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Une mère seule et triste

Chapitre 4

Inceste
Notre nuit de folie passée, Karine et moi nous levions en vitesse ce samedi matin car nous étions tous deux en retard, elle pour son travail, et moi pour le foot. En sortant, j’appelle un ami pour le prévenir de mon retard, tandis que ma mère me glisse un bisou dans le cou et me dit « à ce soir mon chéri », et elle fila à son salon en tenue d’esthéticienne, mais je voyais bien qu’elle me cachait quelque chose en partant aussi vite. Après mon match, qui s’était soldé sur une victoire 3-1, nous décidions moi et les autres joueurs d’aller fêter ça d’un le bar du coin puis par une partie de foot sur le sable des Calanques avec des potes, et je décidais d’appeler ma mère pour la prévenir que je ne serais pas là quand elle rentrerait du boulot. L’après-midi c’est très vite passé et il était déjà 17h 30 quand je rentrais, et que j’entrais dans la maison, j’hurlais « Karine, tu es là ? ». Pas de réponse, donc je décide d’explorer le rez-de-chaussée, le jardin, la cave, le garage puis je monte au 1er et là, je vois la porte de la salle de bains ouverte, et ma mère, allongée dans la baignoire, dans un bain relaxant, mousseux, parfumé… écouteurs sur les oreilles, j’entre doucement et m’approche de ma belle à pas de velours pour ne pas la déranger et elle s’aperçoit de ma présence et me souhaite une bonne soirée, elle me raconte sa journée et me précise qu’elle avait hâte d’être à ce soir pour pouvoir enfiler l’ensemble qu’elle a acheté hier, et qui m’avait plu. Elle me proposa d’entrer dans la baignoire avec elle, (il est vrai que dans la baignoire, 4, voir 5 personnes pouvaient entrer en même temps) et je me déshabillais pour m’asseoir à ses côtés.Lors de notre bain, nous avons parlé de tout et de rien, du match de ce matin, de nos histoires de cœurs et puis le moment fatal, notre relation incestueuse. On parlait beaucoup de ça, on se disait que peut-être on devrait mettre quelqu’un de confiance au courant, et lui faire jurer le silence, et elle me proposa d’en parler à sa sœur, Alicia, un peu plus jeune qu’elle, car depuis toute petite, elles partagent tout même les hommes, et les confidences de leurs prouesses avec eux. J’eus un moment d’hésitation jusqu’au moment où elle glissa sous l’eau et vint me faire un début de fellation. Tout de suite, je n’avais plus de doute, et j’acceptais sa proposition, même si cela faisait longtemps que je n’avais pas vu ma Tante Alicia (Tante Lili comme je l’appelais étant petit), effectivement, cela devait bien faire 10 ans qu’elle avait quitté Marseille pour monter à la capitale, et j’allais la revoir dans quelques jours.Durant les jours (et les nuits) qui vinrent, nous avions fait l’amour près d’une quinzaine de fois, et en ce mercredi matin, ma mère décida d’appeler sa sœur Alicia pour qu’elle passe une semaine de vacances avec nous. Elle accepta assez facilement. Cet après-midi, en rentrant de mon entrainement, j’arrivais et m’approchais de Karine qui faisait le ménage dans le salon, et je passais mon bras le long de sa taille et elle se retourna pour m’embrasser (ce qu’elle embrasse bien, c’est divin) et je lui fis la proposition de monter dans sa chambre et de faire l’amour pour essayer quelque chose de nouveau, elle ne se dégonfla pas et je décidais de faire comme dans les films et de la porter dans mes bras jusqu’à NOTRE chambre et de la déposer sur le lit avant de me déshabiller pour passer à l’acte. Elle se déshabillait aussi et je la rejoignais sous la couette. On s’embrassait pendant que je la pénétrais, et qu’elle commence à gémir puis directement à jouir suite aux violents coups de reins que je lui donnais, puis je jouis en elle à mon tour, ensuite je lui proposais un « autre jeu » :— Voudrais-tu que l’on essaye quelque chose de nouveau ?— Oui pourquoi pas, c’est quoi ?— Ca ! (tout en lui agrippant les fesses)— Ah, je vois, tu voudrais tester la sodomie avec moi…— Oui, c’est cela, quand dis-tu ?— Je suis partante, mais fais attention, cela fait bien quelques mois que je ne l’ai pas fait donc sois prudent et ne me fais pas mal.— Ne t’inquiète pas mon amour, tu n’auras pas mal, je te lubrifierais comme il se doit.Et je commençais par lui enfiler un doigt dans le vagin pour l’humidifier de sa cyprine puis le faire glisser jusqu’à son anus où je pénétrais son petit trou avec un doigt, et elle se mit à gémir de douleur, puis de plaisir, et j’en profitais que son trou se dilate pour glisser un 2ème doigt et pour accélérer mes va-et-vient dans son cul, puis arriva vite le 3ème puis le 4ème doigt. Je ne pus résister à lui dire « Cela fait vraiment quelques mois, je dirais plutôt quelques jours » et elle s’empressa de me jurer qu’elle ne s’était pas faite enculée depuis le mois de février, lors d’une sortie avec des copines, elles ont chauffé quelques mecs et elles ont fini par coucher avec eux. Je fus choqué sur le moment mais à l’idée de me dire que ma mère se laisse facilement baiser ne m’a pas étonné. Et sur ce, je commençais à l’entendre gémir de plaisir, des râles puissants qui remplissaient la pièce. Je m’arrêtais pour ne pas la faire jouir trop tôt, et je m’installais derrière elle, confortablement pour pouvoir la prendre en levrette. Son cul était magnifiquement serré et je ne pus retenir ma semence très longtemps, et au bout de quelques va-et-vient, je jouis en de longs jets de sperme, tandis que ma mère jouit elle aussi sous les violents assauts de mon foutre, et on s’allongea l’un sur l’autre, mon sexe encore dans son anus, mais il avait légèrement faibli, et j’attendais qu’il se ramollisse complètement pour pouvoir le sortir facilement, mais l’attente fut longue et je finis par m’endormir sur ma mère. Le lendemain matin, lorsqu’elle se réveilla, Karine me réveilla aussi pour pouvoir aller préparer le p’tit déj de ce matin. En arrivant dans la cuisine, je m’aperçus que ma mère avait préparé 3 couverts pour le petit déjeuner, j’eus à l’idée que ma tante allait arriver plus tôt que prévu, et ce fut effectivement le cas, ma mère allait la chercher à 10h, à la gare. J’étais impatient de revoir ma tante, cela faisait si longtemps. Lorsque ma mère partie, je décidais de prendre une douche et de préparer plusieurs scénarios pour lui annoncer ma relation avec ma mère, qui était aussi sa sœur. En sortant de la salle de bains, je m’habillais et je descendis dans le salon pour commencer un jeu vidéo en les attendant.Quand elles arrivèrent, Karine portait les valises de sa sœur tandis qu’Alicia se jeta dans mes bras pour m’embrasser comme une tante envers son neveu, mais sur le coup, je vis une chose qui me figea littéralement : elle avait une paire de seins volumineuse, qu’elle mettait en valeur par un débardeur moulant, un minishort en jeans super court qui lui arrivait un peu en dessous du string (que je pense qu’elle porte) une paire de lunettes de soleil sur le crâne, et le sac à main autour du coude. En fait, elle ressemblait plus à une cagole comme on dit chez nous. Mais lorsqu’elle me prit dans ses bras, elle me serrait si fort, que je pus sentir ses tétons se dresser contre mon torse. Je regardais ma mère qui elle, me fit un clin d’œil qui voulait tout dire. Ma tante se décolla de moi et je décidais de lui proposer un rafraichissement, mais elle n’en voulut point car elle en avait déjà eu un, plus tôt dans la matinée. Je lui proposai donc de s’installer dans le canapé pour discuter de tout et de rien. Au bout d’une heure, elle me posa des questions sur ma vie sentimentale, et je lui répondis que je n’avais pas de copines, et elle posa une main sur mon genou, et commençait par me regarder avec un œil différent, un œil sournois et malicieux. Ma mère arriva au salon, et nous annonça que le repas était prêt. Alicia et moi-même nous levions et je la laissais passer devant, comme tout homme galant que je suis, elle me remercia par un simple « Merci jeune homme » accompagné d’un sourire enchanteur, elle me prit ma main et la caressa doucement avant de se la passer autour de sa taille. On arrivait à la salle à manger et je m’empressais d’ôter ma main de là. Nous nous installions tous, ma mère et ma tante de chaque bout de la table, et moi au milieu de ses deux créatures de rêve. Je bandais si fort que je pouvais briser du béton avec. Au beau milieu du repas, Alicia engagea la conversation, et elle colla son pied sur ma verge bandée et se mit à la frotter, je faillis m’étouffer, tandis que je regardais ma mère me faire un autre clin d’œil. Je fus perturbé par l’attitude des deux femmes qui étaient à mes côtés. A la fin du repas, nous débarrassions tous la table, et ma mère, en passant à mes côtés, me chuchota :— Elle sait tout, plus besoin de lui cacher notre amour.— Qu’a-t-elle dit ?— Rien.— Tu en es vraiment sûre ?— Oui…— Oui, mais quoi ?— Pourquoi tu dis ça ?— Je te connais comme si tu m’avais faite ? Si tu dis « oui » comme ça, c’est qu’il y a quelque chose que tu me caches.— En effet, je te cache quelque chose, mais je ne suis pas sûre de ta réaction et de ton accord.— Tu peux tout me dire, je t’ai promis, et, couchant avec toi de tout t’accorder, tu es comme ma femme maintenant…— Bon… Elle veut participer à nos ébats…— Ok.— Quoi, tu es d’accord, tu ne cherches pas à savoir si je suis d’accord moi !— Si mais je suis sûr que tu ne m’en voudras pas, et que tu en rêves.— C’est vrai, donc je peux lui proposer pour ce soir ?— Vas-y.— Merci chéri.Et elle s’empressa de prévenir sa sœur de la bonne nouvelle.(La suite au prochain chapitre…)
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