Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 210 J'aime
  • 6 Commentaires

Une maman pas très sage

Chapitre 1

Erotique
Sandra venait juste de déposer ses deux enfants à l’école et rejoignit d’un pas rapide son break ; avec tous ces embouteillages, il ne fallait pas qu’elle perde une minute. De son pas décidé, elle allongeait la foulée chaussée de ses escarpins à lanières blanches., elle faisait quand même attention à ne pas trop transpirer, car son rendez-vous était important et elle ne voulait pas être trempée de sueur du moins pas au début. L’allure fière, elle marchait à grands pas, sa longue chevelure rousse balançant de part et d’autre de son dos, ses seins fermes et libres de toute entrave ballottaient sous le t-shirt échancré au rythme de ses pas, sa minijupe en corolle révélant ses cuisses bronzées et musclées, elle rejoignit la voiture où l’attendait le chauffeur africain détaché par la société de son mari.
Elle entra et la bouffée fraîche d’air conditionné lui fit dégouliner les aisselles et le dessous de ses seins, elle s’essuya avec un mouchoir à l’abri du regard de son chauffeur, car elle ne portait pas de soutien-gorge aujourd’hui, elle voulait plaire et séduire. La voiture démarra et après avoir passé le poste de garde du camp où se trouvait l’école, ils furent immédiatement engloutis dans les embouteillages de la rue principale. Elle avait calculé qu’avec le trafic et la distance, il lui faudrait à peu près une demi-heure pour joindre son lieu de rendez-vous. Cela lui donna le temps de se remémorer les événements de ces derniers jours. Voilà bientôt un an que son mari et elle furent affectés dans ce pays de l’Afrique de l’Ouest de réputation plutôt mauvaise.
Il était difficile d’y vivre, car il y avait peu de ravitaillement et comme elle et sa famille avaient peu de goût pour la cuisine locale, elle passait ses journées sur la route à chasser une livre de beurre dans un quartier ou un poulet à l’autre bout de la ville. Malgré ses tracas, elle prenait sa peine en patience et s’occupait de ses enfants et de son mari en bonne épouse. Pour agrémenter la vie, ils avaient rencontré d’autres expatriés qui galéraient comme eux. Pour se changer les idées, chacun organisait à son tour une petite soirée le week-end afin de relâcher la pression de la semaine, car au travail aussi, les hommes ne s’amusaient pas non plus. C’était justement au cours d’une soirée comme celle-là qu’ils avaient rencontré Bruno. De taille moyenne, il était bien musclé, avec des cheveux bruns et des yeux noirs pétillants.
Ils avaient sympathisé avec son mari et avaient discuté une bonne partie de la soirée entre deux danses, car Sandra avait repéré de suite qu’il dansait très bien et comme son mari n’avait même pas le sens du rythme, elle le mobilisait à chaque danse qu’elle affectionnait et particulièrement le rock, le slow étant réservé pour son homme. Bruno était divorcé et vivait donc en célibataire, aussi ces dames ne se privaient-elles pas de le prendre comme cavalier à chaque occasion, et il s’était fait un réputation de très bon danseur, ce qui lui valait d’être invité à chaque soirée, de plus il ne rechignait pas de temps en temps à rendre très discrètement des services plus personnalisés aux dames désœuvrées. Durant les quelques danses qu’elle avait eues avec lui, elle s’était aperçue qu’elle ne lui était pas insensible et quelques regards sur sa poitrine avaient confirmé qu’il n’était pas de bois.
Elle allait justement l’inviter pour la soirée qu’elle donnait la semaine prochaine et voulait lui demander de venir pour lui servir de cavalier. Elle arriva devant sa villa dans la demi-heure qu’elle avait prévue et sonna à la porte d’entrée. Il apparut quelques instants plus tard, ceint uniquement d’une large serviette autour des reins, torse et pieds nus. Il s’excusa pour la tenue, il sortait de la douche et comme il avait été de l’équipe de nuit, il venait tout juste de se lever. Sandra fut troublée à la vue de ses pectoraux musclés et surtout par les tablettes de chocolat qui descendaient sous la serviette, elle eut une bouffée de chaleur qui lui monta du ventre, ce mec était à croquer même pour une maman comme elle. Secrètement, elle n’avait pas espéré en voir autant le premier jour et sa tenue un peu légère n’arrangeait pas la situation.
Lorsqu’il s’aperçut qu’elle ne portait pas de soutien-gorge ni de culotte, elle l’avait enlevé dans la voiture dans un geste de folie érotique, un large pli apparut dans la serviette au niveau où les abdominaux disparaissaient. Il en déduit qu’une mère de famille respectable ne venait pas voir un célibataire sans culotte uniquement pour lui lancer une invitation, il tenta sa chance et l’agrippant par la taille, l’accola contre son ventre tout en embrassant sa bouche furieusement, c’était exactement ce que Sandra attendait, il était tombé sous le charme et la bosse qu’il frottait contre son ventre en disait long sur ses intentions. Lui adossé contre le mur de l’entrée, elle avait fait glisser la serviette au sol et s’était emparée de sa verge, elle était de taille respectable, mais très large. Ses longs doigts carminés avaient peine à en faire le tour et le gland généreux qui la surmontait produisait en abondance une laitance qui ne laissait aucun doute sur son excitation.
Leur désir mutuel était tellement fort qu’ils ne s’embarrassèrent point de préliminaires, relevant une cuisse, elle guida la pointe du sexe à l’aplomb des ses lèvres et pliant le genou, l’engloutit jusqu’à la garde. Bruno la besogna avec énergie tout en promenant ses lèvres dans son cou, il lui murmurait combien il l’avait désirée depuis le premier jour où ils s’étaient rencontrés, elle lui avoua qu’elle aussi avait eu très envie de lui et qu’à chaque fois qu’elle avait fait l’amour avec son mari depuis leur rencontre, elle pensait à lui. La position n’était pas des plus confortables, mais ils s’en moquaient, Sandra dans un éclair de lucidité se dit qu’elle n’aurait pas besoin de séance d’aérobic cette semaine. La verge de Bruno allait et venait dans son ventre, à chaque fois que ses bourses touchaient sa vulve, il donnait un coup de reins et le bruit mat de son ventre frappant l’entrecuisse de Sandra résonnait à intervalles de plus en plus rapides.
Il avait les mains agrippées sur ses seins, ce qui étirait son T-shirt déjà très échancré. Les mamelons dardés, elle subissait les assauts de son amant fougueux avec délice, il était puissant et son dard de chair coulissait avec aisance dans son vagin malgré sa taille avantageuse. Bruno ne résista pas longtemps à ce régime et d’un dernier coup de reins rageur, il se vida dans le ventre de sa nouvelle maîtresse. Elle fut remplie de semence et de longues traînées dégoulinaient le long de ses cuisses, il continua ses va-et-vient jusqu’à ce que Sandra atteigne son plaisir aussi. Ce fut rapide, mais intense, en l’espace de quelques minutes, ils avaient épanché leur désir et étaient devenus amants. Pantelante, elle essuya ses cuisses et son sexe de tout le sperme qui s’échappait de son ventre et l’embrassa du bout des lèvres en lui promettant mieux pour la prochaine fois. Ils se séparèrent et Bruno lui confirma sa présence pour la soirée.
Morte de honte pour avoir cédé si facilement et s’être comportée comme une fille facile, elle retourna chercher les enfants à l’école, prépara le repas et prit une douche, car son mari avait souvent l’habitude de faire une sieste polissonne après le repas et elle n’avait nullement envie qu’il s’aperçoive de son incartade matinale. Effectivement après le repas, Robert émit des désirs tout en caressant la croupe de sa femme par-dessus la robe courte qu’elle portait le matin. Que son mari lui enfile sa verge là où son amant était quelques heures plus tôt la troubla énormément, elle aurait dû changer de robe, mais avec une pointe d’excitation, elle pensa que, sans qu’il le sache, aujourd’hui il n’était pas le premier ni le seul à avoir profité de ses faveurs. Après avoir reçu un bon cunnilingus, elle l’avait enfourché et par de petits mouvements du buste elle avait masturbé de sa vulve la verge plantée en elle.
Raymond n’avait rien remarqué, ni les lèvres du sexe gonflées par les coups de boutoirs de son amant ni le goût un peu plus salé de la vulve de sa femme. Elle était très excitée, elle revoyait Bruno la martelant contre le mur, elle qui n’avait que rarement eu deux hommes dans la même journée, réalisa que ça lui plaisait bien. Raymond se laissa aller après quelques instants de chevauchement, Sandra le regardant droit dans les yeux tout en se caressant la poitrine et le clitoris, il perdait généralement pied après qu’elle ait empoigné sa poitrine et ait pincé ses tétons entre le pouce et l’index. A cet instant, elle avait un air de salope qui lui faisait perdre la tête, Sandra connaissait la faiblesse de son mari et quand elle voulait abréger, elle ne manquait pas de pratiquer cette astuce, il gicla très rapidement dans son ventre et après un baiser s’endormit pour quelques instants.
L’après-midi à la piscine avec les enfants et les copines, elle continua à éprouver ce sentiment de culpabilité, elle avait quand même fait son mari cocu et ça lui posait un problème de conscience. Elle avait énormément de remords et en même temps elle avait adoré cette étreinte furtive. Elle resta songeuse le reste de l’après-midi à surveiller ses enfants. Les jours passèrent sans qu’ils se revoient, et les hommages de son mari calmaient un peu ce feu qu’elle avait dans le ventre depuis sa rencontre avec Bruno. Ils s’étaient revus le dimanche matin à la piscine alors qu’elles se baignaient avec leurs enfants et son mari. Raymond était un bon nageur et pour garder la forme, il faisait des longueurs tous les jours. Après avoir déposé ses palmes sur le bord, il s’approcha de sa femme qui accoudée au bord face à la margelle lui présentait le dos.
Il lui entoura la taille, déposa un baiser sur sa nuque et resta collé à son dos tout en conversant avec elle et Bruno qui s’était installé dans un transat face à eux. Raymond entrevit le côté canaille de la situation et cela lui donna une envie folle, Bruno ne voyait d’eux que la tête et les épaules, le reste de leur corps étant caché par le bord de la piscine. Voulant savoir jusqu’où sa femme serait capable d’aller, il lui cala entre les fesses sa colonne de chair tendue ; elle eut un petit geste de recul, mais ce fut plutôt de la surprise que du refus. S’enhardissant, Raymond passa une de ses mains sur le ventre de Sandra et descendant plus bas, écarta le tissu du maillot pour ménager un passage, puis reculant son ventre, il fit basculer son sexe entre les jambes de sa femme et le laissa remonter entre les lèvres de son vagin. Il bandait tellement fort que Sandra ressentit la colonne de chair lui appuyer sur tout l’entrejambe, le salaud, il était vraiment en forme.
Son gland remontait entre les bords ourlés de sa vulve et son contact lui déclencha une très forte envie. Bruno était en train de leur proposer un tour en bateau sur la rivière pour le week-end suivant la partie. Malheureusement Raymond ne serait pas là, car son travail l’éloignerait pendant quelques jours, mais tout en la lutinant discrètement, il convainquit Sandra d’y aller avec les enfants, ce qu’elle accepta avec joie. Ses petits allers et retours discrets commençaient à la chauffer sérieusement, son mari était un pervers et il la surprenait souvent en lui faisant l’amour discrètement dans des situations plutôt scabreuses. Il venait, d’un coup de reins appuyé, faire rentrer son gland dans le ventre et le contact de celui-ci dans son fourreau devint très rapidement insupportable. Raymond s’amusait, il la voyait perdre pied petit à petit, mais ne se pressait pas, il aimait rester des heures à besogner son épouse avant de la faire jouir souvent très fort.

Elle aimait qu’il lui fasse découvrir de nouveaux plaisirs, mais il fallait qu’il réussisse d’abord à vaincre sa pudeur, il aimait éduquer son érotisme et n’avait pas à se plaindre des progrès de son élève, pleine de sensualité, elle respirait le désir et ne demandait qu’à être bien élevée. Par de petits coups discrets, Raymond butait avec son gland sur le clitoris et eut tôt fait de lui déclencher un orgasme fulgurant, elle en perdit la voix. Elle venait juste de reprendre ses esprits lorsqu’elle ressentit des giclées chaudes dans son ventre, Raymond très émoustillé par la situation avait comme à son habitude avait été très prodigue avec la semence. Se détachant de lui, elle empoigna l’échelle et sortit de l’eau pour aller aux lavabos, ce faisant, alors qu’ elle enjambait la margelle, un long filet de semence s’échappa du bord de son maillot et macula l’intérieur de sa cuisse.
Bruno remarqua immédiatement l’objet du délit et réalisa en un instant ce qui venait de se passer sous ses yeux, Raymond et sa femme avaient baisé devant lui sans qu’il s’en aperçoive, ils étaient vraiment très gonflés tous les deux et surtout elle avec ses airs de rien. Il prétexta un rendez-vous et sans demander son reste les quitta.
La préparation de la soirée occupa Sandra pour le reste de la semaine. Elle avait prévu une soirée déguisement et comme toujours, elle avait remporté un franc succès avec son idée. Tous les gens aimaient les soirées déguisées, cela leur permettait pendant un moment d’être qui ils voulaient et d’oublier les tracas de la vie courante. Elle avait choisi un costume de bonne sœur, dont la chasuble largement échancrée sur le côté laissait deviner la lisière de bas noirs qui habillaient ses longues jambes bronzées chaussées de haut talon noir à lanières ; le contraste était saisissant et très érotique, elle avait enfilé son slip par-dessus le porte-jarretelles, signe qui n’avait pas échappé à son mari. Lorsqu’elle faisait ça, cela signifiait qu’elle serait disponible pour des étreintes avec ses bas, Raymond s’en régalait d’avance, car dans son esprit, il en serait le seul bénéficiaire en fin de soirée.
Sandra avait soigneusement préparé sa soirée et comme d’habitude ce fut un succès, elle avait choisi son costume avec soin, un ange au dehors cachant un démon à l’intérieur. Elle savait pertinemment qu’avec cette échancrure sur le côté, elle allait provoquer des bouffées de désir à plus d’un mâle et quoi de plus érotique que le fantasme de la bonne sœur. Bruno avait fait une arrivée remarquée, il était en gladiateur, le torse nu avec la jupe à mi-cuisse et les sandales de cuir. Son torse musclé et bronzé mettait en valeur ses larges épaules et surtout ses abdominaux parfaits. Plus d’une femme eut un œil lubrique en admirant son ventre plat et ses bras musclés. Sandra en perdit le souffle, ce gars respirait la sensualité et une certaine bestialité s’échappait de sa démarche d’athlète, une boule désir lui tordit l’estomac et sa féminité humidifia rapidement sa petite culotte en dentelle noire.
Elle eut du mal à se reprendre, mais il fallait qu’elle s’occupe de ses invités et continua le service. La musique était bonne et tout le monde s’amusait. Bruno avait eu un succès fou avec son costume et Sandra avait eu du mal à obtenir de lui quelques danses tellement il était sollicité par les autres femmes. La soirée battait son plein et les gens après s’être repus, dansaient un peu partout dans le jardin et dans la maison. Sandra dégagée du service entama quelques slows langoureux avec son mari, la soirée s’annonçait plutôt bien pour elle, car bien que peu religieux, il dévouait une sainte adoration pour les accoutrements de bonne sœur pas très sage avec talons hauts et bas à couture. Il avait tenté plusieurs fois de l’enlever dans un coin discret afin de lui prouver son entrain, mais elle avait habilement dévié le piège et s’amusait à le chauffer sérieusement. On manquait de bouteilles et elle alla en chercher dans le garage qui leur servait de cave.
A peine rentrée, elle entendit la porte claquer derrière et avant d’avoir pu se retourner, une paire de mains s’était emparée de ses seins et les malaxait avec force. Elle ne reconnut pas son mari, mais il ne lui fallut que peu de temps pour reconnaitre le torse musclé qui lui collait au dos. Bruno avait saisi cette chance de voler quelques minutes d’intimité avec sa nouvelle maîtresse. Relâchant un de ses seins, il descendit le long de son ventre et retroussant la chasuble glissa sa main entre les cuisses. Il ressentit immédiatement la moiteur de son entrejambe et écartant le slip de côté, inséra le majeur et l’index entre ses lèvres gonflées de désir. Elle ne perdit pas de temps non plus et attrapa la verge du mâle en glissant une main dans le dos. Elle entama une masturbation rapide du membre au travers le tissu de la toge et accompagna les doigts de son amant d’un mouvement de hanches rapides.
Ils furent foudroyés par le plaisir très rapidement, presque aussitôt, une décharge de semence chaude gicla entre ses doigts sous le tissu et atterrit sur le sol du garage, visiblement il n’avait pas mis de slip sous sa toge romaine, lui avait les doigts trempés de la cyprine qu’elle avait abondement produite sous la caresse de ses doigts. Ils étaient en train de se remettre quand elle entendit la voix de son mari qui la cherchait, sans demander leur reste, ils se chargèrent les bras tous les deux de bouteilles et quittèrent le garage rapidement. Raymond entrevit du fond de la salle Sandra ressortir du garage, suivie de Bruno les bras chargés de bouteilles, bonne idée pensa-t-il on commence à être à sec un peu partout. Il la rejoignit et l’aida à distribuer la boisson. Bruno quant à lui, s’était éclipsé aux toilettes pour effacer les traces de ses frasques sur la toge.
La soirée se termina tard et les gens semblaient enchantés, après avoir débarrassé les dernières tables Sandra et Raymond montèrent se coucher, du moins ils rejoignirent leur chambre. A peine rentré, Raymond entoura la taille de son épouse et la plaçant face à la glace de l’armoire, retroussa sa chasuble noire. Ses longues jambes fuselées habillées de bas noirs à couture se reflétaient dans le miroir et la main de l’homme s’attardait sur les replis de la culotte en dentelle noire. Il la fit glisser le long des jambes et la vision de la toison rousse de Sandra, contrastant avec le noir des bas mit le feu aux sens de Raymond, il avait envie d’elle depuis si longtemps que son désir l’avait torturé pendant toute la soirée. De la voir se promener entre les invités en révélant une vision furtive sur ses cuisses gainées de soie noire l’avait mis dans un état proche de l’extase.
Bien campée sur ses talons hauts, les jambes écartées elle s’offrait sans pudeur à la caresse des doigts de son homme, de temps en temps elle entrouvrait les yeux pour bénéficier du spectacle que la glace leur renvoyait, son mari lui avait donné le goût du voyeurisme au début de leur relation, quand un jour alors qu’ils s’ébattaient dans le jardin, il avait emprunté le miroir qui se trouvait dans le berceau de leur fille pour lui révéler l’image très érotique de sa verge plantée dans son ventre, elle avait été très troublée par cette image, mais avait adoré la sensation qu’elle lui avait procurée. Ses mains remontaient le long de son ventre musclé tout en soulevant le costume. Les longs doigts nerveux atteignirent le soutien-gorge pigeonnant et englobèrent les deux seins. Elle l’avait choisi avec soin, en dentelle noire avec de fines bretelles, il englobait la base des seins jusqu’à la lisière des tétons.
Elle regardait dans la glace les mains de son mari pétrir les globes laiteux parsemés de taches de rousseur. Du pouce et de l’index, il pinçait la pointe des seins dardée par le désir, ce qui eut pour effet de relancer une pointe dans son ventre. Les jambes largement écartées, elle faisait l’admiration de Raymond tellement elle était désirable, totalement impudique elle affichait sans complexes sa nudité. Soudainement, le gland cramoisi apparut à la base de sa vulve, il progressait lentement en écartant les lèvres crissant dans la toison. Après quelques allers et retours un filet argenté apparut, suintant du méat et maculant l’entrecuisse et la lisière de ses bas. Ayant passé un bras dans le dos, elle malaxait les bourses de Raymond, elles étaient bien pleines et fermes, signe d’une intense excitation.
Abandonnant sa caresse, il s’agenouilla derrière elle, toujours face à la glace et inséra la langue entre les lèvres de son sexe, Sandra gémit, elle adorait cela, bien campées sur ses talons, les mains appuyées sur le haut du miroir, elle cambra sa croupe pour faciliter la caresse. Elle entrevoyait son mâle à genoux, la verge tendue, les mains agrippées sur le haut de ses cuisses et la langue fouaillant sa toison, l’image était hautement érotique pour ne pas dire pornographique. Une chaleur intense montait du fond de son ventre, elle n’allait pas tenir longtemps à ce rythme, la combinaison des sensations provoquées par les caresses et la vision d’enfer que renvoyait la glace allait avoir raison d’elle très vite. De la pointe de sa chaussure, elle agaçait la verge de son mari, elle pressait le gland contre le bas-ventre et pivotant le pied imprimait un frottement circulaire, Raymond faillit éjaculer sous cette caresse.
Ils s’allongèrent sur le lit chacun sur le côté face à face et entamèrent une discussion pour calmer le jeu. Il la félicita pour la soirée très réussie qu’elle avait organisée, il lui disait combien les gens avaient apprécié sa cuisine, l’organisation sans reproche et la bonne musique qui accompagnaient le tout, puis baissant la voix, il la félicita aussi pour son déguisement qui n’avait pas manqué d’alimenter les conversations masculines. Il lui avoua avoir surpris des conversations entre mâles qui n’avaient qu’une idée en tête, se faire confesser par elle pour tous leurs pêchés passés et pour tous ceux qu’ils avaient l’intention de commettre avec elle. Raymond lui avoua que ces remarques l’avaient, contrairement à ce qu’il aurait pensé, plutôt excité qu’énervé. Que des hommes aient envie d’elle ne le choquait pas au contraire il aimait.
Sandra écoutait son mari, intriguée par ce qu’il venait de lui avouer, il n’était pas jaloux et aimait que des hommes aient envie d’elle, c’était troublant, elle se demandait quelle serait son attitude s’il avait su pour ses incartades avec Bruno. Cherchant à en savoir plus, tout en caressant la colonne de chair dressée entre les cuisses de son mari, elle lui posa des questions sur son absence de jalousie et ce qui pouvait bien l’exciter à la voir être enviée par d’autres hommes. Il ne sut pas vraiment tout lui dire, mais son imagination lui avait fait entrevoir sa femme pénétrée par des inconnus et cela l’avait énormément excité, elle put s’en rendre compte à la raideur du membre qu’elle tenait entre ses doigts.
Ce soir, il avait franchi un pas supplémentaire en ayant des visages sur les inconnus de ses fantasmes, il en tremblait de désir ; l’un d’entre eux aurait pu être celui dont il imaginait la verge plantée dans le ventre de sa femme, le rêve commençait à devenir réalité et cela l’affolait en même temps. Jouant le jeu, elle ne s’offusqua pas des fantasmes de son homme, mais garda une certaine retenue afin de préserver les bonnes apparences. Curieuse, elle lui demanda qui aurait pu être l’inconnu de ses fantasmes et la réponse lui fit monter le rouge aux joues, Bruno fut le premier, son physique lui donnait la préférence de Raymond, elle réfuta son choix en lui déclarant qu’il était bien, mais pas assez grand à son goût, ils repassèrent en revue tous les hommes qui étaient présents et évaluèrent chacun sans grand succès, aucun ne semblait répondre à leur critère de sélection.
Elle se retourna et levant une jambe, amena la pointe de la verge à l’entrée de sa vulve, puis d’un coup de reins expert, engloutit toute la colonne de chair dans son ventre, le miroir renvoyait une image des plus érotiques, seules les bourses apparaissaient à la racine de sa vulve, entourée par les bas noirs à coutures et le porte-jarretelles qui moulait sa croupe. Raymond commençait à perdre pied, cette vision était celle qui lui provoquait le plus d’effet, l’impudeur de sa femme alliée à ses fantasmes produisait à chaque fois un feu d’artifice dans ses sens. Sandra, tout en surveillant le miroir, ondulait des hanches en s’appliquant à chaque mouvement à bien révéler la tige de chair qui lui entravait le ventre, entretenant cette vision d’enfer, elle posa innocemment la question de savoir quelle serait sa réaction si en rentrant dans la chambre un jour, il la trouvait dans cette position avec la queue d’un autre plantée là ou se trouvait la sienne.
Elle n’eut jamais de réponse, car, à peine avait-elle faite cette allusion qu’il se vida en longues gerbes de sperme en râlant de plaisir à grands coups de reins. Au bout de quelques instants, il lui confessa qu’il n’était pas sûr de pouvoir assumer son fantasme jusqu’au bout, car il avait peur que ça perturbe leur couple. Il voulait bien fantasmer, mais il n’était pas encore prêt pour les réaliser. Elle se félicita de ne pas avoir trop perdu la tête au point de lui avouer que son fantasme était plus d’actualité qu’il ne le pensait. Dans le courant de la semaine, il quitta sa famille pour aller à l’autre bout du pays. Son séjour allait le tenir éloigné pendant presque une semaine. Le dimanche suivant comme convenu, Bruno vint chercher toute la petite famille pour un tour en bateau. Pratiquement tous leurs amis possédaient un bateau, car là où ils trouvaient, c’était la seule activité lucrative disponible.
Le delta dans lequel se trouvait la ville où ils étaient basés comportait de nombreux méandres de rivières et à environ une heure, une plage de sable servait de point de rencontre pour toute la communauté d’expatriés. Le week-end chacun se rendait par ses moyens sur ce site pour un barbecue et des parties de pêche sans fin. Sandra en avait entendu parler, mais jamais personne hormis Bruno, n’avait lancé d’invitation, aussi se faisait-elle une joie de pouvoir aller à la plage avec les enfants. La journée se déroula magnifiquement bien, le barbecue était excellent et le petit vin rosé, que Bruno avait apporté dans la glacière, divin. Sandra avait la tête qui tournait un peu et elle aimait cette sensation cotonneuse où tout paraissait bien. Les enfants s’étaient amusés dans le sable et baignés dans la rivière sous l’œil vigilant de Bruno...
La journée avait été très sympathique et chacun des deux s’étaient appliqués à avoir une attitude qui ne laissait aucune équivoque, ils évitaient soigneusement le contact ou un quelconque regard qui aurait pu alimenter les commérages. La ville était petite et les nouvelles allaient vite, de plus Bruno étant célibataire, il bénéficiait d’une attention particulière de la part de la communauté des gens mariés qui l’épiaient sans cesse. L’heure du retour avait sonné et après avoir rembarqué les parasols et les glacières, tout le monde embarqua dans le bateau, les enfants dans la cabine, un peu assommés par la journée très active qu’ils avaient passée dans l’eau et sous le soleil. Sandra s’installa debout à l’arrière de la cabine une fesse en appui sur l’un des deux sièges à l’extérieur.
Bruno, après avoir remonté l’ancre, la rejoignit et démarra les deux moteurs, ils en avaient pour une heure de rivière et toute la flottille repartait en même temps au cas où l’un d’entre eux aurait eu besoin d’un dépannage. Il ne faisait pas bon passer la nuit sur la rivière en panne, de nombreux pirates écumaient le secteur ainsi que des contrebandiers. Bruno pilotait son bateau avec une grande maîtrise et jetait de temps en temps un coup d’œil vers Sandra pour voir si elle n’avait pas le mal de mer ; celle-ci les cheveux au vent appréciait avec délice la caresse du vent sur tout son corps, et les pointes de ses seins dardaient au travers de son maillot de bain. Il n’en fallut pas plus pour déclencher une formidable érection dans le maillot de Bruno. Sandra s’en aperçut et en fut émue, l’absence de son mari combiné à l’attrait physique qu’elle éprouvait pour son amant provoqua une soudaine bouffée de désir.
Elle le voulait dans son ventre, maintenant sur ce bateau devant tous ces gens, pendant que ses enfants dormaient à deux pas d’eux, peu lui importait, son désir primait sur tout autre chose. Bruno ralentit et se laissa dépasser par tous les autres bateaux puis régla son allure pour suivre le dernier à bonne distance. Pendant qu’il manoeuvrait, Sandra s’occupait du renflement qui déformait son slip de bain bleu clair. Elle lui administrait une bonne branlette à travers l’étoffe, une large tache sombre s’élargissait au niveau du gland. Elle glissa ses doigts sous le tissu et sortit le sexe par le côté du maillot au cas où il faudrait qu’il rengaine rapidement. Ce fut la première fois qu’elle eut vraiment l’occasion de voir le membre de son amant, les autres étreintes avaient étés trop furtives pour qu’elle l’observe de plus près.
Il était de bonne taille et surtout très épais, de fines veinules bleues mélangées à plusieurs veines gorgées de sang parcouraient la hampe sur toute sa longueur. Le gland gorgé de désir était cramoisi et humide, sa taille respectable et son volume procuraient une sensation de plénitude lorsqu’il faisait son passage entre les lèvres ourlées de Sandra. Elle agaça la pointe avec le pouce en imprimant de petits cercles sur le méat d’où s’échappait un lubrifiant abondant. Les deux mains sur le volant, Bruno ne pouvait que subir les caresses imposées par Sandra et il appréciait largement son expérience de femme mariée, elle savait comment s’occuper d’un homme et connaissait toutes les caresses qui le rendait fou de désir.
Elle l’abandonna un court instant pour retirer le haut de son maillot et son Tshirt largement échancré battant au vent laissait apparaître ses seins laiteux aux pointes gonflées de désir, puis reprenant sa caresse, elle se plaça à côté de lui et de sa main libre caressa ses pectoraux. Le petit jeu de Sandra avait eu des effets impressionnants sur le sexe de son amant, elle était tellement raide et bandée qu’elle avait du mal à la tenir en main. Elle décida qu’il était temps de passer aux choses sérieuses, se glissant entre Bruno et le volant, elle lui présenta sa croupe en une invite qui aurait fait damner un saint. Il appuya sa verge entre les deux globes charnus de ses fesses. Empoignant l’objet de son désir et le présenta à l’aplomb de sa vulve. Elle y resta quelques instants à faire des va-et-vient entre les lèvres n’insérant que le bout du gland. Sur un clapot un peu plus fort elle laissa échapper sa prise et la verge tout naturellement trouva son chemin dans son intimité.
Ils restèrent quelques instants immobiles lui enfonçaient jusqu’à la garde dans son ventre. Elle ressentait les battements de son cœur à travers la colonne de chair profondément plantée, les muscles de ses parois se contractaient de plus en plus, ce qui excita encore plus son amant. Tout en conduisant, il commença à la besogner à grands coups de reins, le bruit mat de son ventre claquant sur sa vulve couvrait le bruit des moteurs. La cyprine mélangée au lubrifiant débordait du fourreau et s’écoulait en longue traînée sur les bourses de Bruno. Ils se ménagèrent pendant de nombreuses minutes, alternant les coups de reins lents avec de rapides va-et-vient, à chaque fois que le plaisir semblait vouloir les faucher, ils ralentissaient la cadence pour faire durer le plus longtemps possible. Sandra caressait les bourses de son amant, elles étaient douces et bien pleines, pas de doute elle allait en avoir pour son compte.
Ce fut la plus longue étreinte qu’ils n’aient jamais eue ensemble, sur un clapot plus violent que les autres, Bruno perdit pied et jouit très fort en râlant, à peine ressentit-elle les premiers jets de semence dans son ventre que Sandra à son tour fut rattrapée par un orgasme fulgurant, son amant se vidait en elle et comme elle avait présumé en caressant ses bourses, il avait été plus que prodigue en sperme, au point que celui-ci dégoulinait abondement le long de ses cuisses pour finir sur le plancher en larges tâches. Ils restèrent soudés l’un à l’autre pendant plusieurs minutes, suffisamment pour que Bruno reprenne la forme. Sandra sentit le sexe de son amant reprendre du volume, il allait sûrement remettre le couvert, que son amant ait aussi envie d’elle la flatta, elle reprit ses ondulations du bassin tout en surveillant que les enfants ne se réveillent pas, quand aux autres bateaux, il n’y avait que peu de chances qu’ils voient quoi que ce soit.
Bruno passa une main sous le t-shirt de Sandra et lui caressa le ventre dans lequel sa verge allait et venait, elle avait de magnifiques abdominaux sur lesquels ses doigts s’attardaient, elle était très sensible à cette caresse, elle ondulait du bassin comme une chatte, il remonta la main et engloba un sein dans ses doigts nerveux, il le malaxa pendant un bon moment. Sandra haletait de plus en plus fort, les caresses prodiguées attisaient son désir sans compter le pieu de chair qui continuait à la besogner conscensieusement, de son pouce et de son index, il pinça le téton dardé et lui infligea une torture délicieuse en l’étirant et en l’agaçant avec agilité. Sandra feulait en se tortillant, le plaisir n’allait pas tarder à la reprendre, son amant était diabolique, chaque partie de son corps qu’il touchait s’électrisait instantanément. Passant la main entre ses jambes, elle lui empoigna les bourses et de ses doigts agiles, les malaxèrent avec douceur.
Bruno ne put se retenir plus longtemps, une décharge de semence partit du plus profond de ses reins et inonda le fourreau de sa maîtresse qui fut à son tour rattrapée par le plaisir, elle cria si fort que les enfants se réveillèrent. Se libérant prestement du pal de son amant, elle se précipita dans la cabine pour rassurer ses enfants que tout allait bien. Bruno du poste de pilotage, aperçut Sandra se pencher sur ses enfants et entrevit la large tache sombre qui maculait l’entrejambe de son maillot, il fallait qu’elle cache la preuve de son laisser-aller au plus vite. Il lui fit la remarque et ce fut la taille entourée d’une serviette qu’elle débarqua du bateau à l’embarcadère du boat club. Il la ramena chez elle avec les enfants en se promettant de se revoir très bientôt.
Sandra passa la soirée à se remémorer ces moments très érotiques qui lui réchauffaient encore le ventre, mais en même temps, la raison reprit le dessus, elle était mariée avec deux beaux enfants et l’enjeu était risqué. Son mari ne semblait pas vouloir la partager malgré ses aveux de fantasmes candaulistes, il avait fait machine arrière une fois ses sens assouvis. Elle le testerait une fois de plus pour confirmer, mais elle doutait du résultat. Raymond rentra quelques jours plus tard et après une douche rapide se mit en devoir de prouver à Sandra oh combien elle lui avait manqué. Allongés dans le lit, ils batifolaient tout en se caressant mutuellement ; Raymond aimait prendre son temps et savourer la lente montée du plaisir. Penchés sur le côté face à face, il lui demanda s’il lui avait beaucoup manqué, sur le ton de la plaisanterie et pour tester aussi, elle lui répondit qu’avec le nombre d’amants qu’elle avait eus pendant son absence, elle n’avait pas trouvé le temps long.
Persuadué qu’elle jouait un jeu, Raymond lui demanda si elle avait apprécié ses infidélités et comment elle avait pu consommer autant de sexe en quelques jours, lui qui pensait qu’elle serait contente d’avoir un répit bien mérité, car elle lui reprochait souvent son appétit un peu trop dévorant. A sa surprise, elle le rassura sur son appétit et lui décrivit avec moult détails ses ébats, mélangeant ses fantasmes avec la réalité. Ce fut un jeu délicieux pour elle, avouer ses écarts avec Bruno, mélangés avec des fantasmes, jamais Raymond n’irait se douter qu’elle lui avouait à demi mots ses frasques avec Bruno. Sentant la verge de Raymond tendue de plus en plus, elle alla même jusqu’à lui avouer un rêve qu’elle avait fait pendant son absence où Bruno les avait emmenés à la plage pour y passer une nuit, ils avaient dormi sous la tente. Après avoir arrosé la soirée plus que de raison, ils étaient tous allés se coucher.
Sandra après s’être assurée que tout le monde dormait, avait pris son mari par la main et nus comme des vers avaient marché le long de la plage. Ils s’étaient baignés sous la lune et puis gagnés par le désir s’étaient mis un peu en retrait pour faire l’amour. Alors qu’il la prenait par-derrière à quatre pattes, ils ressentirent une présence. Scrutant les alentours, ils repérèrent une silhouette dans l’ombre à quelques mètres d’eux. Raymond bondit dans la direction en menaçant l’intrus. Celui-ci se mit à rire, il s’agissait de Bruno qui lui non plus ne pouvant pas dormir avait décidé de faire une balade au clair de lune et avait entraperçu ce couple qui s’ébattait dans les vagues. Emoustillé par la suite des événements, il avait décidé de se faire discret et de jouer le voyeur. Sandra tout en racontant son rêve astiquait la colonne de chair qui s’allongeait et augmentait de volume de façon impressionnante ; rarement elle a vu son mari aussi excité.
Il lui demanda ce qu’il s’était passé ensuite, et sur un ton un peu honteux, elle lui avoua qu’il avait invité Bruno à se joindre à eux, la verge se raidit encore et suintait abondement entre les doigts de Sandra, elle l’avait excité au plus haut point avec ses histoires. Raymond voulait connaître la suite, elle lui décrivit que comme elle ne prenait pas d’étrangers dans la bouche, elle avait présenté sa croupe à Bruno qu’il s’était empressé d’honorer de sa queue gonflée de désir ; martelée par les coups de reins de son amant, elle avait proposé à son mari qui les regardait de venir jouir dans sa bouche, à ces mots, Raymond gicla entre les doigts de Sandra et de longues traînées de sperme maculèrent les draps du lit, Raymond n’avait jamais eu le privilège de jouir dans sa bouche, car elle n’aimait pas ça du tout depuis que l’un de ses amants précédents avait l’habitude de le faire sans la prévenir.
Lui avoir proposé même dans ses rêves, de le prendre dans sa bouche l’avait complètement fait perdre la raison. Jamais, même en rêve elle n’aurait consenti à avaler du sperme sauf si elle avait été dans un état d’excitation extrême, et Raymond soupçonnait que Bruno y était pour quelque chose, pour se faire prendre par lui, elle était capable de faire ce sacrifice afin qu’il en accepte l’idée, c’était du donnant donnant, mais Raymond n’avait pas su saisir la subtilité de la situation, il avait adoré qu’elle l’excite avec ses histoires, mais avait peur que ce genre d’expérience mette leur couple en péril s’ils avaient décidé de sauter le pas. Se ravisant rapidement, Sandra tout en s’essuyant les doigts sur son Tshirt, lui affirma que de toute façon Bruno n’était pas mal, mais qu’il était trop petit pour correspondre au mâle qui la faisait fantasmer et qu’elle se demandait bien ce qui avait pu lui faire penser à lui dans son rêve.
Ils ne reparlèrent plus jamais de Bruno dans leurs ébats, après quelques mois, la femme de Bruno le rejoignit et ils ne se rencontrèrent plus que dans des occasions respectables.
Diffuse en direct !
Regarder son live