Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 232 J'aime
  • 14 Commentaires

Une ménagère exemplaire

Chapitre 2

Récréation

Hétéro
Le vol de Véro était prévu pour 18h00 et quelques heures avant, nous fîmes sauvagement l’amour dans la salle à manger. Gladys était absente, le dimanche étant son jour de repos. De la salle à manger, nous passâmes au salon où elle se mit à quatre pattes sur le canapé. Je la baisai en levrette et ma bite lui procura des orgasmes qui la laissèrent à la limite de l’évanouissement. Après une bonne douche, nous laissâmes la maison pour l’aéroport et sur un tendre baiser, nous nous séparâmes.
Le lendemain matin, je me réveillai vers 7h00 avec une forte érection. J’avais très envie de baiser, mais la solitude était en train de me titiller. Quelques minutes plus tard, la sonnette retentit. Je sortis du lit et j’enfilai rapidement un pantalon jeans qui traînait sur un fauteuil de ma chambre. Torse nu, j’ouvris la porte. C’était Gladys qui venait d’arriver. Elle portait une jupe évasée noire et un décolleté jaune. Je l’invitai à entrer, et lui offris du café.
— Mr Rocourt,— Oui.— Madame Rocourt est déjà partie ?— Oui, et elle reviendra la semaine prochaine.— Ah bon ? Et quelles sont les tâches à accomplir pour aujourd’hui ?— Baise intense et repassage !
Surpris de ma réponse, elle me fixa du regard et s’approcha vers moi. Elle écrasa ses lèvres sur les miennes et plongea sa langue dans ma bouche. Elle fit passer son décolleté par-dessus sa tête pendant que je faisais descendre mon pantalon le long de mes jambes. Je dégrafai son soutien-gorge et ses seins libérés jaillirent. Ils s’étalèrent largement sur son torse. Elle enleva son string bleu royal et se coucha à plat ventre sur la table de la salle à manger afin que je la prenne par-derrière. Elle fit remonter sa jupe évasée pour mettre en valeur son cul large, proéminent et bien ferme qui arborait un tatouage sexy et excitant. Tout en pétrissant ses fesses, j’écartai ses lèvres à deux mains pour bien dévoiler ses chairs boursouflées. J’enfonçai ma langue dans sa chatte tout en léchant son clitoris avec douceur de haut en bas, ensuite, de plus en plus vite en aspirant sa vulve. Je grimpai sur la table avec mon membre bien dressé et le glissai doucement dans sa chatte.
Nous gardâmes la position du triton pendant longtemps et mes coups de bites la firent crier à haute voix. J’accélérai mes va-et-vient et mon ventre claquait contre les fesses de Gladys. Elle gémissait et me demandait de déglinguer sa chatte jusqu’à ce qu’elle n’ait plus qu’une seule goutte de mouille.
Après plusieurs coups de queue, un violent orgasme secoua son corps dans tous les sens et elle poussa un cri de bête sauvage. J’étais très heureux de la voir jouir, mais je ne pouvais pas rester longtemps, car il fallait me rendre à la pharmacie. J’enlevai ma bite de sa chatte et me précipitai à la salle de bain. En terminant ma douche, elle entra et me demanda :
— Mr Rocourt ! Pourquoi vous n’avez pas rempli ma chatte de votre purée ?— Parce que je dois ouvrir la pharmacie avant 8h30. Une prochaine fois Gladys.
J’enfilai une chemise et un pantalon. Je lui montrai les vêtements à repasser et je m’en allais. En ouvrant la porte, elle me demanda si j’aurais besoin d’elle dans la soirée.
— Non Gladys ! Après le repassage, vous pouvez disposer.
Arrivé à la pharmacie, je téléphonai à ma femme pour m’enquérir de ses nouvelles. Elle était déjà à son poste et me décrivait avec ironie la caricature d’une collègue. A la fin de la conversation, elle me demanda pour Gladys.

— Elle va très bien, aujourd’hui elle fait le repassage.— D’accord ! Demande-lui de te préparer quelque chose à manger pour ce soir.— Non, pas la peine, j’ai l’intention de commander une pizza. — Ben, on se reparlera plus tard alors.
Je passai la journée à recevoir des ordonnances et des livraisons d’agence de produits pharmaceutiques. Mais je pensais souvent à Gladys, surtout à sa question sur le remplissage de sa chatte avec mon liquide crémeux. Vers 19h00, je décidai de fermer et rentrer chez moi. En arrivant, j’aperçus la télé du salon allumée et la salle à manger éclairée. J’avançai sur la pointe des pieds jusqu’à la salle de bain. En m’approchant, j’entendis l’eau du robinet couler accompagné d’un gémissement. J’ouvris la porte en douceur.
C’était Gladys qui se masturbait sur les w.c.. Elle se doigtait et prononçait mon nom sans arrêt. Je la laissai terminer jusqu’à la jouissance extrême et j’entrai.
— Gladys, que faites-vous ici ? Vous devriez partir depuis 16h00.— Bonsoir Mr Rocourt, après le repassage, j’avais envie de sentir votre bite au fond de ma chatte et j’ai préféré vous attendre.— Vous êtes vraiment une belle salope Gladys ! Suivez-moi.
J’entrai dans ma chambre et elle s’assit sur le lit conjugal. Je me déshabillai entièrement et m’approchai d’elle. Elle déposa un filet de salive sur ma bite et m’offrit une fellation ultra-torride. Ma queue était parcourue par de grosses veines qui battaient suivant le rythme cardiaque accéléré. Elle se mit à quatre pattes, le cul bien exposé vers le haut. Sa chatte faisait son apparition sans aucune pudeur et je glissai ma bite jusqu’au fond sans difficulté tellement elle était trempée. Gladys gémissait d’un intense plaisir et à chaque coup de reins, les seins se balançaient sous elle. Je la tenais fermement par la taille et mon ventre claquait contre ses fesses. Elle, par en dessous, se caressait le clitoris pour précipiter sa propre jouissance. Gladys accompagnait mes mouvements par de violentes ruades de la croupe.
— Voilà, je viens Mr Rocourt !
Son bassin se mit à trembler et elle jouit bruyamment. Je continuai mes aller-retour avec plus de rapidité et sous un coup de reins violent, je déchargeai entièrement ma semence chaude au fond de sa chatte. Elle avait les lèvres déformées, les yeux révulsés.
Il s’écoula un long laps de temps avant qu’on reprenne notre souffle. Je profitai de cette occasion pour lui poser quelques questions.
— As-tu un petit ami Gladys ?— Oui monsieur Rocourt, mais il est parti en France depuis cinq mois et je ne pense pas qu’il reviendra.— Et tu aimes quand je te baise ?— Oui monsieur Rocourt, vous avez une bite extraordinaire qui me rend dingue.
Après une longue conversation, je commandai de la pizza et des sandwiches. Elle voulait partir, mais je lui demandai de rester en lui tenant la main. Elle accepta et s’allongea à côté de moi. Nous passâmes une nuit formidable. Le lit conjugal sentit le sperme et la cyprine jusqu’au lever du soleil.
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live