Cela fait quelques jours que j’ai déménagé à Paris. Je loue un studio grâce au peu d’argent que je peux me faire à droite ou à gauche mais surtout grâce à une généreuse aide de mes grands-parents. Moi c’est Marc et je viens d’avoir vingt-quatre ans, physiquement je me range dans la moyenne, je mesure un mètre quatre-vingts. Je me trouve assez bien dans ma peau. Je suis un éternel célibataire mais j’espère que cette nouvelle vie va tout changer. Mon école supérieure me prend une grande partie de mon temps. Si bien que même les week-ends ne sont qu’une suite de révisions. Il m’arrive bien sûr de sortir de l’appartement de temps à autres mais cela reste rare.Un jour alors que j’étudiais dans ma chambre l’album de mon groupe préféré en fond je reçus un message. C’était Julien un camarade de classe avec qui je m’entendais bien, il me proposait de le rejoindre lui et des amis dans une boîte de la banlieue me certifiant que son ami qui conduisait ne buvait plus depuis quelque temps. Je lui renvoie un texto lui disant que je viendrais volontiers, il me renvoya un autre message précisant l’heure et le lieu de rendez-vous. À l’heure dite Julien m’attendait entouré de quelques autres personnes, ledit conducteur Sandra une belle brune portant une robe noire et Agathe une ravissante blonde ayant opté pour un haut blanc et une petite jupe sombre. On se fait la bise. Le conducteur s’appelle Carl, il me serre la main chaleureusement avant de monter dans la voiture. Je me retrouve alors à l’arrière entouré des deux jeunes femmes. Carl démarre la voiture et on y va, les deux gars à l’avant se mettent alors à discuter de tout et de rien si bien que je me retrouve entre ces deux amazones, j’ai tellement peur de me mettre la honte devant elles que je ne dis rien. Heureusement elles se mettent à discuter de sujet féminin, mon sang boue dans mes veines, je jette des œillades à droite puis à gauche l’air de rien. Alors que Sandra avait choisi une robe qui mettait en valeur sa belle et généreuse poitrine Agathe elle a une taille plus dans la moyenne si je puis dire. Mon cerveau et en ébullition, si bien que j’ai du mal à rester concentré sur la conversation, Julien me sauve alors en débutant une conversation sur le dernier film qu’il avait vu au cinéma. Ouf ! Je le connaissais, on en discute alors pendant quelques minutes avant que Carl range la voiture dans le parking. Notre petit groupe entre alors dans la discothèque après avoir passé le contrôle d’identité. Carl prend les devants et entre dans la salle où le DJ venait de changer de musique, Julien propose aux filles d’aller au centre de la piste pendant que moi et Carl on se dirige vers le bar. Je décide alors de prendre une boisson sans alcool au contraire de mon compère du moment. Mon regard est attiré par toutes ces demoiselles en mini-jupe qui se trémoussent dans la salle. Quel pervers je dois faire, mais je m’en fiche et puis avec autant de monde chacun observe chacun. Carl se met à boire et à discuter avec une fille et la seconde d’après se dirige vers les WC, rapide le mec. Mon attention se porte alors sur Sandra qui vient de me rejoindre.« - Tu t’amuses ? Me dit-elle.— Ça va oui !— Allez, viens danser ! »Sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit elle me prend la main et me dirige vers Agathe qui danse d’une façon provocante en se frottant sur les quelques mecs qui l’entourent. Une vraie allumeuse celle-là. Sandra met alors sa main sur la mienne, on danse alors pendant quelques secondes avant que Carl se joigne à nous. Il s’approcha d’Agathe et débuta une danse rapprochée... Sandra pose sa main sur mon épaule, elle me regarde dans les yeux puis m’invite à danser plus loin. Elle s’approche de moi se colle, souffle sur ma nuque avant de s’éloigner puis recommencer. Une érection me rend à l’étroit dans mon slip. Je regarde Sandra danser au rythme de la musique, je m’approche... mon Dieu qu’elle et belle, passe ma main dans le creux de ses hanches... sentir ces seins contre ma poitrine. Sandra me sourit avant de s’éloigner et recommencer à se trémousser. La musique s’arrête, j’ai chaud et pourtant je n’ai pas l’impression d’avoir dansé autant que cela. Sandra passe devant moi me frôlant. Julien me regarde de loin le regard envieux je pense qu’il doit rêver de sauter cette allumeuse. Mais moi... j’aime aller lentement, la musique s’arrête et notre petit groupe se reforme autour d’une table. Sandra s’installe juste à côté de moi. Agathe s’absente alors prétextant vouloir se refaire une beauté. Les deux mecs se regardent alors et partent vers un groupe de jeunes filles. Sandra prend alors son verre sur la table et le porte à ses lèvres, mes yeux se focalisent sur sa poitrine si parfaite.« -... Alors ?— HEU... quoi ? Dis-je.— Ils te plaisent ?— Quoi ?— Mes seins, idiot, tu es focalisé dessus. » Gloussa-t-elle.Mes joues deviennent rouges, je bégaye une réponse qui la fait éclater de rire.« - Tant que ça !— Hé bien...— C’est ta copine qui serait jalouse de moi. Rit-elle.— Je... Enfin...— Tu es célib ? C’est pour cela que tu nous matais à l’aller ! »Je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie. Sandra me regarda dans les yeux... Le temps s’arrête... je m’approche d’elle, de son visage, de ses lèvres... « Wow ! Tu es entreprenant comme mec dit donc ! » Dit-elle avant d’éclater de rire. Je prends maladroitement mon verre et le porte à mes lèvres. J’ai honte, je me sens tellement con. Je n’ose plus la regarder mais Sandra n’abandonne pas, j’ai l’impression qu’elle aime me torturer ainsi. Mais je ne savais pas que cette inaction de ma part me plongeait de plus en plus dans son piège. Quel était-il ? Je n’en savais rien. La soirée finie, Julien et moi laissons les filles et Carl. Sandra m’avait donné son numéro, la veille j’aurais pris cela pour une victoire mais la jolie brune n’était plus celle que j’avais rencontrée quelques heures plus tôt. J’étais la gazelle qui s’était délibérément jetée dans la gueule du lion... ou plutôt ici de la lionne. En rentrant chez moi je vis que ma mère avait envoyé un message me demandant si tout allait bien. Je lui répondis que c’était un environnement super et que je m’étais fait de bons amis, elle s’en réjouit et me souhaite bonne nuit. Le lendemain matin, Sandra m’envoya un message coquin suivi d’une photo d’un string rose couvert de mouille avec le message « Tu m’as bien excitée hier ! Bisous. »Ma bite se dressa immédiatement, je la sors alors pour me soulager en regardant la photo de la petite culotte mouillée. Et en quelques minutes à peine j’éjacule de grosses traînées blanches qui maculent mon t-shirt. Une fois ma bite revenue à sa taille normale je lui envoie une photo de mon t-shirt avant de le mettre au sale. La réponse fut presque immédiate, sa bouche ruisselante de mouille la langue se léchant la lèvre supérieure avec un simple mot. « Miam ! »
