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Une mère pas comme les autres...

Chapitre 9

Inceste
Ma mère et moi avions passé le reste de la soirée à discuter de nous. De cette nouvelle relation qui naissait au sein de notre foyer, de l’intrusion prochaine d’Anaïs entre elle et moi, de mon départ de ce cocon qui avait été le mien durant toute ma vie.

Maman était allée se doucher et avait revêtu une tenue plus sage. Elle portait une nuisette noire en soie qui dessinait parfaitement ses seins opulents tout en les couvrant d’un voile de pudeur. Ses jambes étaient à présent nues et sa veste de kimono était largement ouverte, la ceinture pendant le long de ses hanches et de ses jambes. Je devinais qu’elle portait un string assortit à sa nuisette. Tout en dissertant sur notre sujet favori, elle sirotait une tasse de thé chaud que je lui avais préparé amoureusement pour la remercier de cette nouvelle vie qu’elle m’offrait et dont les perspectives, certes alléchantes et excitantes, n’en étaient pas moins qu’infinies.

Alors que je lui racontais encore une fois par le détail certaines des frasques auxquelles Anaïs m’avait habitué depuis notre rencontre, je remarquais pour la première fois un changement dans le regard que me portait ma mère.

J’avais toujours été couvé par son amour, son inquiétude, son empressement à apprendre mes succès ou mes échecs d’adolescent et toujours elle avait eu un regard maternel, serein, sûr et plutôt protecteur. Le regard d’une mère, comme je le disais.

Mais à présent, j’y voyais tout à fait autre chose.

Tout en racontant la première fois où Anaïs m’avait initié au bondage en me demandant de l’attacher selon un rituel bien précis, je compris ce que je voyais.

Le bonheur.

Un bonheur sans mesure. Exactement le regard qu’elle avait lorsque mon père était encore parmi nous.

Ma mère était à nouveau heureuse, comme je ne me souviens pas l’avoir vu depuis si longtemps. Elle venait de trouver ce qu’il manquait à sa félicité.


Moi ! Un amant dévoué et fidèle à jamais !

Cela m’effraya un instant.

J’étais celui par qui son bonheur allait renaître. Mais le prix à payer me semblait encore lourd à porter. Certes, ma mère et moi avions déjà dépassé les tabous de la société lorsqu’il s’agit des rapports d’une mère et de son fils. Mais rien d’irréparable n’avait encore été commis entre nous. Je ne l’avais pas touchée, elle ne m’avait même pas effleuré.

Bon, j’avais éjaculé mon sperme chaud sur elle lors de notre dernière séance commune, il y a une heure de cela. 
La frontière mère-fils avait encore reculé et nous n’étions qu’à un pas de franchir celle de l’inceste le plus pervers. Car, je le savais, maman ne se contenterait jamais d’une relation classique. Notre relation ne s’arrêterait jamais à son lit, une pénétration ou un échange à coup de langues.

Nous découvririons ensemble de nouveaux territoires, nous explorerions des contrées inconnues dans lesquelles elle jouerait le rôle de guide tout en restant la femelle soumise à son mâle, rôle qui la comblait de bonheur alors que les termes que j’emploie à cet instant me reste déjà coincés dans la gorge.

Ma mère me regardait comme la huitième merveille du monde.

Mes cogitations internes furent interrompues par un raclement de gorge.

    - Si je t’ennuie, je peux aussi bien aller dormir, mon chéri !

    - Hein ? Quoi ? Dis-je surpris et tiré de mes pensées.

    - Je vois bien que tu réfléchis terriblement vite. Je peux te laisser, si c’est ce que tu souhaites ?

    - Non ! Pardon, maman ! Je…

    - Chuuut ! Calme, mon grand ! C’est normal d’être chamboulé à ce point-là. Nous avons été assez loin, ce soir, tu ne penses pas ? Je trouverai normal que tu te sentes un peu retourné et que tu t’interroges encore sur les changements que nous vivons depuis quelques jours.

    - Tu te trompes, Maman !

    - Ah oui ?

    - Je ne cogitais pas sur nos actes passés mais plutôt sur leurs conséquences à venir.

    - Tiens donc ! Me dit-elle en reprenant une gorgée de son thé chaud tout en m’observant par le dessus de sa tasse. J’aurai pu jurer qu’elle savait déjà ce que je pensais et qu’elle s’en amusait à mes dépends.

Alors que je me taisais, elle reprit

    - Et si tu m’expliquais de quelles conséquences tu veux parler ? Je suis certaine que cela me captiverait !

    - Je n’en suis pas tout à fait certain, Maman !

    - On se dit tout, mon chéri ! C’est ainsi que tout à débuté. Je veux savoir. Alors, je t’écoute !

    - Comme tu veux ! Je pensais que tu étais enfin redevenue aussi heureuse que lorsque Papa était là.

    - Comment en arrives-tu à cette conclusion ? Dit-elle en baissant sa tasse et en ouvrant un peu les yeux, étonnée.

    - Tes yeux !

Ces deux mots étaient sortis tout seul de ma bouche.

    - Mes yeux ? Dit-elle, très douce et maternelle.

    - Ton regard a changé depuis hier, Maman ! Et ce soir encore plus. Tu sembles heureuse.

   - C’est probablement parce que je le suis, mon chéri ! Tu as raison. Et je m’étonne que tu l’aies remarqué aussi rapidement. Tu ne cesseras jamais de m’étonner par ton sens de l’observation et ta sensibilité.

    - Ah oui ?

    - Oui, mon amour ! Tu as raison. Je suis enfin heureuse. Non pas que je ne l’étais pas à tes côtés durant toutes ces années, crut-elle bon d’ajouter en souriant. Mais il me manquait effectivement quelque chose. Ou plutôt quelqu’un ! Toi, dans ton entièreté. Et je suis enfin heureuse d’avoir trouvé celui qui remplacera ton père à l’avenir. Car même si tu te maries, que tu quittes cette maison, tu y reviendras toujours en seigneur et maître de mon corps et de mon âme. C’est ainsi que je le veux. Et j’espère que c’est aussi ton cas.

    - Oui, Maman ! Comme je te l’ai dit tout à l’heure après t’avoir… !

J’hésitais encore sur les mots. Ce n’est pas si simple d’avouer que l’on a éjaculer sur le corps de sa mère. Mais, à nouveau, elle comprit avant moi et me devança.

    - Après m’avoir éjaculé ton sperme chaud sur mes seins, ma chatte et mon corps ?

    - Oui ! Dis-je en me sentant encore rougir.

    - Tu ne dois jamais hésiter, Philippe. Tes actes dictent qui tu es. Ne les renies jamais ! Tu m’as éjaculé dessus et j’ai aimé cette sensation et cet avilissement ? Alors assume ton acte et ne regrette rien. Dis-le maintenant !

    - Après t’avoir éjaculé dessus à plusieurs reprises, notamment sur tes seins ou ta chatte !

    - Voilà ! Ce n’est pas bien compliqué.

   - Non ! Mais l’effet est foudroyant ! Dis-je instinctivement. 
Ma queue venait de reprendre du poil de la bête dans mon pantalon et je bandais à nouveau de prononcer ces paroles interdites envers sa mère.

    - Je vois ! Dit-elle. C’est flatteur pour moi. J’adore te voir bander en pensant à moi. C’est un aphrodisiaque terriblement efficace, en ce qui me concerne. Sache que faire bander un homme m’excite au plus haut point,  cela a souvent un effet...humidifiant sur ma personne. Mais revenons à nos moutons, que voulais-tu me demander ?

    - Comme je te l’ai dit tout à l’heure après avoir éjaculé sur tes seins et ta chatte - je répétais ces phrases pour le plaisir qu’elles me procuraient – je ne pourrai plus m’en passer. Tu m’as fait exploser le cerveau en même temps que mes repères. Je ne sais plus où j’en suis, à présent.

    - Tant mieux ! Ainsi, nous allons pouvoir découvrir ensemble où se situe ta limite. J’espère juste qu’elle correspond peu ou prou aux miennes.

    - Tu veux dire que… ?

   - Que nous allons baiser ensemble, que nous explorerons notre sexualité ensemble, que je t’apprendrai à satisfaire pleinement une femme et plusieurs fois par nuit, que je t’apprendrai à conserver de l’énergie pour ne jamais sombrer le premier ? C’est exactement ce que je dis !

Ma queue était à nouveau tendue à craquer mon boxer. J’étais assis dans mon fauteuil, tétanisé par l’excitation que cette femme, ma mère, provoquait en moi par ses simples paroles. Comment pouvait-elle avoir enfoui une perversion, une luxure pareille durant de si longues années sans en subir les affres et sans être écrasée par le poids de ses pensées d’un stupre sans limite ? Ma mère venait, à nouveau, d’énoncer ses décisions concernant notre futur.

Ma vie commune avec Anaïs n’entrait visiblement pas en ligne de compte. Elle avait décidé, pour nous deux, que j’allais devenir son amant, son Maître mais qu’en contrepartie elle m’apprendrait les secrets du sexe, sous toutes ses formes possibles et imaginables.

Je déglutis difficilement avant de me lancer

— Maman ? Tu voudrais que je te… ?

— Que tu me baises ? Oui, j’en ai envie. Je rêve de ta queue, de tes mains, de ta langue. Tu le sais ! Je te l’ai déjà dit plusieurs fois. Mais il est temps de passer aux choses sérieuses. Alors, comme je te l’ai demandé, je voudrais qu’à partir de maintenant tu te comportes réellement en Maître de mon Destin. Tes paroles doivent refléter ton envie de mon corps, ton désir de me dominer, ta voix et tes intonations seront primordiales pour notre futur. Et j’entends que tu agisses ainsi lorsque nous recevrons Anaïs. Si, comme tu me l’as dit, elle est au courant de la situation, ceci devrait lui donner à réfléchir sur toi et moi ! Car je veux que tu sois un dominateur et non un soumis. Tu as cela en toi, c’est évident.

— C’est d’accord ! Dis-je pris par l’intensité du moment et de son ton sans équivoque.

— Alors, vas-y ! Dit-elle en posant sa tasse sur la table et en me fixant de son regard carnassier. J’attends !

— Maman, viens ouvrir mon pantalon et suce ma queue !

— Mmmmhhh...mon chéri ! Tu apprends vite ! Me dit-elle en se posant sur ses genoux et en avançant à quatre pattes vers moi.

Ses mains se posèrent sur mes jambes et remontèrent lentement vers mon sexe qui se tendait encore un peu plus. C’est la première fois que ma mère posait les mains sur moi dans un contexte sexuel. Savoir qu’elle allait me déshabiller dans le but de prendre mon sexe entre ses lèvres luisantes m’excitait à un point incroyable. Je venais de perdre les derniers reliquats de mes scrupules. Je la désirais et je voulais à présent l’avilir tel qu’elle le souhaitait en profitant de son corps merveilleux.

Elle déboutonna mon jeans, le tira à mes chevilles et l’enleva en deux mouvements. Puis, elle se positionna à genoux entre mes cuisses, son buste penché volontairement un peu trop en avant, me permettant une vue parfaite de ses seins pleins et galbés. Elle me sourit en devinant où se perdait ainsi mon regard. 

Ses mains reprirent le chemin de mon sexe mais cette fois, elle caressa lentement la peau de mes cuisses en passant ses ongles carmins entre genoux et aines. Je sentais des frissons de plaisir monter le long de mon sexe et de ma colonne vertébrale pour exploser dans mon cerveau.

Ma mère reprit alors d’une voix suave

— Mon chéri souhaite que Maman avale sa grosse queue ? Qu’elle place sa grosse bite entre ses lèvres et que sa langue lui procure du plaisir ? Je voudrais l’entendre de la voix de mon Maître.

Je répondis difficilement tant la tension de mon corps était palpable, cambré par le plaisir à venir et l’excitation de ce moment incroyable.

— Oui ! Suce ma queue maintenant ! Place-la entre les lèvres et joue avec ta langue sur mon gland !

-Mmmmhhh...j’adore lorsque tu me parles ainsi, Maître ! Ta soumise va alors exécuter l’ordre.

Elle retira lentement mon boxer qui suivit le chemin de mon pantalon. Puis, en s’approchant doucement, je sentis son souffle se rapprocher de son but. Mon sexe palpitait entre mes jambes et j’avais l’impression que mes testicules remontaient avec lui.

Finalement, le moment fatidique arriva.

Les lèvres de ma mère venaient de se refermer sur mon gland.

Ma mère venait d’entamer une fellation sur la queue tendue de son fils.

Jamais je n’avais ressenti une plénitude pareille. Mon sexe venait d’entrer dans la soie, la bouche de Maman était d’une douceur infinie, irréelle et unique. Anaïs, pourtant maîtresse dans ce domaine, ne lui arrivait pas à la cheville. 

Ma mère entamait un va-et-vient lent et, bouche ouverte, bavait une quantité astronomique de salive afin d’humidifier au maximum le mât de mon plaisir. Elle effleurait simplement la peau de mon gland et du haut de ma queue avec le peau si fine de ses lèvres. Sa salive coulait jusqu’à mon pubis, remplissant mes poils de ce liquide un peu visqueux.

Ses yeux n’avaient pas quitté les miens durant cet exercice, elle soufflait le chaud et le froid avec un talent indéniable. Je devais me contenir en posant mes mains de part et d’autre de mon corps, à plat sur le fauteuil, mon pubis allant à la rencontre de sa bouche. Je soufflais comme un bœuf animé uniquement de désir et de plaisir.

— Doucement, Philippe ! Me dit-elle. Tout vient à point à qui sait attendre ! Prends le temps de ton plaisir. Je sais que c’est bon et que ton sexe appelle à la jouissance. Mais maîtrise-toi ! Ton orgasme n’en sera que plus fort !

En tentant de calmer mes ardeurs et le plaisir que je ressentais, Maman posa un main sur mon ventre et me poussa dans le fond du fauteuil par une simple pression. Sa bouche montait et descendait toujours sur ma queue, sa salive continuant à me faire baigner dans un océan de douceur.

— Maintenant, tu vas jouir ! Regarde bien mes mains et ma bouche, cela devrait te plaire.

Je répondis par un grognement. J’avais l’impression que parler allait me faire jouir et je ne voulais, à nouveau, pas lui donner raison trop rapidement.

Maman entama un mouvement plus rapide et plus soutenu, montant et descendant sur ma queue. Sa langue tournant autour de la couronne de mon gland, titillant mon frein à chaque passage, m’envoyant décharge électrique sur décharge électrique dans l’entièreté du corps pour aboutir en une suite ininterrompue d’explosions au creux de mon cortex le plus primaire.

Elle leva les yeux dans ma direction pour capter mon regard et le porta vers sa propre poitrine.

Avec lenteur, elle déplaça sa main et, empoignant son sein, commença à la caresser lentement, tournant autour et en le soupesant pour le faire pigeonner. Elle en caressait le contour tout en appuyant sa bouche contre ma queue tendue.

La combinaison entre l’effet de la succion sur mon sexe et la vision de rêve de la main de ma mère caressant son sein, comme si cela lui procurait un plaisir encore plus important et une excitation décuplée ne me permit plus de résister. Mais c’est lorsque mon regard tomba dans le sien que tout explosa. Elle avait des yeux d’une luxure inouïe. Ses pupilles brillaient d’un désir et d’une excitation incroyables pour quiconque tenterait de l’expliquer. Elle m’anéanti définitivement d’un simple regard.

Je lâchais alors les vannes de ma résistance pour m’offrir entièrement au supplice merveilleux que ma génitrice me procurait et dont j’étais la victime consentante.

Je sentis soudain le plaisir affluer dans mes testicules, remonter le long de ma tige alors que ma mère poussait sa langue et sa bouche plus bas, vers mon pubis, tout en accélérant le rythme de la fellation. Et, sentant probablement mon éjaculation proche, elle se figea avec ma queue entièrement gobée par sa bouche délicieuse, ses lèvres embrassant délicatement mon pubis, sa langue remontant et descendant le long de mon sexe. Ce traitement, combiné à son regard de séductrice, eu raison de moi.

Je jouis en hurlant de bonheur, bouche ouverte, cherchant l’air. Mon bassin montant et descendant à la rencontre de cette bouche de soie. Mes bras me soutenant à peine, je tremblais de plaisir. L’orgasme qui me terrassa me vida de ma substance en même temps que de mon sperme.

Alors que j’avais déjà eu un orgasme ravageur quelques heures plus tôt, et alors que je pensais m’être « vidé » au sens propre du terme, ma semence jaillit plusieurs fois au fond de la gorge de ma mère. Elle maintenait la pression de sa bouche contre mon pubis, réclamant son dû et n’en perdant aucune goutte.

Je ne pensais pas être capable de jouir de la sorte et je m’étonnais que ce fût la seconde fois de la journée. Ce fut ma dernière pensée avant de sombrer dans un coma réparateur.

J’étais anéanti, épuisé, vidé par cette femme que je maudissais et que j’adorais dans le même temps. Cette femme , ma mère, qui m’amenait à chaque fois vers des délices insoupçonnés et des rivages inconnus mais qu’il me tardait, à présent, de découvrir en compagnie de mon guide personnel.

En émergeant de ma torpeur, je me souviens avoir eu la pensée fugace de Sylvie et d’Anaïs, à mes genoux, me proposant le traitement que ma mère venait de m’administrer mais à deux bouches, cette fois ! Il fallait que je vive ce moment ! Après tout, Maman serait partante puisqu’il me suffisait d’ordonner pour être assurer de son obéissance.

Tout reposerait sur Anaïs.

Mais ce serait pour demain.

Car, pour ce soir, ma mère avait d’autres projets.

Me voyant reprendre vie, elle se leva en face de moi et me demanda

— Mon Maître est-il satisfait ?

— Maman, c’était incroyable ! Tu suces comme une déesse. Wouaw….c’est dingue !

— J’en déduis que tu as apprécié, dans ce cas ? Rit-elle.

— Je t’aime, Maman !

— Je t’aime, mon chéri ! Dorénavant, nous ne sommes plus qu’un. Je suis à toi. Entièrement. Maintenant que nous avons franchi cette limite, que j’ai goûté à ton sperme de jeune mâle, as-tu un regret ?

— Aucun, Maman ! Tu es à moi et je suis à toi ! Dis-je en reprenant mutatis mutandis ses propres paroles. Je serai ton Maître adoré et tu seras ma soumise volontaire. Pour notre plus grand bonheur à tous les deux.

— Merci, Maître ! Je suis à toi. Fais de moi ce que tu veux. Mon corps est à ta disposition quand tu veux, où tu veux et comme tu le veux. Ordonne et je t’obéirai. Toujours. Mais Aux yeux des autres, je reste ta mère. Lorsque nous ne sommes pas seuls, nous inversons les rôles afin de ne choquer personne. Notre vie intime ne regarde que nous.

— Je le comprenais bien de la sorte ! Je veux être obéi dans la seconde où je te donnerai un ordre sexuel, avec la discrétion nécessaire lorsqu’elle s’impose.

— Bien Maître ! Me dit-elle en plissant un peu le nez en pensant au plaisir à venir et les différentes méthodes pour y arriver.

— Alors, il me semble que nous pouvons enfin sceller définitivement notre accord ? Qu’en penses-tu ?

— Á quoi penses-tu, Maître ?

— Á genoux, Maman ! Je vais te prendre. Pour la première fois, je vais placer ma queue au fond de ta chatte. J’espère que la pipe que tu viens de me donner t’a un peu émoustillée, car je ne peux plus attendre.

— Oui ! J’ai mouillé en te suçant ainsi. Et tes paroles, si cela n’était pas suffisant, viennent de mettre le feu à ma chatte. Je n’attends plus que ta grosse queue. Viens, mon Maître ! Me dit-elle en se mettant dans la position demandée après avoir enlevé son string.

Son cul tendu vers moi, je m’approchais la queue tendue par la vue qui s’offrait à moi.

Ma mère était à genoux sur le tapis du salon, son postérieur rond et parfait sous mon regard. Elle venait de dégager ses seins de sa nuisette et ils pendaient, lourds et ronds, sous son buste.

Lorsque je plaçais ma queue à l’entrée de sa grotte pour la toute première fois, je pris une grande respiration et une seconde pour me souvenir de ce moment toute ma vie. Ma mère eu le même réflexe en sentant mon gland butter contre l’ entrée de son vagin effectivement trempé de son désir pour son fils.

Ma poussée se fit d’un seul mouvement, calme et contrôlé, pénétrant centimètre par centimètre, comme pour en prendre définitivement possession, la chatte de ma mère. Elle souffla de plaisir lorsque mon gland butta contre son utérus.

— Baise-moi ! Philippe ! Baise-moi ! Défonce ma chatte, je n’en peux plus !

— Je vais exécuter ta demande, dans ce cas ! Dis-je.

Mon mouvement commença cependant lentement, je voulais bien sentir les parois de sa chatte avant de me lancer dans une cavalcade vers le plaisir. Je frappais le fond de son sexe un peu plus violemment, et je voyais dans la fenêtre de la véranda où son reflet apparaissait, ses seins se balancer sous elle.

Ses yeux se fermèrent et sa bouche s’ouvrit pour laisser échapper un soupir de soulagement lorsque j’accélérais enfin le mouvement. Plus rien ne pourrait m’arrêter. J’agrippais ses hanches et, harnaché à son corps, je lâchais le frein. J’espérais, du fait de ma jouissance extrême précédente, pouvoir la satisfaire pleinement et tenir la distance. 

Je défonçais ma mère comme elle venait de me le réclamer.

Ses soupirs et ses petits sons de plus en plus audibles m’indiquant parfaitement le chemin de son orgasme.

J’en rajoutais en lui demandant

— Parle-moi ! Dis-moi ce que tu ressens ! Dis-moi ce que tu veux de ton Maître ? Et sois loquace !

— Je veux que tu bourres ma chatte de mère indigne ! Je veux sentir ton sperme chaud au fond de moi ! Je veux que tu me fasses mal à m’en faire jouir ! Défonce-moi ! Troue ma chatte avec ta bite ! Vas-y, ne me ménage pas ! Tu m’excites à me demander cela, tu m’excites à m’ordonner ces actes pervers ! FAIS-MOI JOUIR !

Elle hurla cette dernière supplique car je venais de poser mes mains sur ses seins, étirant ses tétons vers le bas alors que je me couchais un peu sur son dos.

— Ouiiiiii ! Tire mes bouts de seins ! Traite-moi comme la dernière des traînées...je suis à toi !

Je ne me fis pas prier et j’étirais à la limite d’une douleur insupportable ses tétons érigés et saillants. Je me découvrais un côté dominant que j’ignorais. Je me délectais des soupirs et des cris de douleurs tout en y entendant du plaisir, de ma mère. Et si c’était vraiment nouveau, ce n’en était que plus excitant pour moi. Ma queue se tendit encore un peu plus sous l’effet de ce traitement.

Je sentais, d’ailleurs, les parois de son vagin se resserrer contre ma queue.

Ma mère soufflait d’un plaisir qu’elle n’arrêterait plus. Ses gémissements et ses soupirs se rapprochant de plus en plus.

— Ouiiiiii ! Encooooore….Oh putain que c’est booooon ! Encooore….loin dans ma chaaatte… ! Oooohhhh….

En l’entendant réclamer ainsi ma queue, je savais que je ne tiendrais plus longtemps. Mais je voulais qu’elle jouisse aussi. Je lui dis alors

— Maman ! Je ne tiendrai plus longtemps. Tu m’excites trop ! Je veux que tu caresses un point de ton corps qui te donne du plaisir pour accélérer ton orgasme. Je veux jouir en même temps que toi pour notre première fois.

Je ralentis un peu le rythme en parlant, ce qui m’octroya quelques secondes de répit et calma un peu le volcan qui s’éveillait dans mes testicules.

— Ouiiii...je veux jouir avec toi ! Attends, je vais t’aider ! Me dit-elle.

Je pensais qu’elle allait poser un doigt sur son clitoris pour stimuler son sexe et son orgasme. Mais à ma grande surprise, elle posa sa tête sur la moquette. Elle accentua ainsi l’angle de ma pénétration, ce qui allégea un peu le frottement de mon sexe contre son vagin dégoulinant à présent de son plaisir. Puis, prenant ses seins dans ses mains, elle caressa d’abord puis étira ses tétons avant de les prendre entre deux doigts et de les rouler entre ceux-ci. Elle me dit

— Maintenant, lâche-toi ! Bourre ma chatte !

Je repris un rythme rapide en posant mes mains sur ses fesses. Son œillet apparaissant, j’écartais un peu plus ses fesses pour admirer son cul. Je sentis, en même temps que j’admirais sa technique de caresse et de stimulation dans le reflet de la fenêtre, qu’elle resserrait les muscles de son vagin autour de ma queue.

Ma jouissance monta encore d’un cran.

Alors que je sentais que je ne tiendrai plus et que mon sperme allait jaillir d’une seconde à l’autre, ma mère me surprit en ouvrant la bouche dans un râle de plaisir dont le volume sonore ne devait rien au mien.

Elle jouit en même temps que moi dans un cri d’extase pure. Je sentis quelques jets de sa cyprine se frayer un chemin vers l’extérieur de son sexe tout en rencontrant mon plaisir qui allait, pour la première fois, à l’assaut de la matrice de ma mère.

Notre jouissance commune dura quelques secondes mais qui furent d’une rare intensité.

Maman s’écroula soudain sur la moquette, le corps secoué par des spasmes violents. Je remarquais que de son sexe jaillissais encore quelques traces de son plaisir. Elle se tourna sur le dos et, en me regardant, s’empara de ses seins et les portant à sa bouche, sortit la langue pour en caresser les tétons quelques instants. Son bassin montait et descendait encore, comme dans un dernier réflexe d’une jouissance terminée. Sa chatte offerte à mon regard, ses quelques poils pubiens entretenus avec soin trempés à présent de son bonheur mélangé au mien.

De mon côté, je m’affalais dans le fauteuil le plus proche pour reprendre mon souffle et un minimum de contenance.

Elle parla la première

— Et bien, mon chéri, tu es un formidable étalon ! Je n’ai pas eu d’orgasme pareil souvent durant ma vie de luxure. Tu peux me croire sur parole. C’était incroyable. Je ne pourrai plus m’en passer non plus. Ta queue est merveilleuse au fond de ma chatte.

— Merci du compliment, Maman ! Mais tu es un peu trop gentille avec moi qui reste novice dans le domaine du sexe. Je pense surtout que c’est l’interdit de l’inceste qui vient de t’offrir cet orgasme monstrueusement humide ! Dis-je en riant.

— Tu as peut-être raison ! Dit-elle en passant sa main sur sa chatte comme pour ramasser les résidus de son plaisir. Mais avec un peu d’entraînement et d’endurance, tu seras un baiseur hors pair. Crois-moi sur paroles.

— C’est parce que j’aurai eu le meilleur des professeurs ! Dis-je en la regardant avec un amour infini.

Un ange passa entre nous. La fusion de nos corps venait de passer derrière celle de nos âmes. Nous nous comprenions sans parler. Elle me sourit et reprit

— J’ai besoin d’une douche et d’une bonne nuit de sommeil, à présent ! Je veux être en forme pour accueillir Anaïs demain soir et passer un merveilleux week-end à découvrir la personnalité de ta fiancée en même temps que de tenir ma promesse envers toi ! M’autorises-tu à te laisser et à aller me coucher ou auras-tu encore besoin de mes services, ce soir ?

— Tu peux y aller, Maman ! Dis-je en riant. Je pense que tu exagères sérieusement mes capacités. J’ai joui trois fois aujourd’hui par ta volonté. J’ai éjaculé une quantité de sperme que je ne pensais pas pouvoir receler. Alors, pardonnes-moi, mais je suis mort de fatigue aussi. Je vais me doucher et dormir. Je vais t’imiter. Et je t’interdis de venir dans ma chambre durant la nuit pour quémander je ne sais quelle jouissance, vilaine nymphomane ! Dis-je avec un grand sourire et en lui envoyant un baiser volant, preuve que je me moquais d’elle.

— Je n’en avais pas l’intention, me répondit-elle en souriant. Je ne suis pas superwoman, non plus ! Tu m’as vraiment fait jouir comme rarement, mon chéri ! Je n’ai envie que de dormir un peu, ce soir.

— Je te souhaite une belle nuit et de beaux rêves, Maman !

— Bonne nuit, Maître ! Je t’aime. Je partirai tôt demain au travail  pour pouvoir rentrer en avance. Ne t’étonne pas de ne pas me voir.

— D’accord, Maman ! On se voit demain en fin de journée. Je t’aime ! Et puis, qui sait, j’aurai peut-être des envies durant la journée ? Et si tu prenais l’un ou l’autre de tes jouets avec toi ?

— Mmmmhhh….tu recommences à m’aguicher là. Chiche ?

— Maman ? On parie ?

Dis-je en souriant alors qu’elle battait en retraite, vers ses appartements.
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