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Une nouvelle exposition

Chapitre 1

Erotique
Le musée est fermé aux visites et le nouveau directeur en profite pour convoquer ses trois conservateurs. Nous nous présentons curieux de savoir l’objet d’une telle réunion. Le directeur nous apprend qu’il a réussi à obtenir des fonds conséquents pour faire une grande exposition temporaire. Il nous demande donc d’établir chacun un projet avec comme objectif principal de faire venir un maximum de monde. Sa nomination pour ce poste a été faite justement pour redynamiser le musée. Nous avons deux semaines pour penser notre dossier.
Deux semaines plus tard je pense avoir le bon projet : la sexualité dans l’art, l’imaginaire, et la réalité. Thème vaste et souvent représenté, il sera facile d’avoir des œuvres et des objets du quotidien qui s’y prêtent et surtout ça reste un sujet qui plaît et attire. Mon projet est accepté, le directeur me nomme donc commissaire de la prochaine exposition.
Quelques mois passent et tout est enfin en place. Différentes salles amènent le visiteur à explorer les fantasmes humains à travers des peintures, des textes, des objets... À la fin de l’exposition il est permis aux visiteurs d’écrire sur de petites feuilles leur âge, leur sexe, leur fantasme. L’idée étant de produire ensuite un retour sur l’exposition et avoir des données pour un éventuel sujet de recherche.
L’exposition connaît un réel succès, faisant venir pas mal de monde et notamment des jeunes, public souvent difficile à attirer pour un musée... Chaque jour je récupère les feuilles et je commence à avoir une bonne base de données et parfois une grande curiosité vis à vis de qui à bien pu écrire tel ou tel fantasme.
L’heure de la fermeture approche, je décide donc de venir dans les salles récupérer les feuilles du jour. Les agents sont en train de pousser les gens vers la sortie et je vois alors qu’une femme est en train d’écrire son fantasme. Elle est habillée d’une jupe légère, d’un haut blanc et de sandales à talons. Je parle un peu à l’agent pour laisser terminer cette inconnue. Puis je la vois qui dépose son papier sur la pile et s’en va. Le bruit de ses talons sur le parquet résonne et invite à la suivre du regard au moment où elle quitte la salle.
Je prends l’ensemble des feuilles de la journée et en profite pour lire le dernier fantasme écrit, profitant du fait que pour une fois je peux mettre un visage dessus. Son fantasme est décrit ainsi : "oublier le contexte de ma vie le temps d’un moment, me livrer à un homme que je n’aurais vu que de dos, une silhouette qui me plairait, sentir l’excitation monter avant de prendre son sexe en bouche, boire le jus de cet inconnu, le voir pour aller plus loin ou en rester là selon l’émotion du moment."
L’idée me plaît, je n’ai qu’une envie lui courir après pour lui proposer de le réaliser mais je me ravise. Ça ne se fait pas. Je retourne à mon bureau dépose les papiers et décide de rentrer chez moi avant que l’orage, qui menace durant cette chaude journée d’été, n’éclate. Alors que je traverse le musée j’entends le tonnerre, trop tard me dis je. Tant pis je verrais à l’accueil s’il n’y a pas un parapluie qui traîne.
La boutique est également sur le point de fermer, je vois que quelques visiteurs stagnent sous le portique à l’extérieur. Ils n’osent affronter les éléments et je remarque alors ma visiteuse. Elle attend, comment faire autrement, dans sa tenue elle serait particulièrement exposée aux intempéries.
Je la rejoins sous le portique et dans son dos lui dis : "bonsoir, je suis le commissaire de l’exposition que vous venez de faire, j’ai lu votre fantasme et il m’intéresse. Si vous souhaitez le réaliser le temps que les éléments se calment, vous pouvez me suivre jusque dans mon bureau, sinon je vous souhaite une bonne soirée".
Je fais demi tour sans attendre la réponse, de toute façon je n’ai pas spécialement envie d’être trempé non plus. Après quelques secondes sans percevoir quoi que ce soit derrière moi je me dis tant pis, il fallait essayer. C’est alors que j’entends des bruits de talons qui me suivent et se rapprochent à un rythme soutenu.
Elle me rejoint en restant un mètre derrière et sans un mot, nous montons les escaliers au bruit de la pluie qui vient faire concurrence à celui de ses pas. Nous arrivons devant mon bureau situé sous les toits. Je lui dis d’attendre en demeurant les yeux fermés, au bout de quelques secondes elle sent un tissu satiné venir bloquer sa vue. La guidant à l’intérieur du bureau je la sens fébrile mais excitée.
Sans un mot je viens me placer derrière elle, je sent son parfum, mon souffle dans sa nuque lui provoque un frisson. Je pose mes mains sur son ventre, l’attire contre moi, passe sous le haut et tout en lui embrassant le cou mes mains remontent en la caressant jusqu’à arriver sur sa poitrine que je masse par dessus son soutient gorge en dentelle. Je sens ses tétons pointer, je lui retire son haut puis son soutient gorge, voyant que cela ne fait que renforcer son excitation je poursuit et fait tomber sa jupe sur ses chevilles puis je prends plus mon temps à faire descendre la culotte en m’agenouillant pour retirer le tout. La voici nue les yeux bandés face à un inconnu qui prend le temps de la détailler.
Je vais dans un coin de la pièce où il y a toute sorte d’objets que j’aurais pu utiliser pour l’exposition mais qui semblaient trop peu adaptés au musée. Revenant avec quelques objets je lui attache les mains dans le dos avec une corde douce. Je la fais alors se pencher en avant jusqu’à ce qu’elle sente sa tête venir se poser sur mon bureau. Elle prend conscience que sa position est indécente et que la voilà toute offerte.
Je viens caresser ses fesses avant de lui claquer, elle lâche un cri de surprise mais se cambre un peu plus. Je m’agenouille, reproduis le schéma caresse fessée. J’écarte ses jambes, passe dessous pour atteindre son clito que je lèche et aspire. Elle soupire d’envie, je remonte le long de ses lèvres lentement jusqu’à arriver à son vagin que je pénètre de ma langue. Sa mouille est enivrante, je l’entends gémir mais je n’arrête pas la mon exploration. Ma langue reprend sa route et arrive à son anus, je la sens surprise je viens poser une main sur sa fesse de manière ferme. Elle ne bouge plus. De mon autre main j’attrape du lubrifiant et en enduit un plug. Je retire ma langue, fait couler du lubrifiant sur son anus avant d’y présenter un doigt. Je test sa dilatation, elle ressent un plaisir qu’elle ignorait, en gémissant elle commence à onduler du bassin. Après quelques vas et viens je remplace mon doigt par le plug. Elle ne peut s’empêcher de pousser un petit cri lorsque la partie la plus large passe son anus. Ma main libre vient mettre deux doigts dans son vagin, sa respiration se fait chaque seconde plus forte. Je sens le plug à travers ses parois intimes. Alors que je la sens prête à jouir je me rappelle son fantasme.
Je sort alors mes doigts, prend un gode vibrant télécommandé et le place en elle doucement cherchant à éviter l’orgasme. Je me relève, la prend par le bras pour la relever, elle tremble d’excitation. Je la guide derrière mon bureau et m’assois sur mon fauteuil, la faisant se pencher en avant puis s’agenouiller. Je retire mes chaussures, sort mon sexe et lui libère les mains. Elle les remonte le long de mes jambes jusqu’à trouver l’objet de convoitises. Elle prend mon sexe en main et commence à le branler lentement avant de venir le lécher sur toute sa longueur. Du bout de sa langue elle insiste sur le gland, le lèche avec avidité avant de le faire disparaître dans sa bouche. Sa langue s’agite dessus, elle l’aspire. Je pose une main sur ses cheveux, les rassemble pour les empêcher de tomber sur son visage. De mon autre main j’active le gode qu’elle a en elle. Ça la fait se cambrer puis bouger son bassin. Je viens placer un pieds entre ses jambes contre son clito. Elle se frotte dessus en bougeant, je sens ma chaussette devenir toute trempée. Ma prise sur ses cheveux me permet de l’accompagner et petit a petit de l’emmener plus loin puis plus rapide, de la même façon j’augmente la cadence du gode. Elle semble a nouveau sur le point de jouir, sa bouche se referme un peu plus sur mon sexe rendant le passage plus étroit, me donnant l’impression de baiser sa bouche. Je sens l’orgasme venir également et décide de me laisser aller sur sa langue, elle peine à tout avaler je sens de la bave et du sperme couler sur mes testicules alors que dans un cri étouffé elle jouit également. Elle prend quelques secondes pour reprendre ses esprits puis vient lécher mon sexe sur toute sa longueur pour récupérer ce qui a coulé. Elle embrasse mon gland sans passer a côté d’une dernière succion.
Je la relève et la guide jusque devant la porte du bureau. Elle est dos à moi. Je lui enlève son masque ses vêtements sont devant elle. L’orage a cessé mais la pluie qu’on avait oublié continue de tomber. La voilà qui hésite, doit elle laisser là cette aventure sans visage et presque sans parole ou se laisse t elle aller un peu plus loin...
Que feriez vous ? Et qu’auriez vous écrit à sa place ?
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