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Une mère pas comme les autres...

Chapitre 27

Pardon et découvertes

Inceste
Manon venait de poser sa main sur ma queue pour la première fois. 

Et c’était ma fiancée qui l’y avait placée, volontairement. La main de Manon caressait lentement ma queue au travers du tissu de mon short de haut en bas, la faisant réagir rapidement par la grâce et la qualité de sa masturbation lente mais ô combien efficace.
Elle me souriait avec une sincérité désarmante et un désir atrocement perceptible. 
Anaïs, de son côté, soupirait sous les caresses incessantes de Sylvie, ma mère, sur le haut de ses seins rehaussés par le jeu des baleines du corset qu’elle portait pour la soirée. Sa bouche était entre ouverte et le bout de sa langue dardait sur sa lèvre basse. De petits sons de son contentement commençaient à résonner à mes oreilles. Ses soupirs se faisaient plus lancinants et plus profonds à mesure que les mains de ma mère prenaient possession de sa poitrine offerte.

J’étais, en toute honnêteté, tétanisé par la scène dont j’étais le centre.

Nous avions eu, quelques minutes plus tôt, un violent échange entre nous quatre. J’étais persuadé que ces trois femmes ne cherchaient qu’à m’humilier et se moquer encore une fois de moi.

Combien de fois dans ma vie de jeune homme n’avais-je pas subi les moqueries et les rires sarcastiques de mes condisciples de Lycée ou d’Université, se riant de mon inexpérience sexuelle. Même lorsqu’Anaïs avait posé les yeux sur moi, j’avais d’abord cru à une blague de mauvais goût. Comment une femme pareille aurait-elle pu craquer pour un geek comme moi ? 
C’était tout simplement impensable. 
Et pourtant, le miracle avait eu lieu.

Nous étions à présent fiancés et sur le point de vivre ensemble.  

Pourtant, j’y étais allé fort en les insultant et en étant d’une grossièreté sans nom vis-à-vis de ces trois femmes merveilleuses et d’une intelligence supérieure. Je n’étais rien en comparaison. 

Ainsi, je me retrouvais face à ces filles, en train de tout faire pour m’exciter et me faire lâcher-prise. 

-       Manon ? J’aimerai te voir l’embrasser pour la première fois. Mais prends ton temps et surtout, pousse ta langue contre la sienne. Je veux voir le premier contact.

C’est Anaïs qui venait de parler.

Manon sourit et répliqua

-       Avec le plus grand plaisir, Anaïs ! j’en meure d’envie depuis que tu me l’as proposé. Alors profite de cet instant et que ton fantasme se réalise enfin. 

-       Fantasme ? Dis-je intrigué.

-       Oui, mon amour ! J’ai envie de te voir embrasser Manon et que vos langues jouent un ballet sensuel rien que pour mon plaisir. Tu veux m’octroyer ce petit bonheur ?

-       Tu penses que je suis en état de te refuser quoi que ce soit ? Dis-je en lui souriant tendrement.

-       Alors vas-y ! Embrassez-vous et faites-moi mouiller ma petite chatte. Excitez-moi ! Manon, embrasse mon mec !

Je pris pour la première fois l’initiative et je posais mes mains sur les bras de Manon. Elle posa les siennes sur mes hanches et nos bouches se rapprochèrent lentement. 

Anaïs, toujours en train de se faire caresser les seins par Sylvie, ne perdait pas un millimètre de notre avancée vers un but commun. 

Á un centimètre l’un de l’autre, elle nous dit

-       Allez-y ! Manon, sort ta langue ! Et toi, Philippe, embrasse-là !

Manon s’exécuta et je posais mes lèvres sur sa langue. Puis, ouvrant la bouche, je dardais la mienne et commençait à la frotter lentement sur celle de ma partenaire du moment.

-       Ooohhhh ! Ouuuiiiii….Encore, Manon, s’il-te-plaît ! Souffla Anaïs.

Manon bougea sa langue et elle entama un lent ballet contre la mienne. Nos langues sorties de nos bouches se caressaient avec lenteur et volupté. La tête de Manon se pencha un peu vers la droite et nous pûmes nous embrasser selon les désirs de ma fiancée qui n’en perdait pas une miette.

-       Encooore ! Philippe, caresse bien sa langue avec la tienne ! Oh que cela m’excite de te regarder embrasser ainsi une autre fille…tu ne peux pas savoir ! Encooore…continuez….! Je sens que je mouille comme une fontaine...encooore....!

Manon et moi-même continuèrent notre échange en nous souriant. Nous appréciions pleinement ce moment intime. Puis, Anaïs pris l’une de mes mains et l’amena directement sur le sein de Manon, me posant les doigts directement sur sa peau si douce à cet endroit, sous le décolleté de sa robe. 

-       Oooh….oui ! Caresse mes seins, Philippe ! Tu apprendras vite que je les ai très sensibles malgré leur taille. 

Je ne me fis pas prier et, tout en embrassant encore Manon, je posais mes deux mains sur sa poitrine, la caressant au rythme de nos baisers. 

Anaïs se détacha de ma mère et, s’agenouillant entre nous, elle ouvrit mon pantalon et en sortit mon sexe, tendu par l’excitation de cet instant. 

Elle l’enfourna directement dans sa bouche et entama une fellation tendre et lente. Elle semblait déguster ma queue, comme si elle la découvrait pour la première fois. Ses lèvres chaudes se promenaient de haut en bas, le long de ma hampe, salivant à souhait pour lubrifier le passage et rendre son baiser particulièrement excitant. 

Je baissais la tête en rompant notre baiser pour admirer ma fiancée me pomper la queue comme une reine. 
J’avais une vue parfaite sur ses seins, toujours gonflés par son corset, dont les mamelles étaient séparées comme une frontière par la vue directe que j’avais sur mon propre sexe tendu. C’était divin. 

Manon recula et fit tomber sa robe en détachant simplement le nœud qui la retenait, sur sa nuque. Elle m’apparut en string blanc, minimaliste et transparent. 

Chaussée de ses escarpins, elle était à tomber. 

Je sentis ma queue grossir encore un peu dans la bouche d’Anaïs en contemplant Manon. 

Elle me regarda avec désir et passa ses mains sur ses hanches pour les remonter vers ses seins qu’elle empoigna pour les remonter un peu le long de sa poitrine.

-       Caresse tes seins, Manon ! Mon fils adore regarder une femme jouer à ce jeu. Mais n’oublie pas cela doit se faire très lentement et avec le regard adéquat. Que tes doigts et ta langue soient un appel vers tes yeux.

Sylvie me souriait, assise sur son siège et regardant la scène qui se jouait devant elle comme si elle n’était pas concernée autrement qu’en dirigeant des acteurs. 

Manon lui sourit et, se tournant vers moi, me demanda

-       C’est vrai, Philippe ? Tu aimes lorsqu’une femme caresse ses seins sous tes yeux ? Avec volupté mais en se la jouant un peu vamp ?

-       Oui ! Dis-je avec fermeté. J’adore cela ! Tu veux me faire ce plaisir et caresser ta poitrine pour moi tandis que ma fiancée me suce la queue ?

-       Mmmhhh…cela me semble particulièrement important pour toi ! Alors je vais te donner ce plaisir. Regarde, vilain cochon. Regarde mes mains passer sur mes gros seins ! Dis-moi si tu aimes ?

Manon serra ses seins l’un contre l’autre avant d’entamer un passage lent sur sa peau et allant de l’extérieur vers l’intérieur. Elle fit ce mouvement plusieurs fois en me fixant et en guettant ma réaction. Je notais qu’elle évitait soigneusement de toucher ses tétons. Elle m’avait dit être sensible des seins…

-       Oui ! J’adore cela. Encore s’il te plait !

-       Comme cela ? Mmmhh…j’aime ton regard sur mes seins ! Ils te plaisent ?

-       Oui ! Dis-je dans un râle de bonheur…Anaïs était en train de m’amener lentement mais surement vers le point de non-retour.

-       Dis-moi pourquoi ! 

-       Ils sont gros, doux et particulièrement beaux…ton décolleté est ravageur, Manon ! Tu m’excites à te caresser et à me parler en même temps. 

-       Mmhhh…Pourtant le décolleté d’Anaïs l’est tout autant !

-       Ooohh…..Ma chérie, encooooore, je vais jouiiiir ! Doucemeeeent….aarggghh…..Anaïs m’emmenait avec un talent inouï vers le point de non-retour et je devais lutter pour conserver un minimum de lucidité.

-       Alors ? J’attends…! Demanda Manon en continuant à se toucher les seins lentement. 

J’avais l’impression de me retrouver en pleine scène pornographique.
Tandis que je tentais vaille que vaille de calmer l’orgasme qu’Anaïs faisait monter en moi, je répondis en tentant de parler normalement

-       Ses seins sont plus petits mais son décolleté n’en est pas moins merveilleux. Je l’adore tant…Mais le tien est différent et ne peut laisser un homme de marbre…oooohhhh…..ouiiiiiii…..

En m’entendant parler de la poitrine de Manon, Anaïs semblait être excitée de m’entendre faire des comparaisons et passait sa langue sur la couronne de mon gland, m’amenant à un orgasme monstrueux. Sa technique conjuguée aux paroles que j’échangeais avec Manon tout en l’admirant caresser ses seins admirables eurent raison de moi….

Je jouis dans un râle sonore tout en parlant

-       Aaaarrggghhh ouiiiiii….. Manoooon, touche tes tétons….vas-yyyyy ! Ouiiiiiii……! Jouiiiiiis....

M’entendant réclamer son propre orgasme, Manon s’exécuta et de faibles gémissements sortirent de ses lèvres tandis qu’elle étirait ses tétons dardés de plaisir et d’excitation. 

Elle caressait ses seins qu’elle prétendait sensibles depuis quelques instants et ma jouissance, combinée à ma demande, lui procurèrent un semblant d’orgasme à son tour. 

-       Mmmmmhhh….ouiiiiiii ! Chuchota-t-elle en se pinçant le bout des seins entre ses pouces et ses index. 

Je m’assis, terrassé par un orgasme foudroyant tandis qu’Anaïs se relevait en passant sa langue sur ses lèvres pour récolter un peu de mon sperme qui s’était échappé de sa bouche. 

Manon me sourit et me dit

-       Tu m’as excitée comme une puce ! Ton regard était un merveilleux stimulant. Merci, Philippe. Car tu m’as regardée avec désir mais aussi avec respect. Et cela ne m’était plus arrivé depuis pas mal de temps de la part d’un homme. J’ai joui avec douceur et c’était très bon. Merci !

Je tentais de respirer calmement pour faire baisser mon rythme cardiaque et je répondis comme je le pouvais, haletant entre les mots à la suite de l’orgasme qui venait de foudroyer mon corps et mon esprit.

-       Je suis ravi de conserver encore un peu de considération à tes yeux, Manon ! Mais il ne manquerait plus que cela. Surtout après la façon dont je t’ai traitée. C’est la moindre des politesses que de te traiter avec le respect et la civilité que tu mérites. Mais sache que si j’ai des défauts, je n’ai pas celui de considérer une femme comme un morceau de viande prêt à être consommer. Je n’estime absolument pas que le patriarcat ou un machisme ridicule puissent revêtir une quelconque forme de puissance et de fougue sur les femmes. 

-       Heureuse de te l’entendre dire.

-     Et je suis étonné qu’un homme ne te respecte pas ! C’est d’une indécence et d’un manque élémentaire de savoir-vivre et de considération que je ne peux cautionner. Alors je suis heureux que tu ne me places pas au même rang que ces abrutis. Je me demande aussi comment tu pourrais ne pas être respectée avec ton caractère. Ma joue s’en souvient encore, d’ailleurs !

-       Nous verrons par la suite si tu dis vrai ! Car tu ne connais rien de moi ! Anaïs ? 

-       Je suis toute à toi, ma chérie ! Philippe ? Tu reprends des forces ou tu es prêt pour un nouveau round ?

-       Je ne suis pas superman, ma puce ! Laisse-moi quelques instants et je suis à vous.

Anaïs, Manon et Sylvie se rassemblèrent et se parlèrent à voix basse. C’est Anaïs qui menait la conversation. 

Je les vis se déshabiller complètement et courir vers la piscine. 

Elles sautèrent dans un ballet parfaitement synchronisé pour atterrir ensemble dans l’eau. 

Elles jouèrent en riant et s’éclaboussant mais avec une bienveillance visible par les nombreux attouchements entre elles.

Manon caressait les seins d’Anaïs, Sylvie embrassait Manon et Anaïs empoignait les seins de ma mère. 

Des baisers furent échangés, des langues se mêlaient mais ce qui réveilla mon désir, ce fut cet instant où, après quelques minutes de rires et de caresses, elles se calmèrent pour se rapprocher et entamer un baiser à trois bouches. 

Maman me regardait avec un désir perceptible par-dessus l’épaule d’Anaïs dont le regard était perdu dans celui de Manon. Il ne fallait pas être devin pour comprendre leur désir mutuel. 

Lorsque je me levais au garde-à-vous, prêt pour un second round, elles sortirent de l’eau par les escaliers de la piscine. 

J’allais à leur rencontre, désireux de reprendre nos jeux, lorsque Manon me demanda

-       Philippe ? J’ai une double requête à te formuler avant de continuer. J’ai très envie que tu places ta queue au fond de ma chatte. Mais avant cela, j’ai envie de voir enfin l’un de mes fantasmes. Pourrais-tu baiser Sylvie devant nous ?

-       Maman ? Demandé-je en riant.

-       Si Manon le souhaite et pour satisfaire un fantasme, bien sûr !

-       Et ta seconde requête ?

-       Que tu me laisses baiser avec Anaïs en vous regardant !

-       Anaïs ? 

-       J’ai envie de Manon ! Je voudrais lécher ses seins et goûter à nouveau à la saveur de sa chatte. Et si tu baises avec ta mère à nos côtés, ce n’en sera que meilleur. 

-       Qui suis-je à présent pour vous refuser la moindre faveur ? Dis-je en souriant. Où voulez-vous faire cela ?

-       Comme il fait encore bon, si nous faisions cela sur la terrasse ?

Maman commença par me sucer à nouveau.

-       Mmhh…j’ai attendu cet instant lorsqu’Anaïs te suçait. J’avais envie de prendre sa place. Tu sais que j’adore ta queue sur ma langue, mon chéri !

-       Oui, Maman ! Vas-y ! Profite ! Fais ce que bon te semble.

Maman alternait. Elle passait la langue le long de ma queue ou la gobait entièrement, serrant ses lèvres pour m’emprisonner totalement. 

Anaïs, de son côté, léchait les seins de Manon qui, à chaque passage de la langue de ma fiancée sur ses tétons, émettait un petit son de plaisir. Mais elle gardait les yeux parfaitement ouvert pour ne rien perdre de la fellation incestueuse qui se déroulait sous ses yeux. Elle ne put s’empêcher de parler pour nous encourager et s’exciter encore un peu plus.

-       Mmmhh…Sylvie ! Ma patronne qui suce la grosse queue de son fils devant son employée…Gobe-là bien ! Ouiiii…..Elle a l’air délicieuse. Il faudra que je la goûte aussi. 

Maman me suça quelques instants, sous les encouragements de Manon. Puis, n’y tenant plus, je la relevais et la positionnais sur le transat, juste devant Manon.

-       Maman, pose un genou sur le transat et laisse une jambe tendue. Je vais te prendre par derrière ! Ainsi, Manon pourra tout voir.

-       Mmmhh…tu penses à tout, mon chéri ! Viens ! Mets ta queue dans la chatte gluante de Maman. Manon ? Regarde bien la queue de mon fils me pénétrer la chatte, tu vas adorer.

En entendant ces paroles, Anaïs se positionna contre la chatte de Manon et commença à la lécher lentement, passant la pointe de sa langue entre les lèvres déjà ruisselantes de Manon.

Je positionnais ma queue à l’entrée du sexe de Sylvie et lentement, je m’introduisis dans son vagin.

La situation semblait lui plaire car elle était trempée d’excitation. Ce que je ne manquais pas de lui dire.

-       Oh ! Maman ? Tu es trempée ! La situation t’excite donc un peu ?

-       Un peu ? Putain ! Je viens de sucer mon fils devant sa fiancée et mon assistante personnelle. Elles sont en train de se gouiner juste à côté ! Et tu vas me la mettre dans la chatte…Oui, petit cochon, je suis excitée ! Je mouille comme une fontaine à l’idée de me faire défoncer la chatte par mon fils devant un public. Alors vas-y maintenant ! Arrête les salamalecs !Défonce ta mère.

Je ne me fis plus prier et je poussais d’un seul coup ma queue au fond de la chatte de Sylvie qui réagit par un spasme de plaisir et un râle de satisfaction. 

-       Oohh….Il baise sa mère ! Vous n’êtes que des pervers ! J’adoooore….Vas-y, Philippe ! Baise-là ! 

Manon ne se contrôlait plus beaucoup. Cette situation inédite l’excitait au-delà de la raison et ses sens avaient pris le dessus. Elle agitait son bassin d’avant en arrière en maintenant la tête d’Anaïs contre sa chatte et se frottait pour accentuer le plaisir qu’elle ressentait. De mon côté, je besognais calmement mais fermement la chatte de ma mère en regardant Manon dans les yeux, ce qui eut pour effet de décupler son excitation. 

-       Alors Manon ? Tu aimes me voir défoncer la chatte de ma mère ?

-       Ouiiiii….putain que c’est excitant ! Et Anaïs qui me lèche comme une reine….Oh ouiiiii, enfonce ta langue, ma chérie ! Ouiiiiiii…..

Manon lâcha la tête d’Anaïs pour empoigner ses seins et se caresser afin d’obtenir ce nouvel orgasme que son corps réclamait. Elle jouit dans un cri de plaisir tout en s’effondrant à son tour dans le transat juste derrière elle. Anaïs ne cessa cependant pas de la lécher et, tout en la pénétrant de deux doigts, continua de lui sucer le clitoris avec force. Ce qui déclencha un nouvel orgasme.

Le corps de Manon se tendit, ses jambes emprisonnèrent la tête d’Anaïs entre ses cuisses et elle lança ses bras derrière elle pour se retenir et ne pas terminer sur le carrelage de la terrasse. Elle relâcha la pression de ses jambes et Anaïs en profita pour s’échapper et se lover contre sa maîtresse. Leurs seins se frottaient lentement et elles s’embrassaient avec passion pendant que je terminais ma besogne.

Je sentais le plaisir s’accroître en moi malgré ma première jouissance. 

Mes testicules se contractèrent et mon orgasme monta en moi lentement. Maman se caressait le clitoris tout en gémissant de plaisir.

-       Oohh…, ooohhhh….ouiiiiii….Plus foooort ! Aaarggghh…oouuiiiiiii, tu me prends la chatte, mon chéri ! Encooooore….Je jouiiiiiiiiis….

Il n’en fallu pas plus pour qu’à mon tour, j’éjacule dans le vagin maternel. Trois longues giclées sortirent de mon sexe dans un râle de plaisir qui réveilla Manon. Elle se leva et me décolla de Sylvie. Elle prit ma queue en bouche avec une grande délicatesse et une infinie douceur, car elle savait que je ne résisterai plus à une fellation en règle. Lorsqu’elle eut récupéré les reliquats de ma jouissance et nettoyé ma queue de la cyprine de ma mère, elle se positionna derrière cette dernière, toujours placée dans la position dans laquelle je l’avais pénétrée, et poussa sa langue entre les lèvres trempées de Sylvie. Elle cueillit mon foutre encore chaud qui s’échappait du vagin que je venais d’honorer tandis que je m’asseyais dans un fauteuil pour reprendre mes esprits après une telle chevauchée et un tel déploiement de sexe et d’érotisme.

Manon se leva et se pencha sur Anaïs, avec laquelle elle partagea les reliquats qu’elle venait de récupérer dans la chatte de Sylvie. 

C’est alors, qu’épuisés, nous profitâmes alors d’un petit moment pour recharger nos batteries.

Je me rendis dans la cuisine pour aller prendre une nouvelle bouteille de champagne et je l’ouvris dans un geste solennel devant mes trois Grâces affalées mais souriantes.

-       À une soirée pleine de rebondissements mais riches en plaisirs multiples ! Dis-je en levant mon verre dans leur direction.

Manon but une gorgée, de même qu’Anaïs ! Maman me regardait, heureuse du plaisir qu’elle venait de prendre mais certainement pas repue. Je connaissais, à présent, sa gourmandise insatiable à ce niveau. 

Tandis que je buvais à mon tour, je surpris les trois femmes en train d’échanger un regard complice.

Visiblement, la soirée n’était pas terminée.

Pour notre plus grand plaisir à chacun. 
Mais je ne savais pas que je n’avais encore rien vu !
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