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Une mère pas comme les autres...

Chapitre 8

Basculement des pôles...

Inceste
Ma mère, Sylvie, venait, à nouveau, de parier avec moi ! J’étais dans mes petits souliers car, à chaque fois qu’elle l’avait fait, j’avais perdu. Et j’avais perdu dans les grandes lignes.

Je venais, depuis le début de la semaine, de découvrir que ma mère, cette femme vivant pourtant dans le souvenir de mon père décédé tragiquement et obnubilée par sa carrière et son fils unique, ne correspondait absolument pas à l’image mentale austère que je me faisais d’elle depuis mon enfance.

Ma mère avait redécouvert sa face cachée en tombant, par hasard, sur les photos de ma copine Anaïs prises lors de nos jeux érotiques. Sans le vouloir, elles avaient déclenché, chez ma mère, un torrent de lubricité refoulée depuis la mort de son mari et Maître absolu. Sylvie avait retrouvé sa véritable personnalité, cachée sous la cendre de son veuvage. Elle s’était souvenue des dernières volontés de mon père lui conseillant de vivre selon les principes qui avaient été les leurs durant leur vie commune.

Ils se résumaient en quelques mots. Sexe, plaisirs multiples et lubricité totale. Confiance également faisait partie de leur vocabulaire. Une confiance totale dans l’autre, symbolisée par une liberté d’action selon le désir du moment.

Ainsi, assis dans le sofa du salon, je venais de demander à ma mère de me faire, à nouveau jouir, sans me toucher, certain de mieux résister qu’auparavant. Je n’étais pas encore prêt pour franchir le pas du toucher, même si l’idée trottait lentement dans mon cerveau vers une acceptation.

Maman éteignit le plafonnier et tamisa la lumière des lampes d’appoints. Le salon était baigné dans une atmosphère propice au sexe et à l’excitation des sens. J’avais l’impression de me retrouver dans un boudoir du dix-neuvième siècle.

Je ne savais pas ce qu’elle mijotait, mais ma queue déjà raide et au supplice me promettait un moment merveilleux. Je me promis, néanmoins, de ne pas toucher mon sexe afin de mieux résister. Ce serait toujours cela de gagner.

Maman entra alors en action !


Elle se positionna devant moi, jambes écartées. Elle s’était changée. Elle était juchée sur des escarpins élégants, noirs et vernis. Ses talons fins mesuraient probablement dix centimètres.

Je m’attardais sur ses jambes.

Je n’avais jamais remarqué sciemment à quel point elles étaient belles. Galbées, fines et élégantes. Elle les avaient décorées d’une paire de bas remontant sous l’aine. La dentelle noire soulignant la blancheur de sa peau au sortir de l’hiver. Les beaux jours revenaient et je savais que notre piscine serait le théâtre de ses séances de bronzage intensif qu’elle adorait. Je suspectais simplement que, cette année, elles seraient plus...toniques.

Son sexe, entretenu à la perfection, était dissimulé par un voile transparent – autant dire que tien n’était dissimulé – dessinant parfaitement le contour des lèvres de son sexe. Je ne pus retenir un soupir d’aise lorsque je le détaillais. Sa chatte était parfaitement proportionnée, ses grandes lèvres cachant à peine un clitoris tendu et parfaitement dessiné dans son écrin. Il ne demandait, visiblement, qu’à sortir prendre l’air.

Je remontais mon regard lentement pour admirer son ventre plat. Maman faisait de l’exercice physique deux fois par semaine au sein de son entreprise et, non pas qu’elle en eut besoin, elle entretenait son corps et sa forme.

Ses abdominaux ne se dessinaient pas mais personne ne pouvait ignorer qu’elle n’avait pas de problème à ce niveau.

Mon regard s’attarda alors sur la merveille de son anatomie.

Ses seins sont tout simplement fabuleux. Maman possède la plus belle poitrine que je connaisse. Si Anaïs, ma copine, est bien gâtée par la Nature, Sylvie n’a pas oublié de prendre ses vitamines étant adolescente. Ses seins ne sont pas énormes mais parfaitement ronds et galbés. De plus, elle les porte haut sans avoir besoin des artifices de la lingerie féminine. Ses auréoles ne sont pas larges ni trop granuleuses et au centre trône fièrement deux tétons à la pointe élégante et aux proportions délicates par rapport aux seins qui les soutiennent.

Ce sont deux perles dans un écrin magnifique.

Pour l’instant, ses seins sont emprisonnés dans un soutien-gorge noir dont la dentelle permet, pernicieuse, aux tétons de passer outre la protection du sous-vêtement. Ils sortent outrageusement de leur prison dont le but unique n’est autre que redresser, encore un peu plus, et donner un galbe et une rondeur démentielle aux seins de Maman.

Un second soupir de satisfaction échappe à ma gorge pour lui témoigner, involontairement, de ma parfaite dévotion et de ma totale admiration de sa plastique irréprochable selon les canons de beauté actuel chez la toute grande majorité des hommes européens de ce début de siècle.

— On dirait que je te plais, mon chéri ?— Maman, tu es divine ! Je n’ai jamais vu une femme aussi belle que toi. Ton corps est un appel au sexe et à la luxure. Je n’en reviens pas de ne l’avoir jamais remarqué auparavant, au bord de la piscine par exemple.— Merci, mon chéri ! Je suis si heureuse de te faire bander et que mon corps te plaise. Comme je te l’ai dit, il est à toi maintenant. Ordonne et je t’obéirai.— C’est entendu, Maman ! C’est ainsi que je l’avais compris.— Et si tu n’as rien remarqué précédemment, c’est normal ! Je ne faisais rien pour cela. J’ai entretenu mon corps durant ces années sans vraiment comprendre pourquoi ? L’habitude, probablement ? Ou, inconsciemment, le désir de plaire ? Mais à présent, tu en es le Maître.— Alors j’attends ! Comment vas-tu me faire jouir, cette fois ?— Puis-je te toucher ?— Non !

La réponse fusa, net, claire et précise. Mon rendant compte que j’étais un peu brute dans ma façon de parler, je me radoucis pour lui expliquer.

— Non, Maman ! Je ne suis pas encore prêt pour cela. Je pensais que c’était le cas, mais je me suis trompé. Je désire te plaire, je désire être ce que tu attends de moi. Mais le rapport physique est encore un peu trop tabou dans mon esprit. Je préfère attendre et que tout soit parfait à ce moment.Pour toi comme pour moi !— Tu es décidément l’homme parfait ! Tu es galant et prévenant. Tout comme ton père. Tu lui ressembles tellement ! N’importe quel homme se serait jeté sur moi pour me baiser, comme on le dit vulgairement. Toi, tu tiens compte de tes préférences, de ton ressenti et du mien. Je t’aime, Philippe ! Et je suis fière d’être ta mère. Alors, prends ton temps ! Cela viendra en temps et en heure. Sache simplement que je suis prête à m’offrir à toi. Tu es mon Maître et tout ce que tu voudras sera exécuté.— J’en prends note, Sylvie ! Tu le regretteras peut-être ?— Ooooh….mmmmmhh….une promesse, Maître ? Me dit-elle en soupirant d’aise et de plaisir. Je mouille à l’idée de tes idées lubriques ! Penses-tu me faire regretter cette décision ?— Je ne le sais, Maman ! Tu me sembles tellement « no limit » ?

Alors que nous échangions sur ce sujet, les mains de Sylvie ne restaient pas inactives. Elles passaient et repassaient langoureusement sur sa poitrine, ce qui avait pour effet de faire pointer encore un peu plus ses tétons à travers les mailles de la dentelle noire.

Alors que je prononçais ce dernier mot, elle baissa les yeux sur ses seins et, du bout des doigts, frotta ses tétons pour les faire grandir encore un peu en agitant les mains de haut en bas.

— Tu aimes mes seins, Philippe ?— Ils sont sublimes, maman !— Et mes tétons ? Tu les aimes ? Regarde comme ils sont gros maintenant. J’ai envie de les branler rien que pour toi. Cela te dirait de regarder Maman jouer avec ses tétons et te montrer tout son plaisir à s’exhiber devant son fils ?— Maman, tu vas t’exécuter de suite ! Ordonné-je. Oui, j’ai envie de voir cela !— Regarde, Philippe ! Si je les prends entre mes doigts, je les étire encore un peu plus au travers de la dentelle de mon soutien-gorge. Mmmhhh….c’est bon. Je ressens une décharge électrique jusque dans ma chatte. Je sens la mouille qui coule le long de mon vagin. Oooh….ouiiiii….

En terminant sa phrase, elle étira à nouveau ses tétons entre ses doigts en fixant mon regard. Le mien était braqué sur ses mains, si tentantes sur les globes de la féminité.

— Mmmhhh...ton regard en dit long, mon chéri ! On dirait bien que les seins et les mains de Maman te plaisent. Regarde encore ! Regarde les mains de Maman… ! Tu aimes regarder, mon chéri ?— J’adore, Maman ! Tu es terriblement excitante !

Je venais de dire cela en déglutissant difficilement. Ma mère reprit alors

— Tu serais un voyeur, mon cœur ? Mmmhhh...Et comme je raffole de l’exhibition, nous sommes complémentaires. Profite du spectacle, mon chéri ! Regarde Maman caresser ses gros seins !

Ma mère prit ses seins dans la paume de ses mains et commença à les frotter l’un contre l’autre lentement, avec une volupté inégalée. Ses seins gonflés s’écrasaient en arrondissant encore un peu plus leur galbe. Je voyais ses tétons frotter contre la dentelle et se tendre encore un peu plus sous le plaisir qu’elle ressentait. Car je ne doutais pas, cette fois, que son plaisir était bel et bien réel. Elle ne pouvait simuler à ce point.

Je me concentrais sur sa chatte pour y chercher la preuve de cette révélation. Mouillait-elle vraiment ?

— Tu regardes la chatte de Maman, petit voyeur ? Tu veux la voir de plus près ?

Ma mère s’approcha alors de moi, toujours en malaxant sa poitrine sous mes yeux médusés. Elle leva une jambe et prit appui sur l’accoudoir du fauteuil après avoir retiré son escarpin afin de ne pas abîmer le fauteuil avec son talon si fin.

J’avais sous les yeux le bas de son string transparent alors qu’elle écartait sa jambe posée au niveau de ma poitrine.

Sa chatte s’ouvrit et ses lèvres se séparèrent, me permettant de voir un peu de liquide s’écouler le long de sa fente et entamer une course le long de l’intérieur de sa cuisse tendue.

Je ne remarquais sa main que lorsqu’elle apparu sous mes yeux, passant sous son string pour l’écarter et me donner un accès illimité à son intimité.

Maman passait lentement le bout de son index entre ses lèvres trempées et lorsqu’elle remontait sur son clitoris émergeant de sa cachette, ne retenait ni son soupir ni le tremblement de son corps. Et lorsqu’elle se pénétra avec le bout de ce doigt, je sus que mon orgasme serait à l’image de ce spectacle. Foudroyant.

— Oooohhhh…..ouiiiiii….je mouille comme une fontaine, mon amour ! Ce petit jeu m’excite terriblement. Continue à me regarder avec ces yeux ! J’ai l’impression que tu vas me dévorer. j’aime beaucoup ! Encore...ouiiii….Regarde la main de Maman qui entre dans sa chatte trempée...Mmmmhhh….que c’est booooon ! Encore, oui ! Dis-moi des choses, parle-moi aussi...s’il-te-plaît, Maître !

Vous auriez résisté, vous ? Moi, je n’étais qu’un jeune homme faible. Je m’exécutais donc !

— Continue à te caresser la chatte, Maman ! J’adore voir ton doigt disparaître en toi. Et continue de caresser tes seins avec ton autre main ! Je trouve que les mains d’une femme sur ses propres seins en train de se caresser sont le plus beau spectacle du monde. Ne t’en prive jamais pour moi ! Vas-y maintenant, pousse deux doigts au fond de ta chatte.— Mmmhh...oui…. ! Comme ceci, mon chéri ? Regarde, Maman pousse deux doigts dans sa chatte humide. Tu m’excites à me donner des ordres et à laisser de côté tes scrupules. Continue...donne-moi encore des ordres.— Continue de caresser tes seins et pousse tes doigts. Encore. Plus loin, Maman.— Oooh….mon chéri ! Tu aimes donc tant mes gros seins ? Regarde alors. Regarde moi me caresser pour toi. Tu aimes lorsque je les prends en main ? Tu aimes lorsque je les triture ?— Ouiiii ! Continue Maman. Excite-toi fort !— Oooohh...mon chéri ! Parles-moi encore.— Vas-y maintenant, pousse un troisième doigt et tire sur tes tétons.— Ooohh...ouiiiii….Putain, tu m’excites tellement !

Ma mère venait de jurer en se masturbant devant moi ! Je ne l’avais que rarement entendu être grossière durant notre vie commune. Alors l’entendre dans un tel moment renforça mon excitation personnelle et j’eus l’impression que la queue allait exploser dans mon pantalon tant elle était tendue et dure.

Ma mère enfonçait ses trois doigts dans sa chatte en écartant encore un peu plus les jambes, le sexe juste sous mes yeux. J’avais l’impression qu’elle avait de plus en plus de mal à maintenir la position acrobatique qui était la sienne, tant sa jouissance et son excitation semblaient monter de paires. Mais lorsqu’elle reprit, la tension monta encore d’un cran.

— Oooh, mon chéri ! C’est excitant de me doigter sous ton regard de petit voyeur ! Je mouille terriblement ! Regarde comme ma chatte est trempée et je suis certaine que mes bas sont dans un état lamentable.

Je jetais rapidement un coup d’oeil pour constater qu’elle avait raison. La jarretière de ses bas était en ruine, trempée de sa cyprine.

— Tu mouilles tellement, Maman ! On dirait bien que tu ne peux cacher ton émois, cette fois !— Tu as raison, Philippe ! Mmmmhh….oooohhh…. ! Tu as raison. Je sens une excitation terrible et je mouille à en jouir. Mais je veux plus de mon Maître ! Lâche-toi et donne-moi encore un ordre !— Tu l’auras voulu ! Alors maintenant, tout en continuant à caresser tes seins, je veux que tu te goûtes en suçant tes doigts trempés de ta mouille.— Mmmmhhh….Ouiiii….j’adore ! Regarde maintenant, Maître !

Ma mère me fixait dans le blanc des yeux. Elle retira lentement ses doigts de sa chatte et, dans un geste parfaitement réfléchi, porta ses trois doigts trempés et dégoulinants de son jus de femme vers sa bouche. Elle sortit sa langue entre ses lèvres et lécha lentement ses phalanges.

Son autre main caressait ses seins en alternance, passant ses doigts sur la peau semblant si douce du galbe de sa poitrine ou en titillant ses tétons tendus d’excitation.

— Mmmhhh… ! Regarde, Philippe ! Regarde Maman qui suce son propre jus, qui lèche sa mouille pour ton plaisir de petit voyeur. Tu aimes ?— Putain, Maman ! J’ai mal tant je bande. Mon sexe me fait mal dans mon pantalon mais je ne le libérerai pas encore au risque de jouir si je porte la main dessus. Je veux encore profiter de ce que tu m’offres si généreusement. Encore, pousse tes doigts contre ton palais et nettoie-les bien.

Ma mère exécuta sans discuter mon ordre. Elle poussa ses trois doigts dans sa bouche et, poussant avec sa langue, les frotta contre son palais. Puis, dans un mouvement délicat, les ressortit, luisant de sa salive.

— Aaargh...que c’est bon ! J’espère que tu y goûteras un jour, mon grand ! Sans me vanter, je me trouve délicieuse.— Je n’en doute pas, Maman ! Maintenant, je te laisse libre. Tu m’as dangereusement fait bander et ma queue est dure comme du bois. Mais je n’ai pas encore jouis, ce qui est ton défi ! Je te sens également prête à jouir. Alors excite-moi par ton orgasme. Fais comme bon te semble !— D’accord, mon petit pervers ! Maman va t’offrir son orgasme en même temps que le tien.

Ma mère se retira alors et, en posant à nouveau son pied par terre, rechaussa son escarpin. Elle se recula toujours en me fixant vers le milieu du salon et se positionna à quatre pattes, cul dans mon champs de vision.

— Et mon cul ? Tu aimes mon cul, Philippe ? Ton père en était fou !

Comment ne pas en être dingue. Ses fesses sont parfaites, sans la moindre trace de cellulite ou de peau d’orange. Elles sont parfaitement galbées, comme ses seins, et rondes comme des pommes. Le fil de son string barrant son anneau plissé, Il était parfaitement proportionné à sa taille et ses hanches. J’en devenais dingue, à mon tour.

— Maman, ton cul est un appel aux caresses ! Il est merveilleusement excitant.— Mmmh….ravie qu’il te plaise autant, mon chéri ! Peut-être l’auras-tu aussi un jour, qui sait ?— Tu veux dire que tu pratiques la sodomie ?— Ooohh...ouiiiii….c’est tellement bon lorsque c’est bien fait ! Tu ne pratiques pas ?— Anaïs n’en est pas folle !— Je pourrai peut-être la convertir ? En attendant, je ne peux plus attendre, je veux jouir. Tu es prêt ? Parce que je vais te faire exploser, mon chéri !

J’étais déjà sur le point de jouir en entendant ma mère parler de l’un de mes plus secret fantasme. Sodomiser ma compagne. Alors l’entendre me proposer de l’initier lors de jeux lesbiens, je pense que j’allais craquer mon jeans. Je n’étais, pourtant, pas au bout de mes surprises.

Ma mère passa sa main sous son string et humidifia ses doigts à l’aide de sa chatte. Puis, à ma grande surprise, elle les dirigea vers son petit anneau. Elle se pénétra alors le cul de son index, tout en titillant son clitoris de son autre main. Sa tête étant posée sur le sol, ses seins pendant sous son buste, toujours enfermés dans le soutien-gorge.

Cette position obscène mais tellement excitante me décida à sortir ma queue gonflée de mon pantalon. Mais je la lâchais rapidement, de peut que le simple fait de la toucher ne me fasse éjaculer de façon encore trop précoce. Je tenais à jouir en même temps que Maman.

Ce petit jeu dura quelques secondes, le temps d’assouplir sa rondelle. Puis, en tendant la main, elle agrippa son gode qu’elle avait prit avec elle en revenant vers ma chambre. Elle le lécha quelques instants avant de le positionner sur son cul. Elle l’enfonça lentement, en soufflant doucement et en se détendant visiblement. Elle écarta l’une de ses fesses pour faciliter l’intromission du stimulus de plastique. Une fois l’anneau passé, elle entama alors un lent va-et-vient dans son fondement en reprenant la caresse de son clitoris.

J’étais positionné derrière elle et je ne ratais rien de sa montée vers l’orgasme.

— Oooohh, ouiiiiiii….Putain que c’est booooon de se faire prendre le cul ! Philippe ? Tu aimes ? Est-ce que j’ai raison de penser que cela t’excite ? Oh ouiiiiii…..aaaargghhh….que c’est booooon.

Son mouvement s’accélérait alors qu’elle me parlait, son orgasme était à présent inévitable. Son excitation était à son paroxysme et je ne savais plus que dire. Pourtant, je m’entendis lui répondre

— Bon sang, Maman ! Que tu es excitante. Je n’ose pas toucher ma queue au risque d’éjaculer. Je n’ai jamais vu une femme aussi libérée que toi. Tu es trop bandante.— Ooohh...merciiiii mon chéri ! Ooohh ouiiiii…..Aaarrgghh….Merci….vas-y, mon Maître ! Touche ta grosse queue. Masturbe-toi...je vais jouir….Viens avec moi !— Putain, Maman ! Je n’en peux plus….

En posant ma main sur ma queue, j’entamais un va-et-vient frénétique. Je voulais faire durer encore un peu le plaisir, mais la vision de ma mère se ramonant le cul et se frottant la chatte à quelques centimètres de mon regard eurent raison de ma volonté. Je me branlais alors rapidement en parlant

— Maman, je me branle en te regardant ! Vas-y, jouis ! Je ne tiendrai plus longtemps ! Tu as mis le feu dans ma tête, je ne tiens pluuuuusss…..Bordeeeeel !— Ouiiiii…..jouis, mon chéri ! Aaarrggghh….je viiiiieeeeeenns….je jouiiiiis….

Ma mère s’écroula d’un coup du le tapis du salon, en se retournant vers moi, secouée par quelques spasmes, résultat de l’orgasme foudroyant qu’elle s’était affligée. Je ne pus plus résister et je ne le voulais plus. Ma queue éjacula quatre longs traits de foutre chaud dans un râle de plénitude que les voisins durent entendre. Jamais je n’avais connu un truc pareil. D’habitude, mes éjaculations restent classiques. Un ou deux jets puissants. Rien de comparable avec un acteur porno. Mais cette fois, je pensais que le flot n’allait pas se tarir tant cette jouissance et cet orgasme furent inédits.

Le premier jet s’écrasa sur les seins de ma mère, zébrant son soutien-gorge au milieu de ses seins d’un trait blanc. Le second atterrit sur son ventre. Le troisième, sur son string au niveau de sa chatte, se mélangeant directement à sa cyprine qui avait inondé le fin tissu noir. Le dernier se posa sur son genou gauche, posé contre ma jambe. Je poussais un cri à chaque éjaculation. Ma mère sortit de ses limbes bien après et me regarda dans un regard combinant plénitude et bonheur.

— Merci, mon chéri ! Merci, mon Maître ! Il y a longtemps que je n’ai pas jouis ainsi. ! Dit-elle en reprenant son souffle.— Maman ? Je n’ai jamais éjaculé ainsi. Tu es démoniaque. Je n’ai jamais ressenti un tel plaisir et un tel orgasme. Bon sang, quel pied !

En riant, ma mère me dit

— J’ai entendu tes cris, petit coquin !

Puis, plus sérieusement, elle me dit

— Merci de me faire confiance, Philippe ! C’était délicieusement pervers et excitant de te faire jouir, cette fois en participant pleinement. J’ai adoré. Sincèrement. J’espère que ce n’est que le début de nos découvertes ?— Maman ? Comment veux-tu que je me passe de cela, à présent ? Ah, tu m’as bien eu, en tout cas ! Dis)je en m’écrasant contre le dossier du sofa en riant.-— Maintenant que les tabous sont réellement brisés entre nous, nous allons pouvoir, en famille, régler le problème posé par Anaïs.— Quel problème ? Demandé-je un peu surpris.— Vérifier qu’elle est bien celle qu’il te faut !— Tu en doutes toujours ? Maman, voyons !— Mon chéri ! Lorsque je te vois jouir ainsi et que tu me dis que c’est la première fois, je doute. Effectivement. Car si elle se prétend ton professeur et qu’elle n’atteint pas ce stade avec le corps qui est le sien, soit elle en garde sous la pédale et ne te dit pas tout, soit elle est nulle au lit malgré ses grandes déclarations.— Et tu comptes donc baiser avec elle pour en être certaine ?
— Je t’ai promis de ne rien faire contre ta volonté. Je trouverai un autre moyen. C’est promis, mon chéri ! Par des confidences entre femmes, peut-être ? Dit-elle en réfléchissant sérieusement à voix haute.Alors que j’hésitais encore sur la suite à donner à cette confidence, je m’entendis déclarer
— Je te donne mon autorisation, Maman ! Si tu l’estimes nécessaire, tu feras ce que tu veux.— Tu es certain ?Me demanda-t-elle surprise en posant son menton sur mes genoux.

Je réfléchis encore quelques secondes avant d’ajouter.

— En fait, ton Maître t’ordonne de tenter de la séduire et de la mettre dans ton lit ! Mais j’y mets une condition.— Quelle joie tu me donnes, mon amour. J’ai tellement envie d’elle. Je te promets d’être parfaite dans ce rôle que tu me donnes car il y a si longtemps que je n’ai plus lécher une chatte ou des seins. Et elle est si belle ! Que désires-tu de plus ? Que puis-je faire pour te satisfaire ?Je ferai n’importe quoi.— Tu ne te doutes pas un peu ? Dis-je mutin.— Dis-moi, mon chéri !— Je veux y assister, bien sûr ! Et je te dirais exactement ce que je veux voir. entre elle et toi. Tu feras ce que je t’ordonne de faire avec elle. Rien d’autre tant que je ne l’aurai pas décidé.— Ooohh...petit cochon ! Me dit-elle scandalisée.

Puis elle reprit en souriant

— J’adore ! Je te donnerai satisfaction si elle décide de sauter le pas.Tout ce que tu voudras voir, tu l’auras. Il faudra juste qu’elle accepte.— Je te donne la solution, Maman ! Parce que je t’aime et que je te fais confiance également. Fais en sorte que cela vienne d’elle. C’est elle qui devra avoir envie de toi et tu en feras ce que tu veux.  Si tu prends mon conseil au sérieux, elle sera à toi ! J’en suis certain !— Tu en es vraiment certain ?Me demanda-t-elle sérieuse.

Je souris, car cette fois, nous étions sur mon terrain. Alors, singeant la dernière fois où elle avait prononcé cette phrase, je dis

— Voyons ! Sylvie ? On parie ?
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