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Une mère pas comme les autres...

Chapitre 32

Une douce et lente torture...

Avec plusieurs femmes
Nous buvions une coupe de champagne ensemble, installés confortablement dans notre alcôve. 
J’avais placé Aurore, mon invitée de dernière minute, à ma droite et je devisais avec elle, ignorant superbement les trois autres femmes qui m’accompagnaient.
Ma mère, Sylvie, n’en fut pas étonnée. Je soupçonne qu’elle avait compris mon manège bien avant notre entrée dans cet établissement réputé des nuits sexuelles parisiennes. Anaïs ne semblait pas comprendre la présence de cette jeune femme qui nous avait aidés dans la matinée à choisir les parures de lingerie les plus séduisantes. Quant à Manon, elle semblait se désintéresser totalement de la situation.
Elle venait pourtant de m’avouer tomber lentement mais sûrement amoureuse de moi sans pour autant réclamer quoi que ce soit, se satisfaisant de la situation actuelle et ne voulant rien changer à notre modus vivandi. Elle ne réclamait que la possibilité de se maintenir le plus proche possible de notre trio. 
Je désirais, néanmoins, avertir Aurore de la pièce dans laquelle elle allait jouer, car je ne voulais pas la prendre en traître comme je l’avais été moi-même et je souhaitais aussi lui donner l’occasion de se rétracter si elle en ressentait l’envie ou le besoin. Après tout, je ne la connaissais pas et seul un vague soupçon avait fait naître cette idée en moi. Elle n’était peut-être pas telle que je l’imaginais, même si sa présence au sein d’un tel établissement et dans une telle tenue me confortait plutôt dans mon opinion d’elle.

-       Manon, Maman, Anaïs ? Pourquoi n’iriez-vous pas faire un petit tour afin de repérer les lieux les plus propices à votre plaisir ? Mais attention, interdiction d’accepter la moindre faveur ou la moindre demande. Tout devra passer par moi ! Est-ce clair, Mesdames ? Manon, je n’ai aucun droit sur toi. Mais suite à ce que tu viens de me déclarer, je pense que tu auras à cœur de me prouver que ce que tu as avancé est vrai en suivant, par exemple, mes recommandations pour la soirée ? 
-       Je suis à tes ordres, Philippe. Tu es mon Maître pour ce soir ! Répondit-elle à ma grande surprise mais aussi à ma grande joie car cela signifiait qu’elle ne me mettrait pas de bâtons dans les roues, du moins avant le lever de rideau.

Tandis qu’elles nous quittaient, joyeuses et curieuses, j’entrepris d’expliquer la situation à Aurore

-       Ma chère Aurore ! Laissez-moi vous dire à quel point je vous trouve superbe. Le choix de cet ensemble de lingerie vous rend hommage.  
-       Merci ! Me répondit-elle simplement. Vous êtes également très élégant, ce soir. 
-       Je vous en prie. C’est la moindre des choses lorsque l’on veut se montrer à l’égal des femmes que l’on accompagne, surtout lorsqu’on leur impose certaines règles vestimentaires. Mais, si vous le permettez, je tiens à mettre les choses au point avec vous !
-       Nous y voici ! Pour quelle raison suis-je là ? Dit-elle en levant son verre pour en prendre une gorgée.
-       Parce que j’ai envie de vous !
-       Oh ! Répondit-elle en suspendant son geste.

Visiblement, elle ne s’attendait pas à cela. Elle rougit légèrement mais se reprit rapidement

-       Alors que vous avez trois femmes merveilleuses à vos côtés, vous m’avez fait venir parce que vous voulez… ! 

Comme elle hésitait à poursuivre, je lui épargnais cette peine en répondant à sa place

-       Parce que j’ai envie de baiser avec vous ! Parfaitement. Je vous trouve élégante, raffinée, belle et votre corps est un appel à la sensualité. Mais je m’en voudrais de ne pas être transparent avec vous. Comme vous l’avez constaté, je suis le Maître de ces femmes. Oui, y compris de ma mère avec laquelle j’entretiens parfois des relations sexuelles débridées. Je vous choque ?
-       Un peu ! Mais je trouve cela également excitant. Je ne me l’explique pas. Et puis, vous êtes majeurs et vous faites ce que vous voulez.
-       Vous m’en voyez ravi ! Il se trouve que ces femmes se sont moquées de moi, il y a quelques jours. Et j’ai entrepris de leur rendre la monnaie de leur pièce. C’est là que vous intervenez.
-       Moi ?
-       Oui ! Je vais profiter du thème de la soirée pour leurs infliger une punition à la hauteur de la trahison à laquelle j’ai dû faire face. Oh, rassurez-vous ! Je ne vais pas leur faire du mal. Mais j’espère profiter de l’instant pour qu’elles comprennent que je ne pardonnerai pas une seconde incartade à l’avenir.
-       En me baisant ?
-       Parfaitement ! En profitant du thème de la soirée, répété-je sciemment.
-       Quel est-il ?
-       « Sourdine » !
-       Pardon ?
-       « Sourdine » ! Je vais faire placer des casques insonorisés sur leurs oreilles mais leur permettre de tout voir. Elles seront placées dans une situation qui ne leur permettra pas de les enlever. Je profiterai également des largesses du propriétaire des lieux pour que plusieurs personnes, hommes ou femmes, se relaient auprès d’elles pour leur procurer plaisir et excitation mais sans jamais leur permettre de jouir. Tandis que je ne m’en priverai pas.
-       C’est cruel ! Me dit-elle avec un petit sourire démentant parfaitement ce qu’elle disait.
-       Peut-être ! Mais imaginez l’orgasme qu’elles atteindront lorsque je le leur permettrai ?
-       Démoniaque !
-       Merci !
-       Ce n’était pas un compliment !
-       Je le prends pour tel ! Alors ? Qu’en dites-vous ? 
-       Et quel sera mon rôle dans cette histoire ?
-       Mais je vais vous baiser juste sous leurs yeux. Et j’espère que je pourrai profiter de vos charmes tandis que vous vous préoccuperez de votre plaisir que je me ferai une joie et un devoir de vous procurer selon les critères que vous choisirez, selon vos fantasmes et vos souhaits.
-       Mmmhhh….Je suis tentée de vous suivre. Même si je désapprouve vos méthodes de coercition. 
-       Il n’y a que des accords, ma chère. Je ne les oblige à rien. Elles me sont dévouées corps et âmes et mes désirs sont des ordres. Vous venez d’en avoir un aperçu !
-       Effectivement ! 
-       Alors ?
-       Vous m’excitez terriblement ! J’ai envie de tenter l’expérience. Mais promettez-moi une chose.
-       Laquelle ?
-       J’aurai du plaisir toute la soirée avant de vous quitter !
-       C’est promis ! Parlez et vous serez exhaussée selon vos désirs. Du moins dans la mesure de mes possibilités, bien évidemment.

Elle posa ses lèvres sur les miennes et poussa lentement sa langue contre la mienne. Nous venions de sceller un pacte pour un plaisir extrême.
C’est à cet instant que ma mère revint vers nous tandis que je nouais sur la tête de ma nouvelle amie, un loup destiné à conserver son anonymat en lui expliquant de quelques photos seraient prises et que cette précaution me paraissait nécessaire pour chacune d’entre elles. Personnellement, je m’en serai bien passé mais je ne tenais pas à ce que l’on me reconnaisse et que l’on fasse le lien avec les femmes à mes côtés. Je pris possession du dernier, en velours noir, que je nouais autour de ma tête alors que Sylvie nous parla avec sérieux.
-       Philippe ! Es-tu certain que tu sais ce que tu fais ?
-       Maman ? Oui, parfaitement.
-       Et je présume que cette ravissante personne te servira à assouvir une vengeance que tu appelles de tes vœux ?
-       Tu as tout compris.
-       Philippe ? Lui as-tu expliqué ?
-       Il m’a tout expliqué, Madame. Et je suis d’accord pour tout. 
-       Ohoh ! Mademoiselle est aussi une aventurière en plus d’être magnifique et sensuelle ?
-       Si vous saviez ! Répondit-elle du tac-au-tac. 
Je me levais à cet instant, ravi de la réponse d’Aurore, et emmenait mes deux compagnes avec moi. J’avisais le propriétaire qui me fit un petit signe pour me signaler que tout était prêt. 
Nous rejoignîmes Anaïs et Manon, qui étaient montées à l’étage. 
Je les emmenais vers la dernière chambre où elles pénétrèrent sans méfiance. 
Plusieurs paires de menottes étaient installées sur une table basse. Plusieurs casques anti-bruit également. Des cravaches, des godes de toutes tailles s’étalaient sur un meuble ancien et même une croix de Saint-André était dressée dans un coin. Quelques anneaux étaient placés dans le mur, à des hauteurs différentes, me permettant d’imaginer la suite des festivités.

-       Qu’est-ce que c’est que cet endroit ? Demanda Manon soudain inquiète. On dirait l’antre du diable.

Il faut dire que la couleur rouge était partout. Des murs au plafond. Le sol était recouvert d’une épaisse moquette mêlant le noir avec cette couleur dominante. 

-       Il s’agit de la pièce que le propriétaire des lieux met à mon service exclusif pour la soirée.
-       Tu veux dire qu’il a accepté que nous ne soyons que les seuls occupants de cet endroit ? Demanda Anaïs.
-       Mais alors ? Quel est l’intérêt de venir dans une boîte échangiste si c’est pour baiser ensemble ? Demanda une Manon interrogative.

Je les regardais en souriant, sans répondre à cette dernière remarque. 

-       Je vais vous demander de jouer à un jeu, pour moi ! Cela fait partie de mon plaisir. Vous voulez bien ?
-       Bien sûr ! Répondit Anaïs. 
-       D’accord ! Je voudrais commencer par vous attacher à ces anneaux aux murs ! Vous acceptez ?
-       Oh ouiiiiii ! Me dit Maman. 

Je m’exécutais donc et commençais par attacher une Sylvie prête à tout. Puis, je procédais avec Manon qui marqua un temps d’arrêt avant de se laisser faire. C’est Anaïs qui fut, contre toute attente, la plus délicate à convaincre. 

-       Philippe ? Que vas-tu faire de nous ?
-       Vous donnez ce que vous méritez, pardi !
-       Tu me promets que nous ne souffrirons pas ?
-       Je te le promets, ma chérie ! Personne ne vous fera de mal physiquement. Je sais que tu détestes cela. 
-       Alors je te fais confiance. 

Je l’attachais alors à son tour à la grande croix, jambes écartées et chatte en avant. Elle était la plus impudique des trois dans cette position offerte. 
-       Bien ! Mesdames. Il est temps que je vous dévoile le thème de la soirée. Il s’agit de « sourdine ».
-       Ahahahahahah…. ! Petit cachottier. 
Maman riait du tour que je venais de leur jouer. Elle venait de comprendre qu’elles allaient avoir beaucoup de mal à tenir longtemps. Heureusement, j’avais fait en sorte qu’elles soient parfaitement à l’aise. 

-       De quoi s’agit-il ? Demanda Manon, visiblement angoissée par la réaction de Maman.
-       Je vais vous placer ces casques sur la tête. Ainsi, vous verrez ce qu’il se passe. Tout ce qu’il se passe ! Mais vous n’entendrez rien de ce qu’il se dit. Si, à un moment, vous êtes en détresse, hurler le mot « framboise ». Vous serez détachée dans la seconde. Mais la soirée s’arrêtera là pour vous, définitivement. Sans possibilité de retour en arrière et une déception frustrante pour votre Maître. Alors essayez de jouer le jeu, cela peut être aussi amusant de tenir et de se battre contre soi-même. 
-       Cela peut être stimulant ! Dit une Anaïs ravie, se souvenant probablement de cette nuit où elle avait vécu un rôle exclusif de voyeur qui lui avait procuré une excitation impressionnante.
-       Je l’espère ! Dis-je sans pour autant le souhaiter. 
-       Et Aurore ? Demanda Manon. Tu ne l’attaches pas ?
-       Aurore ? Mais non, voyons.
-       Pourquoi ?
-       Qui vais-je baiser alors ? Déclarais-je après un silence théâtral. 
-       QUOI ??? Hurla Anaïs.
-       Tu as compris ? Demanda Sylvie. Il va se venger de ce que nous lui avons caché. 
-       MAIS…PHILIPPE ?
-       Tu as oublié une fois de trop mon titre, Anaïs ! Je vais donc te punir. 

Je plaçais les casques sur leurs têtes, en posant à chaque fois mes lèvres sur les leurs dans un baiser sensuel et dénué de méchanceté. 
Maman me souriait en me disant tout bas

-       Baise-là comme une chienne ! Je veux la voir hurler ! Bon amusement mon chéri.

Anaïs était au bord des larmes 

-       Ne craint rien, ma chérie ! Je t’aime du plus profond de mon cœur. Ce n’est qu’un jeu. Et si tu as des craintes, je te détache tout de suite. Tu as également un mot de secours que tu peux utiliser mais à mes conditions. Ne l’oublie pas.

Elle ravala ses larmes et soutint mon regard. Puis elle déclara

-       Je t’aime, mon amour ! Venges-toi. J’ai confiance en toi. 

Je plaçais alors le casque sur ses oreilles. Je me tournais vers Manon.

-       Toujours prête à me servir, Manon ?
-       Toujours, Maître ! Vas-y, pose ce casque et prends ton pied, petit pervers. 

Elle me fit un clin d’œil de connivence avant que le silence ne l’emprisonne. 

-       Ma chère Aurore, que diriez-vous de commencer nos ébats ?
-       Je suis prête, Philippe ! Je mouille comme une folle. Cette situation m’excite. Baiser devant ces trois femmes attachées et incapables de bouger me rend dingue. Ma chatte est déjà en feu.
-       Je vous demande juste un instant et je suis à vous.

Antoine, qui m’attendait à l’extérieur, comprit que le jeu commençait.

-       Vous pouvez m’envoyer les candidats et les candidates, Antoine. Mais lentement et avec discipline, s’il-vous-plaît.
-       Bien ! Fût son seul mot. 

Il regarda à l’intérieur et je pus voir son sexe se tendre dans son pantalon. Ce n’est pas tous les jours que trois femmes magnifiques sont attachées à un mur de son établissement en lingerie hors de prix, talons signés Louboutin et masquées, offertes comme en sacrifice au dieu Sexe.
Hans apparu dans le couloir et vint se positionner à côté de la porte. 

-       Je reste là pour éviter les esclandres, Monsieur ! Profitez bien de l’instant.
-       Merci, Hans ! 

Je revins à l’intérieur et je me plaçais de profil pour que mes trois femmes puissent admirer le spectacle.
Aurore s’agenouilla alors en face de moi et sortit ma queue tendue de mon pantalon. Elle posa la pointe de sa langue sur mon gland et lécha mon sexe du haut vers le bas avec un plaisir et une avidité évidente. 
Elle ne put s’empêcher de regarder chacune des trois femmes et de dire

-       Regardez bien comme je vais lui vider les couilles à votre Maître ! 

Bien sûr, aucune des trois femmes ne put comprendre un mot mais j’étais certain qu’elles en comprenaient le sens. Anaïs tira sur ses menottes avec une rage évidente, Manon se trémoussa et Maman sourit. 
Aurore ouvrit la bouche et goba ma queue entière, posant ses lèvres contre mon pubis. 
Cette attaque directe envoya une décharge dans tout mon corps et ma tête se lança involontairement vers l’arrière tandis qu’un souffle rauque s’échappa de ma bouche, preuve du plaisir évident que cette jeune femme me donnait avec une expérience incontestable. Elle était bien telle que je l’imaginais. Elle me suçait avec une technique qui n’était que le fruit d’une longue pratique.
Un couple entra sur ces entre-faits. 
Je les accueillis du mieux que je le pouvais en cet instant. Je dus demander à mon tortionnaire de ralentir ses mouvements, à son grand dam. Cette fille est décidément gourmande.
Elle bouda pour la forme mais suivit mes recommandations. Elle sortit sa langue et la passa lentement le long de mon sexe tendu, léchant avec avidité l’objet de sa concentration, me permettant de reprendre un moment mes esprits et de parler distinctement.

-       Bonsoir ! Soyez les bienvenus, dis-je en récupérant un peu de ma concentration. Avez-vous été instruit de nos exigences ?
-       Bonsoir ! Répondit la femme. Oui, Antoine a été très clair. 
-       Alors, vous pouvez disposer de ces dames. 

L’homme, dans la quarantaine, s’approcha de Manon, visiblement attiré par sa poitrine démente. 
Il était encore bel homme. Je remarquais que son ventre était plat, entretenu par quelques séances de sports. Son sexe était de dimensions raisonnables et ferait probablement l’affaire, si j’en décidais. 
Il se pencha sur les seins volumineux de sa victime et, dardant une langue humide, entama de lécher délicatement la poitrine offerte de façon indécente. Manon, sous cette attaque, bomba le torse pour lancer ses tétons à la rencontre de cette langue inquisitrice. 
Ses soupirs d’aise me parvinrent rapidement tandis que la belle Aurore redoublait d’efforts pour sucer ma queue bandée comme un morceau de bois. Je ne pouvais nier que cette situation avait sur mes sens des effets dévastateurs à la fois pour mon intellect mais aussi pour mon sexe. 
La femme, un peu plus âgée, se dirigea naturellement et en ondulant des hanches vers Sylvie. Elle s’agenouilla tranquillement comme si elle allait prendre un café et posa directement ses lèvres sur le clitoris de Maman. Cette dernière écarta immédiatement les jambes pour permettre à son tortionnaire d’atteindre avec facilité l’objet de ses convoitises.
Je détaillais alors cette femme.
Elle devait avoir à peu près l’âge de Maman. Elle était dotée d’une poitrine minuscule sur laquelle le soutien-gorge qu’elle portait n’avait aucune raison d’être. Aucun artifice n’aurait pu rendre ces seins plus volumineux ou ne leur donner qu’un semblant de galbe. Ce qui m’intrigua, lorsqu’elle retira sa lingerie, fut la taille de ses tétons. Ils devaient mesurer par moins de trois centimètres. Et visiblement, cette femme les avait très sensibles. 
Elle posa une main sur son petit sein droit et serra son téton entre son pouce et son index, ce qui lui procura un soupir d’aise parfaitement audible pour ceux qui, comme nous, ne portaient pas de casque. 
Ses gémissements tandis qu’elle suçait avec avidité la chatte de Maman m’excitèrent terriblement. 
Je posais une main sur la tête d’Aurore en lui montrant la voie à suivre. Elle creusa ses joues, aspirant littéralement ma queue au fond de sa gorge, et frotta la peau sensible de mon sexe contre les parois de sa bouche, salivant beaucoup pour lubrifier le passage. Aurore disposait d’une technique remarquable qui m’amenait lentement vers une explosion que je sentais dévastatrice. 
Tandis que les gémissements de Manon et de Maman redoublaient, m’indiquant un orgasme simultané imminent, je m’écriais calmement

-       Mes amis, veuillez arrêter vos offices et vous occupez à présent de votre dernière victime. Ensemble, s’il-vous-plaît !

Ce ne furent que protestations lorsque Manon et Sylvie furent abandonnées sans autre forme de procès, à la limite d’un orgasme que leurs corps réclamaient à présent. Je pouvais distinguer Maman serrer les cuisses contre son sexe afin de tenter de se donner le plaisir qui déclencherait sa jouissance et Manon suivre son chemin. Cette dernière avait été parfaitement lubrifiée par les doigts de son bourreau. Je pouvais distinguer la coulée de sa cyprine le long de sa cuisse.

-       NOOOOON ! FAIS-MOI JOUIR SALAUD ! S’écria une Manon furieuse. Tandis que Maman gémissait et se lamentait du traitement qu’elle subissait en même temps.

Sans tenir compte des injures et des paroles de leurs victimes, mes deux nouveaux acolytes se penchèrent sur une Anaïs ravie. 
La femme se pencha sur son buste pour lécher et caresser ses seins tandis que notre homme posait sa langue sur la chatte déjà humide de ma fiancée. Visiblement, ce traitement l’excitait prodigieusement. Elle me fixait tandis qu’Aurore me pompait lentement mais avec précision. Mon regard commençait sérieusement à se voiler et mon bassin imprimait un mouvement de va-et-vient involontaire, comme pour pénétrer plus avant la bouche merveilleuse qui m’accueillait à cet instant. 
Anaïs écarta d’elle-même ses cuisses et dit

-       Vas-y, suce ma chatte ! Oohhhh…cette langue sur mes seins…encooooore !

Je pouvais voir qu’elle prenait déjà son pied. À son tour, son bassin se déhanchait lentement, allant à la rencontre de cette langue qui lui procurait du plaisir. L’homme fit pénétrer deux doigts dans la chatte offerte et leur imprima un mouvement de piston lent mais ferme. 
Anaïs gémissait de plus en plus fort tandis que Manon continuait d’invectiver son bourreau, passant des insultes à la supplication. Sylvie, résignée, attendait que l’on s’occupe à nouveau d’elle. 
Alors qu’Anaïs était sur le point de jouir, je fis à nouveau tout arrêter.

-       Veuillez arrêter, s’il-vous-plaît ! 

Simultanément, l’homme et la femme stoppèrent leur travail et se tournèrent en même temps vers moi, un sourire au visage.

-       Vos amies sont délicieuses ! Murmura l’homme. Je suis ravi d’avoir pu y goûter et d’avoir participé à ce petit jeu.
-       Vous êtes cruel envers elle ! Me dit la femme dont le sourire démentait parfaitement les propos sévères qu’elle venait de me porter. Mais j’ai adoré aussi y goûter. J’espère que, une prochaine fois, nous pourrons bénéficier à notre tour de leurs charmes ?
-       Peut-être ! Dis-je tout en étant certain qu’il n’y aurait pas de prochaine fois. 
-       Bonne soirée ! Me répondit la femme tandis qu’ils sortaient, laissant la place à un nouveau couple. 

Aurore passait à présent ses mains sur ses seins, qu’elle caressait lentement tout en continuant de me faire profiter d’une fellation divine et calculée. Elle savait décidément exciter un homme et j’étais certain qu’elle n’était définitivement pas cette oie blanche dont l’image lui collait aux basques.
Elle pressait à présent ses seins l’un contre l’autre, me fixant d’un regard de braise duquel mon regard ne pouvait se détacher. Elle me montre ostensiblement sa langue qui faisait lentement le tour de mon gland, s’arrêtant sur le frein comme pour me stimuler encore un peu plus. Comme si c’était nécessaire. Ma respiration s’accéléra et je dus faire un effort monstrueux pour lui demander de se calmer et de ne pas me faire jouir immédiatement. 
Sylvie, Anaïs et Manon pouvaient sans la moindre hésitation, comprendre que mon orgasme était là, n’attendant qu’un ultime assaut pour déferler sur moi. Elles comprirent avec une même évidence qu’Aurore disposait d’atouts indéniables et que notre soirée ne faisait, à tous les deux, que débuter. 
Les deux femmes qui entrèrent à leur tour me regardèrent avec envie et une sérieux besoin de se jeter sur ma queue. Je tempérais leurs ardeurs en leur énonçant les règles.

-       Veuillez-vous occuper de ces trois femmes, s’il-vous-plaît ! Mais attention, pas d’orgasme pour elles. Vous les mener au bord et vous stoppez immédiatement. Nous sommes d’accord ?
-       Parfaitement ! Répondit la première, blonde comme les blés. 

Elle était superbement chaloupée. Une poitrine fière et orgueilleuse, des hanches marquées et un cul à se damner. Son mari m’observait de la porte d’entrée, curieux de la suite des événements. Je l’invitais à entrer mais il me répondit qu’il préférait garder un peu d’énergie et d’admirer sa femme se gouiner avec ces demoiselles. 
La seconde, brune mais avec un regard dans lequel je pourrais me noyer, possédait également une poitrine intéressante, bien que plus petite mais qui se tenait également parfaitement sans avoir besoin des artifices de la lingerie féminine. 
Ma nouvelle blonde amie se pencha sur les seins d’Anaïs et fit pénétrer directement deux doigts dans la chatte de ma fiancée qui se raidit sous l’attaque à laquelle elle ne s’attendait pas. Comme elle ne m’avait pas entendue donner mes instructions, mon sourire lui fit penser qu’elle allait enfin jouir. 
Mais je ne souriais que dans la perspective de ce qui l’attendait. 
Visiblement, la technique de la demoiselle s’avéra efficace car, moins de deux minutes après le début du traitement, ses doigts étaient recouverts d’une fine pellicule humide, issue de la chatte d’Anaïs qui dégoulinait de plaisirs. Sa bouche suçait avec avidité les seins offerts. Anaïs, dont la respiration et les soupirs s’accéléraient, était à nouveau aux portes du bonheur lorsque sa partenaire de jeu stoppa à nouveau ses efforts, posant sa bouche sur celle d’Anaïs pour entamer un jeu de langue des plus érotiques. Puis, elle se retira comme si rien ne s’était passé et se dirigea vers une Manon qui commençait visiblement à comprendre dans quelle pièce elle était en train de jouer. 
Sa brune amie avait fait se retourner Maman et lui léchait le petit trou avec voracité. Ses mains écartant les globes ou remontant vers la poitrine maternelle pour la caresser tandis que sa langue se frayait un chemin au travers de son anus et de cette peau si sensible. 
Maman soupirait d’aise sous le traitement et je pouvais voir que son plaisir était évident. Sa tête était rejetée en arrière, ses yeux étaient fermés et sa bouche grande ouverte pour tenter de récupérer l’air qui commençait à lui faire défaut. 
Lorsque sa partenaire pénétra ses chairs ouvertes, elle se tendit lentement et ses gémissements devinrent évident. C’est à cet instant que tout s’arrêta et, qu’à nouveau, la frustration envahit Maman, pour mon plus grand bonheur.

-       NOOOOOOON ! MEEEERDE ! FAIS-MOI JOUIR SALOPE ! PHILIPPE ! NOOOOON !

Je souris, ravi de la tournure des événements. 

-       Mesdames, vous êtes parfaites. Mais j’aimerai que, pour l’instant, vous vous contentiez de passer vos mains sur le corps de ma dernière amie, sans lui octroyer vos faveurs. 
-       Vous êtes redoutable ! Me dit la blonde. C’est une douce torture que vous leur infligez ce soir. 
-       Je vous remercie ! Dis-je sincère. 
-       Vous n’avez pas l’intention de les laisser jouir ? 
-       Je n’en sais encore rien ! Je vais aviser selon la suite des événements et de la soirée. Peut-être que si elles restent obéissantes, nous pourrions l’envisager.

Elles me sourirent et commencèrent à caresser les seins, les hanches, le cul, les fesses et le cou d’une Manon qui ne savait plus où elle était.

-       Aurore ! Fais-moi jouir maintenant. 

Je me tournais vers Anaïs et puis Sylvie, un sourire sardonique au visage. Elles blêmirent lorsqu’elles comprirent enfin ce que j’attendais de mon invitée.
Je posais alors une main sur les cheveux d’Aurore et, lentement, je lui imprimais un mouvement ample tandis que sa gorge accueillait ma queue tendue, de plus en plus profondément. 

-       Continue de toucher tes seins, Aurore ! Commandé-je avec détermination mais une voix douce et caressante. 

Cette dernière me sourit, difficilement puisque mon sexe jouait le rôle d’un piston entre ses lèvres, et recommença à caresser voluptueusement et avec des gestes amples, exagérant volontairement la prise en main de ses globes appétissants, dans le but de faire monter mon excitation d’un cran supplémentaire et de faire comprendre à ses rivales ce qu’elle entreprenait, se délectant à l’avance de mon offrande sur sa langue.
En face de moi, Anaïs et Sylvie semblaient au bord de l’apoplexie, frustrée par le ressac des orgasmes que je leur avais refusé précédemment et admirant une Aurore dans ses œuvres, m’amenant irrémédiablement cette fois vers un orgasme que je sentais dévastateur.
Manon n’était pas en reste. Sous les assauts conjugués de ses bourreaux, sa respiration s’accélérait, ses seins se tendaient et je pouvais voir qu’elle avait de plus en plus de mal à se maintenir sur ses jambes. Elle les écartait de façon presque obscène pour permettre l’intromission de plusieurs doigts dans sa chatte à présent dégoulinante de son plaisir. Les tortionnaires n’avaient pas suivi mes recommandations et je pouvais le comprendre. Il est difficile de résister à un corps comme celui de Manon dans un tel moment d’excitation, de stupre et d’absence totale de morale ou de scrupule. Mais je laissais faire, constatant l’état de désir avancé dans lequel ma victime se trouvait.
Les deux femmes amenaient, à son tour, Manon vers l’orgasme que son corps réclamait sans pouvoir le dissimuler. Elle hurlait en soupirant, ses muscles étaient tendus et elle poussait des râles qu’elle ne parvenait plus à contenir tandis que sa chatte était pénétrée par quatre doigts inquisiteurs et que ses seins étaient la proie d’une bouche, d’une langue et de deux mains avides. Le tout dans cet ordre. 

-       On arrête tout ! Dis-je en tentant de maîtriser le plaisir qui débordait mon cerveau. 

Immédiatement, les deux femmes lâchèrent Manon qui ne comprit pas tout de suite ce qu’il se passait. 
C’est en baissant la tête vers moi et en me voyant sourire tandis qu’Aurore allait avoir le privilège de recevoir mon sperme, qu’elle comprit et m’assassinat d’un regard noir. 

-       PUTAAAAAINNNN ! NOOOOOOOON ! PAS ENCORE, MERDE !

J’ai cru, à cet instant, qu’elle allait vraiment se mettre à pleurer tant sa frustration était évidente. Je ne pouvais qu’être heureux. Tout se passait à merveille. 

-       Aurore ? Tu es merveilleuse ! Je vais jouir ! Encore, s’il-te-plaît ! 

Cette dernière accentua encore un tout petit peu la pression de ses lèvres sur ma queue et sa langue tourna une fois de plus autour de la couronne sensible de mon sexe. Je fixais ses mains qui caressait ses seins et les vannes s’ouvrirent. 
Je ne pus contenir plus longtemps un orgasme que je refoulais du mieux que je le pouvais depuis quelques minutes. 
Tandis que je m’attendais à ce qu’elle retire mon sexe de sa bouche, Aurore me surprit encore en posant ses mains sur mes fesses pour me pousser plus avant entre ses lèvres. Mon sperme fit irruption en plusieurs jets puissants, au ravissement de la demoiselle qui l’accueillit à grand renfort de soupirs d’aise et de délectation parfaitement évidente. 
Sylvie et Anaïs firent de grands yeux en comprenant ce qu’il m’arrivait. Ma bouche était ouverte et il me semblait manquer d’air. Mes jambes ne me portaient plus que par habitude et j’avais du mal à rester concentré sur le moment présent, mon esprit s’envolant vers une volupté céleste. 

-       Mmhhhh….Tu es décidément surprenante, Aurore ! Tu m’excites à un point que je ne contrôle plus. Mais iras-tu encore plus loin en posant ta langue sur celle de mes compagnes pour leur faire partager un peu de mon plaisir et de ton talent indéniable ? Ou ne pratiques-tu pas l’amour saphique, possédant donc des barrières à tes fantasmes ?
Aurore se leva et me sourit. Elle remisa ses seins dans sa guêpière et, en ondulant quelque peu, se dirigea vers Maman. 
Elle posa sa langue sur ses lèvres et y déposa quelques gouttes de mon sperme encore chaud. Sylvie était tétanisée par ce geste. Elle me regarda éberluée et ne comprenant visiblement pas ce qu’il lui arrivait. 
Puis, Aurore se dirigea vers Anaïs. Cette dernière, comprenant ce que j’attendais d’elle, sortit sa langue et récolta à son tour sa part sur la langue d’Aurore. 
Enfin, Manon eut droit également à sa récolte. Mais je dus lui faire de gros yeux et lui montrer mon mécontentement pour qu’elle accepte de se prêter au jeu. Aurore, par vengeance féminine probablement ou comprenant que cette femme était la plus rebelle des trois, posa directement ses lèvres sur celle de Manon et l’embrassa à pleine bouche, faisant pénétrer sa langue, et par la même occasion le reste de mon sperme, dans la bouche de sa victime. 
Aurore, fière et heureuse de la tournure de la soirée, revint vers moi et me demanda

-       Et moi ? Vais-je enfin jouir ? J’ai la chatte en feu et je dégouline comme je ne l’ai jamais fait. Cette situation est terriblement excitante.
-       Tu es à moi, ce soir ! Personne d’autre ne te touchera tant que je ne t’aurai pas fait jouir plusieurs fois. Est-ce bien compris ?
-       Oui, Maître ! Me dit-elle en riant à pleines dents et en mimant de façon admirable le titre que mes compagnes m’attribuaient dorénavant. 

Je positionnais Aurore face aux trois femmes toujours attachées et je passais derrière elle. 
Mes mains prirent possession de ses seins arrogants et j’entamais une lente caresse de ces fantasmes masculins. Je posais mes lèvres sur le cou de ma partenaire et elle rejeta sa tête en arrière, pour me laisser l’espace nécessaire afin de satisfaire ma gourmandise. Sa peau était douce, soyeuse et elle sentait très bon. Pas un parfum ou un savon, non ! Elle sentait réellement très bon. 
Je descendis une main vers son string et je l’y introduisis. Je pus remarquer qu’elle disait vrai et que sa chatte était trempée par l’excitation de ce qu’elle venait de vivre.
Je retirais mon doigt et le présentais à ses lèvres. Elle sourit aux trois femmes et, en les fixant tour à tour, ouvrit sa bouche et sortit sa langue. Elle se goutait sur mon doigt, en ondulant des hanches comme pour appeler encore plus distinctement ma main à recommencer sa lente masturbation de son sexe. 
C’est à cet instant seulement que je pris conscience qu’une autre personne était présente dans la pièce.Antoine, le propriétaire des lieux, était assis au creux d’un canapé dans le coin le plus sombre de la pièce. Comme promis, sa présence se faisait effectivement des plus discrète et je ne me souvins pas du moment où il avait pénétré cette salle entre le moment où je lui avais parlé et cet instant précis. Il tenait son smartphone à la main et n’avait visiblement raté aucun des moments intéressants qui venaient de se produire. Il me sourit en se rendant compte que je venais seulement de le remarquer et il me dit 
— Je vous avais promis d’être discret ! Je tiens parole. Mais laissez-moi vous dire que je suis bluffé par votre audace et par votre perversité. Je n’en connais pas beaucoup qui vous arrive à la cheville, et pourtant j’en ai vu défiler dans cet endroit. Vous avez open-bar pour la soirée, vous et vos amies. Je ne voudrais pas que vous manquiez d’endurance, me lança-t-il dans un clin d’oeil qui était tout sauf discret.— Je vous remercie de vos largesses, Antoine. Ainsi que de vos compliments. Mais je pense également que vous n’êtes pas au bout de vos surprises, dis-je en lui dégainant mon sourire le plus sardonique.
Aurore, qui elle avait entendu chacune de ces paroles, frémit de plaisir et roucoula dans mon cou en s’y pendant langoureusement toujours le dos contre mon torse tandis que mes mains caressaient toujours ses seins offerts par la grâce de ses bras tendus pour attraper l’arrière de mon crâne, ce qui faisait gonfler sa poitrine sous mes doigts inquisiteurs. Sylvie, Anaïs et Manon avaient vu notre échange mais n’en avait rien compris. Je vis uniquement leur réaction à mon sourire, et celle-ci me remplit d’allégresse et de plaisir. Elles commençaient à perdre de leur superbe et les regards se faisaient lentement moins sereins. Une pointe d’inquiétude apparaissait au-dessus de leur aura et de leurs certitudes. 

La soirée venait de commencer. 
Et elle était loin d’être terminée.
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