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Une maman attentionnée en manque

Chapitre 1

Inceste
Je me présente, je m’appelle Guillaume, j’ai 19 ans et je suis actuellement en 1ère année de Prépa à Paris.Nous sommes le 1er Juillet dans ma petite chambre sur Paris, et je viens tout juste d’avoir mes résultats et je suis heureux de pouvoir passer en 2ème année de prépa après cette année de dur labeur. Pour fêter cette nouvelle comme il se doit, je suis retourné chez ma mère pour passez l’été avec elle car je devenais fou dans mes 10m2.
A 18H j’arrive devant chez elle, je sonne et je la vois apparaître derrière un carreau. Puis elle m’ouvre la porte en souriant.
— Ah mon Guillaume ! Comme je suis heureuse que tu viennes passer les vacances ici. S’exclama-t-elle.— Oui ma Mounette ça faisait longtemps en plus avec mes études je n’avais pas trop le temps de sortir.— Tiens en parlant de ça vient dans le jardin j’ai préparé un apéro pour fêter ta réussite. Repondit-elle.
Elle se retourna et je la suivis. Ma mère s’appelait Caroline, elle avait 45 ans (mais en faisait largement la moitié ) grande blonde aux yeux bleus avec une belle allure. Elle était vêtue d’une robe qui moulait son beau petit cul et un décolleté qui ne pouvait pas laisser indifférent un homme vu sa belle poitrine. Ma mère était divorcé depuis 1 an de mon père car il l’avait trompé et ne lui a jamais pardonné. Depuis, je savais qu’elle n’avait pas eu d’autres aventures car elle ne pouvait plus accorder sa confiance à personne.
Nous nous installons dans notre jardin et nous commençons à prendre l’apéro. Elle avait fait 2L de mojito, ma boisson préférée, autant vous dire qu’à deux on ne risquait pas d’en manquer. On discutait de tout et de rien, de la vie, puis elle commença à me poser des questions sur ma vie amoureuse. Je lui dis que je n’avait toujours pas de copine car avec mes études j’avais la tête ailleurs et que niveau sexe j’étais encore vierge. C’était assez naturelle de parler de ça avec ma mère car il n’y a pas de sujets tabous dans notre famille.
Tout en continuant à siroter notre mojito sous les derniers rayons du soleil qui nous réchauffait la peau, je lui demandai si elle avait songer à se remettre avec quelqu’un après avoir quitter mon père. Elle me repondit qu’elle se sentait libre et sans contraintes et que la vie de célibat lui plaisait à merveille.
Après 2 verres chacun on commençait à sentir les effets de l’alcool, on rigolait tout les deux pour des bêtises, on avait l’œil rieur et des sourires complices sous la chaleur enivrante de l’été.
— Eh bah quelle famille ! Une mère qui ne fait plus rien depuis 1 ans et toi mon fils, comme tu es si beau, tu n’as toujours pas trouvé quelqu’un... Dit-elle sur un ton rieur.
Il est vrai que je faisais parti des beaux garçons blonds aux yeux bleus (je tenais ça de ma mère) mais j’était très timide avec les filles et ne faisait jamais le premier pas donc c’était assez difficile pour moi d’être en couple.
Puis ma mounette se leva, finissa cul-sec son 3eme verre et me pris par la main pour danser. Elle mit la musique et se colla à moi pour commencer les premiers pas. Je sentis sa poitrine venir se coller à mon torse et je mis mes mains au-dessus de son galbe fessier. Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête à ce moment-là, mais l’alcool aidant, je n’avais pas les pensées très claires et je commençai à imaginer des choses. Ma mère me tenait par le cou, nous dansions ensemble, collés, en ce beau soir d’été. Puis ma mère se rapprocha encore plus, s’agrippa à mon cou et glissa une jambe entre les miennes et nous commençâmes à tourner lentement. Ceci était de trop pour moi et même si c’était ma mère je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir des envies avec elles. J’essayai de me calmer car sa cuisse était collée à mon caleçon et j’avais une vue plongeante sur son décolleté. Ce que je redoutai arriva et je sentis mon sexe gonfler, gonfler, sans jamais s’arrêter.
Je n’avais jamais bandé aussi dur et je sentais que mon sexe était collé à sa cuisse et je savais qu’elle le sentais. Rouge de honte, j’étais rentré en apnée et nous sommes restés comme ça pendant une très longue minute. Puis ma mère releva la tête et dit:
— Bon mon chéri il se fait tard, je suis exténuée de cette journée je vais aller me coucher. Bonne nuit mon ange ! Dit-elle en m’embrassant sur les deux joues.— Bonne nuit ma Mounette. Répondis-je en essayant de cacher mon érection avec mes jambes.
J’ai débarrassé les verres, et je suis monté dans ma chambre. Les questions commençaient à se bousculer dans ma tête. J’étais persuadé qu’elle avait senti mon erection mais elle pourquoi n’avait t’elle rien dit ? Était-elle genée ? Excitée ? Ou ne voulait pas me mettre mal à l’aise ?Bref je me suis mis à me branler pour évacuer toute la pression d’aujourd’hui et toutes ces questions et je m’endormis comme une masse.
Je me suis réveillé le lendemain vers 10H. N’entendant aucun bruit je descendit les escaliers pour aller petit-déjeuner. Ma mère avait laissé un petit mot disant « Je suis au marché je reviens dans pas longtemps » Je pris mon petit-déjeuner en repensant à ce qui s’était passé la veille et à comment j’allais affronter cette journée aux côtés de ma mère. Je ne savais pas si elle était énervé ou pas... J’entendais brusquement la porte claquée ce qui interrompit mes pensées.
— Coucou Guillaume je suis rentrée du marché ! Cria-t-elle.
D’un air innocent je répondis :
— Coucou Mounette comment ça va ? Tu as bien dormi ?— À merveille, je me suis bien remis de notre soirée d’hier. Repliqua-t-elle.
Puis elle s’avança dans la cuisine pour ranger les courses. Elle était magnifique : une minishort en jean qui mettait ses jambes sveltes en valeurs et un petit Top blanc qui dessinait parfaitement ses seins. J’étais déjà excité mais je réussis à le contrôler. Elle s’est approchée de moi et se pencha pour m’embrasser sur la joue en laissant mon épaule s’insérer entre ses deux énormes seins. C’était trop et ni une ni deux je commençai à bander comme un âne, et en pyjama difficile de le cacher. Là plus aucun doute ma mère avait les yeux rivés sur ma bosse puis s’assit à côté de moi.
— Ouah mon chéri je vois que depuis hier je ne te laisse pas indifférent. Je vois que ta Mounette te fait bander fort.
Géné, je marmonais quelques mots inaudibles, puis elle me coupa et dit.
— Tu sais mon chéri, c’est normal de ressentir des émotions à ton âge pour de belles femmes et même si je suis ta mère il n’y a aucun mal, au contraire c’est d’autant plus beau. Il me semble que tu es encore vierge et moi depuis ton père c’est assez calme sexuellement. Tu ne penses pas qu’il faut mettre un terme à tous ça ? En plus je ne peux pas te laisser dans cet état là mon fils, tu vas craquer ton pyjama si ça continue.— Mais maman, je ne peux pas, tu es ma mère c’est imp...
Elle me mit le doigt sur la bouche me prit par la main et me jeta sur son lit. Je ne bougeai plus, pétrifié, je ne disais rien et là laissai faire.Elle baissa d’un coup mon pyjama laissant apparaître mon sexe qui ne la laissait pas indifférente vu comment elle écarquillait les yeux.
— Mon chéri hier je me suis masturbée en pensant à toi, c’est plus fort que nous, la tension est trop forte je n’en peux plus.
Sur ces mots elle prit mon engin avec les deux mains et commença à me donner des coups de langue sur mon frein. J’étais stupéfait, je ne bougeais plus, je profitai juste de ce moment comme un rêve, en train de sentir sa délicate langue parcourir ma colonne de chair. Elle commença à me branler, me donner des coups de langue, me gober le gland en faisant le tour de celui-ci avec sa langue.J’étais aux anges, ma mère me suçait comme une déesse. D’un coup elle se releva et me dit :
— eh bah alors Guillaume ça va pas ? Tu ne parles pas ? Allez détends toi mon chéri tu vas t’occuper de ma chatte ça va te faire du bien.
Sur ces mots elle se déshabilla devant moi me montrant sa magnifique chatte épilée qui était déjà toute mouillée. Elle se mit par dessus moi tête bêche et on commença un 69. Je lui léchai les contours de sa chatte puis l’entrée de son vagin tout en titillant son bouton d’amour avec les doigts. Je sentais qu’elle commençait à gémir et a pousser des râles de plaisir alors je mis plus de vigueur et pinçait, roulait son bouton tout en continuant les coups de langue bien placés. Au même moment. elle commença à avaler mon engin de plus en plus jusqu’à le voir disparaître complètement dans sa bouche. Elle me malaxait mes couilles, pompait mon dard et ralentissait sur mon gland pour me donner le plus de plaisir. Nous étions aux anges, elle gémissait de plaisir, et je commençai à sentir que ça venais. Je lui fis savoir et elle me répondît :
— Vas-y mon chéri, tu peux tout lâcher, soulage toi dans ma bouche je suis ta maman je te dois bien ça.
Ni une ni deux je lui ai envoyé 5 longs jets de sperme au fond de sa gorge bien visqueux et elle a avalé tout comme une grande.
— Je suis ta salope mon chéri, j’adore ta bite maintenant tu vas me ramoner la chatte pour faire jouir ta mère. Me chuchota-t-elle.
Il ne fallait pas me le dire à deux fois. Tellement excité mon sexe était encore tout dire gorgé de sang. J’ai pris ma mère, l’ai retourné et j’ai commencé ma plus belle levrette. Je présentai mon gourdin devant ce puits d’amour. J’ai inséré mon gland en premier ce qui lui procura du plaisir vu le cri qu’elle a laissé échapper. Puis d’un coup sec je lui mis un coup de reins dans sa chatte toute trempée pour envoyer ma bite dans ses profondeurs. Elle lâcha un hurlement de plaisir et me dit de la défoncer comme elle le mérite. Je commençai les va-et-vient alternant rapidité et lenteur en lui mettant des fessées. Je pris ses cheveux en queue-de-cheval et lui mitraillait sa chatte sentant mes couilles claquées contre ses magnifiques fesses. Après 5 minutes de ramonage je me suis mis sur son côté en cuillère. Je recommençai à me noyer dans ce puits d’amour et lui malaxant et lui titillant ses tétons.
— oh oui mon fils continue comme ça j’adore sentir ton énorme bite en moi.
Je me concentrai alors en lui donnant de grands coups de reins dans sa chatte et avec ma main gauche je commençai à m’occuper en même temps de son bouton tout dur en la masturbant. Sous mes coups de queues bien placées et mes doigts hors-pair elle n’a pas tenu très longtemps avant de pousser un hurlement de jouissance. Elle tremblait de partout et sa chatte luisait de cyprine. Alors j’ai envoyer encore une fois 5 jets puissants au fond de sa chatte. Nous sommes restés comme ça un moment, collés par la chaleur de nos corps et l’humidité de sa chatte.Elle me remercia de l’avoir baisé comme personne d’autres depuis longtemps. Je fis de même pour la remercier de ma première partie de jambes en l’air inoubliable et nous nous sommes promis de recommencer pour nous donner encore plus de plaisir.
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