Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 181 J'aime
  • 9 Commentaires

Une mère pas comme les autres...

Chapitre 21

Démonstration

Inceste
Tandis que je caressais le sein offert de Sylvie, toujours emprisonné dans son écrin de dentelles, je prenais mille précautions afin de ne pas lui faire mal. Car sachez, messieurs, que l’on ne libère pas un sein de sa lingerie en le faisant jaillir comme on exploserait un mur à la dynamite. On y va lentement et délicatement, comme si on sortait un collier en diamants de son écrin.

Maman m’embrassa lentement, posant ses lèvres sur les miennes tout en regardant Anaïs, marquant ainsi son territoire et sa propriété pour cet instant. 

Anaïs, attachée symboliquement au fauteuil, jambes écartées, ne manifestait aucun signe de rébellion et semblait vouloir jouer le jeu.

La langue de Maman s’immisça entre les lèvres et entama un lent ballet contre la mienne. Je fermais les yeux, ressentant plus intensément les effets de cette caresse. 

Maman posa sa main sur la couture de mon pantalon, puis détacha ma ceinture avec lenteur avant de la retirer et de l’envoyer de l’autre côté du salon. Ses mains se posèrent sur mes fesses et elle les pressa en m’amenant contre son gode qui pendait entre ses jambes. 

Je m’écartais alors lentement et je retirais les restes de mes vêtements pour apparaître nu en face d’Anaïs. Je me plaçais en face d’elle et je posais ma main contre sa joue. Elle la pressa contre mes doigts mais je me retirais avec une lenteur toute calculée et me retournait pour faire face, à nouveau, à Sylvie.

-       J’ai envie de ta queue, mon chéri ! J’ai la chatte trempée et je n’en peux plus.

-       Moi aussi, Maman ! Mais j’ai d’abord envie de montrer à Anaïs ce que tu m’as appris récemment. 

-       Petit coquin. Tu as aimé, n’est-ce pas ? Me répondit-elle en me souriant et en minaudant. Elle passa un doigt sur ma poitrine pour en souligner le contour tout en se léchant la lèvre supérieure de gourmandise et d’impatience en entendant ma requête pour le moins inattendue. 

.
-       J’ai adoré ! Prépare-moi et fais-moi jouir encore une fois ! Dis-je avec force.

Anaïs ne comprenait pas ce que nous venions de dire. Mais lorsque je me penchais vers l’avant pour recevoir les caresses de Sylvie, elle rougit tant cela paraissait impossible.

Je sais que la plupart des hommes ne raffolent pas de cette pratique car associée très souvent, à tort ou à raison, à l’homosexualité. Si ce n’est pas ma tasse de thé préférée, j’ai appris, par les bons offices de Sylvie, que nos tabous ne résultent souvent que d’une méconnaissance des pratiques en question. Et que réalisé par une femme douée et attentive, cette pénétration est un délice incroyable pour un homme.

Maman me pencha en avant, le buste plié en appui sur mes bras tendus sur le fauteuil, juste à côté d’Anaïs. 

Lorsque Maman se baissa et posa le bout de sa langue sur mon anus, j’eus un frisson de plaisir qui fit réagit Anaïs

-       Sylvie ? Tu vas… ?

-       Mmmhhhh…..C’est si délicieux, ma chérie ! Répondit-elle simplement. Et Philippe a appris à adorer !

C’est peu dire que nous venions de la scotcher à son divan. Elle était bouche ouverte, admirant la langue de Sylvie qui s’agitait entre mes fesses ouvertes. 

Je n’en menais pas large car, sans vouloir lui faire encore une fois trop compliment mais c’est une réalité, Maman avait le don de me faire grimper au rideau en un geste. Je sentais la pointe de sa langue me pénétrer l’anus, me donnant un plaisir simple par une caresse interdite. Une main s’était emparée de ma queue tendue et elle me masturbait en passant entre mes jambes tout en me léchant et me pénétrant le cul. 
C’était divin.

-       Ooohh…Maman….Encore ! C’est si bon…

-       Tu aimes ce qu’elle te fait ? Vraiment ? Demanda une Anaïs complètement ébahie par cette situation ubuesque. 

J’avais toujours refusé cette caresse à Anaïs qui, pourtant, avait tenté une ou deux fois de m’y initier. Mais mes principes stupides d’homme hétérosexuel avaient refusé tout net cette proposition. Mais je n’étais plus cet homme borné. 

-       Ouiiii….C’est terriblement excitant ! Et j’adore quand elle me masturbe en même temps.

-       Mais…tu n’as jamais voulu avec moi ! Dit-elle boudeuse et peut-être un peu vexée.

-       Ooohhh…..ouiiiiii….. ! Encooore....Plus loin, Maman ! Mange-moi le cul et branle-moi lentement !

Ma mère faisant entrer et sortir sa langue de mon anus tout en ayant posé sa main sur ma queue qu’elle masturbait au rythme de sa pénétration. Calmement et voluptueusement. Sa main coulissais lentement le long de ma verge turgescente, décalottant mon gland à chaque passage. Je n’en menais pas large et je devais faire un effort surhumain pour ne pas décharger directement au creux de sa main si douce.

Je sentais que je perdais pied et ma résistance à l’orgasme que je sentais monter au fond de moi n’attendait plus qu’une dernière stimulation pour me ravager. Maman dût le sentir aussi car elle stoppa lentement ses mouvements, ralentissant son rythme afin de calmer la tension qu’elle sentait le long de ma verge. Puis, elle s’installa confortablement pour positionner son gode en plastique contre ma rondelle maintenant parfaitement préparée et impatiente de se faire pénétrer. 

Je tournais la tête vers elle pour lui donner mon autorisation à m’enculer et je vis qu’elle regardait Anaïs avec cet air de conquistador prenant possession d’une terra incognita. Son regard était ferme et de braises. Elle lui signifiait qu’elle avait été la première, cette fois, à pratiquer cette position avec moi.  

Mais Maman se radoucit rapidement et déclara

-       Regarde Anaïs ! Il ne peut plus s’en passer à présent ! Regarde comme ma queue de plastique va l’empaler lentement et admire comment il va souffrir avant de prendre un pied monstrueux.

-       Tu es décidément démoniaque, Sylvie ! Putain, vous m’excitez encore tous les deux ! Déclara une Anaïs qui avait du mal à tenir en place.

Elle se pencha un peu vers nous pour positionner son visage au plus près de mon postérieur et regarda avec intensité la pénétration du sexe factice dans mon fondement, centimètre par centimètre.

Je soufflais un peu fort mais Maman ne prenait pas de précaution et s’introduisit en moi sans le moindre arrêt. En quelques secondes, elle buta contre mes fesses. 

Elle resta immobile un instant et me demanda

-       Tu t’y habitues, mon chéri ?

-       Lentement, Maman ! Doucement !

-       Tu as mal ?

-       Cela diminue et le plaisir arrive ! Oohhh….ouiiiiii...

Maman venait de reculer de quelques millimètres, déclenchant en moi une première vague de plaisir. C’était le signal qu’elle attendait et entama alors une chevauchée calculée.

Mes soupirs et mes râles de plaisir prirent le pas sur ceux signalant la douleur et Sylvie s’agrippa alors à mes hanches pour me besogner correctement et pleinement. 

En tournant la tête vers Anaïs, je vis qu’elle n’en pouvait plus d’excitation. Admirer mon cul se faire ramoner de la sorte par le gode de Maman la rendait hystérique de désir et de plaisir. Ses yeux brillaient. 

Elle se pencha vers moi et posa ses lèvres sur les miennes dans un baiser d’une sensualité et d’un érotisme torride. Sa langue pénétra ma bouche comme celle de Sylvie avait pénétré mon anus quelques instants plus tôt. Elle tentait, par ce geste, de participer un peu à notre coït mais c’était sans compter sur Sylvie.

-       Anaïs ? Tu ne joues pas le jeu ! Recule, petite peste !

Et Maman m’envoya alors un coup un peu plus soutenu qui m’arracha un râle de plaisir

-       AAARRGGHHH….Putain que c’est bon !

-       Masturbe-toi, Philippe ! Prends ta queue en main et fais-toi jouir !

Maman venait de me permettre de lâcher les vannes ! Il était temps car je n’en pouvais plus. Ce massage de ma prostate doublé à la situation incongrue mais tellement jouissive que nous vivions ensemble m’amenaient lentement mais avec certitude vers une issue fatale.

J’empoignais alors ma queue tendue au maximum et en quelques mouvements précis, j’éjaculais sur le tapis du salon dans un cri de plaisir onirique. 

-       OOOUUIIIIIII…… !

Je m’écroulais alors sur le divan, anéanti par un orgasme monstrueux comme je n’en avais jamais connu. M’exhiber dans cette position face à ma fiancée avait décuplé mon plaisir. 

Je vis dans les brumes de mon orgasme Maman retirer le gode de sa taille et aller le poser dans l’évier de la cuisine pour le nettoyer. 

Lorsqu’elle revint, j’émergeais de mon coma post-coïtal pour me redresser lentement et toiser Anaïs dont les sentiments étaient mélangés. 

Je lisais en elle comme dans un livre. 

Elle avait été excitée de me voir me faire enculer par Sylvie et en même temps se posait la question de son incapacité à m’avoir persuadé de tenter cette pratique avec elle. Je devançais alors sa question en lui expliquant

-   J’ai toujours refusé de le faire avec toi car je ne connaissais encore rien au véritable plaisir, Anaïs ! Je pensais cette pratique réservée aux rapports homosexuels ou complètement pervers. Mais avec toi et Sylvie, j’ai découvert que la sexualité était multiple et infinie. Et que ma réaction avait été dictée par un code moral basé sur de fausses croyances. Ainsi, j’ai changé d’avis. Et tu pourras un jour pratiquer ce sport sur moi, si tu en as envie ?

Anaïs me regarda et sourit. 

-       J’y compte bien ! J’ai toujours voulu faire cela sur un mec. Et si c’est mon futur mari, c’est encore mieux. Je t’aime, Philippe !

-       Tant mieux ! Sylvie, à mon tour. Couche-toi sur le divan, aux côtés de notre invitée.

-       Oui, Maître !

Maman se coucha comme je venais de le lui demander et je lui écartais les jambes. Je m’accroupis alors devant elle et dirigeait mon visage vers sa chatte.

J’écartais son string et entamais directement de lui lécher le clitoris.

Maman décolla son bassin sous cet assaut inattendu. 

Ma langue courait lentement entre les lèvres trempées de sa chatte et j’introduisis un doigt dans son vagin, caressant la paroi supérieure de son sexe au rythme de mes caresses buccales. Me sodomiser l’avait particulièrement excitée. Elle était dégoulinante de cyprine et n’attendait que la saillie d’un mâle au fond de son vagin. 

-       Ooohhh….Ouiiiii…! Putain, suce-moi, Philippe ! Oohhh...mon dieu, ta langue sur ma chaaaaatte....!

Maman appréciait que je lui suce la chatte, visiblement. Elle lança sa tête en arrière en prononçant ces paroles excitantes et son bassin vint à la rencontre de ma bouche. J’en profitais pour introduire un second doigt et pénétrer un peu plus loin en elle, faisant coulisser mes doigts dans cet écrin trempé et accueillant à souhait.

Maman posa une main sur ma tête pour la maintenir contre elle, comme si j’avais l’intention de m’enfuir. Son autre main se déplaça vers sa poitrine et elle caressa le galbe de son sein du bout des doigts, avec une lenteur calculée selon le rythme de mes propres caresses. Elle contournait son téton, sans le toucher, comme pour retarder encore l’échéance et faire grimper son excitation.

-       Ouiiiiiiii….. ! Murmura-t-elle. Plus foooort....Lèche ma chaaatte....!

Mon autre main se faufila sous ses fesses alors que j’obéissais à sa demande et, du bout de l’index, je titillais son anus. Á mon tour, je profitais de son cul magnifique. 

Je pratiquais cette caresse quelques instants avant de revenir vers la source de son plaisir pour humidifier pleinement mon index qui replongea alors sur cet anus devenu palpitant de désir. J’enfonçais une phalange qui bougea à la cadence des doigts prenant possession de sa chatte. Maman montait vers l’orgasme car elle agrippa cette fois son sein pour l’étirer plus fort en pressant ma tête avec plus de vigueur contre son sexe, devenu entretemps, totalement inondé.

-       Ooohhh…..Philippeeeee….Encoooore ! Ouiiiiiii….Plus fooort !

Je poussais alors ma langue contre le clitoris de Maman puis l’aspirait entre mes lèvres pour le serrer un peu plus fort. Cela déclencha son orgasme qui retentit dans toute la pièce.

En me relevant, je vis qu’Anaïs n’en pouvait plus ! Elle serrait ses jambes l’une contre l’autre et ne demandait qu’à se jeter sur les seins de Maman pour les téter et obtenir sa part de plaisir.

Je ne lui en laissais pas le temps car, je me mis à genoux en face de la chatte de Maman et poussait d’un seul coup ma queue bandée en elle, lui arrachant un râle d’un plaisir évident lorsque mon sexe butta contre sa matrice

-       Ooohhhh….Que tu es gros, mon chéri ! Baise-moi, maintenant ! Ouiii….fort ! Défonce ma chatte !

J’agrippais les hanches de Maman et entamais, à mon tour, de la culbuter avec vigueur, comme pour me venger du traitement qu’elle m’avait fait subir quelques minutes plus tôt. 

Elle me fixait dans les yeux tandis que mes couilles frappaient contre son cul ! C’était pervers à souhait ! Je baisais ma mère à côté de ma fiancée qui nous regardait avec un désir si évident que j’eus envie d’en rire. Mais Maman me rappela à l’ordre

-       Philippe ? Regarde mes seins !

Maman venait de poser ses mains sur sa poitrine et se caressait de la façon qui me plaisait le plus. Passant ses mains sur le contour pour revenir vers le centre et les presser l’un contre l’autre. 

J’étais au paradis ! 

-       Philippe ! Baise-là plus fort ! Allez, elle n’est pas en sucre ! Fais-là jouir !

C’est Anaïs qui venait de parler ! Je n’en revenais pas ! Elle m’incitait à continuer et à prendre totalement possession du vagin de ma mère avec force et détermination, ravie de la tournure des événements. Je lui souris et accentuais encore, si c’était possible, le pilonnage de la chatte ouverte de Maman. 

Cette dernière sembla apprécier car elle souleva le bassin et vint à la rencontre de ce pal qui lui ramonait le sexe en positionnant ses mains de part et d’autre de ma queue, ouvrant encore un peu plus l’accès à son sexe. Décidément, elle était insatiable. Je perforais littéralement son corps, la faisant sauter en l’air à chaque coup de boutoir, la décollant du fauteuil jusqu’au point de non-retour. 
Elle haleta en parlant

-       Oohh…Ouiii….Plus loin, plus fort ! BAISE-MOIIIIIIIII….OUIIIIIII, je jouiiiiiiiiiis !

Maman hurla cette dernière phrase, ce qui déclencha un nouvel orgasme de ma part ! Comme j’avais déjà pas mal jouis cette journée, peu de sperme tapissa la chatte maternelle. Mais son effet fut aussi ravageur dans mon esprit que si j’avais éjaculé quatre ou cinq longs jets en inondant son utérus et son vagin.

Je m’écroulais alors sur le tapis, ravagé par ce dernier orgasme qui venait de me vider de mes dernières réserves d’énergie. J’étais à bout de force et rien, ni personne, ne pourrait tirer le moindre effort de ma part ce soir. J’étais lessivé et complètement détruit par les exercices et les orgasmes de cette journée. Ces deux femmes m’avaient emmené vers des horizons que je pensais inaccessible pour un simple mortel comme moi. Mais ces deux déesses du sexe me transformait peu à peu en Héros mythique, capable de prouesses dont il ne se croyait pas capable.

C’est Sylvie qui émergea la première, réveillée par la bouche d’Anaïs sur ses seins. Elle se leva, repoussant lentement et avec douceur sa partenaire pour me tendre les bras et m’aider à me relever, en me souriant avec tendresse et reconnaissance pour le plaisir que je lui avais procuré en lui donnant tout ce qui me restait d’énergie pour lui permettre cette ultime jouissance de la journée.

Je me tournais vers Anaïs et lui tendis les bras.

Elle lâcha les liens qui la maintenaient symboliquement pour se réfugier dans mes bras et poser ses lèvres sur les miennes.

-       Alors ? Tu as aimé être spectatrice ? Lui demandé-je, mutin. 

-       J’ai adoré, mon chéri ! C’est terriblement frustrant mais particulièrement excitant. J’espère seulement qu’il te reste un peu de force pour me baiser ce soir ?

-       Je suis désolé mais la réponse est non ! Je n’ai plus la moindre once d’énergie. Ce soir, c’était voyeurisme, ma chérie !

-       Vilain ! Me dit-elle mais son sourire béat ne trompait personne sur le plaisir nouveau qu’elle avait ressenti.

Nous montâmes alors nous coucher, repu et anéanti par cette journée. 

Je n’avais aucune idée de l’état de Maman. Mais je pouvais constater qu’elle semblait, pour la première fois, montrer quelques signes de fatigue.  Elle était sublime dans sa lingerie qu’elle avait conservée durant notre baise torride, et elle avait replacé ses seins dans son soutien-gorge. 

Je l’embrassais sur le pas de sa porte et me dirigeait avec Anaïs vers ma chambre que j’allais partager avec elle pour la première fois. 

Je m’écroulais sur mon lit non sans entendre Anaïs réclamer une petite compensation pour sa passivité complaisante lors de cette fin de soirée. Je ne compris pas ce qu’elle me réclamait, tombant dans un sommeil comateux. 

Je ne pus que ressentir, avec le grand plongeon, sa langue récolter sur ma queue, devenue molle, les derniers reliquats de mon sperme et de la cyprine de Maman. 

Je me souvins que je me suis dit que ma fiancée était décidément la copie parfaite de ma mère et que la journée de demain serait des plus plaisante avec deux femmes pareilles pour guider notre invitée.

Et que tout serait donc simple et parfait !

Comme si une femme était une autre...
Diffuse en direct !
Regarder son live