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Une maman insatisfaite

Chapitre 1

Inceste
Il était 14h16, j’étais en cours et je venais de recevoir un SMS. Il venait de ma mère et le message affichait : « Tu me manques déjà… J’ai hâte de pouvoir prendre ton chibre entre mes mains. »Cela faisait quelques mois que ma mère et moi nous nous adonnions à un jeu pervers où le but était de chauffer l’autre par texto. Un jeu dangereux, certains de mes camarades de classe auraient pu fouiller mon portable ou pire mon père aurait pu découvrir la relation spéciale que j’entretenais avec elle, mais il faut avouer que ce jeu marchait à merveille. Je ne compte plus les fois où en fin de journée, je n’avais qu’une envie c’était de rentrer chez moi et de faire l’amour avec ma mère. Les premières semaines d’ailleurs, cela a eu un mauvais effet sur mes résultats scolaires : je n’avais plus que ça en tête.Mais ce qui était encore plus excitant, c’était de voir que ça avait le même effet sur ma mère. Elle s’était même sentie obligée de prendre un vibromasseur discret avec elle à son boulot pour assouvir ces envies intenses que j’arrivais à lui procurer par message.Et je ne sais pas vous, mais pour moi, rien ne me fait plus bander qu’une femme terriblement excitée.
Mais il faut que je vous raconte comment tout cela à commencer, comment ma propre mère et moi en sommes venus au point de goûter au péché interdit, au plus exquis des tabous.
Il faut déjà que vous sachiez que mes parents ne s’entendent plus vraiment. Mon père, charmeur et romantique à l’époque, a vite montré sa vraie nature, après ma naissance. Il est arrogant, macho et très égoïstes. Il n’y a que son travail qui compte pour lui, la famille passe après. Mais sur ce point, je ne peux lui en vouloir qu’à moitié. Car grâce à lui, nous vivons dans une grande villa dans un quartier huppé de la ville. Niveau argent, ma mère et moi ne manquions jamais de rien. Mais la richesse ne fait pas tout, et je crois que mon père l’a oublié. Il a délaissée ma mère, au point de ne plus l’assouvir sexuellement. Il est du genre à s’arrêter quand il a joui, tant pis pour sa partenaire.Pire encore, je pense que cela faisait quelques temps qu’ils n’avaient plus eu de rapport. Et outre leur sexualité, ma mère ne s’entendait plus avec mon père à cause de son mauvais caractère. Mais elle restait avec lui. Je n’ai jamais vraiment compris pour quoi. Peut-être pour me protéger des souffrances d’un divorce. Je suis fils unique, alors je dois bien avouer que j’ai beaucoup d’attention de la part de ma mère. Nous avons toujours été très proche. Depuis que je suis tout petit, elle vient souvent vers moi pour trouver l’amour qu’elle ne reçoit pas de mon père. Même si ce ne fut pas le même genre d’amour, j’arrivais quand même à réchauffer son cœur.
Tout a commencé quand j’avais 18 ans, ma mère elle en avait 38. C’était un samedi après-midi, et le soleil tapait fort. Pour ma part, je squattais partout dans la maison à essayer de trouver une idée pour tuer l’ennuie. Ma mère, elle avait décidé de prendre une douche, après avoir fais son jogging quotidien.Mais lorsqu’elle eu fini, elle se rendit compte qu’il n’y avait aucune serviette dans l’armoire. Au temps pour moi, elle m’avait demandé de ranger les serviettes propres mais cela m’était sortit complètement de la tête. C’est comme ça que ma mère s’est retrouvée à se balader nue dans la maison à la recherche d’une serviette propre. C’est là que se produisit le plus beau coup du destin qu’il m’eut été de vivre : je montai les escaliers pour regagner ma chambre, quand je l’ai croisé sur le palier.
Ça m’avait fait un choc ! De la voir là, nue comme un ver, ses longs cheveux noirs attachés en chignon. Je n’osais pas la regarder tellement elle était sublime. Avec l’eau qui perlait sur sa jolie peau bronzée naturellement car elle était d’origine italienne. Ses formes divines, capable de faire bander un mort grâce à toutes ces années de sport et d’une diététique presque parfaite. Son minou pas tout à fait rasée, juste en ticket de métro. Et surtout, la plus belle paire de seins qui m’ait été donné de voir, avec un bon 100E en tour de poitrine. Faux malheureusement, mon père a réussi à la convaincre de se les faire refaire, avant que je sois né. Mais je dois avouer qu’elle ne perd rien de son charme.
Je cachais mes yeux par honte, et je m’excusais alors que je n’avais rien fais. Mais ma mère a eu une réaction complètement différente :— Oh ça va, comme si tu m’avais jamais vu nue ! Il y a un temps où je prenais mon bain avec toi, je te signale !Je baissais mes mains petit à petit. Je n’arrivais toujours pas à la regarder dans les yeux, mais l’envie de la dévorer du regard était bien là. Je ne tarda pas à avoir une érection, que j’essayais de cacher tant bien que mal. Puis elle continua :— Bon, tu vas rester là à me regarder ? Tu pourrais au moins me donner ton t-shirt comme un gentleman !Je me précipita pour lui donner. Mais elle ne le mit pas, elle s’essuya un peu le torse. Elle me regarda et sourit :— Approche…J’ai alors avancé d’un pas hésitant.— Plus près ! Me dit-elle presque dans un murmure.Mon cœur battait très vite. Elle s’approcha de mon oreille et me susurra :— Il me faut ton short.
Elle termina sa phrase en tapant légèrement son doigt contre mon nez. Elle ne me dit que bien plus tard qu’elle m’avait trouvé trop mignon dans ma timidité soudaine devant un corps de femme.
Mais surpris par sa demande, je lui ai demandé de me redire ça. Mais en voyant que j’hésitais vraiment, elle m’a tiré pour nous éloigner de l’escalier, elle m’a plaqué doucement contre le mur du couloir, elle s’est abaissée, puis a défait le lacet qui tenait mon short. J’avais toujours cette érection monstrueuse. Je commençais à pas mal stresser.— Mais… M’man, j’ai rien en dessous tu sais.— Ce n’est pas grave. Me dit-il d’une voix sensuelle. J’ai déjà vu ton « engin », tu s…Elle s’arrêta avant de finir sa phrase. Elle avait assez baissé mon short pour qu’elle puisse voir la moitié de mon érection. Sa bouche était grande ouverte, et elle continua de baisser lentement le short, jusqu’à mes genoux. Elle avait l’air subjugué par le fait qu’elle pouvait me faire de l’effet. Elle a tellement eu peu d’attention ces dernières années qu’elle pensait ne plus jamais pouvoir séduire m’a-t-elle confié quelques temps après. Elle passa sa main sur ma verge.— Et bien, dit-elle en marquant une pause pour pouvoir enlever entièrement mon short, je crois que nous n’aurons pas besoin de ça finalement…Le désir du corps de l’autre nous avez submergé. Je ne contrôlais plus rien. Elle s’est relevée, a passé une main sur mon torse, elle devait levé les yeux pour me regarder puisque j’étais plus grand qu’elle, nos visages se sont rapprochés et on s’est embrassé. J’ai embrassé ma mère ! Je n’en revenais pas. Je ne savais pas vraiment ce qui m’arrivait. Tout ce que je savais, c’est que j’avais terriblement envie de cette femme. J’ai presque dû me retenir d’éjaculer lorsque j’ai senti son ventre se frotter contre mon sexe lorsque nous nous sommes embrassés.Elle s’est rabaissée et a mis mon « engin »,comme elle l’avait dit, en bouche. D’abord, par un coup de langue subtil sur mon frein, puis sur mon gland. Elle m’a alors sucé tout en me masturbant avec une main. Mes mains glissèrent sur son cou. Je le caressais pendant qu’elle s’exécutait. De son autre main, elle prenait mes testicules et commença un divin massage. Ça avait beau faire un long moment qu’elle n’avait plus eu de rapport, elle sait toujours y faire ! Elle arrêtait parfois de me sucer une seconde, pour mieux me remanger après. Je décidai de m’y mettre moi aussi, et je me penchais en avant, mes mains glissèrent sur son superbe fessier, je m’approchais doucement par derrière, de son minou. Je me léchais les doigts, puis j’en fis en entrer deux dans son antre. Là où elle m’avait porté pendant 9 mois.Elle, elle accéléra son mouvement et variait la disposition de ses mains quand elle me branlait. Puis, elle fit glisser ma queue entre ses énormes seins. Inutile de vous dire que j’étais aux anges. La sensation était exquise. Elle me resuça encore un peu pour qu’il glisse mieux.— Tu les aimes les seins de maman, hein ? Me dit-elle avec un sourire plus que coquin.Lorsqu’elle me suça une nouvelle fois, je sentis que j’allais éjaculer. Mais je ne voulais pas, je voulais la retarder le plus possible. Pour m’accorder une petite pause, je lui ai demandé si on ne serait pas mieux dans sa chambre, elle acquiesça et nous nous dépêchions d’y aller. En entrant elle m’embrassa de nouveau.
Puis elle s’allongea sur le lit. Les rayons de soleil éclairait somptueusement la pièce, et voir ma mère nue de la tête aux pieds en train de m’attendre, cette scène restera toujours gravé dans ma mémoire.Je me mis au dessus d’elle, parce que je voulais encore un profiter de ses seins et de sa bouche. J’adorais la façon dont ses lèvres recouvraient mon gland. Elle me donna encore quelques coups de langue bien placés sur ma grande veine bleue. Mais puis surtout, elle embrassait mon sexe à chaque vas et viens entre ses seins. C’était délicieux. La douceur de ses seins et la chaleur de sa bouche.Je la repoussa délicatement au front pour lui dire d’arrêter parce que j’allais déjà jouir, la sensation était trop bonne. En attendant que la sauce redescende, elle a mis ses bras autour de mon cou et nous nous sommes embrassés fougueusement. Mes lèvres mangeaient presque les siennes. Mon désir pour elle était brûlant.
C’était à mon tour de m’occuper de ma petite maman. Je m’approchais de son vagin. Je prenais mon temps, je la faisais languir. Elle, elle se mordait les lèvres. Est-ce que mon père avait déjà fais ça avec elle ? Ça m’étonnerait.Ma mère s’est mis en position semi-assise, pour mieux me voir en train de lui fouiller le minou avec ma langue. Mais d’abord j’embrasse son ventre, l’intérieure de ses cuisses, son pubis. Mes mains font le même trajet. Puis seulement, elles arrivent à ses lèvres. Je la caresse, mais j’évite son clitoris. Maman s’agrippe un sein et commence à jouer avec son téton.— Alors ? Tu veux que je m’occupe de ton petit clitoris ? Lui demandais-je d’un ton un peu sournois.— Oui, vas-y… Répondit-elle d’une voix calme.— Tu en as vraiment envie ?— Oui, je te dis ! Je tiens plus ! Bouffe moi la chatte !J’ai alors léché et sucé son clitoris. En même temps, mes doigts commencèrent à fouiller en elle. Je faisais des mouvements réguliers sur son point G. Et elle ne tarda pas à avoir son premier orgasme. Sa respiration s’était fait plus forte, des spasmes parcouraient son ventre et ses jambes.J’avais lu sur Internet qu’après un orgasme, il ne fallait pas trop stimuler le clitoris. Au contraire, poser sa main dessus rendait la jouissance de la dame encore meilleur. Je m’exécuta donc et la laissa reprendre son souffle. Puis elle me dit d‘une voix toute douce, dans un ton presque suppliant : — Encore… Encore s’il te plait… Ça m’a tellement manqué…Je l’embrasse sur la bouche. Elle est si belle quand elle jouit. Je me remis donc au travail, mais cette fois, j’y allais un peu plus fort sur son point G. Ses gémissements se firent de plus en plus fort. Elle avec une main accrochée au drap. Puis elle cria :— Oui… Oui, ça vient oui ! T’arrêtes surtout pas ! C’est si bon !Puis d’un coup, l’extase ! J’ai senti quelque chose pousser mes doigts. Son vagin sécréta un liquide et la moitié du drap fut vite trempé.Ma mère me sourit et on s’embrassa de nouveau. Elle me dit :— Tu veux baiser ta petite maman ?— Et comment ! Lui répondis-je. Je n’ai même pas débandé !Elle enleva la pince dans ses cheveux, et remua la tête pour les faire tomber. Elle était si belle. Elle s’est mis alors au bord du lit et m’a un peu sucer la queue pour la lubrifier avec sa salive. Puis elle recula en arrière, et écarta ses jambes. Elle me regardais avec un air d’intense envie, d’ailleurs elle se mordait les lèvres. Je levais sa jambe droite, et fit entrer mon sexe lentement. Oh mon dieu, c’était si bon. Je sais que ça a l’air idiot, mais le fait que ce soit le vagin de ma mère décuplait mon plaisir. J’avais à peine entré mon gland que je sentais déjà le sexe de maman bien mouillé. Chaque centimètre que je rentrais, la sensation était meilleure.Puis, mon gland buta. J’étais proche de son utérus. Ce qui était parfait parce que j’avais su mettre mon sexe en entier.— Tu as vu ça, maman ? Lui dis-je, la taille de nos sexes concordent exactement!— A croire que lorsqu’un fils grandit, la taille de son sexe est basé sur le minou de sa mère. Elle me sourit d’une manière qui me disait qu’elle avait envie de moi.— Peut-être que naturellement les hommes sont fait pour coucher avec leur mère alors ?Je rigola et elle me dit :— Ah oui ? Et bien prouve-le.
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