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Une mère pas comme les autres...

Chapitre 28

Une leçon bien apprise !

Inceste
Ce fut au tour de Sylvie de prendre les rênes de la soirée.Elle échangea un regard éloquent avec Anaïs et Manon. Elles avaient, toutes les trois, une idée précise en tête. Et j’allais en faire les frais.Mais je me souviens aussi que j’ai repensé à cet instant que tout cela avait dû être planifié bien à l’avance et que je jouais dans une pièce dont j’ignorais tout. Anaïs, avec la complicité volontaire de ma mère et celle de Manon, avait visiblement tramé tout une toile dans laquelle je m’étais englué sans possibilité de m’échapper. Car soit je rompais les fils et je m’échappais au risque de tout perdre, soit j’entrais définitivement et de plein pied dans un monde où luxure, stupre et plaisirs seraient les maîtres mots. Car Anaïs, ma fiancée, ne pouvait concevoir de vivre autrement. Et elle me le faisait savoir de la plus brutale mais tellement agréable des façons.Sylvie se leva et passa derrière moi, assis sur dans le fauteuil à accoudoirs de la terrasse. Elle portait toujours l’ensemble de ses vêtements tandis qu’Anaïs et Manon avaient entamé un effeuillage des plus érotiques. J’aurai dû m’en méfier.
-       Philippe, mon chéri ? Veux-tu me donner tes mains s’il-te-plaît ?
Je me retournais pour la regarder sans comprendre son manège. 
-       S’il-te-plaît ! Fais-moi confiance, tu ne le regretteras pas !
Dans un soupir je pliais mes coudes et passait mes mains derrière le siège. Pendant cet échange, Anaïs et Manon s’étaient levée et chacune était positionnée de part et d’autre des accoudoirs. Sans que je ne puisse réagir, je sentis une pression sur mes poignets tandis qu’Anaïs et Manon me maintenaient les bras sur les accoudoirs en pressant doucement mais avec une forme de fermeté, m’empêchant de réagir.Ce n’est qu’en entendant un cliquetis caractéristique et la froideur de l’acier sur ma peau que je compris que je venais d’être menotté par ma mère à mon fauteuil. 
-       Maman ? Demandé-je inquiet.-       Oui, mon chéri ?-       Pourquoi m’as-tu attaché ? Tu sais que je n’aime pas ne plus être maître de mes mouvements. -       Je le sais, mon chéri ! Mais c’est une autre forme de plaisirs auquel je te convie. -       Je ne suis pas certain d’apprécier ! Dis-je sentant une forme de panique m’envahir.
Je n’ai jamais fantasmé sur le bondage ou d’être attaché. Comme je l’ai dit, je ne supporte pas ne plus maîtriser mes mouvements et être contraint. Maman le sait parfaitement mais elle venait de passer outre. Je commençais à m’agiter sur mon siège et elle vit la colère mais aussi la peur envahir mon esprit.
-       Chuuuut ! Calme-toi mon amour ! Me dit Anaïs. Tu ne risques rien. Si ce n’est celui de découvrir que tu peux aussi prendre du plaisir de cette façon.-       Anaïs à raison ! Dit Manon. Et puis, considère que c’est une forme de punition pour ta grossièreté à notre égard ? Me dit-elle mutine. 
Je tentais de me résonner et de calmer les angoisses qui grandissaient au creux de mon estomac. Je voulais dompter ma respiration et faire descendre mon rythme cardiaque. Ces mots, prononcés par Manon, m’amenaient une forme de résilience et d’acceptation de la situation. Je payais le prix de ma méchanceté et de mon agressivité. C’était mon tour de payer la facture. Je pouvais, dans ces conditions, tenter de subir cet outrage. Mais Maman vit clairement que je n’arrivais pas totalement au but que je m’étais fixé. Elle se pencha et embrassa ma joue puis me dit
-       Je suis là, mon chéri ! Tu sais que tu ne risques rien. Je ne le permettrai pas. Tu me fais confiance ?-       Oui ! Dis-je dans un souffle.-       Tu es prêt à supporter un moment d’immobilité en punition de ta conduite scandaleuse ?-       Je veux bien essayer, Maman ! -       Bien ! Alors écoute-moi. Tu peux, si tu le désires, te défaire de ces menottes. La chaîne qui retient tes fers n’est pas solide et peut se briser sous la force de tes bras. Tu peux te délivrer quand tu le souhaites. Mais ce ne serait pas du jeu et nous avons toutes les trois envies de jouer encore avec toi. Donc, si tu l’acceptes, reste immobile et subit avec courage les épreuves que nous allons t’infliger.-       Les épreuves ? Demandé-je à nouveau inquiet.-       Tu ne vas pas souffrir, si c’est ce qui peut te tracasser. Tu ne risques que de prendre du plaisir sous différentes formes. Es-tu prêt ?-       Oui ! 
Ma réponse avait fusé, nette et précise. 
-       Alors profite de cet instant pour apprendre à contrôler tes désirs qui restent encore trop visibles. 
Maman se retira et passa devant moi. J’étais un peu rassuré par sa révélation et je pensais pouvoir supporter un moment dans cette situation. Je tentais donc de m’installer confortablement en vue de la suite des événements. Manon, en suivant les ordres d’Anaïs, me retira mon short et j’apparu la queue à l’air en face de ces trois femmes. Elles me sourirent avec indulgence pour mon sexe au repos.Puis Sylvie, prenant Manon et Anaïs par les fesses, les emmena à l’intérieur de la maison. Je restais donc seul, nu, sur la terrasse en attendant le bon vouloir de ces femmes. Quelques minutes plus tard, elles revinrent. Elles s’étaient débarrassées de leurs vêtements pour ne plus porter que leurs talons hauts et un string. Elles me firent bander en un éclair. Ma verge se dressa d’un seul coup, rendant un hommage appuyé et sincère à la beauté de ces trois déesses.
-       On dirait que cela lui plaît, les filles ! Dit Maman.-       Oui ! Rit Manon en posant un regard ferme en direction de mon sexe.-       J’adore le faire bander ! Conclut Anaïs. 
Elles me sourirent mais Sylvie se coucha sur un transat. Anaïs prit la bouteille de champagne et en versa une lampée sur la poitrine de Maman. Manon se pencha et, en sortant la langue, lécha les reliquats du breuvage directement sur les seins et les tétons de ma mère. 
-       Ooohhh….ouiiiii….Sort bien ta langue et suce mes seins, Manon ! Récolte bien tout le champagne. 
C’était inédit et torride.Je regardais l’assistante personnelle de ma mère lui sucer les seins. Ses lèvres emprisonnèrent les mamelons l’un après l’autre, les suçant et les étirant avec douceur. Manon me faisait face et son regard ne quittait pas le mien. Elle m’excitait comme un fou. Anaïs reversait à intervalle régulier un peu de liquide pétillant que Manon mettait un zèle parfait à nettoyer. De temps en temps, elle posait sa langue refroidie par le champagne sur celle de ma mère et elles entamaient alors un ballet d’un érotisme ravageur. 
-       Mmmhh…ta langue est fraîche et délicieusement pétillante. Encore, Manon ! Abreuve-moi…
Ce petit jeu dura de longue minutes. Puis, Manon se leva et c’est Anaïs qui la remplaça. Manon versait le liquide et ma fiancée suçait les seins de ma mère. Elle avait pris la même position que son amie et ne se gênait pas pour me transpercer de son regard de braise, profitant de ma position pour accentuer ses gestes au risque d’en faire un peu trop, telle une professionnelle de films pornographiques. Ma queue était tendue à l’extrême. La situation m’excitait comme un damné et j’avais totalement oublié ma condition. Je ne ressentais plus que les palpitations de mon sexe qui frappait à chaque secousse contre mes abdominaux. Je bandais à en avoir mal. Mais c’était terriblement excitant et j’en redemandais encore.
-       Ouiiii ! Anaïs…embrasse-là aussi. Je suis certain qu’elle a encore soif ! Dis-je sans m’en rendre compte.
Anaïs me sourit puis regarda Manon et lui fit un petit signe de tête. Cette dernière fit couler encore un peu de champagne entre les seins de Maman. Anaïs se jeta dessus, récolta le breuvage et se positionna au-dessus de la bouche de Sylvie. Elle ouvrit ses lèvres et lentement le liquide passa d’une bouche à l’autre. Maman accueillait et récoltait le champagne avec délectation. Puis, lorsque la source se fut tarie, Anaïs toujours en me regardant dans les yeux, embrassa ma mère et entama avec elle un ballet dans lequel leurs langues se mélangeaient et se léchaient avec une avidité de mort de faim. Je n’en pouvais plus.Assis et emprisonné sur mon siège, mon sexe palpitait au rythme de leurs mouvements. Je n’avais d’yeux que pour cet échange incroyablement excitant. Maman caressait les seins de ma fiancée tandis que cette dernière posait ses mains sur les seins de Sylvie. Leurs caresses étaient légères et je vis des frissons apparaître sur cette peau si douce et si fine. 
-       Mmmh….Encooore Anaïs ! Caresse encore mes seins….-       Toi aussi, j’adooore ! 
J’étais sur le point de détacher mes menottes pour me jeter sur ces femelles qui excitait le mâle de la meute. Mais Manon, qui s’était éclipsée sans que je le remarque tant j’étais obnubilé par le spectacle que me donnait ma mère et ma fiancée, attira mon attention en revenant sur la terrasse. Mon regard se posa directement sur le phallus en plastique attaché à ses hanches. Elle avait passé le gode-ceinture de ma mère et avait visiblement l’intention de s’en servir. Elle se positionna derrière Anaïs et tendrement la plaça de côté par rapport à moi, en position de levrette. Ma fiancée tourna la tête vers moi et me sourit.
-       Regarde, Philippe ! Elle va me baiser avec le gode ! Je sais que c’est aussi l’un de tes fantasmes. Alors profites-en !-       C’est vrai ? Demanda Manon. C’est l’un de tes fantasmes, Philippe ?-       Oui ! Avoué-je sans crainte. -       Alors c’est une belle responsabilité. Je vais défoncer lentement la chatte d’Anaïs. Elle va m’appartenir ce soir. Tu es d’accord ?-       Oui ! Dis-je sans réfléchir.-       Tu es d’accord que je la baise encore ? -       Oui !-       Tu es d’accord que je prenne sa chatte ?-       Oui !-       Alors regarde-moi !
Manon se positionna entre les jambes d’Anaïs qui me regardait toujours avec un regard que je ne lui connaissais pas. Celui de la luxure la plus extrême. Elle ferait n’importe quoi dans cet état. Elle n’était plus qu’un sexe prêt et désireux de jouir. Manon poussa lentement le phallus de plastique entre les lèvres luisantes de ma fiancée et la pénétra avec une lenteur toute calculée qui produisit un effet immédiat chez Anaïs 
-       Oooohh…ouiiiiiii…..putain, tu me prends toute la chatte ! Vas-y, Manon, baise-moi !-       Je suis au fond de sa chatte, Philippe ! Regarde comme elle a avalé l’entièreté du gode. 
Elle venait de tourner un peu le cul d’Anaïs dans ma direction et je pouvais constater la véracité de ses dires. Le gode énorme avait disparu dans le sexe d’Anaïs. Manon entama alors un doux mouvement et commença à baiser ma fiancée. Celle-ci couina directement au premier passage. Réclamant avec force et soupirs de se faire baiser, de se faire défoncer la chatte pour jouir. Son bourreau ne l’entendait pas ainsi et calqua son rythme sur le balancement des seins de sa partenaire. La poitrine d’Anaïs bougeait d’avant en arrière, libre de ses mouvements par la position à quatre pattes. C’était d’un érotisme ravageur pour mon cerveau. Maman ne trouva rien de mieux que de se positionner sous Anaïs et d’emboucher ces seins voyageurs. Anaïs lui fit comprendre son contentement par un petit soupir sans équivoque. Elle leva une main et caressa alors la poitrine de Sylvie, positionnée juste sous son regard. J’allais éjaculer sans pouvoir me toucher tant ce spectacle m’électrisait et m’envoyait des secousses de plaisir au plus profond de mes testicules. Je m’agitais de plus en plus sur mon fauteuil mais je voulais en profiter encore. Je résistais au désir de me détacher et de me ruer sur ces femmes. Manon me vit lutter et me sourit. Mais ce démon ne résista pas au plaisir d’en rajouter une couche.-Mmmhh…Regarde, Philippe ! Je baise la chatte de ta fiancée. Elle en veut, tu sais ? Elle est trempée et je la lime avec une facilité déconcertante. Elle avale ce gode sans le moindre problème. Je me demande si je ne pourrais pas tenter de lui prendre aussi le cul ? Qu’en penses-tu ? Tu voudrais que je la sodomise ? — Ouiiiiii ! Hurla Anaïs ! Vas-y ! Prends mon cul aussi. Je jouis de la chatte, mais j’ai envie que tu me prennes le cul !-Mmmhh… Tu entends, Philippe ? Tu penses qu’elle pourra supporter un tel calibre dans son petit trou du cul ?— Oui ! Dis-je dans un souffle, estomaqué par ces paroles. Anaïs voulait se faire défoncer par ce gode monstrueux ? Je n’y croyais pas mais je voulais aller encore plus loin.— Vas-y ! Dis-je. — Regarde, alors. Sylvie ? Tu me donnes un coup de main ?Maman me sourit et se leva. Elle se positionna au-dessus du dos d’Anaïs. Les trois femmes se sourirent et Sylvie posa le bout de la langue sur la rosette de ma fiancée. Elle lui léchait le cul devant moi. C’était au-delà de tout ce que j’avais imaginé. Mais elles allèrent encore plus loin lorsque Manon sortit le gode luisant de la chatte qui l’avait accueilli et le présenta à la bouche de ma mère.Sylvie ouvrit les lèvres et entama une fellation pour récolter tout le jus qui était sorti du sexe d’Anaïs. C’était fou ! Ces trois femmes me rendaient dingue de désirs et de plaisirs multiples. J’avais l’impression que mon cœur battait à un rythme fou et qu’il était sur le point de rompre. L’excitation que je ressentais à cet instant était sans commune mesure. Une extase permanente. Un orage dans mon cerveau dont les éclairs étaient incessants. Je ne réfléchissais plus et seul mon besoin de les posséder dictait encore ma pensée. 
-       Vous n’êtes que des perverses ! Vous m’excitez comme un dingue, putain ! Détachez-moi !
Elles rirent en m’entendant supplier mais ne firent aucun geste dans ma direction. Maman écarta alors les fesses d’Anaïs tandis que Manon présentait le gode en face de son cul à présent lubrifié par les bons soins de Maman. 
-       Anaïs ? Tu es certaine de vouloir que je te sodomise avec ce monstre ? Demanda toutefois avec un peu d’inquiétude une Manon un peu sceptique. -       Ouiiiii ! Baise-moi ! Vas-y ! J’ai déjà vécu cela, alors fonce ! 
Cette dernière phrase, qui échappa à une Anaïs en transe et ne se rendant visiblement pas compte des informations dont elle me faisait la grâce en ce moment, eut pour effet de me faire redescendre sur Terre. Ainsi, ma fiancée avait l’habitude de se faire sodomiser par des bites monstrueuses ? J’étais vraiment le Roi des Aveugles. Je venais, à nouveau, de me faire remette à ma place. Mais cette fois, Anaïs ne comprit pas qu’elle venait de me faire à nouveau mal ! Maman se leva et, comprenant mon état, vint à nouveau déminer le terrain dans lequel nous venions de nous engager. Elle se pencha à mon oreille et me dit tout bas
-       Elle ne se rend plus compte de rien ! Elle est si excitée qu’elle ferait tout. Alors ne lui en veut pas, d’accord ? Tu sais qu’elle a eu beaucoup d’amants et de maitresses. Mais elle ne veut plus que ton plaisir et ton excitation. Grâce à ces expériences passées, elle est devenue une reine du sexe. Tu auras en permanence une femme demandeuse et expérimentée pour te vider les couilles dès que tu en ressentiras le besoin. 
Cette dernière phrase, dans la bouche de ma mère, me fit tiquer un peu. Mais l’ayant remarqué, elle continua comme si c’était un vocabulaire habituel entre une mère et son fils.
-       Elle est à présent entièrement disponible pour toi. Tu es celui qu’elle aime par-dessus tout. Alors ne lui fait pas grief de ce qui a fait d’elle ce qu’elle est uniquement pour toi. Tu imagines combien d’hommes souhaiteraient être à ta place ? Alors regarde comment ta fiancée se fait défoncer le cul et imagine que ta queue sera bientôt aussi à cet endroit, ^rêt à te recevoir et à te donner un plaisir inouï. 
Je me calmais immédiatement et ma queue se redressa à cette évocation. Maman m’avait, à nouveau, remit les idées en place et je profitais du spectacle. Manon poussait avec douceur le gode à la découverte des entrailles d’Anaïs. Elle soufflait comme un bœuf mais ne réclamait aucune pause ni aucun arrêt dans l’intromission de ce sexe fantastique au creux de ses reins. Il fallut quelques instants à Manon mais elle parvint à lui faire avaler l’entièreté du gode. Elle resta immobile un moment, le temps nécessaire à Anaïs pour apprivoiser le monstre qui devait lui déchirer le cul. Puis, lentement, avec précautions et douceur, ma fiancée entama un léger mouvement d’avant en arrière nous indiquant qu’elle prenait la disposition de cette queue. Ses mouvements grandirent puis, elle déclara
-       Maintenant, Manon ! Tu peux y aller ! Baise-moi et défonce mon cul ! Fais-moi jouir comme une folle. 
Manon ne se fit pas prier en entama à son tour la chevauchée vers l’orgasme. Maman m’embrassa en me disant
-       J’ai envie de lui donner un coup de main ! Ou plutôt de langue.
Elle se repositionna sous Anaïs et, sur le dos, rampa jusqu’à sa chatte, entre ses jambes. Elle posa sa langue sur le clitoris turgescent tandis qu’elle était aux premières loges pour admirer la pénétration anale qu’elle subissait. 
-       OOOOHHHH…..OOUUUUIIIIIII ! SUCE MA CHAAAATTE….AAARRGGGGHHHH….
Anaïs approuvait l’idée de Maman qui se servit aussi de sa main en faisant pénétrer plusieurs doigts dans le sexe libre d’Anaïs. Elle subissait cette pénétration avec des râles de plus en plus aigus et une respiration de plus en plus saccadées. Je n’en menais pas large et je sentais mon éjaculation arriver. Il se passa alors un phénomène que je ne m’explique toujours pas. Nous perdions tous la raison, emporter par le plaisir et l’excitation incroyable de ce moment lorsqu’Anaïs me regarda et me dit
-       Je t’interdis de jouir, Philippe ! Tu me dois ton sperme ! C’est moi qui jouis, toi, tu subis. 
Elle me coupa dans mon élan et je redescendis en pression dans la seconde, éberlué par son audace mais surtout sa parfaite maîtrise d’elle-même. En pareille circonstance, je n’aurai jamais eu la présence d’esprit ni la lucidité dont elle venait de faire preuve. Je regardais alors ma fiancée être menée vers un orgasme ravageur par ses deux amies. Il ne lui fallut plus que quelques mouvements du gode combinés à la langue de Maman pour la voir décoller dans le plus bel orgasme auquel j’ai pu assister.Elle hurlait son bonheur, criait des noms d’oiseaux, respirait avec la plus grande difficulté et finit par arroser ma mère de plusieurs jets de cyprine éjectés de sa chatte complètement inondée. Maman eut juste le temps d’ouvrir la bouche pour en récolter une petite partie et quitter sa position qu’Anaïs s’écroula à la limite de l’évanouissement sur le transat qui était à présent dans un sale état, trempé de sueur et des sécrétions des femmes. Manon sortit lentement et avec précaution du cul rougit d’Anaïs et enleva le gode de ses hanches. Puis, embrassant Maman pour récolter une partie du jus de ma fiancée, elles se tournèrent vers moi. Manon prit la parole
-       Alors ? Tu détestes toujours ne pas pouvoir participer ?-       Vous êtes démoniaques ! Je n’ai jamais été aussi excité de toute ma vie. Ma queue me fait si mal que je ne suis pas certain de pouvoir encore l’utiliser.-       Il va pourtant le falloir, mon grand ! Je n’ai pas encore joui, moi ! 
Joignant le geste à la parole, Manon m’enjamba et m’utilisa comme le gode qu’elle venait de retirer. Ma queue se logea immédiatement dans sa chatte trempée de son excitation et elle poussa jusqu’à la garde, m’arrachant un cri rauque, mélange de douleur et de plaisir. 
-       Baise-moi, maintenant ! Ta queue est mienne. -       Je te fais remarquer que je ne peux pas bouger !-       Alors laisse-moi faire !
Manon entama un mouvement circulaire autour de mon sexe, m’envoyant décharge électrique sur décharge électrique dans la colonne et dans le sexe. Ses seins se balançaient juste sous mes yeux et elle les prit en main pour me les tendre
-       Suce mes seins ! J’aime trop cela.
Je ne me fis pas prier et ma langue passa de l’un à l’autre avec délectation. Ce petit jeu dura quelques minutes durant lesquelles je fis appel à toute ma volonté pour ne pas décharger dans la chatte de Manon avant l’heure. Maman se positionna derrière Manon et posa son doigt sur son clitoris. Elle masturbait son amie tout en tentant de caresser ma queue dès qu’elle sortait un peu du sexe trempé. L’orgasme de Manon se réveilla et elle partit dans un cri de jouissance qui réveilla Anaïs tout en déclenchant mon éjaculation. Je jouis dans un cri d’animal blessé, tant la tension accumulée dans ma queue me fit mal en se libérant d’un seul coup à renfort de jets dans l’utérus de ma partenaire.Tandis que je reprenais mes esprits et que Manon m’embrassait tendrement en se relevant, Maman me détacha et je retrouvais ma liberté de mouvements. Les étoiles brillaient dans le ciel devenu noir et seuls quelques lampes éclairaient encore la piscine et la terrasse. Nous nous regardâmes et nous éclatâmes de rire ensemble.
-       Mes enfants, quelle baise mémorable ! Sourit Sylvie.
Anaïs se lova contre moi et, sans forces, s’abandonna à mes bras. Nous montâmes dans nos chambres respectives.Maman invita Manon à la suivre. Je me dis que la soirée ne devait pas être terminée pour ces deux gorgones. J’installais Anaïs sur l’oreiller et, sans réaction, elle s’endormit aussi vite que sa tête fut à l’horizontale. Je me couchais à ses côtés, et je réfléchis à ce que je venais de vivre en un weekend. Maman m’avait promis le plaisir et l’explosion de mes sens. Elle avait tenu parole. J’avais réagi de façon si différentes selon les événements que je ne me souvenais plus de tous les sentiments contradictoires qui m’avaient animé. Je ne retenais qu’une promesse tenue par Maman et une promesse à venir pour Anaïs qui m’avait dit « oui ». Mais je sentais que je devais me faire pardonner de toutes mes maladresses et de ma stupidité. Je me souvins alors d’une remarque que Maman avait formulée concernant les femmes et Anaïs en particulier. Je devais y inclure également Manon. Mes trois grâces méritaient la dépense que j’allais faire pour elle. Et elle ne serait qu’une maigre consolation pour les insultes que j’avais osé proféré à leur encontre. En m’endormant, j’entendis des soupirs et de petits cris de plaisirs provenant de la chambre de Maman, pourtant à l’opposé de la mienne. Et c’est en tombant dans les bras de Morphée, que je me dis que finalement, tout était parfait !
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