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Une mère pas comme les autres...

Chapitre 20

Orgueil quand tu nous tiens...

Inceste
Anaïs me regarda, interloquée par ma réponse.

Il était évident, selon ses critères, qu’un homme, quel qu’il soit, ne tenterait même pas de résister face à l’invitation évidente et sans équivoque de deux femmes libérées et soumises, joueuses et curieuses.

Maman, elle, me sourit avec dans les yeux ce petit quelque chose me disant « Allons, mon chéri ! Comme si cela était dans tes intentions » ! 

Mais elle n’en dit mot, se contentant de voir où ma réponse étrange et inattendue pouvait nous mener tous les trois.

-       Philippe ? Tu n’as plus envie de nous ?

C’est Anaïs qui venait de poser cette question.

Je me demande encore aujourd’hui comment elle a pu envisager une seule seconde cette possibilité ? Ma queue était bandée et parfaitement visible dans l’eau claire de la piscine. Mon érection ne laissait pourtant planer aucun doute sur mes intentions prochaines. 

Je souris à Maman et tournait mon visage vers Anaïs. 

J’avais l’intention de jouer au chat et à la souris avec elle. Les regarder baiser et se donner du plaisir m’avait donné un sentiment de plénitude et de bonheur incroyable. Mais une idée restait fixée dans mon esprit. Une idée selon laquelle Anaïs n’avait pas été franche avec moi sur ses intentions et ses désirs réels en matière de sexe. Je vous l’ai dit, je ne peux vivre dans le mensonge. Pourquoi mentir alors que la vérité est si amusante ?


En fait, ma virilité et mon orgueil ne s’étant pas encore parfaitement remis de mon cocufiage en règle, même si mon pardon lui avait été octroyé pour le reste de notre vie. Il me restait un fond de colère sourde et de besoin d’une dernière vengeance que je souhaitais assouvir sans pour autant blesser Anaïs. 

Et j’en avais, à cet instant, l’occasion. Je n’allais pas la laisser m’échapper.

-       Non ! Je n’ai plus envie de vous ! Dis-je en feignant un sérieux digne d’un jésuite.

C’est peu dire que ma réponse lui fit un choc. 

Elle se recula dans l’eau et me regarda avec une incompréhension totale. J’espérais qu’elle n’allait penser voir que la satisfaction de la situation dans mon sourire et non pas l’amusement le plus complet face à sa tête. 

Je sortis de l’eau et, m’essuyant le corps rapidement, je me dirigeais vers le barbecue pour en apprécier la chaleur afin de commencer prochainement les cuissons et préparer un succulent dîner pour mes deux déesses. 

Je vis du coin de l’œil Anaïs regarder Sylvie. Elles étaient médusées car, à cet instant, même ma mère ne comprenait pas ma réaction. Elles sortaient d’un double coït, d’un orgasme ravageur pour chacune d’elles et je venais de doucher leurs espoirs d’une queue au fond de leurs chattes. 

Je m’amusais comme un petit fou. 

En rentrant dans la maison, je n’avais pas eu le moindre mot et je montais rapidement me changer pour la soirée qui s’annonçait torride à plus d’un titre. 

En redescendant, alors que j’avais fait un petit détour par la chambre maternelle, je vis Anaïs assise sur son transat, toujours mouillée et totalement désemparée par ma réaction. Il était temps de lâcher du lest si je ne voulais pas que la soirée parte en sucette. 

-       Ma chérie ? Quelque chose ne va pas ? Demandé-je comme si de rien n’était.

-       Philippe ? 

Ses yeux étaient embrumés et elle ne savait plus sur quel pied danser.

-       Oui ? 

-       Tu ne m’aimes plus ? J’ai été trop loin pour toi et tu ne m’épouseras plus ?

-       Pourquoi me demandes-tu une telle chose ? Dis-je, soudain inquiet face à cette réaction inattendue de ma part. Les hommes sont parfois stupides, n’est-ce pas ?

-       Pourquoi es-tu sorti de l’eau ? Tu n’as vraiment plus envie de moi ?

-       Mais….si ! Quelle drôle d’idée !

-       Alors pourquoi ne m’as-tu pas encore touchée ?

-       Oublierais-tu ta condition pour ce weekend, Anaïs ? Dis-je en prenant son menton entre mes doigts et en baissant mon visage en face du sien.

-       Non, mais…

-       Alors tout va bien ! Ne te tracasse pas, ma chérie. Je t’aime tendrement. Mais vous venez de m’exciter comme un fou et je ne suis pas superman. J’ai besoin de recharger mes batteries si je veux vous honorer encore ce soir. J’ai eu pas mal d’entrainement à tes côtés, mais comme tu peux le constater, vous n’êtes, ni l’une ni l’autre, des femmes que l’on peut se permettre de frustrer. Il est temps pour moi de manger un morceau avant de remettre le couvert, si j’ose m’exprimer ainsi. 

-       Alors cela veut dire que…

-       Chuuut ! Va te sécher et te rhabiller un peu avec ce que je t’ai préparé. Je ne voudrais pas que tu prennes froid. La soirée risque d’être encore un peu trop fraîche pour demeurer nue et humide. Je prépare le repas et nous discuterons de la suite du programme.

Elle se leva, docile, en rentra pour obéir à mes desiderata. 

Je me tournais alors vers Maman qui n’avait rien perdu de notre discussion alors qu’elle se séchait les cheveux.

-       Tu peux me dire ce que tu es en train de faire ? Me demanda-t-elle comme si elle parlait de la météo.

-       On ne peut rien te cacher, n’est-ce pas ?

-    Je suis peut-être ta maîtresse dorénavant, Philippe ! Mais je n’en reste pas moins ta mère. Et je te connais par cœur. Allez, à quoi joues-tu ? Même si j’ai probablement déjà la réponse.

-       Ah oui ? Je serai curieux de t’entendre !

-       L’orgueil mâle ! Difficile de lutter, n’est-ce pas ? Me dit-elle en remuant ses lunettes de soleil du bout des doigts et en me regardant tête un peu baisée, un grand sourire sur le visage.

-       Comment fais-tu pour deviner ce que je pense avant même que je n’en parle ? Dis-je hilare.

-      Je connais la vie et je connais les hommes. Vous êtes tellement prévisibles que cela en devient parfois un peu lassant. Mais, comme tu débutes dans la carrière de dominant, je passerai pour cette fois.

-       Trop aimable !

-       De rien, mon amour ! Alors ? On veut encore se venger une dernière fois ? Cela ne t’a pas encore suffit ?

-       On ne peut rien te cacher.

-       Et je suppose que tu vas te servir de moi dans ce but ?

-       Bien sûr ! Tu as une autre idée ?

-       Peut-être….

Elle me scotcha. 

Non seulement, je ne pouvais rien lui cacher mais en plus, elle était dans mon camp. Elle comprenait mon besoin physique de marquer mon territoire et de venger ce qui restait encore une blessure dans mon âme.

Certes, je savais que c’était puéril et mesquin. Mais ce n’était qu’à ce prix que je pourrais laisser cette plaie cicatriser et se refermer définitivement, sans en ressentir la douleur au creux de mon cœur. Et cela, Sylvie l’avait parfaitement compris car elle acceptait de m’aider. Mais cela ne se ferait pas sans conditions.

-       J’ai peut-être une idée, Philippe ! Mais avant de t’en parler, je veux que tu me fasses la promesse qu’Anaïs ne souffrira jamais et que chacun en retirera encore un plaisir inouï. 

-       Je n’ai pas l’intention de lui faire le moindre mal, physiquement ou moralement. Concernant le plaisir, j’espère bien que nous n’en sommes qu’au début des découvertes. 

-       Alors j’ai une idée ! Déclara-t-elle tout de go.

-       Moi aussi ! Dis-je en souriant.

-       Oh, cela je n’en doute pas. Tu as certainement l’intention de me baiser ce soir en face d’elle, attachée à un siège et ne pouvant pas bouger. Ou une idée dans ce style !

-       Tu es décidément incorrigible ! Dis-je en riant.

-       Et toi tu es totalement prévisible. Mais, comme je l’ai dit, c’est de bonne guerre au vu de ta jeunesse. Passons ! Nous allons nous amuser ce soir, toi et moi. En espérant qu’Anaïs découvre une autre facette de sa personnalité que je devine encore inconnue de sa part.

-       Et qui est ?

-       Le voyeurisme. 

-       Tu penses qu’elle pourrait y trouver du plaisir ?

-       Je le pense. Mais nous verrons ! 

Nous discutâmes encore quelques instants puis, Maman déclara

-       Bon, je vais me changer, préparer le terrain avec ta fiancée et je redescends. Tu t’occupes du repas ?

-       Bien sûr !

Alors que les filles se refaisaient une beauté, je plaçais quelques morceaux de viandes sur la grille et je m’ouvrais une bière fraîche. 

Je réfléchissais à la conversation que je venais d’avoir avec ma mère. 

C’était totalement puéril comme attitude. 
Elle avait parfaitement raison. 

Sylvie et Anaïs venaient de m’offrir ma première double fellation. J’avais joui comme un fou en réalisant ce fantasme que je pensais impossible. Mon orgasme avait été tel que je ne pensais pas pouvoir encore bander suffisamment pour honorer correctement ces dames ce soir.  Je revoyais ces bouches, ces langues, ces mains, ces caresses et ma queue était bandée. Mais je savais que l’excitation que je ressentais encore à ce souvenir suffirait à me faire éjaculer après trois mouvement et demi au fond d’une chatte. J’avais donc encore besoin d’un peu de temps pour me calmer et être d’attaque pour la suite de la soirée. 

Je pensais aussi trouver une autre forme d’excitation dans le fait d’admirer les corps des deux femmes durant le repas, ce qui me permettrait de me focaliser sur l’avenir et non plus ce qui avait été.

Tandis que je sirotais ma bière, j’entendais des sons provenir de la chambre de Maman. La fenêtre ouverte sur la terrasse me laissait entendre des bribes de conversation entre les deux femmes.

-       Sylvie ! Je voudrais te poser une question à propos de Philippe ! Qu’est-ce qu’il a ?

-       Mais rien, ma chérie ! 

-       Son attitude m’inquiète ! Tu penses qu’il a encore des doutes sur notre couple ?

-       Anaïs ! Il vient de te demander de l’épouser ! Tu penses sincèrement qu’il aurait fait cela s’il avait un doute ?

-       Non ! Tu as raison. Mais pourquoi a-t-il refusé de nous faire l’amour ?

-       Il te l’a dit !

-       Mais je n’arrive pas à le croire. Quel homme normalement constitué pourrait résister ?

-       Tu penses vraiment encore qu’il est comme tous les hommes ?

-       Je ne sais plus ! J’ai l’impression, par moment, qu’il est si sûr de lui, il dégage une telle force, un tel magnétisme que j’en viens à le comparer à un alpha. Et parfois, il me semble encore timide, inquiet, suspicieux et réservé comme un adolescent.

-      Écoute-moi, Anaïs ! C’est un homme comme les autres. Mais, comparé à d’autres, il connait ses limites et il sait se maîtriser. Il ne veut que notre jouissance et notre bonheur. Et actuellement, il doute encore de lui et de ses capacités car il a toujours placé les autres avant lui. C’est une qualité que son père lui a légué. Ce sont des atouts indéniables pour un mâle. Il n’est pas encore endurant car, pardonnes-moi de te le dire, il n’a pas été endurci par le sexe. Il doit encore apprendre. Même si je dois avouer que le voir devenir un véritable alpha est en bonne voie. Crois-moi ! Comme je viens de te le dire, il ne se doute pas des capacités qui sont les siennes. Et s’il tient de son père, tu seras la femme la plus comblée du monde.

-       Je veux bien te croire, Sylvie ! Mais j’ai si peur qu’il ne me pardonne pas entièrement et qu’il m’échappe un jour.

-       Ce n’est qu’une question de temps pour que tu t’habitues aussi à ce changement dans sa personnalité ! Et je te rappelle que tu es sa fiancée, à présent ! Crois-en lui de tout ton être et tu sauras que tu peux lui faire confiance, quoi qu’il arrive. Je connais mon fils, il est entier, sincère et honnête. Il ne te mentira jamais et ne te fera jamais de mal si tu es celle qu’il a choisi.

-       Il ne l’a jamais fait, alors que moi…

-       Tu dois lui faire confiance ! Et ne plus jamais lui mentir. C’est la seule faute qui sera impardonnable à ses yeux. Tout le reste, il te le pardonnera si tu es sincère et entière.

-       Je vais le faire ! je veux le faire ! Je l’aime tellement, Sylvie ! 

-       Bien ! Cela vous demandera de la communication, des erreurs mais vous donneras un bonheur inégalé. Tu es magnifique dans cette tenue, dis Maman en changeant de ton. Décidément, il a bon goût ! Tu vois que tu peux lui faire confiance.

-       Tu n’es pas mal non plus ! Tu es torride dans cette tenue. 

-       Il me connait parfaitement et il a deviné ce que j’aime. Philippe aime la beauté et qu’elle soit mise en valeur. C’est la seconde tenue qu’il nous impose mais c’est aussi parce qu’il estime qu’une femme doit jouer de ses charmes et les mettre en avant en toutes circonstances. Il est très sensible à une femme qui garde une estime d’elle-même par son aspect et son maintien. Ce sont des qualités qu’il a trouvées chez toi. Mais il te faudra les garder en permanence car c’est le plus grand honneur que tu pourrais lui faire. 

Je souris en entendant ces dernières phrases. Maman me connait tellement bien !

Avant de descendre, j’étais, en effet, passé dans la chambre de Sylvie afin de lui préparer des vêtements que je souhaitais la voir porter pour moi, ce soir. J’ai fait la même chose avec Anaïs. Comme je vous l’ai dit, j’ai besoin, actuellement, de me focaliser sur autre chose que les souvenirs de cette journée. Et je vais être servi si elles ont parfaitement suivi mes instructions.

Je venais de poser une bouteille de vin blanc dans un seau à glace sur la table de la terrasse ainsi que trois verres lorsque les deux femmes m’apparurent alors que le soleil déclinait lentement à l’horizon. Le ciel se tintait d’une couleur orange du plus bel effet et les derniers rayons de l’astre frappaient les quelques nuages de hautes altitudes qui apparaissaient en fin de journée. 

J’avais allumé les lumières de la piscine et de la terrasse, lui donnant un aspect rougeoyant du plus bel effet pour l’apparition de mes deux déesses.

Sylvie sortit la première, vêtue d’une jupe en cuir noir sur des bas et ses escarpins noirs les plus hauts. Elle portait un chemisier blanc en tulle transparent qu’elle réservait pour ses soirées chaudes avec son défunt mari, laissant entrevoir son soutien-gorge rouge, faisant pigeonner sa sublime poitrine et la remontant sous sa gorge. Je devinais, toujours par la fluidité de son haut, qu’elle portait aussi son serre-taille assorti retenant ses bas par ces coquines petites attaches, délice fantasmagorique pour les hommes. 

Ses cheveux étaient libres et pendaient sur ses épaules. Son maquillage refait était parfaitement adapté, laissant briller ses yeux, dévorant l’espace tel un chasseur guettant sa proie. 

Ma mère était probablement la plus belle femme dans les environs. J’avais une chance de dingue d’en profiter à loisirs. 

Anaïs avait aussi joué le jeu. 

Elle était à son tour juchée sur ses escarpins noirs, qu’elle ne portait que trop rarement à mon goût. C’est pourquoi elle n’en possédait qu’une seule paire. Ses jambes revêtues d’un fin voile noir disparaissaient sous sa robe rouge fendue sur les jambes. Par sa démarche, je constatais qu’elle avait également revêtu les jarretelles que j’avais dégotées pour elle dans la caverne aux merveilles de Maman. Je lui avais préparé un serre-taille en dentelles noirs qui convenait à sa propre lingerie. Elle devait donc porter le string et le soutien-gorge en dentelles de couleur identique que j’adore tellement afin d’assortir l’ensemble. Sa poitrine se détaillait dans un décolleté parfaitement adapté à sa morphologie, laissant augurer d’une paire de seins parfaitement mise en valeur. Le sillon se devinant aisément et descendant relativement bas. Ses seins étant compressés l’un contre l’autre par sa lingerie hors de prix mais tellement efficace. 

Son maquillage était également simple mais parfaitement réalisé. Et ses cheveux étaient attachés en queue de cheval haute. 

Elle était bandante à souhait. N’importe quel homme entrant dans la maison à cet instant serait tombé sous son charme. 

Ma fiancée me montrait une facette de sa personnalité que j’ignorais encore. Elle savait se rendre glamour et d’une classe folle égalant celle de sa voisine. 

Et j’étais comblé car elles venaient, pour la seconde fois de la journée, de se changer pour affoler mes sens virils par des tenues toujours plus suggestives et d’un raffinement diabolique.

-       Anaïs ? Tu es merveilleuse. Tu me fais un grand honneur.

-       Je te plais ? Minauda-t-elle, ravie d’être le centre de mon attention.

-       Tu rigoles ? Tu es sublime. Pauvre mortel que je suis !

-       Flatteur ! Mais c’est toujours agréable pour une femme de savoir qu’elle plaît à l’homme qu’elle aime. Merci, Philippe !

-       Tu fais cela quand tu veux ! Wouaw… ! N’est-ce pas, Sylvie ? Demandé-je en prenant ma mère à témoin.

-       Elle est tout simplement affolante ! Je te l’accorde.

-       Tu n’es pas en reste, Maman ! Tu me fais aussi un grand plaisir. 

-       De rien, mon chéri ! Mon Maître ordonne, j’obéis. 

-    Mesdames, désirez-vous un verre de vin blanc frais ? Dis-je en leur montrant les sièges revêtus de coussins moelleux que j’avais disposé à leur intention. 

-       Volontiers ! Répondirent-elles simultanément. 

Alors que je servais les verres, Maman me demanda

-       Pourquoi as-tu insisté pour que nous portions ces atours, Philippe ?

-       Parce que c’est notre première soirée ensemble, que je viens de me fiancer et que j’ai bien l’intention d’en faire un moment inoubliable. 

-       Ce qui explique ton pantalon, ta chemise noire et ta cravate ?

-       Ce qui explique cela. Je ne peux faire moins que ce que je vous demande, n’est-ce pas ?

-       Effectivement ! Tu es très beau ! 

-       Merci Maman !

Nous bûmes un verre ensemble tandis que je surveillais la cuisson lente de la viande. 

Je laissais les femmes pour apporter le reste du repas que nous prîmes ensemble dans la bonne humeur. Je me délectais du spectacle visuel offert par mes deux conquêtes. J’admirais un galbe de sein, une lingerie, une couture de bas qui apparaissait tout en imaginant la suite du programme. 

Je me sentais renaître lentement mais sûrement et le round qui allait s’ouvrir s’annonçait torride. 

Nous terminâmes notre repas et, tandis que la chaleur extérieure commençait à décroître, j’invitais les femmes à passer au salon tandis que je débarrassais les reliquats de notre excellent repas. 

En entrant dans la pièce, j’avais dénoué ma cravate qui pendait mollement le long de mon torse. Je fis un signe discret à Maman qui se rapprocha de moi. Tandis qu’Anaïs regardait des photos me représentant enfant, je lui murmurais quelques mots à l’oreille. Elle acquiesça et sortit de la pièce pour accomplir ce que je venais de lui demander. 

Je me tournais vers Anaïs et, par derrière, lui enserra la taille et la pressa contre mon corps.

-       Tu passes une bonne soirée ?

-       Oui ! Merveilleuse. Merci beaucoup. Ce weekend est magique ! Je t’aime, mon amour !

-       Moi aussi ! As-tu envie de jouer encore un peu ?

-       Bien sûr ! Dit-elle en tournant la tête vers moi et en m’offrant ses lèvres.

Je répondis à son baiser puis, sortant ma main de ma poche, je lui montrais un ruban en velours noir. 

-       As-tu une idée de son utilisation ?

-       Je m’en doute ! Dit-elle en riant.

J’ouvris sa robe et la lui enlevait. Elle était à présent en lingerie et en escarpins, offerte à mon regard. Je lui attachais alors les mains dans le dos, sans trop serrer le nœud puis, je la plaçais en position assise sur le divan. 

-       Ne bouge pas, tu vas adorer ! 

Je pris deux autres rubans et j’attachais ses chevilles aux pieds du divan. Je pris la peine de lui écarter les jambes en prévision de ce qui allait suivre. Je ne voulais pas qu’elle puisse frotter son clitoris ou se donner une once de plaisir. Elle allait subir sans pouvoir calmer le feu qui, inévitablement, allait apparaître au creux de ses reins. 

-       Que comptes-tu faire de moi ? Demanda-t-elle en souriant, amusée par la tournure de la situation.

-       Tu peux te libérer à chaque instant ! Le nœud qui retient tes mains n’est pas solide. Mais je te demande de jouer le jeu et de faire comme si tu ne pouvais te délier. 

-       Dans quel but ?

-       Celui de te faire un peu souffrir en t’apportant un nouveau plaisir.

-       Tu veux que je souffre ? Me demanda-t-elle soudain inquiète.

-      Pas physiquement, si c’est ce qui te tracasse. Je ne te ferai jamais de mal, sauf si tu en fais un jour la demande expresse. Non, je n’ai pas encore totalement avalé ton attitude qui m’a conduit à souvent être cocufié.

-       Mais…je pensais que…

-       Chuuuut ! C’est un jeu, Anaïs ! C’est ma façon de me venger une dernière fois et de te donner une leçon qui, je l’espère aussi, te permettra de prendre un peu de plaisir avant que je ne te baise brutalement, comme tu l’aimes.

-       Ouiiiiii….baise-moi ! Je veux ta queue depuis…

-       Pas maintenant ! Tu obéis, c’est tout ! Tu vas être punie pour avoir fait du mal à ton Maître. Est-ce clair ?

-       Oui, Maître !

-       C’est mieux ! Dis-je en me radoucissant. 

-       Que puis-je faire pour me faire pardonner, Maître, et retrouver votre confiance ?

-       Tu vas, à ton tour, sentir la douleur de la jalousie, ma chérie. 

-       Pardon ? Me dit-elle dans un hoquet de stupeur.

-       MAMAN ? Dis-je un peu plus fort.

En m’entendant appeler Sylvie, Anaïs se radoucit. Si c’était avec Maman que je comptais la tromper, elle l’acceptait sans le moindre problème. Et elle en redemandait depuis qu’elle s’était laissée aller à la découverte du sexe au féminin.

Maman entra dans le salon, vêtue uniquement de sa lingerie. Mais un élément complétait sa panoplie. Elle portait son gode-ceinture autour de la taille. 

Anaïs regarda avec un mélange de peur et d’excitation de phallus de plastique qui se balançait entre les jambes maternelles au rythme de sa démarche chaloupée. 

-       Maman ? As-tu bien fait ce que je t’ai ordonné ?

-       Oui, Maître ! Elle est d’accord et sera là demain matin. Nous aurons un grand final pour ce weekend, du moins si elle accepte de jouer le jeu. 

-       Parfait ! Je me réjouis de voir cela. 

-       De qui parlez-vous ? Demanda Anaïs, soudain vraiment inquiète.

Je me tournais vers elle et je lui répondis

-       Ma chérie, je t’aime ! Tendrement ! Mais tu ne penses tout de même pas que je vais jouer au jeu de la vengeance avec celle que tu sais que je baise ?

-       Je l’espérais… ! Murmura-t-elle.

-     Anaïs ! Je ne veux pas te faire souffrir et je te jure que si tu le souhaites, j’arrête tout. Mais je trouve cela…amusant. Je vais satisfaire mon besoin de clore ce chapitre tout en profitant de toi et de Sylvie et en vous donnant encore plusieurs orgasmes jusqu’à demain soir. C’est tout.

-       Alors j’accepte ! Je comprends ce besoin que tu ressens. Et je pense que je le mérite, d’une certaine façon. Si tu me jures que c’est avant tout un jeu et que nous en profiterons tous, c’est d’accord ! Punis-moi comme je le mérite car je ne pourrai vivre à tes côtés avec le doute que ton pardon ne soit pas entier et sincère.

-       C’est entendu ! Pas de question ?

-       Si, une dernière !

-       Je t’écoute !

-       Qui est cette fille qui doit nous rejoindre demain ?

Je me tournais vers Maman et je lui souris. Pas question, pour Anaïs, qu’elle sache de qui il s’agissait pour la simple et bonne raison que je ne connaissais pas encore sa réaction lorsque je lui proposerai ce que j’avais en tête. 

Je venais d’agir par instinct. 

Un souvenir ténu s’était emparé de mon cerveau lorsque Maman, lorsque nous discutions sur la terrasse, m’avait parlé de son idée pour me permettre de jouer avec Anaïs et de faire disparaître cette tâche entre nous. Un sentiment que je venais de miser sur la bonne personne tout en ne la connaissant pas personnellement. 

Lorsque j’avais prononcé son prénom, Maman m’avait regardé avec curiosité puis avec intérêt. Et elle m’avait approuvé dans ce choix. Elle connaissait cette fille et avait un sixième ou un septième sens pour déceler la moindre once de perversité chez une personne. Elle ne pensait pas se fourvoyer.

Elle ne s’était trompée avec moi. Elle ne s’était pas trompée avec Anaïs. Et elle était certaine de son coup en évoquant cette femme, qu’elle trouvait ravissante et délicieusement provoquante.

La journée de demain serait probablement passionnante. 

Et je me réjouissais d’y être. 

Mais pour l’instant, j’avais deux femmes à satisfaire.

Anaïs, assise en position ouverte dans son divan, et dont la chatte commençait à s’humidifier sous l’effet de notre conversation. Sylvie, dont la lingerie m’excitait au plus haut point et avec laquelle j’allais encore découvrir de nouvelles facettes de la sexualité.

Je me penchais vers Anaïs et lui embrassait les lèvres. Puis je lui dis

-       C’est notre discussion ou Sylvie qui te met dans cet état, petite dévergondée ?

-       Les deux, Maître !

-       Tu aimerais te faire prendre par son gode ?

-       Ouiiii….

-       Tu aimerais qu’elle te laboure la chatte pendant que tu me suces ?

-       Ouiiiiiiiii….

-       Tu aimerais qu’elle te sodomise pendant que je te baise ?

-       Ouiiiiiiiiiiiiiii….

-       Peut-être…. ! Dis-je en me retournant et en embrassant Sylvie tout en passant une main sur ses fesses et l’autre dans le bonnet de son soutien-gorge.

Les dernières festivités de la journée débutaient.
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