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Une maman voyeuse

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Lara, j’ai 22 ans. L’année dernière j’ai rencontré un garçon qui me plaisait bien, Thomas. Il était mignon, très doué au lit. On s’entendait vraiment bien, tout était parfait. 

Un jour Thomas a voulu me présenter sa mère.

— C’est pas un peu tôt, Thomas ? On se connaît depuis deux mois tout juste.
— Non pas de soucis. Elle est très sympa, tu verras...

Nous sommes donc allé dans la grande maison où Thomas avait grandi. Il s’agissait d’une demeure luxueuse, avec piscine. Ça me faisait tout drôle de voir le cadre de son enfance. Une belle femme de 50 ans environ, plutôt grande, nous ouvrit. Elle était brune, cheveux longs, habillée élégamment d’une robe noire, assez moulante, avec des talons hauts.

— Bonjour maman, je te présente Lara.
— Bonjour Lara. Enchantée de faire ta connaissance.
— Enchantée madame.
— Appelle moi Nathalie. Et on se tutoie. Vous avez faim ? J’ai préparé à manger.

Nous sommes donc passés à table.
Nathalie semblait très sympathique et sa conversation très agréable. Tout se passait normalement, sans ambiguïté.

À la fin du repas, nous sommes passés au salon pour prendre le café. Nous étions assis sur un confortable sofa, lorsque, tout en discutant avec sa mère, Thomas se rapprocha de moi. Il commença alors à me caresser doucement le bras. Du bras il passa à mes épaules, puis tourna autour de ma poitrine, qu’il effleura même à plusieurs reprises. Je dus alors écarter sa main trop baladeuse.

Mais quelques instants plus tard, ce fut ma jambe qu’il se mit à caresser, déplaçant sa main sous ma jupe. Il remonta vers mes cuisses, mes fesses. Remontant la jupe, il dévoilait presque ma culotte. 

J’étais assez embarrassée par ces gestes d’affection intime, parce que sa mère était en face de nous et nous regardait. Mais nous discutions de choses et d’autres, et Nathalie ne sembla pas prêter attention à l’attitude ambigüe de Thomas. Ce fut donc un agréable moment.

Nous avons terminé notre café et nous sommes partis.

Sur le chemin du retour, je parlai à Thomas de mes sentiments au sujet de ce repas.

— J’aime beaucoup ta mère, mais tu exagères, c’est un peu intime, tes caresses devant elle. Pourquoi tu fais ça ? Tu n’as pas peur que ça la gêne ?
— Non, ne t’en fais pas. Ca ne la gêne pas. Au contraire. En fait, pour tout te dire, elle aime bien, même...
— Ha? C’est à dire ?
— Hé bien elle aime bien me voir avec une fille, l’embrasser, la caresser. Elle aime lorsque ce sont des caresses un peu affectives comme aujourd’hui, ou même plus chaudes encore. Elle est un peu voyeuse.

Je suis restée bouche bée.

— Attends qu’est ce que tu es en train de me dire là ? Que ta mère aime bien te mater quand tu es avec une fille, quand tu la caresses, et tout ?
— C’est ça...
— Ha... Et ça peut aller jusqu’où ça ?
— Hé bien, jusqu’au bout. Jusqu’à l’acte.

C’était de mieux en mieux.

— Jusqu’à l’acte? Quel acte ? Tu veux dire faire l’amour devant elle ?
— Tout à fait.

Evidemment je mis quelques secondes avant de pouvoir réagir. Je me demandais si Thomas ne se moquait pas de moi. Mais il avait l’air très sérieux. Je me suis demandé dans quelle famille de fous j’étais tombée. 

— Ça te choque ? me demanda Thomas.
— Un peu. C’est dingue cette idée de baiser devant sa mère. Je n’ai jamais vu ça...

Je fis une pause pour analyser la situation, chercher ce qui les motivaient l’un et l’autre. 
J’avais donc affaire à une maman voyeuse. J’imaginais les circonstances qui avaient pu amener cette maman lubrique à ce genre de pratique. Sans doute avait elle éduqué son fils à ne rien lui cacher, l’avait habitué à être nu devant elle. Elle aimait voir ses attributs qui pendouillaient entre ses jambes, surtout lorsqu’il devint un vrai jeune homme, avec une vraie belle queue de mâle. 
Par pudeur, en devenant un homme il voulut se cacher, mais elle lui interdit. Elle voulait tout voir. Et elle aimait aussi le voir en érection.  
Alors un jour elle trouva sur internet une femme qui accepta de le dépuceler. Thomas ne pût refuser l’offre, surtout lorsque la femme se mit à s’occuper de sa queue d’une admirable façon. Ils firent ça devant les yeux de Nathalie qui voulait tout voir, évidemment... 

— Thomas, ça t’excite que ta mère te regarde ?
— Ça ne me dérange pas. Je suis habitué, c’est tout. 
— Ne me mens pas. Tu ne veux pas l’avouer, mais t’excite, je suis sûre. 

Thomas baissa la tête. En effet il aimait que sa mère le regarde, soit fière de lui. Il avait ainsi l’inconsciente satisfaction de combler sa mère, d’être un vrai "petit homme", comme elle aimait l’appeler lorsqu’il était encore enfant. 
Il essaya de me rassurer en souriant.

— Mais ne t’en fais pas Lara. Si tu es gênée, on n’ira pas plus loin la prochaine fois qu’on ira la voir.
— Tu veux dire qu’il est prévu qu’on retourne chez elle ?
— Oui, ma mère nous invite samedi prochain à nouveau.
— Ha... Et qu’est ce qu’il va se passer ? L’idée est qu’on fasse l’amour tous les deux devant elle ?
— Si tu as envie, oui, on peut le faire.

J’allais dire je n’avais pas envie de rentrer dans ce type de jeu, mais j’avais la curiosité de voir ça. Par principe je n’étais pas opposée aux expériences originales. Et après tout je ne risquais rien à essayer.

    ******************

Le samedi suivant nous sommes donc retournés chez la mère de Thomas.

Nous prîmes un agréable repas sur la terrasse de sa belle demeure. En ce mois de juin le temps était radieux, avec tous les prémices d’un été qui s’annonçait très chaud.
Après le dessert Nathalie nous proposa d’aller nous baigner.

— Je viens de remettre en eau la piscine. Vous avez vos maillots de bain ?
— Oui maman.
— Bien alors avancez vous, je range un peu la cuisine, je me change et j’arrive.

Nous sommes alors allé faire quelques brasses dans une eau délicieuse.
Nathalie est ensuite venue nous rejoindre. Ses longs cheveux étaient noués en chignon et elle portait un paréo sous lequel je distinguais un joli maillot de bain noir. Elle retira son paréo, dévoilant un corps athlétique, sculpté par des années de natation. Sa taille était fine et ses seins plutôt gros, bien mis en évidence par le maillot largement décolleté .

Elle pénétra dans l’eau et se rapprocha de nous.

— Elle est bonne, vous ne trouvez pas ? demanda t-elle.
— Délicieuse ! répondis je.
— Tant mieux, je suis contente que vous puissiez en profiter.

Nathalie était d’une gentillesse et d’une suavité exceptionnelle, très prévenante. Elle savait que la suite allait être agréable.

Nous sommes ensuite sortis de l’eau et nous nous sommes installés sur des confortables chaises longues disposées autour de la piscine. Il faisait un temps radieux, l’air était doux et l’espace autour de la piscine aménagé avec goût.

Pendant que je discutais jardin et décoration avec Nathalie, Thomas avait rapproché sa chaise longue à côté de la mienne et avait commencé à me caresser la jambe. Ses gestes étaient lents et sensuels. Il remonta ses mains vers mon ventre, mes seins. Thomas était vraiment doué dans ses caresses et il arrivait en général rapidement à m’exciter. Il le savait...

Il s’approcha de mon oreille.

— Laisse toi faire, ma chérie. Mais si tu es gênée, tu me dis, pas de soucis...
— Oui, ne t’en fais pas... C’est en effet un peu gênant, mais tes caresses sont tellement bonnes !
— Bien. Je vais t’enlever ton haut de ton maillot de bain.
— Ok vas y

Il dénoua les cordons qui attachaient mon maillot et le retira, libérant ma poitrine.

— J’adore tes seins ! me souffla Thomas à l’oreille. Ils sont magnifiques.
— Merci. 

Je savais que j’avais des beaux seins, plutôt gros et lourds, et je devinais que Nathalie serait d’accord là dessus. Je savais qu’elle me regardait, même si moi je n’osais absolument pas tourner la tête dans sa direction de peur de croiser son regard.

— Tes tétons sont déjà tout durs. Tu es excitée...
— Oui bien sûr. Tes caresses sont bonnes, tu le sais...
— Je continue alors...
— Oui, vas y...

Thomas s’attaqua alors à mon bas ventre. Il glissa une main entre mes jambes, au contact de ma chatte à travers le maillot de bain. L’endroit était évidemment très sensible. 

Je m’allongeai alors sur la chaise longue pour faciliter le passage du maillot de bain sur mes cuisses. Je me retrouvai alors entièrement nue.
Thomas écarta mes jambes de façon à ce que sa mère puisse profiter du spectacle. Il exhibait ma chatte devant sa mère comme un objet précieux, objet de conquêtes et de désir, comme s’il disait à sa mère : "regarde maman, la belle chatte que voici". Et elle se disait "C’est bien mon fils ! Continue, montre moi que tu es un vrai petit homme ! ".

Il se mit à caresser ma vulve avec douceur, passant de mes lèvres à mon clitoris qu’il effleura délicatement.

Nathalie s’était approché et nous regardait attentivement. C’était stupéfiant de voir cette femme de cinquante ans captivée par ce spectacle. Elle ne l’aurait jamais avoué, bien sûr, mais à sa façon de se mordiller les lèvres, je devinais qu’elle etait déjà bien excitée. 

Thomas rentra alors deux doigts dans mon vagin, répétant quelques délicieux va et vient. Il faisait ça sans hésiter, ce qui confirma le fait que ce n’était pas la première fois qu’il exhibait une de ses copines devant sa mère.

Il se cambra vers moi, me montrant la bosse déjà importante dans son maillot de bain.

— Tu m’excites, Lara.

Sans plus attendre il enleva à son tour son maillot de bain. Sa queue en érection en jaillit devant les yeux de Nathalie, visiblement fière. Elle regarda les attributs de son fils avec intérêt. J’imaginais qu’elle était heureuse de constater à quel point il était viril, plein d’énergie.

Je pris dans ma main son organe je le masturbai quelques instants, le sentant grossir encore. Je devais avouer qu’il était vraiment beau. J’avais toujours adoré jouer avec la queue des garçons. J’avais pu en comparer de nombreuses, et Thomas était dans le haut du tableau... Sa mère avait bien travaillé.

Je descendis alors mon visage, entourai son gland avec mes lèvres, et me lançai alors dans une de ces fellations dont j’avais le secret. Thomas se mit à gémir de plaisir. Évidemment la situation commençait à vraiment l’exciter.

— Ha, qu’est ce que c’est bon, Lara ! Ta bouche est magique !

Après quelques instants de ce traitement, Thomas exprima alors son désir de passer aux choses sérieuses. 

— Viens, Lara, on va s’allonger sur les matelas.

Juste à côté de nous étaient disposés quelques matelas recouverts d’un housse plastique. Nous nous sommes allongés, j’écartai les jambes et Thomas vint se positionner au dessus de moi. Sa bite à la main, il regarda quelques secondes ma vulve, admiratif. Il l’adorait, il me l’avait souvent dit.

Il jeta un coup d’œil complice à sa mère, puis orienta son sexe vers l’ouverture de mon vagin. Et doucement il me pénétra. Une fois tout au fond de moi, il s’arrêta pour profiter de ce moment. C’était délicieux, comme toujours. Thomas était vraiment doué. Il me fit l’amour avec toute l’intensité, la vigueur, et l’attention que je lui connaissais.

Toujours assise à côté de nous, Nathalie nous regardait, visiblement ravie de voir son fils s’activer au dessus de moi, tout absorbé par ses va et vient à l’intérieur de mon sexe.

A quoi pensait elle a ce moment précis ? Sans doute se disait elle que son fils avait vraiment une jolie queue, qu’il s’en servait très bien, et qu’il avait raison d’en profiter car la chatte de sa copine était très jolie, bien juteuse.

Nous changeâmes alors de position et Thomas vint me prendre en levrette, ma position favorite. C’était de mieux en mieux, je mouillais comme une fontaine. J’en vins presque à oublier la présence de Nathalie qui ne perdait pas une miette des exploits de son fils.

Après une bonne demi heure de plaisir et quelques autres positions, Thomas était au bout de sa résistance. Il avait de plus en plus de mal à se retenir et il exprima son souhait de jouir en moi. Je le laissai faire, heureuse, comblée par autant de plaisir.

Il se tendit et explosa, lâchant un cri de plaisir. Encore deux ou trois coups de rein en moi et il expulsa son jus, abondant et riche. Sa jouissance fut intense, délicieuse.

Nathalie nous regarda jusqu’au dernier moment, visiblement heureuse elle aussi d’avoir vu son grand fils jouir.

— Vous êtes très beaux, tous les deux, lança Nathalie. Tu as un corps magnifique Lara. Et merci pour ce joli spectacle. Merci à toi aussi Thomas.
—  De rien maman. Tu as aimé ?
— Bien sûr, mon chéri, comme toujours.

Je restai bouche bée. Thomas se mit à discuter de tout et rien avec sa mère comme si rien ne s’était passé, comme s’il était tout à fait normal qu’un fils fasse l’amour devant sa mère. C’était incroyable.

— Bon, maman, on va y aller, maman, j’ai du boulot à la maison.

Il se leva, fit une bise sur la joue de sa mère. Nous nous rhabillâmes et nous nous en allâmes.

Dès que nous fûmes seuls, je me tournai vers Thomas.

— Merde, Thomas, tu te rends compte de ce que tu m’as fait faire ? Baiser devant ta mère !
— Je sais c’est bizarre... Qu’est ce que tu en as pensé ?
— Je ne sais pas. C’était spécial. Mais très bon aussi. Plutôt excitant.

Thomas baissa la tête. Lui aussi trouvait ça excitant. Il en avait un peu honte mais il aimait ça. Il avait fait l’amour avec beaucoup de filles, mais c’était quand sa mère le regardait qu’il était le plus excité.

— En tous cas, ma mère te trouve très jolie. Elle voudrait qu’on recommence, le week end prochain. Elle me l’a dit en partant. Tu es d’accord ?
— Je vais réfléchir, même si je suis tentée de dire oui ...

L’idée de refaire l’amour devant cette maman voyeuse m’excitait déjà. Nathalie était belle, séduisante.

 Pourrait elle aller plus loin  ?
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