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Une maman voyeuse

Chapitre 2

... elle passe à l'acte...

Inceste
Le samedi suivant j’avais réfléchi et j’avais accepté l’invitation. A nouveau j’allais faire l’amour avec Thomas devant sa coquine de mère. Cette histoire de maman voyeuse était complètement folle, certes, mais ça commençait à vraiment m’exciter... 

Nous sommes alors retournés dans cette belle et agréable maison où Thomas avait passé son enfance.

Comme d’habitude Nathalie nous reçut avec beaucoup de chaleur. Elle était habillée très élégamment, portait une jolie robe blanche moulante, sans manches, plutôt sexy. Après un très bon et agréable repas, nous nous sommes installés au salon.

— Je vous sers un café ? a demandé Nathalie.
— Très volontiers, répondis-je. Surtout après un bon repas comme ça ! C’était délicieux ! 
— Merci Lara c’est gentil. J’adore cuisiner pour les gens que j’aime. Si tu veux, à l’occasion je te montrerai quelques vieilles recettes de famille.

Nous avons bu notre café, servi avec de délicieux petits gateaux, puis Thomas s’est rapproché de moi. 
Visiblement c’était le moment d’entrer dans le vif du sujet.

Il commença à remonter ma jupe et constata que je n’avais pas mis de  culotte. Ravi de tant de bonne volonté, il glissa les doigts entre les lèvres de mon sexe. 
J’écartai alors bien les jambes pour tout bien montrer à sa mère. Tant qu’à faire autant y aller à fond... Je m’étais même épilée de près, ce jour là. Je voulais que ma moule soit la plus douce et la plus jolie possible. Et visiblement Nathalie appréciait. 

Thomas avait glissé deux doigts à l’intérieur de ma chatte, et Nathalie ne perdait pas une miette du spectacle. En vraie voyeuse elle ne bougeait pas, se contentant de regarder. Mais ses yeux brillaient d’un éclat qui ne laissait pas de doute sur le plaisir qu’elle prenait à nous mater.  

A son tour Thomas se déshabilla. Il retira son slip et exhiba sa jolie bite, déjà bien raide, devant les yeux émerveillés de sa mère. Lui aussi aimait s’exhiber devant elle. 
Celle ci était assise au fond d’un fauteuil, jambes croisées. Avec sa robe blanche, elle avait pris la même position que Sharon Stone dans le film Basic Instinct. Dans cette scène mythique, Sharon Stone décroise rapidement les jambes, et les trois hommes en face d’elle, ahuris, ne peuvent que constater qu’elle ne porte pas de culotte.
Nathalie portait-elle une culotte ? L’idée me vint de lui demander, purement et simplement. 

— Nathalie, je ne trouve pas très juste que tu nous regardes sans rien nous montrer. Je veux bien continuer ce jeu, mais à condition que ta présence soit un peu stimulante pour nous.
— Que veux tu dire, Lara ? 
— Hé bien je voudrais juste voir ce que tu as sous ta robe. Relève la un peu, montre nous. 

Nathalie resta bouche bée et Thomas devint livide. Il me souffla à l’oreille :— Lara, ce n’est pas prévu, ça. C’est ma mère ! Elle ne peut pas faire ça !
— Ha ? Et pourquoi pas ? Je veux bien être de bonne volonté, mais si elle veux nous voir faire l’amour, je trouve assez juste qu’elle y mette du sien aussi.

Thomas ne savait plus que dire. J’étais en train de renverser les rôles. Il est rare que les voyeurs, ou les voyeuses, acceptent de s’exhiber à leur tour. C’était un pari risqué.
Nathalie sembla réfléchir. Mais contre toute attente elle décida de m’obéir. Elle releva sa robe et écarta légèrement les jambes, juste assez pour montrer son entre jambe. 
Hélas je constatai qu’à l’inverse de cette coquine de Sharon Stone, Nathalie portait bel et bien une petite culotte. Le petit bout de tissu blanc nous empêchait de voir le principal. 

Mais peu importe, j’avais obtenu ce que je voulais : ainsi la voyeuse acceptait de s’exhiber ? C’était bon signe.Thomas ravala sa salive, plutôt mal à l’aise, impressionné. Depuis qu’il était adolescent il acceptait de s’exhiber devant sa mère, lui obéissait sans rien demander. Il considérait comme normal le fait d’être nu devant sa mère, mais il n’avait pas envisagé qu’un jour la réciproque puisse se faire. A vrai dire, il avait rarement vu sa mère en petite culotte, et encore moins toute nue.

— On va plus loin ? demandai je au creux de son oreille.

Thomas me regarda, étonné. — Comment ça ? 
— Moi ça m’excite à fond, tout ça . Regarde bien.

Je lui fis un clin d’œil et me tournai vers sa mère.— Nathalie, maintenant tu vas enlever ta culotte ! 

Là je dépassais les bornes. Thomas faillit s’étrangler. Il n’avait vraiment pas prévu que j’aille aussi loin. Et je sentais Nathalie très perturbée. Mes demandes étaient inhabituelles. Les copines de son fils n’étaient pas si revendicatives, d’habitude. Elles étaient souvent très coquines mais plutôt soumises. Alors que moi je prenais les choses en main. Mais je lui plaisais bien et elle accepta de jouer le jeu. 
Elle fit glisser sa culotte sur ses jambes, la retira. Sous nos yeux ébahis elle exhiba une jolie chatte, bien fendue, relativement poilue.

Thomas s’étouffa littéralement, manquant d’air, à la limite de l’évanouissement. Jamais il n’aurait imaginé qu’elle accepterait ça. Et jamais il n’avait vu si beau spectacle. Je me tournai alors vers Thomas, subjugué.— Ça te plaît ? demandai-je.
— Heu, oui, bien sûr ! répondit il timidement

Je me penchai alors vers lui et mis sa queue dans ma bouche. Elle était bien dure et bien raide. Je développai alors tout mon savoir faire en matière de fellation. Je n’avais cependant pas trop à forcer mon talent pour l’exciter : la vision du sexe de sa mère suffisait largement.
Je remontai ensuite vers lui et lui soufflai à l’oreille :— Baise moi maintenant !

Thomas se positionna devant moi pour me faire l’amour. Il me pénétra et commença à s’activer en moi avec une énergie que je lui connaissais pas. Jamais il n’avait été aussi excité. Et c’était absolument divin. 
De temps en temps il jetait un coup d’oeil à sa mère. Celle ci montrait tout, bien consciente de l’effet qu’elle produisait sur son fils. Elle avait machinalement glissé les doigts sur son pubis, caressait sa toison. Puis elle descendit sa main plus bas, sur sa vulve. Elle passa les doigts sur ses lèvres, puis se dirigea vers l’endroit de son clitoris. La maman voyeuse se révélait être bien coquine aussi. 

Pour moi c’était l’extase, doublement excitée par la pénétration de Thomas et par la vision du sexe de Nathalie. Ma jouissance fut assez rapide à venir. Ce fut une explosion de sensations délicieuses. Thomas ne tarda pas non plus à me suivre et à son tour se laissa  jouir en moi. 

Lorsque nous eûmes recouvré nos esprits, Nathalie rabattit sa jupe, cachant son intimité. Elle nous laissa nous remettre de nos émotions.— Je vous sers un café ? demanda t-elle en souriant.
— Volontiers ! répondis-je, heureuse et détendue. 

Nous nous rhabillâmes et comme si rien n’était nous bûmes notre café en reprenant la conversation là où elle en était restée, parlant cuisine et bonne vieilles recettes.
Dès que nous fûmes partis, je demandai à Thomas ce qu’il avait pensé de cette expérience.— C’est fou, Lara.  Je n’aurais jamais pensé que ma mère accepte de faire ça. Je ne suis pas habitué. 
— C’est une belle cochonne , n’est ce pas ? 
—  Oui, je ne savais pas ça ... 
— Tu voudrais la baiser ? Ca te plairait ?

A nouveau Thomas me fixa avec des yeux éberlués. Il ne s’attendait pas à ce que je lui pose cette question. Lui le petit garçon modèle n’avait jamais vraiment envisagé cette possibilité. Faire l’amour avec des filles devant sa mère, ok, mais le faire avec elle, c’était autre chose. 

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Le samedi d’après, nous retournâmes chez sa mère, pour le repas de midi, comme d’habitude.Elle nous accueillit une cigarette à la main, vêtue d’une robe noire, en soie légère, très courte et très décolletée sur les seins, complètement ouverte dans le dos. Avec des talons hauts d’une bonne quinzaine de centimètres, l’effet était saisissant... Nathalie était très belle.
Je me suis approchée d’elle, tout contre elle. Je lui ai fait une bise et j’ai glissé une main sur ses hanches, sur le haut de sa fesse. Elle accepta la caresse et le compliment qui suivi :— Très jolie, ta robe, Nathalie. Ca met bien en valeur tes seins. Et ça te fait des fesses superbes.
— Merci Lara...

Selon le même rituel que les jours précédents, elle nous offrit un excellent repas. Puis après le café, Thomas et moi commençâmes à nous déshabiller. Devant elle évidemment.
Lorsque Thomas se retrouva nu, je descendis pour sucer sa queue. Mais du coin de l’œil il guettait les réactions de sa mère qui pour l’instant ne bougeait pas, assise dans son fauteuil habituel.
Je me tournai alors vers elle :— Nathalie, maintenant tu vas t’occuper à ton tour de ton fils. J’en ai marre de tout faire toute seule.
— C’est à dire ?
— Tu me comprends très bien. Tu vas t’occuper de sa queue. Viens le sucer avec moi !

Nathalie eu du mal à cacher son trouble. Elle avait déjà bien sûr pensé à cette éventualité, mais n’avait bien sûr pas prévu que la proposition vienne de moi. Elle s’avança et se mit à côté de moi. Je lui présentai le bel engin.— Elle est belle, la queue de ton fils, n’est ce pas ? Avoue que tu as envie de la sucer !

Évidemment qu’elle en avait envie ! Depuis des années elle bavait d’envie devant la belle queue de son fils. Mais elle n’avait jamais osé faire le pas. 
Elle descendit son visage vers le membre dressé de Thomas, et à ma grande surprise, le mit dans la bouche directement. C’était incroyable.  Elle se mit à le sucer avec un appétit de vraie gourmande, comme si elle avait toujours rêvé de le faire et qu’un beau jour enfin la chose était possible.— Tu vois, dis je à Thomas, elle aime te mater mais visiblement elle apprécie de participer aussi... Je l’ai compris dès que je l’ai vue. C’est une vraie cochonne. On va bien s’amuser !

Je me mis moi aussi à sucer Thomas, en même temps que sa mère. Celle ci était partageuse. Deux femmes pour une belle queue. Quelle chance avait Thomas : sa copine et sa mère pour lui tout seul ! Nous alternions, je suçais ses couilles pendant que sa mère suçait sa bite, et inversement.Avec Nathalie, nos deux bouches se croisèrent. Nous échangeâmes alors un baiser chaleureux, enflammé même. Nous nous regardâmes en souriant.— Elle est délicieuse, ta bouche, Nathalie.
— La tienne aussi Lara. Mais il n’y a pas que ta bouche qui soit bonne. J’aime ta minette. Je peux m’en occuper un peu ? 
— Tu aimes les chattes des filles, aussi ? demandai-je un peu surpris. 
— J’aime tout ! 

Elle descendit vers mon entre jambe et se mit à me lécher avec gourmandise. Sa langue était habile. Experte même. Quelle coquine ! 
Nous recommençâmes ensuite à sucer Thomas, ensemble. Lorsqu’une de nous fatiguait, l’autre prenait le relais. Thomas était aux anges.

Mais j’avais une autre idée en tête.— Nathalie, puisque ça semble t’intéresser, je vais te laisser profiter de tous les talents de Thomas. Tu vas voir comme il est doué !

Nathalie avait compris de quoi je parlais : elle allait se faire baiser par son propre fils. Ca tombait bien elle en bouillait d’envie. Elle s’allongea sur le large canapé du salon, releva sa robe et écarta les jambes, offrant sa fente à nos regards admiratifs. 

Je me tournai vers Thomas :— Elle est à toi, ta cochonne de maman ! Vas y, baise la !

Thomas ravala sa salive, visiblement impressionné. Il avait le trac évidemment.—  Alors ? Tu n’as pas envie de la prendre bien fort ?

Sa mère était toute offerte à lui. Et Thomas était bien sûr tellement excité qu’il ne pouvait refuser l’offre. Il vint sur elle, s’installa entre ses jambes.
Sans un mot il prit un peu de salive sur le bout du doigt et mouilla l’extrémité de son gland. Il positionna alors son sexe devant sa vulve et il poussa. Sa bite pénétra doucement, glissa en elle, doucement, mais sûrement.

Il y eu un moment d’extase, hors du temps. Thomas et sa mère étaient immobiles, imbriqués l’un dans l’autre. Ils se regardèrent, stupéfaits par ce qu’ils étaient en train de faire.—  On est en train de baiser ensemble, maman, c’est bien ça ?
—  On dirait bien mon chéri... Ta bite en moi, ça veut dire que tu me baises...

Ils approchèrent alors leurs lèvres et s’embrassèrent, passionnément. En même temps Thomas commença à bouger à l’intérieur de sa mère. Celle ci poussa son premier gémissement de plaisir.
Thomas se mit à accélérer ses mouvements, donnant des coups de rein de plus en plus intenses. Rapidement il en vint à pilonner sa mère de façon énergique, presque violente, faisant pénétrer sa queue au plus profond. Celle ci, loin de se plaindre de l’assaut, gémissait de plus belle.— Ha Thomas qu’est ce que tu baises bien ! C’est bon !
— Ha oui maman, tu aimes ça ?
— Bien sûr que j’aime ça ! Depuis le temps que je te regarde baiser d’autres filles, ça fait un moment que j’avais envie d’en profiter moi aussi un peu...
— Pourquoi tu ne me l’as pas dit avant ?
— Je n’osais pas mon chéri. C’est une grosse responsabilité... Mais tu étais si beau à regarder que ça me suffisait.
— Tu avais tort maman. Ca fait des années que moi aussi j’en ai envie.

Thomas attrapa alors chacune des chevilles de sa mère pour la relever encore plus haut, et il la pénétra encore plus profondément. Pour ma part je n’étais pas spécialement voyeuse. Je n’aimais pas rester à l’écart. Je me rapprochai de la tête de Nathalie, je passai une jambe de chaque côté et présentai ma chatte au dessus de son visage. La coquine ne se fit pas prier et recommença à me lécher.

Thomas était aux anges. Plus excité encore de voir sa mère se régaler du goût de ma chatte, il baisa sa mère de plus belle. Il la retourna en levrette et sans plus de précaution il la prit par derrière. Quant à moi je me positionnai devant Nathalie, et elle replongea le visage dans ma chatte. C’était l’extase. La salope léchait vraiment bien. Et son petit salop de fils la baisait divinement bien.
Il ne me fallu pas longtemps pour jouir.

Lorsque Thomas m’entendit gémir il comprit que j’étais aux portes du paradis. Encore quelques coups de langues de Nathalie et... l’explosion... Une vague de plaisir m’inonda... Alors Nathalie se retourna, se remit sur le dos. Elle voulait voir son fils, le faire jouir en elle.— Plus fort mon chéri ! Baise moi encore !

Thomas était déjà à la limite de ses capacités. Il menaçait d’exploser à tout moment. Encore quelques mouvements et à son tour il se laissa aller. Il poussa un cri et ce fut la jouissance. Il se lâcha au plus profond de sa mère. — Ho oui mon chéri, vas y, laisse toi aller dans maman ! Ca fait tellement longtemps que j’ai envie de sentir ton foutre couler en moi !

Thomas resta un moment à l’intérieur de sa mère, couché sur elle. Il était exténué. Visiblement le plaisir avait été intense. Il se retira ensuite d’elle, attrapa quelques kleenex, en tendit deux à sa mère pour qu’elle éponge le sperme qui coulait de sa chatte. — Tu as beaucoup joui ! lança-t-elle, joviale. 

Heureux et comblés, nous nous rhabillâmes et prîmes congés de Nathalie.— A samedi prochain, mes chéris ?
— Bien sûr maman ! 
— A samedi Nathalie !

Déjà nous étions impatients de nous revoir, et Thomas était aux anges, tellement heureux à l’idée de baiser à nouveau sa coquine de maman.
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