Sabine, à moitié ivre, mortifiée par tout ce qu’elle avait entendu, terrifiée à l’idée de passer pour une incapable, face au type qui les avait raccompagnés... et surtout avide de reconnaissance, et de compliments, avait compris ce que l’on attendait d’elle. En effet, il aurait été insupportable pour elle de se donner à un parfait inconnu, de tromper son mari pour la première fois, de faire l’amour avec le deuxième homme de sa vie sexuelle pas vraiment fantastique... et de se voir rejetée une nouvelle fois ! Cela, elle ne l’aurait pas supporté et soit, serait tombée dans un mépris d’elle-même encore plus profond que d’habitude, voire une terrible dépression, soit se serait suicidée. Elle n’en pouvait plus de se voir humilier et rejeter par tout le monde, à commencer par son propre mari et ses enfants... alors cela aurait été la goutte qui aurait fait déborder le vase ! Alors... et bien, puisqu’il lui fallait baiser avec ce type pour réparer sa dette d’honneur et sa stupidité de la journée, elle faisait entièrement confiance à son aîné pour la guider sur les chemins de la perversion ! Après tout, elle s’était aperçue à la plage que les hommes la respectaient pour son corps nu et attirant et pour ses tentatives malhabiles de les allumer. Grâce à Franck, elle se sentait femme à part entière pour la première fois de sa vie, et reprenait confiance en elle !
Elle avait enfin compris qu’elle était une jolie femme, désirée par beaucoup d’hommes, qui l’abreuvaient de gentillesse et de compliments, lorsqu’elle leur donnait ce qu’ils voulaient !Sa timidité maladive et son manque d’intérêt pour le sexe ne lui avaient attiré que des déboires... alors que si elle devenait une salope avide de sexe, la gent masculine la respecterait et la choierait !Seulement comment faire pour apprendre le sexe ? Il n’y avait qu’une façon : pratiquer !Elle avait découvert les regards émerveillés de ses garçons sur son corps nu, à la plage... et les seuls compliments qu’elle avait reçus depuis tant d’années...Alors la solution était simple... elle allait se donner à ses fils... tous en même temps.Elle avait, bien malgré elle, été fascinée par les verges en érection de ses garçons. Surtout que leur état d’excitation était dû à la vision de leur mère à poil... Alors rassemblant son courage, elle avait revêtu les "colifichets" érotiques, que son mari voulait qu’elle porte depuis tant d’années : un porte-jarretelles, des bas couleur chair, des bottines noires en cuir... et rien d’autre, seulement un déshabillé en soie pour entretenir le mystère. Et pour se donner du courage, boire quelques bières ; pompette et excitée, elle sentait qu’elle serait capable de tout ! Alors elle avait carrément allumé ses garçons en décroisant les jambes, et en parlant de cul. Quand elle avait laissé glisser le déshabillé, et qu’elle s’était retrouvée nue, offerte, dans une tenue de pute, elle avait ressenti une excitation démentielle l’envahir. Sabine n’avait jamais joui... mais là, elle sentait qu’elle en était très proche !Et quand ses fils l’entourèrent pour l’embrasser, lui caresser ses cuisses, ses seins, lui doigter la chatte, elle avait l’impression qu’elle allait devenir folle de plaisir. Sa satisfaction était double : se laisser aller à une vague de plaisir indicible et enfin être le sujet ‘d’attention, d’adoration de trois hommes qui la vénéraient comme une déesse. Elle rompit toute tentation de honte, de malaise, de scrupules... l’ancienne Sabine, “ Bécassine “, était morte et enterrée ! Alors elle laissa jaillir toute l’intensité de son instinct de femelle, cette femme profonde qu’elle avait laissée enfouie depuis toujours, sous un voile de pudibonderie. Alors que Franck l’embrassait à pleine bouche, sa main, elle alla naturellement ouvrir sa braguette et en sortir la bite de son fils, qu’elle commença à masturber.Déjà à la plage, elle avait été étonnée et intéressée malgré elle, par les bites dressées de ses garçons. De même, elle avait ressenti un certain plaisir à exposer sa chatte au regard concupiscent du gros homme devant elle... cette fois-ci, elle était bien décidée à saisir l’occasion, et à se faire baiser comme elle ne l’avait jamais été auparavant ! Et ses garçons n’étaient pas des timides sur ce plan-là !
Tandis que le petit salop de Ludo lui branlait la chatte avec le trousseau de clefs de la voiture... ah, ils l’avaient bien baisée sur ce plan-là... mais elle pardonnait tout, pour ce qu’ils étaient en train de lui faire... et que Marc lui mordillait les tétons, impression divine, Franck présenta son gland sur les lèvres de sa mère. Sabine ne savait même pas tailler une pipe, mais là, son instinct animal la guida. Elle absorba le gland, sensation délicieuse d’avoir cet organe viril, plein de sève et d’énergie dans la bouche, la langue qui en fait le tour, les joues qui se creusent pour provoquer une succion, la main qui vient prendre la hampe et commence un mouvement de va-et-vient dans la bouche. Elle, qui ne savait pas faire, devint une vraie pro en peu de temps. Elle toussa un peu quand le gland alla trop profondément dans sa gorge, mais géra la profondeur du bout des doigts et puis la délivrance, le gland qui se gonfle et pulse en balançant son sperme.
Elle garda tout dans sa bouche, en savoura le goût et puis retirant l’engin, le débit lui inonda le visage, le menton, et enfin les seins. Elle se dit qu’elle adorait cela ... Et puis de nouvelles découvertes : elle sentit en fermant les yeux un souffle chaud sur sa grotte, une langue qui lui titillait le clitoris, qui n’avait jamais été aussi électrisé, un doigt qui pénétrait sa fente et enfin une langue qui léchait généreusement toute sa vulve, et s’enfonçait entre ses petites lèvres, dans son vagin déjà bien dilaté, elle partit d’un grand éclat de rire, et poussa une longue clameur comme d’agonie. Tout son esprit était focalisé sur sa chatte et ses sensations, elle pensa comme un leitmotiv : — Putain, c’est trop bon de se faire bouffer la chatte, en plus par ses fils !” Cette fois-ci, Bécassine était bien partie dans le royaume d’Hadès !
Et puis après un ramonage lingual en règle, Sabine était aux anges : la chatte léchée par Ludo, les seins caressés par Marc, elle s’était délectée de la fellation complète, qu’elle avait accordée à son aîné... le gland dans la bouche, le torrent de sperme... tout cela avait été divin.Pourtant quand Franck demanda à ses frères de s’écarter, et qu’il se positionna entre ses cuisses, elle comprit qu’elle allait perdre "son innocence". Jusque-là, tout restait gérable... mais là, faire l’amour avec son fils, se laisser pénétrer... un sentiment de honte et d’insécurité psychologique la saisit. — Heu non, Franck ce n’est pas bien ! On ne doit pas... le reste oui, mais pas ça !— Tiens !? Notre petite Bécassine se dégonfle ? Tu te fous de moi ou quoi ? La chatte exposée et baveuse, en porte-jarretelles et seins nus comme une pute ! Tu crois que je vais m’arrêter là ? Oh, et puis t’es trop conne ! Papa avait bien raison ! Il fit mine de se retirer, Sabine, les larmes aux yeux, le supplia : — Non s’il te plaît, viens dans ma chatte, baise-moi, prends-moi comme tu veux ! Je veux être ta putain ! Un sourire de triomphe sur les lèvres, il gifla les deux seins de sa mère, Sabine couina, puis il positionna son gland à l’entrée de la chatte et d’un grand coup de reins, pénétra sa mère ! Celle-ci, presque étonnée par le plaisir qu’elle ressentait, ne mit que trente secondes à éprouver un orgasme, comme elle n’en avait jamais connu.Toujours sous le coup de l’émotion, elle sentit une deuxième verge vigoureuse investir son intimité... Marc lui aussi bourrinait sa mère, qui n’en pouvait plus de cris de jouissance. Ludo fut le troisième...Franck, après avoir souillé sa mère, regarda ses deux frères prendre leur pied avec elle... elle n’était pas en reste d’ailleurs, à jouir et visiblement prendre son pied comme cela ! Il avait l’impression qu’elle allait rattraper 20 années de vie sexuelle ratée en quelques soirs ! Elle était vraiment devenue la traînée des trois frères... les possibilités sexuelles semblaient illimitées ! Il se devait de tenter quelque chose pour l’éprouver un peu plus : — Alors Sabine tu as pris ton pied, c’était bon ?— Oh oui mon chéri, vous aviez été parfaits !— Bon alors, tu vas prendre cette canette de bière sur la table et tu vas te branler avec ! Sabine obéit, mais se retrouva très vite très bête avec cette bouteille, dont elle ne savait pas quoi faire à la main. Cela lui paraissait bizarre et terriblement vulgaire. D’abord, elle ne s’était jamais masturbée, encore moins devant ses fils, mais en plus avec une canette de bière ! Mais quelle idée saugrenue et malséante... elle sentait son conditionnement mental de femme frustrée reprendre le dessus ! Et cela la terrifiait. Franck commença à s’énerver, et se levant, il arracha la canette des mains de sa mère et la lui fourra directement dans la chatte : — Là ! Voilà, c’est pas compliqué quand même ! Allez, tu recommences ! Alors elle se dit qu’il n’y avait qu’une façon d’échapper à une nouvelle honte ! Se reposant sur le transat, écartant les cuisses au maximum, elle présenta le goulot de la bouteille à l’entrée de son sexe et d’un seul coup se l’enfonça... il ne fallait surtout pas qu’elle réfléchisse !Sur le coup, elle eut un peu mal, elle l’avait enfoncée plus loin que Franck ! Mais très vite, en faisant coulisser l’objet entre ses muqueuses tapissées de sperme et de cyprine, elle reprit du plaisir... mais cette fois, pas uniquement un plaisir physique. Au fond d’elle-même, elle sentit que s’exhiber de cette façon aguicheuse et totalement vulgaire et contraire aux bonnes mœurs, devant ses fils, lui donnait une excitation et un plaisir malsain, mais terriblement corrupteurs !Elle commençait réellement à trouver un sens et un plaisir redoutable à sa déchéance morale. Cela l’excitait à mort !
Elle se mit alors à jouir en criant devant ses spectateurs de fils ! Et cela sans aucune honte ! Puis Franck lui ordonna de garder la bouteille bien enfoncée dans son sexe et lui ordonna de se lever. Sabine, debout, une canette dans le sexe suivait les ordres de son aîné ; mais elle n’en menait pas large ! Alors Franck décida de remettre le couvert au lit, car dit-il, les figures seraient plus agréables. Sabine se laissa guider comme une somnambule vers la chambre conjugale, les cuisses dégouttant de cyprine et du sperme de ses enfants. Elle marchait avec difficulté et lentement pour ne pas faire tomber la canette de bière, que lui avait enfilée Franck dans sa chatte. Ce dernier regardait sa mère marcher avec beaucoup de gêne et de précautions, un sourire malsain sur les lèvres. Il se disait que la pauvre femme était complètement tombée sous sa domination. Il pourrait en faire tout ce qu’il voudrait ! Il était enfin arrivé à ses fins, après des stratagèmes compliqués, mais bien réfléchis ! Il connaissait tellement bien l’auteure de ses jours : ses points faibles, son désir d’être enfin estimée, ses angoisses passées et futures... Tout compte fait, cela avait était très facile ! Et sa mère s’était révélée être un volcan. Se taper ses trois fils en même temps, il n’aurait pas cru cela possible dès le premier soir... si elle savait ce qui lui était réservé pour le lendemain !
Son père lui avait donné carte blanche pour avilir sa femme aussi longtemps et comme il le voudrait. La récompense serait qu’il pourrait enfin se taper sa salope de sœur ! Le deal, c’était qu’il devrait prendre sa mère en photo avec une autre femme, les deux à poil dans une position humiliante ! Femme, qui serait devenue sa partenaire de jeu, avec chacune une canette de bière enfoncée dans la chatte !
Alors sur le lit, Franck fit coucher Marc, la queue bien dressée, puis fit s’empaler sa mère dessus. Lui vint se positionner sur son trou du cul, qu’il avait bien titillé du bout du doigt, et doucement il encula sa mère. Sabine prise en sandwich entre les deux jeunes hommes, prenait visiblement son pied ! Sodomisée pour la première fois, et par son fils en plus, elle sentait la verge qui lui écartait les muqueuses anales ; au début avec gêne et chaleur, le corps étranger lui procura bientôt beaucoup de plaisir ! Marc et Franck, chacun dans un trou de leur mère, infligeaient des coups de boutoir de plus en plus puissants à leur mère ! Celle-ci n’en pouvait plus de gémir et crier !
Néanmoins, Ludo fit taire ses râles, quand, à genoux près de sa tête, il investit sa bouche avec sa queue... pour la première fois de sa vie Sabine était une femme comblée sexuellement, prise par trois hommes en même temps !Et surtout, elle était devenue DIGNE d’intérêt !
