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Une mère pas comme les autres...

Chapitre 7

Décisions et bouleversements

Inceste
Mon attente fut remplie de songes, de suggestions mentales ou de désirs croissants face à l’attitude sans équivoque de Sylvie. Elle semblait prête à tout pour assouvir ses désirs. C’en était à la fois choquant mais terriblement excitant. Je pris également le temps de peser les conséquences de ma décision. J’allais devenir, pour Maman, un autre fils !Un fils, si pas incestueux, du moins très au fait de sa vie sexuelle. Elle m’avait bien dit que j’en prenais les rênes. C’était une décision radicale et définitive mais surtout irrévocable. Mais j’étais prêt. Et je le désirais, inutile de se mentir.’Je savais que nous entrions dans une nouvelle relation, elle et moi !
Cette décision prise après une réflexion qui m’avait tenu en haleine plusieurs jours et si importante pour ma vie personnelle venait de me transformer. Je ne pouvais me l’expliquer, mais si quelque chose s’était fissuré dans ma carapace de vertu et timidité qu’il me restait encore, un autre moi-même venait d’émerger. Plus serein, plus sûr de lui, plus mâle. Un mot me venait à l’esprit et me fit sourire. Alpha ! Alors que je détestais tout ce que cela implique, il y a encore quelques heures. Je me faisais aussi la promesse d’y repenser à tête reposée. Car il y avait dans ce terme une notion de je-ne-sais-quoi de choquant et de déshumanisant. Mais je savais aussi que cela impliquerait un apprentissage agréable en compagnie du meilleur des enseignants, ma propre mère, Sylvie.
La vie est parfois pleine de surprises, n’est-ce pas ?
Lorsqu’elle revint, quelques minutes plus tard, j’avais eu le temps de l’entendre prendre une douche rapide, puis j’avais deviné, au son de ses pas de l’autre côté du long couloir, qu’elle était entrée dans son sanctuaire.
Je l’entendis derrière ma porte d’où, après s’être arrêtée, elle m’apostropha calmement et une discussion s’engagea, chacun caché de l’autre par ce dernier rempart.
— Philippe ? Mon chéri ? Tu es prêt ?— Bien sûr, Maman !— Tu es certain que c’est ce que tu désires ? Parce que tu te doutes probablement que tout retour en arrière va devenir impossible après cette soirée ?— J’y ai longuement réfléchi, Maman ! Je ne t’ai pas parlé en prononçant des paroles en l’air. Je ne te changerai plus car tu es telle que tu le souhaites. C’est donc à moi de changer si je veux continuer à partager ma vie avec toi. Hors, tu es ma mère et je t’aime depuis toujours. Je n’ai pas vraiment le choix, si tu vois ce que je veux dire ?Mais ton bonheur compte plus que mes hésitations ou mes égarements futurs.
— Je comprends, mon amour ! J’en ai les larmes aux yeux, sache-le. C’est un tel sacrifice que je te demande mais aussi une énorme responsabilité pour nous deux.
J’entendais effectivement que sa voix s’était éraillée et qu’elle avait du mal à prononcer ces quelques mots. Elle était vraiment émue de ma confession qui lui montrait à quel point je pouvais effectivement l’aimer du plus profond de mon cœur. Mais le terme « sacrifice » me semblait un peu exagéré. Je n’allais pas à l’échafaud, j’allais simplement apprendre à profiter du corps sublime et des fantasmes infinis de ma mère tout en profitant de son enseignement en la matière. Si c’est cela la mort, je l’accepte volontiers.
Elle reprit alors, après avoir fait l’effort de calmer ses émotions.
— Sache aussi que si je franchis cette porte, tu deviendras plus que mon fils ! Tu seras définitivement l’homme de ma vie et le maître de mon Destin. Es-tu prêt à endosser ce rôle, pourtant plus lourd que tu ne peux l’imaginer ?— Je le suis, Maman chérie ! Je ferai n’importe quoi pour te rendre tout l’amour et la patience que tu m’as donné durant ces nombreuses années. Il est temps que je prenne mes responsabilités et que je veille sur toi. Il est temps que les rôles s’inversent. Je suis un homme, à présent. C’est à moi de m’occuper de ton bien-être alors que je quitterai le domicile dans quelques semaines. Il est temps de franchir cette porte et de venir te présenter à celui qui va devenir, selon tes termes et tes désirs, ton maître. Mais sache que rien de ce qui se passera dans notre vie future ne pourra jamais changer l’amour inconditionnel que je te porte.— Je t’aime tant, Philippe ! Me dit-elle cette fois sans pouvoir retenir ses sanglots. Je suis si heureuse de te voir reprendre le rôle de ton père. Il aurait été si fier de toi. Puisque tu honores sa mémoire et que tu prends sa place auprès de moi, je vais entrer et te montrer ce que je suis vraiment.— Bien ! Entre, Maman ! Si c’est ce que tu cherches, tu le trouveras !Nous apprendrons l’un de l’autre.
Je prononçais ces paroles avec un léger trémolo dans la voix, mélange d’excitation, de curiosité et de crainte.
Maman poussa la porte et m’apparut dans toute sa féminité.Ma queue se tendit d’un seul coup dans mon pantalon. Bon sang, quel spectacle.
Ma mère avait revêtu un soutien-gorge en cuir noir, avec un effet bombant qui donnait à ses seins un volume inégalé. Son ventre plat était dessiné et rehaussé par un serre-taille du plus bel effet en dentelles et morceaux de cuir de la même couleur. Les jarretelles descendaient sous un string minimaliste dessinant parfaitement les lèvres d’une chatte sublime que je devinais par transparence. Ses bas, remontant en haut de ses cuisses, galbaient ses jambes parfaites et elle était perchée sur des escarpins dont les talons de dix centimètres étaient si fins que je me demandais comment ils pouvaient supporter son poids. Son regard était dissimulé par un masque en dentelles noires et elle tenait dans chacune de ses mains un gode monstrueux et une cravache en cuir tressé.
— Maman te plaît, mon amour ?
Je ne pus répondre immédiatement tant cette apparition, digne d’un porno hardcore, m’avait scotché à mon fauteuil. Mes yeux devaient être exorbités et j’avais la bouche sèche. On aurait dit que tout le liquide que contenait mon corps avait reflué directement dans ma queue que je n’avais jamais sentie aussi volumineuse dans mon boxer.
Le regard de maman descendit vers mon entre-jambes et elle sourit en disant
— On dirait que c’est le cas ! Ta queue semble splendide, mon cœur. Tu me fais un bel honneur de bander ainsi juste en me regardant.— Maman ! Tu es sensationnelle. Bon sang, quelle femme tu es ! Je n’ai jamais vu quelque chose de pareil !— Mais j’espère bien ! Dit-elle en riant. Alors, qu’as-tu prévu pour moi ?— Je vais te montrer Anaïs, ton fantasme.— Mmmmmhhh...C’est vrai qu’elle est belle et que son corps est un appel au sexe. Mais ce n’est pas mon fantasme du moment, tu sais ?— Alors dis-le ! Demandé-je sans réfléchir, certain de sa réponse que je pouvais lire dans ses yeux.— Tu en es certain ?— Je t’ordonne de me dire ton fantasme du moment, Maman !— Bien, Maître ! Me répondit-elle en me souriant, ravie du ton plus impératif que je venais d’employer. Mon fantasme actuel est ta queue. Je la désires dans ma bouche, dans ma chatte et dans mon cul. Dans cet ordre. Afin d’en jouir et de goûter au plus défendu des fruits. Le tien, mon amour.
J’en étais certain !Mais l’entendre verbaliser ce désir inavouable me fit réagir.Je grognais de satisfaction et je sentis ma queue durcir encore un peu plus. Son regard plongé dans le mien alors qu’elle énonçait clairement ce désir interdit ne fit rien pour calmer l’impatience de ma jeunesse et mon inexpérience dans le domaine du sexe en comparaison avec celle qui était, pourtant, dans les familles dites normales, le symbole de la pureté et de la retenue. Une mère !
— Maman ! À me parler ainsi, tu vas encore me faire juter dans mon pantalon. Je ne sais pas comment tu t’y prends, mais tu arrives à m’exciter comme jamais.— C’est parce que tu manques encore d’expérience, mon chéri. Je t’apprendrai à te maîtriser puisque tu me donneras ce que j’attends. Et peut-être qu’Anaïs ne s’y prend pas correctement avec toi ? Me dit-elle avec un ton qui alluma une petite alarme dans mon cerveau pourtant incapable de réagir à autre chose que la vision du corps de ma mère. Je répondis donc, un peu trop rapidement— Je t’assure que c’est un excellent professeur ! Dis-je en la défendant et en profitant de l’aubaine pour revenir un peu sur Terre. Je vais te le montrer.— Bien, mon chéri ! Comme tu veux, me dit-elle avec ce ton dans lequel, en temps normal, j’aurais probablement détecté que ma mère souhaitait partager une information importante concernant Anaïs.
Ma mère s’assit sur mon matelas et regarda vers l’écran que je lui indiquais.
La vidéo démarra et Anaïs apparu en lingerie. Elle était vêtue d’un soutien-gorge et d’un string blanc. Ses cheveux ondulaient sur ses épaules et son regard était de braise.
— Elle va ta manger tout cru ! Fût la seule remarque de ma mère.
Anaïs se plaça à genoux devant moi et, alors que je tenais mon téléphone pour la filmer, elle dégagea mon sexe de sa prison de coton.
Je bandais déjà pas mal. Il faut dire qu’Anaïs en lingerie, cela ferait bander n’importe quel homme normalement constitué.
Elle emboucha directement ma queue tendue et entama une fellation dont elle avait le secret, alternant entre les coups de langue sur le gland ou tout le long de ma tige. Elle aimait aussi, en alternance, sucer mes couilles.
Puis, lorsqu’elle estimait que ma queue était suffisamment « huilée », elle l’enfonçait au fond de sa gorge, son nez touchant mes abdominaux. Elle gobait littéralement mon sexe tout en tournant sa langue sur le frein. Ce mouvement était juste divin.
Ma mère regarda attentivement la technique de ma copine. Ses jambes s’écartant imperceptiblement. Mais lorsqu’elle passa son index sous le fin tissu de la lingerie et entama une lente masturbation, je savais qu’elle ne s’arrêterait plus.
— Mmmmhh….j’avais raison ! C’est bel et bien une sacrée coquine ! Et tu me sembles très bien équipé ? J’ai bien travaillé, dirait-on ! Énonça calmement ma mère entre deux soupirs. Elle est torride cette fille et ce regard ! Ooohh...je voudrais qu’elle me regarde ainsi lorsqu’elle me léchera la chatte.— Tu sembles bien sûr de toi, Maman ! Mais je te rappelle que si je te montre tout cela, c’est avant tout parce que tu souhaites voir quelque chose dont tu ne me parles pas ! Dis-je en revenant enfin à des idées plus claires sur la situation et je prenais enfin le recul nécessaire.— Ouiiii ! Mmmmmhh….elle est excitante, cette fille ! Pardonnes-moi, Philippe. Tu as raison ! Mais elle est trop torride pour laisser passer cet instant. Tu permets que… ?— Je permets, Maman !
J’avais tout de même encore une once de gêne à la regarder se satisfaire devant moi alors qu’elle avait le regard fixé sur ma copine. Je mis donc un voile de pudeur sur notre relation naissante en quittant la pièce alors que j’entendais les soupirs d’aise de Sylvie s’accroître alors que je descendais les escaliers pour aller me chercher un verre d’eau.
Je pris mon temps, laissant à ma mère le temps d’obtenir ce qu’elle recherchait. Son orgasme. D’autres vidéos suivaient dans lesquelles je prenais Anaïs en levrette ou en la filmant se masturber pour moi. Sachant l’importance que ma mère apportait au regard, cette dernière allait la propulser au septième ciel en un clin d’œil. Anaïs me fixait constamment et l’on pouvait lire la montée de sa jouissance dans ses yeux.
J’eus la surprise, en remontant, de trouver maman assise sagement sur mon fauteuil, les yeux rivés, avec un sérieux que je n’imaginais pas à cet instant, sur ma copine par écran et par temps interposés.
En terminant mon verre, je la laissais à ses interrogations et son analyse. Puis, elle me dit qu’elle en avait assez et se leva, visiblement pas tout à fait rassurée.
— Je dois te parler ! Viens en bas, nous serons mieux au salon !— Comme tu veux, Maman ! Passe devant !
Ma mère sourit, pas dupe de ma politesse. Elle savait que j’en profiterai pour l’admirer de derrière. Elle accentua d’ailleurs, à cet effet, son déhanchement sur ses talons hauts.
Elle savait vraiment comment allumer un incendie dans un pantalon., cette femme !
— Philippe ! Il y a un problème avec Anaïs.— Je m’en doute, Maman ! Je ne suis pas idiot au point de ne pas avoir compris que tu voulais me dire quelque chose.— Elle n’est pas celle que tu crois !
Je déglutis un instant avant de me ressaisir.
— Que veux-tu dire ?— Es-tu certain d’elle ? Je veux dire… ! Es-tu certain qu’elle n’a que toi dans sa vie ?— Où veux-tu en venir ?— Mon amour ! Elle te trompe, c’est certain.— MAM… ! Commencé-je en hurlant.— Laisse-moi t’expliquer mon point de vue. Tu pourras me maudire après si tu le souhaites. Je suis certaine de moi. Elle te trompe ! Tu m’as expliqué qu’elle t’avait initié à certaines pratiques sexuelles. Mais je lis dans son regard comme dans un livre car je l’ai souvent rencontré. Elle ne peut pas se satisfaire de vos petites parties de baise tous les trois ou quatre jours. C’est une femme qui a de gros besoins, n’est-ce pas ? Elle ne te laisse pas tranquille tant qu’elle n’a pas eu plusieurs orgasmes ? Elle n’est jamais rassasiée de ta queue ou de ta langue ? Elle ne s’arrête que vaincue par la fatigue ? Elle te demande probablement de la rudoyer un peu, en gestes ou en paroles ? Ai-je raison ?
Je regardais ma mère avec stupéfaction. Elle venait de me faire une description fidèle de mes parties de jambes en l’air avec ma copine.
Ma mère posa sa main sur ma joue et me caressa tendrement comme lorsque j’avais dix ans et qu’elle voulait me consoler. Ce simple geste me fit fondre et je sus qu’elle avait raison. D’ailleurs, elle ne se priva pas de me le faire comprendre.
— Je suis tellement désolée, mon chéri ! Je ne voulais pas te faire du mal car je sais que tu l’aimes. Mais je suis aussi et avant tout ta mère et ton bonheur m’est la seule chose indispensable.Oublie ce que tu as appris sur moi et ne vois en moi que ta mère aimante.— Maman ? Que dois-je faire ? Dis-je en m’asseyant brutalement dans le fauteuil et en me prenant la tête dans les mains.
Je revoyais tous nos moments ensemble. Sa tendresse mais surtout sa fougue. Sa boulimie de sexe, ses inventions perpétuelles pour arriver à l’orgasme, si possible multiple. Ses petites cachotteries concernant ses stages ou ses cours auxquels je ne pouvais pas la rejoindre. Ses appels bloqués, ses excuses pourtant plausibles mais qui, à cet instant, ne résistent plus à l’analyse froide et objective. Ainsi, ma copine couchait avec d’autres personnes. Et j’étais le plus grand cocu de la création.
Alors que j’allais reprendre la parole, furieux, ma mère me prit à nouveau de vitesse.
— C’est normal, Philippe !— Qu’est-ce qui est normal ?— Tu es inexpérimenté dans ce domaine. Tu ne peux pas satisfaire tous les besoins de cette femme. Elle est bien trop loin par rapport à toi dans le domaine du sexe. Elle a ses fantasmes et ses envies à satisfaire et tu ne peux y répondre en permanence.— Tu lui trouves des excuses ?— Bien sûr ! Elle t’aime, idiot ! Elle t’aime profondément et avec sincérité. Il suffit de regarder son visage lorsque tu la pénètres ou que tu l’embrasses. Mais elle a aussi ce côté obscur qu’elle doit satisfaire au risque de se briser également. Ce n’est que du sexe, à cet instant pour elle, mon chéri. Un vide qu’elle comble sans sentiments. Mais je conçois que cela soit délicat à apprendre.— Délicat ? Tu rigoles ou quoi ? Ce n’est qu’une pute, oui !-PHILIPPE ! NE PARLES PLUS JAMAIS DE TA COPINE DANS CES TERMES EN MA PRÉSENCE !
Ma mère venait de hurler sur moi. Depuis la mort de mon père, cela n’était jamais arrivé. J’étais scotché à mon fauteuil, ne sachant que faire.
— Pardon, mon chéri ! Mais je t’explique que son attitude est normale selon ses propres critères et sa personnalité. Ne la juge pas sur cela. Car, je te le répète, elle t’aime. Tu dois juste apprendre à vivre avec une femme pareille.— Parce que c’est possible, probablement ? Savoir qu’en permanence, elle baise à gauche ou à droite avant de venir prendre un verre avec moi ? Tu en connais beaucoup qui agirait ainsi ?— Ton père, par exemple !-Quoi ?— Ton père était ainsi. J’ai toujours pu baiser qui je voulais, quand je le voulais. À la seule condition de ne rien lui cacher de mes ressentis, physiques ou moraux. Ton père a compris rapidement qui j’étais. Je me brimais pour lui être fidèle en tout. J’ai aimé ton père comme une folle. J’aurais tout fait pour lui, y compris renoncer à ma...nécessaire folie sexuelle. Mais il ne me voulait pas brimée. Lorsqu’il a compris ce dont j’étais capable par envie ou besoin, il m’a laissée libre tout en jouant le rôle d’initiateur à des pratiques que j’ignorais encore. Ma sexualité restait très classique, tant que je jouissais à cet époque. J’étais jeune et le sexe me semblait limité dans ses pratiques. Tu connais tes grands-parents, tout de même ? Lui, il m’a montré les différentes voies du plaisir et de l’orgasme. Tu dois jouer ce rôle pour Anaïs et répondre à ses besoins pour la conserver en ton giron.— Mais comment ? Et pourquoi elle ?— Tu sais pourtant que les enfants recherchent souvent une copie de leurs parents dans leur propre couple. Il est normal que tu flashes sur Anaïs qui me ressemble bien plus que tu ne sembles le penser.— Explique-toi !— Je suis certain qu’elle cherche simplement à assouvir ses propres pulsions mais sans te faire de mal. Elle t’amène lentement, sans vouloir te brusquer, vers ce qu’elle recherche. Et de ton côté, tu souhaites une femme portée sur le sexe. Car tu as grandi, avant le décès d ton père, dans cet environnement sans t’en rendre compte. Mais tu devais ressentir la luxure de cette maison. Tu veux cela et elle vient de le comprendre, probablement lorsque tu lui as parlé de ma demande un peu particulière. C’est pour cela qu’elle était déchaînée, selon tes termes, lorsque vous avez baisé la dernière fois.
Je mis un instant à digérer les informations que Sylvie venait de me fournir. Je dus me rendre à l’évidence. Elle avait probablement raison. Mais une partie de moi refusait encore de croire que ma copine soit capable d’une telle forfaiture.
Ma mère s’en rendit compte lorsqu’elle reprit
— Tu n’es pas obligé de me croire sur parole, mon chéri ! J’espère me tromper ! Sincèrement ! Mais si ce n’est pas le cas, tu vas devoir batailler pour la conserver.— Que veux-tu dire ?— Que tu vas devoir apprendre à la satisfaire si tu ne veux pas qu’elle cherche ailleurs sa plénitude.— Comment ?— En te trouvant un excellent professeur ! Me dit-elle en souriant.
Ma mère venait de me proposer réellement de m’apprendre à baiser une femme et à découvrir toutes les pratiques possibles ? Elle reprit rapidement
— De toute façon, nous serons fixé rapidement puisqu’elle va venir passer le week-end à la maison. Je pourrai, ainsi, me faire une opinion définitive sur elle et sur les sentiments qu’elle te porte.— Maman ? Je peux te poser une question importante ?— Bien sûr, mon amour !— Ne le prends pas mal, car il s’agit vraiment d’une question somme toute légitime de mon point de vue, d’accord ?— Tu veux savoir si je fais cela vraiment pour toi ou pour moi et mon plaisir égoïste ?
Je restais à nouveau bouchée bée face à sa finesse d’esprit. Je ne pus que lui répondre
— Comment fais-tu pour toujours devancer mes interrogations ?— Parce que je connais les hommes, mon chéri ! Je suis certainement remplie de défauts mais pas celui de l’intelligence ou de l’analyse des faits. C’est mon travail ! Alors je te répondrais simplement que je suis allée trop vite avec toi. Je vais me calmer un peu et prendre le temps qu’il te faut pour te permettre de comprendre qui est vraiment ta mère. Je ne vais pas « sauter sur ta copine » mais je vais faire mon boulot de maman. Je vais, avant toute chose, tenter de déceler la faille chez celle qui va me voler le cœur de mon fils unique. Vérifier, avec toi, si elle est bien digne de toi. Et, au final, si j’ai raison sur ce que je pense d’elle, t’aider à devenir celui qu’elle recherche vraiment. Cela te convient comme réponse ?— Merci, Maman ! Effectivement tu vas très vite. Mais puisque tout est parti de ce jeu de l’honnêteté entre nous, je vais le rester. Tu m’excites terriblement. Tes tenues, tes poses, ton vocabulaire, tout ce que j’ai découvert de toi me rend dingue. Sache que je préfère une mère libérée et épanouie sexuellement. Je ne sais pas si je suis prêt à te suivre dans tes délires. Mais j’en ai envie. Terriblement envie. Je me demande d’ailleurs qui ne serait pas fans le même état que moi. Bon sang, tu m’as fait jouir sans même poser un ongle sur moi !— Merci, mon trésor ! Je suis heureuse de te rendre heureux. Sache que, puisque tu es honnête, je le serai encore plus.
Ma mère prit une grande respiration et se lança
— J’ai envie de toi, je te l’ai dit. Tu es mon fantasme absolu pour l’instant. J’ai envie de ta jouissance, j’ai envie de ta queue, j’ai envie de t’exciter et de t’apprendre à te maîtriser pour rentre une femme folle de toi. J’ai envie de connaître le goût de ton sperme et de te permettre toutes les folies.
Elle ne put s’empêcher de rougir en évoquant ses envies. Je ne l’ai jamais trouvé plus belle que durant cet instant. Elle me semblait si fragile, si frêle, si timide en avouant ses désirs enfouis. J’avais l’impression de me retrouver face à une jeune pucelle avouant son attirance à son petit copain alors que j’avais en face de moi ma mère, en lingerie torride.
Je me suis levé et je l’ai prise dans mes bras en lui murmurant à l’oreille
— Je t’aime, Maman ! Je serai ce que tu attends de moi. Je te le promets. Je l’ai dit dans ma chambre tout à l’heure et je te le répète à l’instant. Je serai ton Maître et tu deviendras ma soumise. Je prendrai le rôle de ton époux dans les ordres et les demandes sexuelles alors que tu prendras celui de professeur. J’appliquerai tes consignes et tu obéiras à mes ordres. Nous sommes gagnants l’un et l’autre. Tu auras ce que tu souhaites et j’aurai mon apprentissage particulier pour conserver celle que j’aime.
Je reculais alors mon visage pour me retrouver face au sien. Nous pouvions lire dans nos yeux tout l’amour, le respect et le désir que nous avions l’un pour l’autre.
Je pris alors l’initiative et posait mes lèvres sur les siennes, dans un baiser chaste. Nous scellions notre nouvelle vie, par un baiser d’une tendresse infinie au milieu du salon. Elle en lingerie et moi avec le sexe débordant de mon boxer.
— Merci, mon chéri ! Rien ne pourra se faire sans ton consentement. Alors le recevoir lorsque je te dis que je vais y aller plus lentement, c’est le plus beau des cadeaux. Je t’aime, Philippe !— Je t’aime, Sylvie !
Nous nous reculâmes lentement puis Maman reprit la parole.
— Et si nous reprenions là où nous en étions ?— De quoi parles-tu ?— Dans ta chambre, tu m’as laissée avec un vide immense. J’avais besoin de me caresser la chatte mais, non seulement, j’ai analysé Anaïs et, en plus, tu m’as laissée seule alors que je voulais le faire devant toi.— Mais nous pouvons y remédier, Maman ! Dis-je en me rapprochant et en lui posant une main sur les fesses.— Mmmhh...tu prends des initiatives ! J’’aime beaucoup.— Alors je tenterai de m’en souvenir ! — Je t’autorise à me toucher ou et quand tu le voudras. Mon corps est à toi ! Je te suis soumise.— Alors le mien aussi ! Du moins, si celui-ci te plaît ? Dis-je instinctivement.— Mmmmhh...je m’en souviendrai aussi.— Dans ces moments, comment dois-je t’appeler ? Maman ou Sylvie ? — Les deux appellations me conviennent ! Mais, « Maman », c’est plus excitant, non ?— C’est vrai ! Ce côté « interdit » est excitant.— Alors, mon chéri ? Montre-moi de quoi tu es capable, je n’y tiens plus ! J’ai la chatte en feu.— Dois-je prendre l’initiative, cette fois ?— Oui !— Alors, fais-moi jouir à nouveau ! Dis-je en m’installant dans le fauteuil. — De quelle manière ?— Sans me toucher ! Mais cette fois, ce sera plus compliqué que la première fois ! — Mmmh….tu m’excites là ! Je sens que ma chatte s’humidifie et que mes seins gonflent.— Tu ne m’auras pas, cette fois ! Fais moi bander et excite-moi. J’attends ! Je suis certain de tenir !
Ma mère me fixa en passant ses mains sur ses seins et en sortant lentement la langue sur la lèvre supérieure.
Elle passa ses doigts sous le tissu de son soutien-gorge et en sortit ses seins majestueux qu’elle tendit vers moi en penchant doucement son buste. Elle les caressa un instant, joua avec ses tétons déjà tendus. Elle passa l’une de ses mains sur sa chatte pour le ressortir trempé de son jus de femme et porta ses doigts à sa bouche pour les laper en sortant la langue de sa bouche. Puis, de sa voix de velours, elle me demanda en me fixant dans les yeux avec son regard de braises ardentes
— Alors ainsi, je ne te ferai pas jouir ? Voyons, Maître ! On parie ?
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