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Une mère pas comme les autres...

Chapitre 14

Rapprochement et ...

Inceste
Sylvie, alors qu’Anaïs venait d’en terminer avec une fellation qui mériterait un souvenir ému, nous offrait un spectacle merveilleusement jouissif.
Ma copine, se relevant, réajusta son soutien-gorge sur sa délicieuse poitrine tout en passant sa langue sur sa lèvre inférieure, comme pour vérifier une dernière fois qu’il ne restait pas une goutte ou l’autre de mon sperme, qu’elle dévorait toujours avec gourmandise. Elle souriait en alternant entre Maman et moi.
Je souriais également en découvrant Sylvie qui nous offrait un spectacle hilarant.
Sa tête et son regard valaient tous les discours du monde.
Elle était toujours assise sur son transat, une jambe de part et d’autre du coussin, mais ses yeux avaient viré d’un calme olympien à un ciel d’orage.
Je lisais qu’elle était en colère.Une colère sourde, profonde, irrationnelle face à la situation à laquelle elle faisait face.
Elle était jalouse !
Jalouse de voir Anaïs profiter de mon sexe tendu par l’excitation, profiter de mon jus qu’elle avait fait jaillir avec une facilité déconcertante, profiter de sa propre poitrine pour faire grimper la température.
Maman voulait jouer ! Elle désirait nous accompagner. J’en étais certain. Son regard ne me trompait pas alors qu’elle jouait à la femme blasée et indifférente. Comme s’il était normal de regarder sa future belle-fille prodiguer, avec un talent démontrant d’une belle pratique, une fellation à son fils unique, sur les bords de la piscine familiale puis dévorer goulûment son sperme en n’en laissant pas échapper une seule goutte.
— Vous avez terminé ? Et si nous prenions un verre ? J’ai soif, moi !
Maman se leva et se dirigea vers la cuisine pour prendre des rafraîchissements.
Je m’assis dans mon transat, plaçais mes lunettes de soleil sur mon regard et jouait le mec blasé.

Mais je n’en menais pas large. Car si la situation avait de quoi ébranlé une mère, je savais que Sylvie n’était pas une mère ordinaire et que, depuis les changements dans notre relation, elle n’attendait qu’une seule chose.
Se jeter sur sa proie, comme une lionne qui joue avec sa future victime. L’approche faisait partie de son plaisir. Et elle en profitait !
Anaïs posa ses lèvres sur les miennes et me murmura
— Tu penses qu’elle râle ?— Absolument pas ! Tranquillise-toi ! Je pense que tu viens de marquer des points, Mais le jeu ne fait que commencer.— De quoi parles-tu ?— Tu verras ! Dis-je énigmatique.
Derrière mes Ray-Ban, Anaïs ne pouvait deviner que mon regard se portait vers la maison. Maman revenait et je ne pouvais détacher mon regard de ses seins qui se balançaient au rythme de sa démarche chaloupée. Elle agitait les hanches en amplifiant un peu leur mouvement naturel, féline et aérienne à souhait.
Je portais mon regard sur Anaïs qui ne perdait pas, non plus, une miette du spectacle érotique que Maman nous donnait, comme si de rien n’était. Je n’étais pas dupe, mais Anaïs l’était forcément.
Tout se déroulait à merveille. Anaïs pensant qu’elle piégeait Maman alors que c’était l’inverse qui se produisait. J’avais déclaré à Sylvie que pour qu’Anaïs consente à une relation avec une femme, elle devrait faire le premier pas. Tout devrait venir d’elle. Maman se contentait donc de jouer son rôle en appâtant son proie.
Et cela fonctionnait parfaitement bien ! Il me suffisait pour cela de contempler le regard que ma copine posait sur ma mère et ses formes parfaites.
Nous bûmes un verre de soda frais tout en discutant, à nouveau, des projets futures d’Anaïs. Maman semblait passionnée par ses récits et sa détermination. Elle m’avoua, plus tard, qu’elle était réellement sous le charme de ma copine et que je n’aurais pas pu tomber mieux.
— Elle a vraiment toutes les qualités, cette jeune femme. Tu as de la chance, mon chéri ! Elle est merveilleusement belle et d’une intelligence supérieure.
Ce furent ses termes.
Mais, pour l’instant, Anaïs lui expliquait qu’elle allait probablement devoir s’exiler quelques mois en Angleterre pour parfaire ses connaissances, à l’université d’Oxford ! Sa bourse avait été acceptée mais tout dépendait de ses résultats lors de ses derniers examens.
Je savais, pour en avoir déjà discuté avec elle, que ceux-ci ne seraient qu’une formalité. J’avais une entière confiance en elle. Mais c’était avant les dernières révélations.
Aujourd’hui, je devrais recommencer cette discussion nous concernant car je savais que ses aventures anglaises ne seraient pas sans conséquence sur sa sexualité et ses besoins de jouissances. La confiance ! Nous y revenions encore une fois.
Car, je ne suis pas dénoué d’une certaine forme d’intelligence, je sais que sa parole donnée hier soir doit encore être maçonnée dans le mur de notre confiance mutuelle. Elle doit avoir confiance en moi comme je peux la laisser partir en confiance, sachant qu’elle me reviendra plus amoureuse qu’à son départ et que je l’accueillerai comme un amant trop longtemps délaissé.
Nous discutâmes une bonne partie de l’après-midi, déplaçant nos transats au rythme du mouvement de l’astre solaire, une fois au soleil, une fois à l’ombre.
Vers dix-sept heures, je proposais de préparer le premier barbecue de l’année.
Les femmes approuvèrent avec un grand sourire et des « hourras » significatifs car le travail était pour moi.
Je souris à cette évocation lorsque Maman déclara qu’elle allait encore bronzer un moment, que je n’avais qu’à la prévenir quand tout serait prêt.
Je me levais en lui jetant ma serviette mais en riant de bon cœur.
Ce n’était pas une corvée car je savais que Maman allait passer à l’attaque en vue de réaliser son fantasme, mettre ma copine dans son lit.
Je les regardais discuter tout en préparant une salade, quelques tomates, une mayonnaise maison et en lançant un feu de braise.
Alors que j’étais en train de terminer mon travail et que j’allais retourner sur la terrasse, un mouvement attira mon regard et entama ma résolution au niveau de mon entre-jambes.
Anaïs caressait les seins de Maman.
Ce mouvement ressemblait plus à celui d’une femme jouant au jeu de la comparaison que celui de celle tentant de donner un petit plaisir à une copine. Mais Anaïs n’en tenait pas moins les seins de ma mère entre ses mains.
En bon mec basique, cette vision échauffa mes sens et mon excitation mais mon sexe resta sagement en place. Il m’en fallait plus pour que je bande. Même si je sentais quelques soubresauts sous mon short de bain.
Je les voyais discuter et rigoler comme deux vieilles copines qui connaissant tout des secrets de l’autre.
Puis ce fût Anaïs qui tendit son buste et Maman qui passa ses mains sur ses seins.
Les rires fusaient et se multipliaient mais je voyais aussi une certaine tension naître entre mes deux protagonistes. Maman cessa de sourire et passa ses doigts sous le fin tissu du bikini d’Anaïs.
Celle-ci cessa de sourire à son tout mais n’empêcha pas le geste maternel.
De ma position, je devinais plus que je ne voyais, les doigts de Sylvie effleurer les tétons de ma copine. Cette dernière avait fermé les yeux et je constatais, par les mouvements de son buste, que sa respiration s’était accélérée sous la pression des mains de ma mère.
Je souris en la regardant. Elle tombait pieds et poings liés dans les filets de Sylvie. Certes, je savais, depuis notre dernière nuit ensemble, qu’elle l’avait probablement rêvé. Mais je savais, depuis hier, que ma copine ne pourrait résister, malgré ses grandes déclarations sur son hétérosexualité prétendue, à une excitation grandissante menée de main de maître. Et Sylvie, en terme d’excitation, était le professeur des meilleurs maîtres de cette planète.
Ainsi, Anaïs se laissait caresser pour la première fois par des mains féminines. Et visiblement, y prenait un plaisir non-dissimulé.
Je savais comment Maman avait procédé puisqu’elle m’avait fait l’honneur et le plaisir de me dévoiler sa stratégie.
Elle jouerait avec Anaïs toute l’après-midi pour en arriver au moment où, alors que la pudeur et la résistance seraient amoindries, elle entamerait cette conversation « entre filles » pour parler de sujets totalement féminins, comme la taille des poitrines.
J’avais émis un doute sur la pertinence de cette stratégie qui me semblait plutôt être aussi délicate que celle d’un mec draguant dans un bar mais Maman me sourit avec une pointe de désespoir en me déclarant que, n’étant pas une femme, je ne pouvais pas comprendre.
Je n’avais pas insisté. Je lui avais fait confiance jusque là, je n’allais pas commencer à chicaner.
Visiblement, elle avait eu raison.
Je vis Maman parler à Anaïs et cette dernière porter ses mains, à nouveau, sur les seins de Sylvie et entamer le même mouvement sur les tétons de Maman, qui avait enlevé son paréo pour l’occasion.
Cette fois, ma queue était parfaitement tendue et me faisait mal dans mon short.
Ma mère et ma copine étaient, pour la première fois et sous mes yeux, en train de se caresser mutuellement les seins. Je ne tombais pas de le piège d’une masturbation qui m’aurait irrévocablement entraîné jusqu’à un orgasme crémeux car je voulais garder un peu d’énergie pour le reste de la journée. Je vous l’ai déjà expliqué, je ne suis pas un acteur porno ou un surhomme.
Je fus, néanmoins, étonné lorsqu’elles se levèrent d’un même élan pour se diriger vers la maison. Je tentais de calmer mon érection mais, peine perdue, je dus me retourner vers le plan de travail et couper une nouvelle tomate pour cacher mon émoi à ces deux femmes sublimes. Je ne voulais pas ressembler à un pré-pubère en face de sa première paire de seins.
— Anaïs et moi allons prendre une douche rapide pour faire disparaître les reliquats de crème solaire et nous rafraîchir un peu. Tout est prêt ou as-tu besoin d’aide ? Demanda Maman.— Tout est prêt, Maman ! Prenez votre temps. En redescendant, je vous servirai un verre sur la terrasse pendant que je m’occuperai de la cuisson.— Merci, mon chéri ! Me dit Anaïs en déposant un doux baiser sur ma joue tendue.
Je terminais donc les préparatifs et remis un peu de charbon pour disposer d’un feu efficace.
Je décidais d’aller surprendre Anaïs sous la douche mais, à ma grande surprise, elle ne se trouvait pas dans ma chambre. J’en fus interpellé quelques secondes lorsque je me souvins des paroles de Maman.
«  Nous allons prendre une douche ».
Maman voulait-elle sous-entendre, une douche ensemble ?
Je me précipitais dans la chambre de Maman et, poussant discrètement la porte de sa salle de bain, je fus pétrifier.
Elles étaient dans la même douche, Maman savonnant le dos d’Anaïs qui passaient ses mains remplies de gel douche sur sa poitrine. Ses yeux étaient fermés et elle semblait ronronner sous les caresses de Maman.
Ainsi, Sylvie avait réussi en peu de temps. J’étais, tout de même, ébahi par sa facilité à compromettre les personnes qu’elle rencontrait. Anaïs avait du caractère et était une personne sûre d’elle. Et la voir, à présent, totalement soumise aux désirs et aux caresses de Sylvie m’emplit de fierté. Ma mère était au-delà de tous les qualificatifs qui me venaient à l’esprit pour la décrire.
Soudain, Maman passa ses mains sur les hanches d’Anaïs et remonta sur sa poitrine, plaça ses mains sur celles de ma copine et elles entamèrent une ballet commun sur les seins d’Anaïs. Cette dernière caressait sa poitrine, guidée par Maman.
Sylvie pressait son pubis sur les fesses de sa partenaire et ondulait lentement, au rythme des mains bougeant en duo.
Anaïs posa sa tête sur l’épaule de Maman et s’abandonna alors au plaisir qu’elle ressentait. Sa bouche s’ouvrit et elle prenait de grandes goulées d’air. Je vis ses jambes se mettre en mouvement et son bassin répondre aux mouvements de Maman.
Anaïs laissa alors Sylvie caresser ses seins alors que ses mains descendaient le long de son corps sur ses hanches puis se portèrent sur celle de Maman. Elle poussa le vice jusqu’à caresser le haut du pubis de ma mère mais n’osa pas descendre plus bas. Alors que je devinais que Maman n’attendait que cela.
Leur petit jeu dura un moment puis, Maman prenant à nouveau l’initiative, descendit ses mains sur la chatte d’Anaïs et entame un lent mais sensuel mouvement de caresse de son clitoris. À cet instant, son regard croisa le mien, au travers le la vitre remplie de buées et me sourit. Je luis rendis son sourire, lui signifiant mon accord pour qu’elle aille plus loin mais je fis un geste très clair. Elle ne devait pas la faire jouir. Juste l’amener vers l’orgasme et la laisser en demande de plus. Une sorte de frustration qu’elle devrait satisfaire le plus rapidement possible.
Elle tourna Anaïs vers elle et, pour la première fois, posa ses lèvres sur les siennes. Je devinais des bouches ouvertes, des langues inquisitrices jouant un ballet commun, se frottant l’une contre l’autre. Maman continuait, entre-temps, à caresser la chatte d’Anaïs dont les mouvements de balancier indiquait un plaisir grandissant et un orgasme qui ne demandait qu’à éclore.
Car si la situation m’excitait, je devinais que pour Anaïs, sous les mains expérimentées de Sylvie, le désir de jouir devait être incroyable.
Je me retirais alors, afin qu’Anaïs ne sache pas que je l’avais vue. Je me rendis rapidement dans ma chambre pour prendre une douche rapide et me changer avant qu’elles ne redescendent. Anaïs ayant prévu ses vêtements que j’avais vu sur le lit de Sylvie, elle ne risquait pas de venir me déranger. Je dus, à nouveau, faire appel à toute la volonté pour ne pas me masturber et faire jaillir un plaisir que mon esprit appelait à grands cris.
Sur la terrasse, alors que j’avais passé une chemise en lin blanc et un short en jeans coupé, je me baladais pieds nus. J’adore sentir le sol chaud sous mes pas.
Je me servis un verre de Sancerre en attendant mes deux compagnes de week-end. J’espérais que Sylvie avait compris mon message et qu’elle n’était pas allée jusqu’à l’orgasme pour Anaïs. Cela n’en serait que meilleur plus tard.
Quelques minutes plus tard, elles sortirent sur la terrasse, alors que le soleil se couchait à l’horizon tout en donnant au ciel une couleur rougeâtre propice à la poésie. Je les entendais rire et glousser dans mon dos alors que j’étais en train de poser la grille sur le barbecue.
— Mon chéri ? Tu as besoin d’un petit coup de main ? Demanda Maman.
Je me retournais, pour lui répondre par la négative mais je ne pus dire un seul mot.J’avais le souffle coupé.  
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