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Une mère douce et aimante... Dominatrice SM

Chapitre 4

Inceste
— Bonjour, j’ai un rendez-vous au nom de... — Je sais qui vous êtes, Dame Caroline m’a prévenu de votre arrivée, dit l’esthéticienne en m’interrompant. "Si vous voulez bien me suivre"
Pourquoi l’a-t-elle appelée "Dame Caroline" ? Qui est cette femme au juste ?
— Ne vous en faites pas, vous saurez qui je suis en temps voulu.
Elle interrompt mes pensées, je continue de la suivre, elle dégage une délicieuse odeur de violette qui fait chavirer mes narines.
Nous arrivons dans une pièce, il y a une table avec un trou pour la tête, et juste à côte sont disposés plusieurs ustensiles pour l’épilation. Elle ferme la porte et me dit :
— Maintenant, mets-toi à poil petite chienne.
En entendant ces mots, mon cerveau s’arrête, qui est-elle et que sait-elle de moi exactement ?
— Tu ne m’as peut-être pas bien entendue, tu ne voudrais pas que ta maîtresse entende de moi que tu n’obéis pas ? A poil !
L’autorité dans sa voix est presque aussi oppressante que celle de ma mère, je m’exécute et me retrouve nue devant une inconnue.
— Alors c’est ça que Dame Caroline a choisi comme nouvel esclave ? Je me demande bien ce qu’elle te trouve. Allonge-toi sur le ventre, on va commencer.
Une fois allongé, elle commence à appliquer de la cire dans mon dos, puis l’arrache d’un coup sec, laissant s’échapper de ma bouche un petit cri. Elle rigole :
— Et en plus, il est douillet, je ne te donne pas une semaine avec ta maîtresse avant de fondre en larmes et de briser ton contrat.
Les choses se précisent dans mon esprit, peut-être que cette femme est également une dominatrice, elle a peut-être déjà fait des choses avec ma mère. Alors que mon esprit s’enfonce dans un rêve lesbien entre ma mère et une inconnue qui semble bien la connaître, l’esthéticienne qui a fini mon dos et mes jambes me dit :
— Et maintenant, le CIF.
Elle applique délicatement de la cire entre mes fesses, ce qui ne manque de m’exciter, puis elle arrache tous mes poils d’un seul coup. Je réussis tant bien que mal à contenir ma douleur.
— Bien, tu progresses. Retourne-toi, il nous reste un côté à faire.
Elle commence à m’épiler le torse lorsqu’elle remarque mon érection, née de mes pensées érotiques ainsi que de mon anus titillé auparavant.
— Comme elle est mignonne avec sa petite bite dressée, c’est parce que j’ai touché ton cul c’est ça ? Dit-elle en rigolant.— Oui Madame...— Appelle-moi Priscilla mon chou.
En regardant Priscilla de plus près, je me rends compte à quel point elle est belle. Rousse, avec de magnifiques yeux verts et des taches de rousseur qui viennent décorer son visage. Elle n’est pas très maquillée, juste ce qu’il faut. En revanche, sa manucure est parfaite, des ongles longs et roses, comme je les aime. Sa tenue m’empêche de bien la distinguer, mais sa poitrine semble relativement petite, mais j’aimerais beaucoup les prendre en main et les...
— Redresse-toi, il ne reste plus que ton visage et c’est fini.
Elle prend une pince à épiler et commence à faire mes sourcils.
— Il faut qu’ils aient l’air un peu plus féminins, mais pas trop non plus, on ne voudrait pas éveiller les soupçons.
Une fois fini, elle rapproche son visage du mien, je sens sa respiration contre ma peau.

"Quel dommage que l’on ne puisse pas s’amuser un peu aujourd’hui, murmure-t-elle en caressant délicatement mon sexe tendu avec ses ongles, mais je suis sûr que l’on se reverra.
Elle me mordille gentiment l’oreille puis s’éloigne de moi en me demandant de me rhabiller et de la rejoindre à l’accueil. En me rhabillant, je caresse ma peau, elle est douce comme celle d’un nouveau-né, je pourrais m’y habituer. J’arrive en face de Priscilla.
— " Combien je vous dois ? — Dame Caroline s’est occupé de tout, ne t’en fais pas.— Très bien, merci beaucoup.— Au plaisir, on se reverra bientôt, dans d’autres circonstances, je l’espère"
Après cette rencontre pour le moins excitante, je rentre chez moi. Je trouve sur une table à l’entrée une petite boîte, sur une plus grande boîte, avec un petit mot : "La première boîte contient une poire à lavement, sers t’en pour te laver et reviens ici". Je m’exécute. Quelques minutes plus tard, je reviens et je vois un autre mot sur la grosse boîte : "enfile ça et monte dans ma chambre"
Dans la boîte se trouve la tenue complète de la parfaite petite pute. Je commence par mettre les bas résille, j’adore la sensation sur ma peau. J’enfile ensuite un tanga, et une petite nuisette en soi. Je finis par chausser des talons aiguille d’au moins 15 centimètres, noir brillant, qui sont à ma taille. C’est beaucoup plus agréable que ceux de ma mère qui étaient bien trop petits.
Maintenant que je suis équipé, je commence à monter les escaliers, j’aurais peut-être dû mettre les talons après, c’est un coup à me casser la gueule, mais c’est trop tard. J’arrive dans la chambre et je découvre ma mère en tenue. Elle porte des bottes/cuissardes en latex qui remontent jusqu’à mi-cuisses. Sa magnifique poitrine est à l’air libre et elle porte de longs gants en latex qui vont jusqu’à ses biceps. Mais le plus intéressant dans sa tenue... C’est un imposant gode ceinture, au moins 32 centimètres de long et six centimètres de large, il est magnifique.
— Je vois que mon engin te plaît ma belle, on ne va pas y aller par quatre chemins, à quatre pattes sur lit.
Je me dépêche de lui obéir et lui présente mon cul bien épilé. Elle écarte le fil de ma culotte, plonge sa main dans le lubrifiant posé à côté de moi et m’enfonce d’un seul coup deux doigts au plus profond de mes entrailles. Elle me titille légèrement la prostate avant d’enfoncer un troisième puis un quatrième doigt. La sensation est extra, mieux que quand je jouais seul. Elle fait des va-et-vient pendant quelques minutes avant de subitement sortir un paddle en cuir de sous le lit et de me frapper violemment avec. Ce traitement dure encore plusieurs minutes pendant lesquelles mes sens s’affolent. Je m’abandonne complètement au plaisir et mes gémissements encouragent ma mère qui accélère la cadence.
— Tu aimes ça espèce de pute ? — O... Oui... Maître... Maîtresse, j’adore ça. Chaque est entrecoupé de gémissement. Elle retire alors ses doigts et pose le paddle. — Il est temps de passer la vitesse supérieure.
Elle lubrifie son sexe, le présente à mon cul béant, et l’enfonce d’un seul coup jusqu’à la garde. Pour la deuxième depuis le début de nos ébats, je découvre des sensations plus fortes que ce que je n’ai jamais connues.
— A croire qu’il n’est même assez gros pour toi.
Ma mère commence à faire des va-et-vient, provoquant chacun une vague de plaisir indescriptible dans tout mon corps. Je ressens chaque coup de reins dans toutes les parcelles de mon cul, chacun fait vibrer mon corps entier. De temps en temps, un coup de paddle s’abat sur moi, décuplant les sensations, je suis au paradis des salopes. Ce traitement dure de nombreuses minutes pendant lesquelles j’atteins l’orgasme plusieurs fois. Je sens que ma mère commence à fatiguer. Essoufflée, elle sort de mon cul et s’écroule à mes côtés. Elle retire son strapon et me le tend.
— Va le nettoyer puis reviens ici.
En le prenant en main, je me rends compte à quel point il est massif. Je commence à me diriger vers la salle de bains, mais mes talons et l’état de mon cul ne rendent pas la tâche facile. Une fois cet énorme sexe nettoyé, je retourne dans la chambre, ma mère a enlevé ses gants.
— Tu as été sage jusqu’à maintenant, voyons voir si tu mérites une récompense.

Elle attrape ma tête et la dirige vers son vagin, je sais ce que j’ai à faire. Je commence à embrasser son clitoris puis à donner des petits coups de langue. Très vite, la respiration de ma mère s’accélère au rythme de ma langue qui fait désormais des aller-retour sur tout son vagin entrecoupé par des baisers. Plus ma mère respire fort, plus elle presse ma tête contre sa chatte. Les respirations deviennent peu à peu des gémissements jusqu’à ce que tout son corps de crispe, lâchant un dernier cri de jouissance avant de se relâcher. Ma mère venait d’atteindre l’orgasme grâce aux coups de langue de son soumis de fils.
— C’était délicieux ma belle, assis-toi dos à moi, je vais récompenser ton bon comportement.
Elle s’assoit derrière moi, je sens son énorme poitrine s’écraser contre mon dos alors qu’elle mon sexe bandé et commence à le masturber.
— Vas-y, tu peux jouir quand tu veux.
Au bout de quelques secondes à peine, tout le plaisir accumulé depuis le début de nos ébats est expulsé en plusieurs salves de semence que ma mère récupère dans sa main. Elle s’éloigne de moi, regarde le contenu de sa main...
— Ça sera pour la prochaine fois, tu as déjà bien travaillé aujourd’hui.
Puis elle part dans la salle de bain. Elle m’ordonne de rester dans cette tenue et me prévient que le dîner sera prêt dans 30min. Cette fois, c’est officiel, je suis devenu le soumis de ma mère.
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