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une maman soumise

Chapitre 1

Inceste
Bonjour, je m’appelle Léo. J’ai 22 ans. Cette année je suis allé faire des études à Lyon. J’ai fait la connaissance d’Alex dans ma cité universitaire. Comme beaucoup d’étudiants nous faisions beaucoup la fête. Et lorsqu’il avait bu, Alex parlait beaucoup. Un peu trop même. Il se mettait à raconter des choses, notamment sur sa mère.
— Hé hé ! Si tu la connaissais, tu serais surpris. Il s’en passe des trucs à la maison ! Elle est spéciale, ma mère, c’est pas triste !— Comment ça ? De quoi tu parles ?— Ha ha ! ça t’intéresse ? Tu aimes les histoires croustillantes ? Ma mère c’est une coquine. Elle aime les jeux soumission. 
Je lui demandai de quelle soumission il parlait. J’essayai d’avoir des précisions, mais il éluda la question.— Je te raconte même pas ! disait il. Tu verras si un jour tu viens chez moi.
Il renouvela plusieurs fois l’opération, avec des sous étendus, évidemment, sur le caractère sexuel de l’affaire. Mais il tournait autour du pot. Il se régalait d’attiser ma curiosité puis, de façon sournoise, il se taisait... Le fait est que j’étais très méfiant sur ce genre de racontars. J’en avais connu, des gars qui prétendaient se taper leur sœur ou leur mère, ou même des pseudo partouzes en famille. Mais il suffisait de creuser un peu pour s’apercevoir que c’était juste des gros mytho... Alex était sans doute l’un d’eux.Mais même si je ne le croyais pas une minute, il réussissait à entretenir certains fantasmes chez moi. Comme beaucoup de garçons de mon âge, j’avais parfois fantasmé sur les femmes mûres, et sur ma mère notamment. C’était une grande femme, plutôt belle, avec un fort caractère, autoritaire, qui dominait son monde. J’avais souvent rêvé de renverser les rôles, que ça soit moi qui lui donne des ordres, lui dicte mes désirs, la soumettant à mes fantasmes les plus inavouables.
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Et puis à l’occasion d’un long week-end de Pâques, une grève des trains eu lieu. Alex était très embêté.— Merde ! Comment je vais faire pour rentrer chez moi ? Je n’ai aucune envie de rester tout le week-end ici (la cité universitaire n’était clairement pas le lieu le plus animé qui soit sur ces périodes).— Tu veux que je te raccompagne, Alex ? J’ai la voiture de mes parents.— Tu ferais ça Léo ? Ha t’es un vrai pote, toi !
Alex fondit en remerciements. D’un coup je devenais son meilleur ami. Je me suis alors retrouvé à le raccompagner chez lui, dans un petit village à une centaine de kilomètres de notre campus universitaire. Ca m’obligeait à faire un gros détour mais je rendais bien service à Alex.— Je sais pas comment te remercier, Léo. Tu vas voir ma mère... Elle est très sympa. Je t’en ai déjà parlé, non ?— Heu, oui, plusieurs fois.
Lorsque nous arrivâmes chez lui, nous fûmes accueillis par sa mère, une femme de taille moyenne, blonde, souriante. Elle était ni belle ni moche, pas spécialement mignonne, mais il y avait dans son sourire quelque chose d’indefinisable, assez espiègle. Elle était habillée d’un chemisier blanc assez moulant, d’une jupe courte noire, et d’escarpins à talon hauts.— Léo, je te présente ma mère.
— Bonjour Madame, dis je poliment.— Appelle la Mireille, dit Alex.
Mireille me dit bonjour, elle aussi poliment, sans effusion.— Assieds toi, Léo, me commanda Alex. Tu veux boire quelque chose ?— Je veux bien. Tu as un jus de fruit ou coca ?— Du jus de fruit ? Allez, je t’offre une bonne bière plutôt !
Alex se tourna vers sa mère restée debout dans un coin. Il prit un air sévère qui contrastait avec sa jovialité habituelle.— Maman, vas nous chercher de quoi boire. Deux bières belges, il y en a à la cave je crois. Allez, dépêche toi !
Je fus surpris par le ton autoritaire avec lequel Alex avait parlé à sa mère. Si j’avais parlé une seule fois comme ça à ma propre mère je me serais pris une belle engueulade. Mais elle ne réagit pas. Elle tourna juste les talons, et revint quelques minutes après, avec un plateau, des verres, deux bouteilles de bière et des petits biscuits. Elle les posa devant nous.
— A ta santé Léo ! lança Alex, jovial.— A la tienne Alex.— Bien tu restes manger, et dormir ? Il est déjà tard, tu ne vas pas reprendre la route.— Ok. J’avais pas trop prévu, mais ok.— Super ! Maman, tu as entendu ? Tu vas nous préparer un bon repas ?
Mireille acquiesça, et sans un mot elle se retira docilement dans sa cuisine pour nous préparer à manger. Alex me proposa alors une partie sur sa Playstation. J’eu du mal à me concentrer sur le jeu. Mireille allait et venait, passait récupérer de la vaisselle dans le salon, mettait le couvert. Engoncée dans sa jupe trop serrée, trop moulante. Cette femme m’intriguait, avec son petit sourire qui ne la quittait pas. Sa relation ambiguë avec Alex avait excité ma curiosité aussi.
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Lorsqu’il fut 20h, je fus invité à passer à table. Le repas se passa de façon assez décontractée. Mireille nous servit à manger, puis s’assit pour manger à son tour. Elle était excellente cuisinière et ses plats étaient succulents. Mais elle restait silencieuse, singulièrement effacée, contrairement à Alex qui parlait beaucoup, plaisantait. Mais lorsque il s’adressait à elle, il était sec, autoritaire. Dominant.A tout moment il l’obligeait à se lever pour aller chercher du sel, à boire, du pain. Elle se levait, docilement, et allait satisfaire aux besoins de son fils.Plusieurs fois il fit tomber sa fourchette ou sa serviette. C’était elle qui devait se lever pour la ramasser, ce qui n’était pas aisé, vu la hauteur des talons et sa jupe trop courte. Alex faisait exprès évidemment, amusé par les efforts que sa mère devait faire pour rester décente.A la fin du repas Alex me proposa de s’asseoir dans le salon. Pendant que Mireille débarrassa la table et alla faire la vaisselle, et Alex mit de la musique.
— Ha Léo, je suis content que tu sois là. Ca faisait un moment que j’avais envie de t’inviter.— Oui, merci Alex, c’est cool.— Non merci à toi de m’avoir raccompagné ici !.. Bon, et ma mère t’en penses quoi ?— Je sais pas. Elle est sympa.— Oui très sympa....
Alex fit une pause et sembla réfléchir. Il regarda autour de lui, comme pour vérifier que personne n’écoutait, puis il se pencha vers moi et me dit sur le ton de la confidence :— Dis moi Léo, ta dernière copine ça remonte à quand ?— Je sais pas, avant Noël.— Ca fait plus de 6 mois ! Et tu pètes pas un câble ?— Ca va. C’est un peu dur, c’est vrai.— Il faut te trouver quelqu’un, Léo. Même juste histoire de tirer un coup. Et avec Agathe, ça n’a pas marché ?— Ben non, sinon je te l’aurais dit...
Alex me regarda d’un air dubitatif.— Ecoute, ce qu’il te faudrait c’est une femme plus âgée, quelqu’un qui a de l’expérience, qui sait s’y prendre avec les mecs.— Heu, oui... Ok... Et donc ?— Elle te plaît, ma mère ?— Ta mère ?— Ben oui. Elle est pas mal pour son âge, non ? T’aimerais pas te la taper ?— Ta mère ? Mais tu es fou ?— Pas du tout ! Ecoute, je vais te raconter un truc. Ma mère fera tout ce que le lui ordonnerai. Comme je t’ai dit, elle m’est entièrement soumise. Elle a toujours aimé ça. Ca date de l’époque avec mon père. C’était leur kif à tous les deux. Lorsqu’ils ont divorcé elle voulait quand même un mâle dominant à la maison. Alors j’ai pris la relève : je suis devenu son maître et elle joue le rôle de ma soumise.— Mais enfin Alex, c’est ta mère, vous ne pouvez pas faire ça !— Et pourquoi pas ? Je ne vois pas où est le problème. On est adulte et consentants. On dirait pas comme ça, mais ma mère c’est une vrai coquine. Le rapport de domination, il n’y a que ça qui l’excite. Et faire ça avec moi l’excite encore plus.
Alex sembla réfléchir. Il se redressa alors, et appela très fort. .— Maman, tu es où ?— Dans le salon, mon chéri.— Viens, s’il te plaît !
Mireille apparu dans les secondes qui suivirent, toujours parfaitement réactive aux ordres d’Alex.— Oui Alex, qu’est ce qu’il y a ?— Mon copain Léo te trouve très agréable. Approche toi. Tourne un peu sur toi même.
Obéissante, Mireille commença à pivoter sur elle même de façon à se présenter sous tous les angles. Alex se pencha vers moi et me murmura à l’oreille :— Alors, elle est pas bien roulée, n’est ce pas Léo ? Regarde ces seins, ils sont vachement gros. Tu aimerais pas les prendre dans les mains ?— Heu, oui, je sais pas...— Evidemment que tu aimerais ça, tous les mecs aimeraient ça ! Et regarde ce cul ! Un cul comme ça tu en verras pas des centaines.
En effet les fesses de Mireille étaient assez bandantes. Sa petite jupe serrée ne cachait pas grand chose des formes appétissantes de la dame. Alex les regardait avec un petit sourire gourmand.— Maman, dit il sèchement, déshabille toi, que mon pote Léo puisse t’admirer de plus près.A ce stade, j’étais encore incrédule. Je n’osais imaginer qu’elle allait lui obéir, c’était impossible. Mais elle baissa la tête et elle murmura d’une voix calme :— Bien...
Devant mes yeux stupéfaits elle commença alors un lent strip-tease, retira sa chemisette, dévoilant un joli soutien gorge beige. Elle enleva ensuite sa jupe, se retrouvant en petite culotte. Cette situation de cette maman qui répondait aux ordres de son fils était complètement folle... Et assez excitante aussi.— Allez maman retire le reste aussi ! Enlève ton soutif.
Elle eut un moment d’hésitation, un peu honteuse de se laisser dominer de la sorte par son fils. Mais elle retira son soutien gorge, dévoilant une paire de gros seins fantastique qui tenaient encore extraordinairement bien, malgré son âge..— Tu vois, me dit Alex, c’est pas beau, ça ? J’adore sa grosse poitrine. Elle te plaît ? Elle est pas magnifique ma mère ?— Heu oui...
Je pensais alors à ma propre mère. Accepterait elle de se déshabiller de la sorte devant moi ? J’en aurait rêvé, mais c’était quelque chose qui n’arriverait certainement jamais. Alors que cette maman acceptait tout. Et se sentais que ce n’était pas fini.— Approche toi maman ! ordonna Alex. Tourne toi.
Il commença alors à caresser ses belles grosses fesses, laissant ses doigts en parcourir le galbe parfait.— Ce cul c’est du satin, Léo ! Ma mère a toujours eu les fesses douces comme la peau d’un bébé !
Alex attrapa alors les élastiques de la culotte et doucement il tira dessus. Mireille tête baissée ne résista pas. Elle se pencha même un peu avant pour faciliter le mouvement. Lentement il fit glisser la culotte vers le bas, dénudant son beau gros cul, la fente de ses fesses. Il la regardait d’un air halluciné, fasciné. C’était la plus belle chose du monde, à ce moment précis. La culotte se retrouva au sol. Alex était aux anges.— Putain c’est beau, ça ! Penche toi, maman ! ordonna t-il. Et écarte les jambes. Montre nous ton trésor.
Mireille obtempéra. Elle se cambra, se penchant un peu plus en avant, écartant un peu les jambes, les fesses en arrière. Alex, qui ne cessait de s’émerveiller, écarta les deux globes de ses fesses pour encore mieux me faire profiter de la vue : je voyais tout de son petit trou du cul jusqu’à la vulve, je découvrais le sexe de cette maman soumise, une belle chatte de maman mature, bien propre et parfaitement épilée. Le spectacle était incroyable. J’étais gêné pour Mireille, mais je devais avouer être plutôt excité par la situation.— C’est pas merveilleux, ça, Léo ?
Complètement stupéfait, et en effet assez charmé par le point de vue sur le sexe de Mireille, je ne trouvais rien à répondre. Alex s’adressa à nouveau à sa mère :— Maman, j’ai bien l’impression que mon copain Léo est en train de bander dans son pantalon. Tu ne vas pas laisser faire ça j’espère ! Enlève son pantalon ! Tu vas le sucer. Comme une vraie salope !
Alex allait trop loin. Je m’attendais à une rébellion, un refus, car ce n’était pas possible de faire, une mère n’est pas là pour répondre aux caprices sexuels de son fils. Mais rien... Pas un mot. Toujours le même air résigné. Elle acceptait tout. En fait j’allais apprendre que ce n’était pas la première fois qu’Alex lui demandait de faire ça avec un de ses copains. Il y en avait même pas mal qui avaient défilés.— Allez maman, on s’y met !!! Léo est mon meilleur ami, je veux que tu sois très attentionnée avec lui. C’est un mec bien, il le mérite !
Mireille, rouge de honte, baissa la tête.— Bien... Tout ce que tu voudras.— Ok, très bien. Je vois que tu as compris qui est le maître ici.
Elle ne résista plus. Elle vint s’agenouiller devant moi, ouvrit la braguette de mon pantalon et elle le descendit. Elle baissa alors mon slip, prit ma queue dans la bouche et se mit à la sucer doucement. C’était incroyable... Je me retrouvais à bander très dur, avec cette maman qui enfournait goulûment ma queue tout au fond de sa gorge, jouant admirablement bien de sa langue, me masturbant en même temps pour tirer de moi ma plus belle érection. Du grand art.Alex, lui même très excité baissa son pantalon, sortit sa bite et se mit à se masturber en nous regardant. J’étais effaré. Il présenta alors sa queue à sa mère. Celle ci, sans hésiter, se tourna vers son fils et mit sa bite dans sa bouche à son tour. C’était fou ! En venant ici, je ne m’attendais évidemment pas à assister à cette situation de cette maman dominée, prête à nous obéir, jusqu’à faire une fellation à son propre fils, sans dire un mot.Alex se régalait, visiblement lui aussi.— Ha putain maman, qu’est ce que tu fais ça bien ! Tu es une belle salope ! N’est ce pas maman ?— Oui...
Le spectacle de nos deux queues amoureusement sucées par cette maman soumise était extraordinairement excitant.Alex demanda alors à sa mère de se redresser.— C’est bon maman, tu nous a assez sucé. Penche toi en avant maintenant, montre nous ton cul ! Tu sais le truc sur lequel tu t’assieds et que je vais avoir grand plaisir à pénétrer !
Mireille était verte de honte, horriblement gênée. Mais elle obéit. Elle se tourna vers la table du salon qui était à côté, posa les mains dessus, et se pencha en avant, exhibant son fantastique arrière train. Fasciné par ce cul majestueux, Alex se positionna derrière elle et écarta à nouveau les lobes de ses fesses, nous offrant une somptueuse vue sur sa fente. Il caressa son dos, glissa vers le bas de sa colonne vertébrale, laissa son doigt glisser sur son anus. Il introduit une demi phalange, le ressortit, puis descendit vers la vulve, dans laquelle il introduit à son tour un doigt.— C’est pas joli, ça Léo ? Tu as déjà vu une moule aussi jolie ?— Heu, je sais pas... Non...
Alex avait glissé ses doigts entre les chaires du sexe de sa mère. Il joua un moment à l’intérieur, puis il les retira, tout humides.— Elle mouille ! dit il ravi. Elle est prête, Léo à toi l’honneur, vas y, mets ta queue.
J’étais stupéfait mais bien trop excité pour refuser le cadeau. Alex me laissa la place et je me positionnai debout derrière Mireille. J’orientai ma bite en direction de sa fente, et je poussai. En effet ma queue pénétra facilement le vagin offert, déjà trempé d’excitation, et je me retrouvai au fond. J’entamai alors des lents va et vient en elle. Pour moi qui n’avais plus baisé depuis des mois, c’était évidemment le pied. Une bonne vieille maman, toute à notre service, juste là pour nous satisfaire. Quel situation inespérée !Sa chatte était délicieuse, juste humide comme il faut et assez large pour laisser ma queue coulisser agréablement à l’intérieur. Mes mouvements se firent alors plus énergiques, les deux mains bien agrippées, tenant ses hanches, fermement, obligeant Mireille à suivre le rythme de ma saillie. Alex était ravi.— Putain Léo, tu lui mets bien son compte, là ! Regarde elle adore ! N’est ce pas maman, qu’elle est bonne sa queue ?— Ho oui...
Au bout d’un moment, Alex réclama sa part.— Ecarte toi un peu, Léo, à mon tour ! J’ai vraiment envie de la baiser. Tu entends, ma cochonne de maman ? Tu as envie de te prendre ma queue ?— Oui mon chéri, j’ai envie !
Il se positionna derrière sa mère, orienta sa queue vers sa vulve, et il la pénétra à son tour en poussant un soupir de soulagement. Il se mit à la baiser assez énergiquement. La bite droite et dure il la pénétrai à fond, presque violemment. Mais Mireille aimait ça. Elle gémissait, criait de plaisir.— Ha c’est bon, ça, maman ? jubilait Alex. Tu aimes te faire défoncer la chatte, n’est ce pas ?— Ho oui j’aime ça !— Allez à ton tour à nouveau, Léo.
Il s’écarta pour me laisser la place. Je la pénétrai à nouveau et je recommençai mes va et vient, d’abord délicats, puis de plus en plus fort.— Démonte la cette salope ! rigolait Alex. Elle adore ça. .
Pendant que je baisais Mireille. Alex s’était placé devant elle pour qu’elle le suce. Il tenait sa tête, ses mains agrippées à ses cheveux.— Putain maman, ta bouche est vraiment bonne !
Très appliquée, elle obéissait à tous nos ordres avec rigueur. Elle était si soumise qu’elle aurait accepté n’importe quoi. Quelques minutes après, alors que je faisais une pause, Alex en profita pour venir la prendre par le cul. Cette sodomie improvisée ne sembla pas poser de problème quelconque à Mireille, qui semblait habituée à tout accepter. Elle offrit sa rondelle à son fils avec un incroyable détachement, bien penchée en avant, soumise, comme s’il s’agissait d’une chose tout à fait normale.Puis, toujours très partageur, Alex me proposa de faire la même chose.— Je t’ai bien élargi le passage, Léo. Allez, régales toi !

Pour moi qui n’avais pas l’habitude de pratiquer la sodomie, ce fut une expérience extrêmement excitante. Je rentrai ma queue dans le fondement de sa mère quasiment sans préavis, et j’entamai de délicieux mouvements de va et vient. Le pied !Ce n’est qu’une bonne demi heure après, après avoir bien baisé Mireille par tous les trous, de façon parfois un peu énergique, voire violente, qu’Alex montra des signes de faiblesse. Il avait allongé sa mère sur l’épais tapis du salon, il avait relevé ses jambes bien haut, et la baisait encore avec une belle énergie, quand il sentit le moment de la jouissance s’approcher.
— Putain, c’est trop bon, je vais jouir !
Il se retira de sa mère brusquement et présenta sa queue devant son visage.— Suce moi maman, tu vas avaler mon jus !
Mireille se redressa et mit la queue de son fils dans la bouche. Elle le suça de plus belle, jusqu’à ce qu’il explose. Il éjacula et elle avala jusqu’à la moindre goutte de son sperme. Elle s’essuya alors la bouche avec sa chemise posée sur une chaise, à côté.— Viens Léo, je t’ai laissé son vagin, prends la encore une fois. Tu peux jouir en elle si tu veux !
Je pénétrai alors Mireille une dernière et ultime fois, et à mon tour je sentis le plaisir monter. J’explosai. Je me laissai aller à jouir en elle.Quel bonheur de sentir cette libération, ce flux de sperme jaillir dans les entrailles de cette maman ! J’eu l’impression de lâcher les litres de foutre, dans une série de spasmes incontrôlables. Le plaisir à l’état pur.
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Après la jouissance, j’avais toujours pour ma part une formidable envie de dormir. Mais là la situation était si folle que j’avais oublié toute fatigue. Mireille était partie vers la salle de bain. Nous nous sommes rhabillés et Alex me servit un dernier verre. Lorsque sa mère réapparut, elle s’était remis une nouvelle culotte.— Maman, non. Toi tu restes à poil ! Ce week-end je te veux à notre disposition ! Tu vas dormir nue, et tu laisseras la porte de ta chambre ouverte. Et si un de nous se réveille en pleine nuit, tu devras nous satisfaire immédiatement. Et demain idem. Tu nous serviras le petit déjeuner en tenue de soubrette. Mais sans culotte. Tu m’as compris ?
— Oui maître...— C’est bien, ça. Voilà une maman bien dressée ! se félicita Alex.
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