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Une mère pas comme les autres...

Chapitre 19

Anaïs se lâche

Inceste
Je plongeais tête la première dans la piscine en un arc parfait, mon corps n’émettant que de faibles éclaboussures aux alentours alors qu’il pénétrait dans l’eau limpide et rafraîchissante.

C’était une façon, certes peu élégante, de retrouver mes esprits alors que ces deux démons femelles venaient de décider de reprendre leur activité basée exclusivement sur le plaisir tout en torturant le pauvre mâle présent aux alentours.

Certes, je ne suis pas à plaindre et cette douce torture est un délice pour mes sens et mon corps. Mais, comme je me suis déjà permis de vous le faire constater, je ne suis pas un surhomme à la bite surdimensionnée, capable de jouissances à la chaîne tel que l’industrie pornographique en montre à longueur de films ou de clips, et essayant de nous faire croire qu’il s’agit de la norme.

Si les femmes sont victimes des diktats de la mode – comme les hommes, cela dit en passant – la gente masculine doit faire face, comme ces dames, aux « normes » de la pornographie. Je n’ai jamais rien connu de plus stupide. Comme si nous étions tous voués à être influencés par d’autres que nous-mêmes et cela, à tous les points de vue.

C’est d’un ridicule ! Mais je m’égare…

Ainsi, l’eau fraîche me rendit un peu conscience de la situation. Mon sexe, dressé depuis plusieurs minutes, se relâcha à son tour, m’octroyant un répit et un moment de calme.

Je nageais quelques instants tandis que j’entendais les gloussements et les rires de plaisir des deux femmes qui m’accompagnaient en cette magnifique journée.

Sylvie et Anaïs étaient entièrement nues. Leurs corps étaient, selon mes critères, parfaits.

Maman possédait les avantages de la maturité. Un corps encore souple, entretenu avec soin au cœur de son entreprise qui possédait une salle de fitness à disposition de ses employés ainsi qu’un coach sportif entièrement dédié. Ses seins, magnifiques de tendresse, étaient d’une taille imposante mais se tenaient encore très bien, défiant toujours les lois de la gravité. Ils étaient haut placés et se tendaient en un arrondi parfait vers deux tétons fins, ressemblant à deux points marquants la limite de ces territoires merveilleux.

Son ventre plat et ses fesses rebondies encadraient sa chatte, écrin d’une perle délicate et fontaine d’un liquide de plaisir délicieux. Ses jambes musclées mais élégantes terminaient le tableau de sa féminité.

Anaïs, ma fiancée depuis quelques heures, lui ressemblait. Je m’en rendis compte à cet instant, les détaillant du coin de l’oeil alors que je nageais de long en large dans notre piscine. Elle ressemblait à ma mère de façon assez frappante dans leur nudité merveilleuse.Sa poitrine ressemblait à celle de Sylvie, ses jambes et ses fesses étaient également similaires. Mais son ventre était plus musclé de celui de Maman. Elle s’entretenait aussi physiquement mais, au vu de son âge, restait encore plus solidement charpentée que Sylvie. C’était la logique de la Nature humaine.

Elles étaient superbes. Et malgré l’eau fraîche, je sentis que mon sexe durcissait à nouveau. Je ne pouvais rien y faire. Elles m’excitaient tel un damné. Mais que c’était bon !

Un petit cri me tira de mes rêveries et je tournais la tête vers son origine.

Anaïs était penchée sur le buste de Sylvie et lui mordillait, tout en restant dans le jeu, le téton droit. C’est Maman qui venait de pousser ce petit cri, mélange de surprise et de plaisir.
Je pris appui sur le rebord de la piscine et je m’attardais à les admirer dans leur œuvre.

— Mmhhh….Anaïs ! Suce mes seins, j’adore…
— Tu es décidément insatiable, Sylvie !
— Lorsque l’on m’excite, toujours ! Aaaarrgh….ouuuiiiiii….je sens si bien ta langue qui me lèche….

Ce petit jeu dura quelques instants. Maman appuyait la tête de ma copine sur ses seins alors que cette dernière passait de l’un à l’autre, dans un soupir d’aise et de satisfaction évident.

Anaïs adore le sexe avec une femme, c’est évident à la regarder. Pour la première fois, à ma connaissance, elle suçait une poitrine de femme – et quelle poitrine – avec désir et plaisir combinés. Je ne pouvais qu’être heureux de cette situation. Quel homme n’en rêve pas ?

La main d’Anaïs caressait le sein laissé à l’abandon par sa bouche vorace avec une douceur rare, en passant ses doigts sur cette peau si merveilleusement galbée, contournant le téton pour n’en saisir que la douceur et la finesse.

C’était d’un érotisme torride. 

La sensualité et la féminité qui se dégageaient de cet instant était incroyable. Je n’avais jamais assisté à un tel déluge de tendresse entre deux corps. Deux femmes peuvent réduire un homme à néant uniquement par des gestes et des regards. J’avais mal au sexe tant je bandais. Je n’avais jamais ressenti un tel désir combiné à une telle frustration. Car il était hors de question de gâcher ce moment de plénitude par une intrusion ridicule de mâle dans cet instant de pure félicitée entre deux êtres aux courbes et aux gestes si voluptueux.

Je pris mon mal en patience ainsi que ma queue en main et, entamant un lent mouvement pour décalotter mon gland rougit par l’afflux sanguin, je repris une position confortable, le menton sur mon avant-bras reposant sur le rebord en pierre de la piscine.

— Couche-toi sur le transat, Anaïs ! Je n’en peux plus….

Anaïs recula et obtempéra avec un sourire amusé mais reconnaissant.

Maman posa ses mains sur les genoux pliés de ma copine, qui venait de s’allonger, et écarta ceux-ci pour se donner un espace de liberté pour ce qui allait suivre.

Toujours en souriant, Maman posa ses lèvres sur le mollet d’Anaïs, remontant vers le genou pour redescendre lentement par l’intérieur de la cuisse. Je vis un long et lent frisson parcourir l’échine et le corps de ma fiancée sous ces douces caresses maternelles. Maman jouait avec son désir et son corps, se rapprochant certainement de son but mais par des chemins détournés. Lui chatouillant l’aine avec ses lèvres lui effleurant la peau, avec le bout de la langue se rapprochant de son clitoris puis s’échappant au dernier moment. Elle faisait durer le plaisir. Et je compris qu’elle attendait la supplique d’Anaïs. Maman se rappelant ce que je lui avais enseigné sur la copine en ces termes « cela doit venir d’elle ».

Et elle ne dût pas attendre longtemps avant qu’Anaïs ne réclame.

— Ooohh...Que c’est booon ! Lèche ma chatte, Sylvie ! Je t’en prie !
— Tu veux que je pose ma langue sur ta chatte humide ?
— Ouiiiii….s’il-te-plaît ! Lèche ma chatte, fais-moi jouir !
— Quelle petite cochonne ! Tu veux que la mère de ton fiancé pose sa langue sur ta chatte pour te faire jouir ?

Anaïs souriait à cette joute. Elle connaissait aussi le pouvoir des mots dans les jeux du sexe. Elle en était souvent privée avec moi qui ne verbalisait pas assez à son goût ! Alors elle en profitait avec Sylvie qui, au contraire, n’en était pas avare.

— Ouiiiii...je veux que tu lèche ma chatte de petite salope et que tu me fasses jouir avec ta langue. Car je sais que tu n’attends que cela, en bonne salope que tu es aussi.
— Mmmhhh….ouiiii, je suis aussi une salope ! Alors je vais te faire plaisir. Mais regarde-moi poser ma langue sur ta petite chatte trempée.
— Vas-y ! Suce-moi !

Positionné à quelques mètres seulement de la scène, j’entendais chacun de leurs mots ou de leurs soupirs. J’avais mal au sexe tant il était tendu et je n’osais plus le toucher de peur de souiller l’eau de la piscine en éjaculant. Ces mots, que je trouvais pourtant auparavant avilissants, m’excitaient comme un jeune puceau face à la page lingerie d’un catalogue de mode.

Je vis, comme au ralenti, la langue de Maman sortie entre ses lèvres se poser sur la chatte de ma copine. Elle ressentit une décharge électrique dans tout le corps car elle se tendit comme un string à l’instant où Maman la toucha, laissant échapper un râle de plaisir.

— Oooohhhh….Ouiiiiiii….. !

Maman entama un cunnilingus de folie. Alternant la douceur et la fermeté, pénétrant la vagin d’Anaïs avec deux doigts, titillant son clitoris avec sa langue tendue, poussant dessus pour, ensuite, l’aspirer entre ses lèvres scellées.

Ce déchaînement de caresses sur la sexe d’Anaïs eut un effet foudroyant sur son corps. Elle était tendue, les jambes arc-boutées sur le transat, lançant son pubis à la rencontre de la bouche de Maman.

— Ouiiii….encore…..Suce-moi ! Oh putaiiiin….ouiiiiii….! Si j’avais suuuuu....ooohhhh....

Maman accentua le pilonnage du vagin d’Anaïs en y faisant coulisser à présent trois doigts. Je constatais avec délice qu’elle les avait crochetés, appuyant sur le point le plus sensible du sexe d’Anaïs.

Ce traitement combiné à celui de sa bouche avalant littéralement le clitoris d’Anaïs lui procura un orgasme monstrueux. Elle se tendit dans un râle de plaisir et, pour la première fois, j’assistais à une éjaculation féminine.

— Aaarrgggghh….OOUUIIIIIII !

Maman ouvrir la bouche en constatant l’imminence de l’éjaculation et récupéra l’ensemble de la production de cyprine d’Anaïs. Trois jets inondèrent sa bouche, qu’elle conserva précieusement.

Lorsque les spasmes d’Anaïs cessèrent, Maman se releva et posa sa bouche sur celle de sa partenaire. Elles échangèrent, en un baiser torride dans lequel les langues se cherchaient et les lèvres se soudèrent, les effluves du sexe d’Anaïs.

Elles ne se quittaient pas des yeux et je pus lire dans ceux de ma copine toute la reconnaissance pour la plaisir que Maman venait de lui procurer.

— Wouaw…. ! Je n’en reviens pas ! Jamais je n’ai joui de la sorte en me faisant lécher la chatte. C’était incroyable, Sylvie !
— J’ai pu le constater, petite dévergondée ! Répondit Maman en riant. Tu m’as inondé la bouche avec ton jus à plaisir.
— Dingue ! Je ne pensais pas que cela pouvait m’arriver. C’est la première fois !
— Toutes les femmes en sont capable, ma chérie ! Ce n’est qu’une question de stimulation. Et la situation y est pour beaucoup !
— On recommence quand tu veux ! Dit Anaïs en riant, ce qui déclencha le rire de Maman.

Je n’en menais pas large, barbotant dans la piscine.
Elles venaient de m’exciter comme un dingue. Et de voir Anaïs si heureuse me rendait, à mon tour, euphorique. J’aimais cela ! Qu’elle ait joui avec une autre personne ne me dérangeait pas plus que cela, si elle en retirait de la satisfaction et du plaisir, sans me cacher ni son ressenti, ni ses désirs.

Elles tournèrent la tête vers moi, comme si elles se souvenaient de ma présence.

— Alors, mon chéri ? En forme pour un nouveau round ou préfères-tu encore profiter un peu du spectacle ? Me demanda Maman.
— Personnellement, j’ai envie de vous deux ! Donc, c’est comme tu veux, mon amour ! Déclara Anaïs.
— Vous m’excitez comme jamais ! Et je meurs d’envie de me joindre à vous. Mais je suis si bien dans ce rôle de vilain voyeur que je vais me permettre de rester encore un peu dans l’eau. Faites donc comme si je n’étais pas là ! C’est renversant de sensualité et d’excitations multiples.
— Mmmhhh...Sylvie ! Puisque notre Maître est d’accord, que dirais-tu de changer de place afin de me laisser te rendre la pareille ?
— Volontiers, Anaïs ! J’ai envie que tu me manges la chatte à ton tour. Mais, puis-je te demander une faveur ?
— Bien sûr !
— Ne te retiens ni en actes ni en paroles ! Philippe sait que j’aime être parfois bousculée et j’en meurs d’envie à cet instant !

Je vis le rictus de satisfaction sur le visage d’Anaïs et je ne fus donc pas étonné de l’entendre prendre les choses en main, si j’ose dire.

— Couches-toi et ouvre les jambes, comme une bonne petite salope que tu es !
— Mmhh...Tu apprends vite ! Comme ceci ?
— Ouvre plus ! Et avant que je ne te lèche la chatte, tu vas te préparer en te caressant les seins pour honorer Philippe qui adore ce spectacle.
— Ouiii….Regarde, mon chéri !

Maman attrapa un sein dans chaque main et, me fixant du regard, entama des caresses circulaires autour de ses auréoles puis, agrippant un téton entre chaque pouce et index, les tira un peu dans ma direction en disant

— Regarde, Philippe ! Regarde les seins de Maman qui bandent pour toi !
— Quelle salope !

C’est Anaïs qui n’avait pu réprimer ce cri du cœur en admirant Maman dans ses œuvres.

— Touche ta chatte et dis-moi quand tu seras prête !
— Ooohh...Anaïs, je suis prête ! Ma chatte coule déjà à l’idée de ta langue, de tes mains...Oohhh, viens !

Je vis alors Anaïs, ma fiancée, celle qui allait partager ma vie, se pencher pour la première fois entre les jambes de Maman et poser le bout de sa langue entre les lèvres trempées de ma génitrice. Cette dernière se pencha en arrière sous l’impulsion que ce geste avait transmis dans tout son être.

— Aaargghh….Enfin ! Vas-y maintenant, fais-moi jouir aussi !

Je sortis de l’eau à cet instant car je ne voulais pas rater une miette de ce qui se passait devant moi. Pour la première fois, j’allais voir Anaïs sucer la chatte d’une autre femme.

Je m’installais à côté de Maman, sur un morceau du transat resté libre et je vis la langue d’Anaïs se faufiler dans les replis du sexe de Sylvie. Sa langue montait et descendait lentement, recueillant la cyprine mielleuse qui s’échappait du vagin maternel.

Anaïs tendit les bras et agrippa les seins de Maman. Cette dernière posa ses mains sur celles d’Anaïs et lui indiqua le rythme parfait pour lui caresser la poitrine.

— Ouiiii….touche mes seins ! J’adoooore...encoooore. SUCE-MOI FORT !
— Tu aimes ma langue sur ta chatte ?
— Ouiiii….
— Et toi ? Demandé-je à Anaïs. Tu aimes lécher une chatte ?
— Ouiiii…. Répondit-elle après quelques secondes, en chuchotant presque cette réponse.
— Alors fais-là jouir ! 

Anaïs reprit sa tâche et posa sa langue sur le clitoris de Sylvie. Elle tira, en même temps, sur les tétons érigés de sa partenaire, lui envoyant une décharge électrique le long du corps car elle se tendit en une seconde dans un râle de plaisir.

— OOHHHH OOUUIIIII….

Anaïs lécha plus fort la chatte de Sylvie et cette dernière partit dans un orgasme fulgurant dont la rapidité à arriver m’étonna. Elle devait être particulièrement excitée par la situation.

Anaïs, à son tour, reçu un peu de la cyprine de Maman dans sa bouche mais, cette fois, je me penchais vers elle pour effectuer la récolte et la partager avec elle.

Nos langues se mêlèrent dans un ballet mielleux et odorant mais particulièrement suave. Nous partagions avec Anaïs, pour la première fois, le goût d’un autre sexe. C’était enivrant.

Maman resta un instant couchée, reprenant ses esprits. Mais, alors qu’Anaïs se relevait, elle lui prit la main et lui dit

— Encore ! Fais-moi encore jouir !

Anaïs sourit et allait redescendre entre les jambes de Maman lorsqu’elle lui dit

— Non ! Pas ainsi. Pose ta chatte sur la mienne.

Anaïs resta un instant songeuse mais comprit rapidement ce que Maman lui demandait.
Elle sourit et, enjambant la jambe libre de Sylvie, posa sa vulve sur celle de sa partenaire en me regardant.

— J’ai souvent pensé à cette position, Philippe ! Mais je ne pensais pas la réaliser un jour ! Me dit-elle, ravie de tenter l’expérience. 
— Alors profites-en, ma chérie ! Répondis-je, p’us qu’intéressé par ce qui se tramait sous mes yeux. 

Elle me sourit et entama un mouvement de balancier avec Sylvie. Sa chatte contre la chatte de Maman. Et elles sentirent visiblement rapidement les effets de ce plaisir partagé.

— Ooohhh….c’est booon ! Dit Anaïs, agréablement surprise dans sa découverte. 
— Plus fort ! Dit Maman…
— Ouiii….Oohhh...Dieu…..

Maman venait d’empoigner les seins d’Anaïs et les caressait au rythme de leur balancement. Anaïs répondit à Sylvie en lui étirant doucement les tétons devenus rouges par le traitement qu’ils subissaient depuis de longues minutes.

Ce manège dura quelques instants lorsqu’elles crièrent ensemble

— Ouiiii….encooore….
— Oohhhh...putaaaaiiinnn….oouuuuiii…

Elles venaient, à nouveau, de jouir sous leurs assauts combinés.

Je n’en pouvais plus !
J’étais au garde-à-vous depuis si longtemps que je crus défaillir et éjaculer uniquement en les entendant hurler leur bonheur et leur orgasme.

Je dus rester assis pour calmer le feu qui dévorait mes entrailles et l’excitation incroyable qui pulvérisait mon cerveau à cet instant.

Alors que les deux femmes reprenaient leur souffle et s’embrassaient tendrement, je pus enfin me lever pour replonger dans la piscine.

Je devais absolument me reprendre car j’étais à deux doigts de l’orgasme cérébral.

Je fis quelques longueurs en jetant un coup d’oeil à ces deux femmes qui reprenaient, à leur tour, leurs esprits.

Je vis Sylvie se pencher vers Anaïs et lui murmurer quelques mots à l’oreille.

Cette dernière sourit et partit dans un petit éclat de rire cristallin.

Elles tournèrent la tête vers moi et, dans un mouvement souple et synchronisé, se levèrent pour sauter dans la piscine, chacune autour de moi.

— Et si nous nous occupions de celui qui a été si patient ? Me dit Maman et m’embrassant la joue.
— Je suis certaine qu’il n’attend que cela ! Répondit Anaïs en posant ses lèvres sur l’autre joue.

Je ne pus réprimer un sourire et je m’entendis dire

— Et si je refuse ?
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