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Une mère exemplaire !

Chapitre 3

Sabine partouzée à la plage !

Avec plusieurs hommes
Le lendemain, Sabine revint sur la plage naturiste avec ses fils... même heure, même endroit... et mêmes voyeurs ! Évidemment, ce démon de Franck s’était bien abstenu de révéler à sa mère qu’il l’emmenait dans un piège, un véritable baisodrome à ciel ouvert ! Lieu de sexualité exacerbée où allaient les attendre les jeunes, à qui il avait donné rendez-vous la veille, pour partouzer sa propre mère !Franck lui avait dit :
— Tu vas voir maman, ils vont t’en mettre plein la chatte !— Comment ça, ils vont ? Je pensais que je ne devais baiser qu’avec le gros, pour le remercier ?! s’écria Sabine, terrifiée.— Ben, quand ils vont voir ça, les autres vont vouloir participer !— Mais... comment le sauraient-ils ?— L’endroit où on va t’emmener est connu par les échangistes... quand ils voient un mari y emmener sa femme, y a toujours une vingtaine de gars qui suivent ! Certains pour mater, d’autres pour participer ! Ah, et tu seras attachée à une poutre !— Quoi !? Mais... mais c’est pas possible ! Je ne veux pas ! S’il te plaît Franck, tu ne peux pas m’obliger à ça ! Ce soir, je vous ferai tout ce que vous voudrez !— Allez, ça recommence ! Tu seras toujours la petite Bécassine conne et nulle, Sabine. Bon allez les gars, on retourne à la maison ! Sabine n’est pas encore prête à se révéler en femme... elle ne le sera d’ailleurs peut-être jamais !
Franck se mura dans un profond mutisme, tandis que ses deux frères lançaient un regard de peu d’aménité envers leur génitrice ! Sabine les larmes aux yeux, ressentit le dédain et la colère de son aîné... elle céda, comme d’habitude... elle avait tellement besoin d’amour et d’affection, dans ce monde cruel qu’elle ne comprenait pas !
" Bon je le ferai... mais je veux pas qu’on m’encule. Cela je vous le réserve !
— Pour l’instant “, déclara Franck, triomphant !

Alors que la pauvre Sabine avait été emmenée dans les dunes, à l’orée du bois de pins, Franck s’aperçut qu’il avait oublié les préservatifs dans la voiture. Il envoya Marc les chercher. En chemin, arrivé dans la " zone textile", quelqu’un l’apostropha :
— Et Marc, on est là !
C’était Cécile, la copine de bureau de sa mère, avec sa nièce Clémence. Un grand sourire aux lèvres, elles lui firent signe d’approcher.Marc était "pris". Il ne pouvait faire semblant d’ignorer les deux femmes. Alors il vint leur faire la bise... mais il se sentait gêné, très gêné.
— Où vas-tu d’un si bon pas ? demanda Cécile.— Ben... heu... je vais rejoindre ma mère.— Avec une boîte de préservatifs à la main ? Fit remarquer vicieusement Clémence.— Et dans la zone nudiste ? renchérit Cécile. Tu te fous de nous ? Allez, dis-nous la vérité ou on dira à ta mère que tu fais des trucs pas très catholiques, dans les dunes...— Vous... vous savez ce qui se passe dans les dunes ?— Que c’est un baisodrome à ciel ouvert ? déclara Cécile l’air coquin...— Tu nous prends vraiment pour des dindes. Nous ne sommes pas stupides comme ta mère, nous deux.— Clémence, je t’interdis de dire ça de ma copine... Sabine est... est... innocente.— Bon OK. Vous voulez savoir ? Et bien à propos de ma mère...
Et le jeune homme expliqua toute la situation, devant les deux femmes hallucinées, mais avec un air de lubricité sur le visage. Quand Marc avait senti qu’elles lui tiraient les "vers du nez", il avait d’abord eu envie de les envoyer paître. Et puis, en matant les poitrines des deux femmes, il s’était dit que ces deux-là étaient d’un autre calibre que sa génitrice... alors pourquoi ne pas les attirer dans le piège tordu de son frère ! On verrait bien ce qu’ il en ressortirait ! Et évidemment, attendant que le jeune homme ait pris une certaine avance sur elles deux, elles se mirent à le suivre, faisant un grand détour par les dunes derrière la plage pour éviter la zone nudiste ! Elles arrivèrent non loin de la petite clairière, bien à l’abri entre dunes et pins parasols, où se trouvaient les barrières de bois, lieu de perdition pour femmes très chaudes et maris candaulistes !

Cachées derrière les buissons, les deux femmes avaient une vue intégrale sur la débauche de leur amie. Cécile n’aurait jamais cru voir sa copine Sabine à poil, cuisses écartées, cul offert, attachée par les poignets à la barrière, tandis que le premier d’un groupe de 10 hommes nus, la bite dressée, posait un préservatif sur son sexe, pour ensuite prendre position derrière la femme entravée. Il lui caressa les seins et posa une main sur une hanche, et amena son sexe contre la vulve de la belle prisonnière. Celle-ci se tortilla pour aider le jeune à assurer sa prise... et la bite disparut entre les cuisses de Sabine. Le jeune commença à défoncer Sabine, tandis que celle-ci serrait les lèvres, le visage rougi.
En grand organisateur de la petite sauterie, Franck comprit que sa mère se retenait de gémir sous les assauts du mâle. Alors s’approchant de sa tête, tout en lui mettant la main sur le pubis il lui dit :
— Te retiens pas maman. Jouis. Tout le monde est là pour que tu prennes ton pied... que tu te sentes bien !
Alors, comme libérée, sabine éructa une longue plainte de plaisir et se lança dans de longs ahanements, entrecoupés de petits couinements.

Depuis leur cachette, Cécile et sa nièce Clémence n’en revenaient pas de voir leur amie frigide et coincée au possible, se faire prendre par la chatte, par tous ces hommes, avides de sexe.
Quand le premier se retira assez vite, le gros homme vint se faire "payer sa dette". Il était très "professionnel" et endurant. Alternant douceur et violence du pilonnage sexuel, il variait les angles de sa pénétration, relevant une jambe de Sabine, la prenant de côté. Sabine, réceptive aux intentions du mec, n’en pouvait plus de jouir. Elle se surprit à utiliser des mots salaces inconnus de son vocabulaire :
— Oh oui, c’est trop bon... ooouuuuuiiii ! Vas-y défonce moi. Elle est trop bonne ta queue ! Ouiiiiii ! Plus vite maintenant. Tu me faaaiiiiis joooouuuuiiiiiiiir !
En sueur et anéantie par les orgasmes à répétition, que lui avait donnés le gros type, Sabine s’écroula, les genoux dans le sable, les mains attachées à la barre en bois.
— Jeune homme merci, votre mère est divine. Jamais je n’ai autant pris mon pied avec une femme. Madame, je vous remercie, vous êtes la déesse de l’Amour personnifiée.
Sabine regardait l’homme avec sidération... jamais on ne lui avait fait de si beau compliment ! Elle lui fit son plus beau sourire, qu’il lui rendit, puis s’en fut !

Alors un troisième jeune prit la place du type, et pénétra Sabine qui reprit ses ahanements. Cécile, avec Clémence dans son dos, observait la scène, une main nerveuse sur son bas de bikini. Clémence dut s’en rendre compte, car approchant sa tête de l’oreille de Cécile, elle lui souffla :
— Ça t’excite tantine ? Tu aimerais bien être à sa place ? Tu meurs d’envie de te branler, mais tu n’oses pas le faire ?— Oui, répondit nerveusement Cécile.— Tu as tort... moi je suis déjà à poil, et je me caresse !
Devant l’incongruité de la situation, Cécile ne répondit rien, mais avait elle aussi, très envie de se laisser aller ! Elle sentit alors une pression derrière sa cuisse, et s’aperçut que la jeune femme derrière elle, ne portait effectivement pas de culotte ! Cécile sentait un pubis à peine rasé, lui effleurer l’arrière de la cuisse, les poils de sa nièce lui chatouillaient agréablement sa peau si douce à cet endroit.
Elle sentit alors une main passer sur ses fesses, et une autre délacer son haut de bikini, qui tomba à terre... Cécile se laissa faire... elle se retrouva seins nus !La main s’enhardit alors dans son maillot de bain, pour lui caresser la peau des fesses, puis venir s’immiscer dans son entrecuisse. Puis elle sentit son bas de bikini glisser le long de ses cuisses... et Cécile se retrouva nue, seins et chatte à l’air sur cette plage, en train de mater sa meilleure amie se faire défoncer par tous ces mecs !
Sa nièce l’enlaça alors, une main passée sur son pubis rasé, qu’elle se mit à caresser voluptueusement, et l’autre sur ses seins. Cécile goûta la caresse saphique, elle ne n’avait jamais été caressée par une femme, mais la la situation lui échappait... tout cela était trop excitant.
— Tu aimes ce que je te fais, tantine ? Tu aimes te faire caresser la chatte par une femme ?— Oui... oui... c’est bon...— Tu pourrais aussi me caresser, j’en meurs d’envie...
Tout cela avait été dit dans le creux de son oreille, par une Clémence enjôleuse et perfide, qui avait depuis longtemps envie de caresser le corps parfait de sa tante. Elle savait que Cécile était plutôt hétéro, mais l’occasion ne pouvait pas être manquée !Profiter du dévergondage en règle de sa copine Sabine, pour la dévergonder elle ! Et Cécile, tout à sa fièvre de contempler son amie Sabine, en train de jouir de multiples façons... cette fois, elle avait été détachée et empalée sur la bite d’un type couché sur le sol, et elle suçait avec application deux autres jeunes, debout devant elle, "subissait" les caresses de sa nièce sur son sexe et ses seins !
Répondant aux demandes de Clémence, elle risqua timidement une main vers l’arrière, et toucha la cuisse de clémence. Alors timidement, elle remonta vers le pubis, sentit le petit triangle de poils bruns et rêches sous ses doigts. Elle se mit à caresser la touffe de poils.
— Dans ma chatte, mets tes doigts dans ma chatte ! Je veux que tu me branles aussi bien que je te le fais !
La demande était impérative et ne souffrait aucune discussion... alors Cécile plaça trois doigts dans l’entrejambe de sa nièce, pour sentir la cyprine qui s’écoulait de sa fente. Lorsqu’elle toucha grandes lèvres et clitoris, Clémence exhala une plainte de contentement :
— Hummm... c’est bon, vas-y branle-moi ! Ouiiiii ! Plus viiitttte !
La main de la tante se mit à faire un va-et-vient entre les deux cuisses de la nièce, tandis que cette dernière, toujours collée contre le dos de sa tante, lui caressait un sein d’une main, et avait deux doigts dans sa chatte. Cécile aussi gémissait, quoiqu’un peu plus discrètement.

Après les acrobaties sexuelles de Sabine avec une dizaine de jeunes, celle-ci se déclara crevée et demanda grâce. Franck donna alors l’ordre à ses deux frères d’aider leur mère, afin qu’elle se repose un peu à côté, sous l’abri des arbres. Sinon d’autres jeunes viendraient à la "curée", profiter des charmes de la mère de famille, et tous les mâles de la plage allaient lui passer dessus ! Se reposant à l’ombre des pins parasols, Ludo entendit un gémissement très léger, et se dirigeant à pas de loups vers l’orée du bois, découvrit un spectacle étonnant.
— Devinez ce que j’ai trouvé derrière cette dune, dit-il avec un air goguenard ?
Suivi de ses frères et de leur mère, ils découvrirent Cécile et Clémence nues, allongées sur le sable, serviettes de bain et bikinis à côté d’elles. Elles étaient enlacées, en train de faire l’amour et de s’embrasser à pleine bouche, chacune une main dans la chatte de l’autre.
— Que voici un charmant spectacle ! Cécile et sa nièce Clémence en train de se gouiner, après avoir assisté à la petite partouze de notre mère. Alors Sabine, cela t’a excitée d’avoir été matée tout du long de tes exploits, par deux chaudasses, qui se liment la moule mutuellement ? s’écria un Franck excité et suffisant.
Horrifiée, Sabine se prit le visage entre les mains et se mit à pleurer :
— Ho mon Dieu ! Franck, dans quel engrenage infernal m’as-tu placée !? Ma meilleure amie a vu toute ma déchéance ! J’ai trop honte !— Et allez, voilà Bécassine qui repointe le bout de son nez ! Mais putain maman, tu comprends pas que c’est normal, une femme qui prend son pied avec des mecs ! Putain, mais t’étais plus heureuse quand tu étais encore coincée et que tout le monde te méprisait et te prenait pour une conne ?! Et puis regarde ta salope de copine qui te mate et se fait gouiner par sa nièce ! Elles au moins, elles ont tout compris de la vie ! Tu crois qu’elles faisaient un Scrabble sur la plage pendant que tu te faisais démonter !?
Sabine cessa de pleurer et se dit que son aîné avait raison... Cécile et Clémence n’étaient pas trop fières d’avoir été surprises en si mauvaise posture ! Clémence s’en foutait de s’exhiber devant les trois jeunes hommes. Ses seins aux pointes durcies montraient son excitation, devant la situation, de même elle ne se gênait pas pour écarter les cuisses, découvrant sa vulve brillante aux trois jeunes !Mais Cécile, elle, essayait de se cacher derrière sa serviette de bain, en cherchant une explication à peu près valide, pour s’exonérer de sa propre turpitude... exercice pour le moins périlleux !
— Hé Cécile, c’est pas la peine de te planquer derrière ta serviette, assume le fait que tu aies pris du bon temps avec ta nièce ! Nous sommes tous et toutes des obsédés ici. Des dingues de cul. Alors, laisse tomber et montre ta superbe plastique. Tu sais que mes frères et moi, on fantasme depuis un bout de temps sur toi !
Cécile laissa choir la serviette sur le sable et exhiba son sexe rasé et ses seins petits, mais splendides. Un sourire aux lèvres, elle essaya de se mettre les trois jeunes dans la poche !
— Heu... les enfants, vous allez rien dire, hein ? Mon mari ne le supporterait pas, et ma sœur Laurence, la mère de Clémence, non plus !— Clémence pour Clémence ! Ouarff ! (Franck semblait fier de son jeu de mots débile.) Bon alors, qu’est-ce qu’on va pouvoir faire à six, complètement à poil et en rut ? Trois grosses salopes avides de bites, et trois gros vicieux qui ont été très excités par la performance de leur mère ? Sabine, viens ici. Oui comme ça, mets-toi à genoux devant moi !
Sidérées, Cécile et Clémence regardaient Sabine s’humilier devant son fils, la bouche à dix centimètres de son sexe turgescent...
— Il ne va quand même pas lui demander... pensa Cécile, mi-horrifiée, mi franchement excitée par la scène, qui allait de dérouler devant elle et sa nièce. " Non elle va pas le faire quand même !"
Et les deux femmes virent leur amie se saisir de la hampe glorieuse, et se la placer dans la bouche... alors Sabine commença une très belle fellation sur son propre fils, sous les yeux agrandis des deux femmes !
— Bon les filles, il y a aussi mes deux frères, je pense que le spectacle les excite... et vous aussi ! On fait le concours de.
Miss fellatrice de la plage 2019" ? " dit un Franck, fier de lui-même et de ses propres turpitudes.
Il se faisait sucer par sa propre mère, en attendant de voir ses deux frères se faire astiquer par les deux femmes. Celles-ci, à genoux sur le sable, les yeux brillants, regardèrent les deux hommes, lance en bataille, s’approcher... elles attendaient, un air de pure perversion sur le visage !
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