mais je sentais qu’elle n’était pas au bout de son fantasme. La soirée ne faisait que commencer. Mais ceci est une autre histoire………
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