Dany me demande : C’est vraiment ce que tu souhaites, devenir Sarah ? Oui, depuis que je t’ai revue, ça me travaille, j’ai envie d’être désirable et de paraître femme. Est-ce que tu peux m’aider ? Elle me regarde avec son sourire en coin.Elle ne répond pas tout de suite, je sens qu’elle aime me faire languir. Alors, tu veux m’aider ? D’accord, mais je réclamerai une récompense après. Une récompense... humm. Ne t’inquiète pas, ce ne sera pas une question d’argent ni quelque chose d’impossible pour toi. Je prends un moment pour réfléchir... D’accord, va pour la récompense. Je vais aussi te demander de faire des choses qui risquent de te surprendre, tu devras me faire confiance. Oui, je comprends et je suis d’accord, je te fais confiance. Elle prend son téléphone et tapote un message. Dès qu’elle le repose, le mien bipe comme si j’avais reçu un SMS. Lis le message et réponds-moi. Daniel, je ferai en sorte que tu puisses réaliser ce que tu m’as demandé, à savoir Devenir Sarah. Dès que nous jugerons le résultat atteint, je te dévoilerai ma récompense. Réponds oui, je le veux, si tu es d’accord. Je tape le message de réponse : "Oui, je le veux".
Elle regarde son portable, esquisse un sourire puis en voyant l’heure, se lève brusquement. Mince, je vais être en retard à mon rendez-vous de l’après-midi. Elle pose 2 billets sur la table et met son gilet. Je prends les billets et lui rends. L’addition est pour moi. Merci Daniel. Je te rappelle plus tard. Elle me fait la bise et sort de la brasserie en courant. Sitôt l’addition payée, je rentre chez moi et je me mets devant l’ordinateur pour consulter mon compte en banque et placer ma prime sur plusieurs placements plus ou moins risqués.Je navigue un peu sur le Net et je consulte des récits de travestis. La plupart des récits sont tous orientés sexe et plus ou moins réalistes, mais je tombe sur un texte où la personne décrit son vécu en tant que travesti.Elle explique la découverte de son moi féminin, de son mal-être vis-à-vis de sa famille et son envie d’être habillée de tenue féminine, de paraître le plus féminine possible sans passer par l’étape transformation définitive.Je me retrouve un peu dans son récit. Mon moi féminin, je l’ai découvert quand Georges m’a imposé le fait de me travestir en femme en remerciement de travaux qu’il a fait chez moi.J’ai même été plus loin que je ne l’aurais imaginé, car je me suis offert (e) à des inconnus sans qu’on ne me l’impose.Par exemple, le jeune avocat qui est venu avec une injonction de paiement de dette de l’entreprise de Georges, j’aurais pu prendre son papier et le remettre à Georges, mais je me suis offerte à lui pour obtenir un délai.J’ai aimé séduire des hommes, et le fait qu’ils me prennent me procure le plaisir, non seulement charnel, mais aussi le plaisir d’être désirée en tant que femme.Ces hommes ont pris du plaisir avec moi et moi aussi j’en ai pris.J’en arrive à cette conclusion : j’aime me sentir femme tout en sachant que je suis un homme. Le lendemain, je reçois un appel d’une agence d’intérim qui me propose une mission d’une semaine pour mettre à jour des sites Web.J’accepte la mission, d’autant plus que la moitié du temps, je travaillerai chez moi. Je me rends à la société pour prendre de connaissance du travail que j’aurai à faire. C’est une mission assez simple, payée correctement sans plus.La société est une petite start-up de 5 ou 6 employés, on m’explique que l’un d’eux est malade et le travail doit être fini rapidement. Je vais travailler avec Christiane, une femme d’une cinquantaine d’années, chargée de la partie graphique des sites web, moi je serai chargé de la partie programme. Christiane n’est pas très belle, mais elle prenait soin d’elle et était toujours élégante et féminine. Même si je pouvais travailler chez moi, je passais quand même à l’agence rien que pour Christiane et sa féminité. Je la trouvais sexy même si elle portait toujours des tenues sages : jupe au niveau du genou, chemisier ou pull couvrant tout le haut de son corps et des chaussures à talons pas trop haut.Je regardais aussi sa manière de se mouvoir, de s’asseoir. Tout chez elle n’était que féminité. Tout cela ne m’empêchait pas de travailler correctement et nous formions un duo très efficace. Au bout de 2 ou 3 jours, lorsque nous étions en train de manger, elle me posa la question : Est-ce que je te plais ou c’est ma manière de m’habiller qui te plaît ? J’ai failli m’étouffer et je restais un moment sans savoir quoi lui dire. Oui, j’adore ta façon de t’habiller, ton mari doit être très fier. Elle rougit un peu. Il aimait beaucoup, il est parti dans un autre monde il y a quelques années. Je continue à me vêtir ainsi en souvenir de lui et de là haut il doit apprécier qu’il n’est pas le seul à aimer. Oh, je suis confus, désolé. Ne t’excuse pas, il est mieux là où il est. A se moment, elle décroise ses jambes et je ne peux m’empêcher de la regarder faire. Elle me sourit et prend son verre. A la tienne, petit voyeur... A ce moment, c’est moi qui rougis, comme pris en faute comme un gamin. A partir de ce moment, nous sommes devenus très complices. Elle m’avoua qu’elle aimait être désirée, mais qu’elle n’a jamais refranchi le pas depuis que son mari était parti. Cela ne lui manquait pas du tout.Je n’étais pas prêt à lui dire que je m’étais déjà travesti et que j’avais eu des relations avec des hommes.Je lui avouai seulement que j’aimais les tenues féminines. Elle me fit un clin d’il en disant : Je vais pouvoir t’aider. Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire jusqu’à ce qu’elle me pose la question. Tu aimerais que je t’habille en femme ? Surpris par la question, je bafouillais un : Oui, peut-être, juste pour voir. Ça peut s’arranger alors. Tu es libre ce soir ? Oui, je n’ai rien de prévu. Alors, après le travail, nous irons directement chez moi. L’après-midi se passe sans problème et le soir venu, elle me conduit chez elle. Elle habite un grand appartement pas très loin de notre lieu de travail. Cest un peu grand pour moi, mais je n’ai pas eu le cur de la vendre, j’ai trop de bons souvenirs ici. Tu veux boire quelque chose pendant que je vais voir ce que j’ai ? Oui, un verre de jus de fruit, ce que tu as, ça ira. Elle me sert un jus de pomme puis quitte la pièce. Elle revient quelques minutes après. Comme promis, je vais t’habiller en femme. Voici quelques tenues qui devaient t’aller. Mets-toi en sous-vêtements, ça ne te gêne pas au moins ? Un peu. Alors, on va faire comme ça, je te mets le tout dans la salle de bain et tu te changes. Je rectifierai les détails après. Elle m’ouvre la porte de la salle de bain, je suis surpris de la découvrir si grande, elle fait la taille d’une chambre avec une baignoire, 2 vasques et une douche à l’italienne. Si tu ne veux pas que je te vois nu, mets le jupon par-dessus ton slip, et après, tu m’appelles et je t’aide à mettre le reste. Je regarde ce qu’elle m’a mis. Un ensemble culotte et soutien-gorge en dentelle, un porte-jarretelles avec des bas fins, un jupon, un chemisier et une jupe droite. Tout est magnifique. Je me mets nu puis le passe les sous-vêtements. J’avais oublié comment c’était agréable de porter de la lingerie, même le jupon est très soyeux. Elle m’appelle depuis le salon. Ça va, tout se passe bien ? Oui, merci. Pour les chaussures, ça va être un peu plus difficile, on va devoir opter pour des chaussures ouvertes, tu fais quelle pointure ? Je fais du 40-41. Je fais du 39, ça devrait aller. Machinalement, je m’aperçois que j’ai mis la culotte après le porte-jarretelles, comme me l’avait conseillé Dany. La sensation des bas sur mes jambes fait grossir mon sexe dans la culotte. Calme-toi, me dis-je. Je regarde sur la coiffeuse les produits de maquillage. Japplique un peu de fond de teint sur mon visage pour cacher les quelques poils de barbe, puis je me maquille les yeux comme Dany me l’avait montré.Je me brosse les cheveux afin d’obtenir une coiffure androgyne. Je passe ensuite le chemisier et la jupe. Christiane est incroyable, elle a deviné ma taille. En sortant de la salle de bain, je me rends compte que je suis censé être quelqu’un qui ne s’est jamais habillé en femme... Tant pis, me dis-je, je vais lui avouer la vérité. Je me dirige vers le salon et je vois Christiane me sourire. Oh, tu es superbe, ce n’est pas la première fois que tu t’habilles en femme, n’est-ce pas ? En rougissant, je lui réponds : Non, en effet, désolé... Elle me coupe et me dit : Ne t’inquiète pas, je l’avais remarqué. Je suis très observatrice et tu ne me regardais pas avec l’il d’un homme qui admire une femme avec envie, mais avec celui d’un homme qui a envie d’être une femme. Tu regardais ma façon de me mouvoir, tu regardais ma tenue, non pas comme un genre de pervers, mais comme un admirateur. Je rougis de plus belle. En plus, je te voyais regarder les autres femmes du groupe de la même manière, comme quelqu’un qui apprend. Elle prend une pause et me tend une paire de mules. Ces chaussures devraient t’aller, elles ne sont pas fermées derrière, ton pied va un peu dépasser au niveau du talon, mais ça ira. Merci, c’est vraiment gentil. Je me place devant elle et insère les pieds dans les chaussures ouvertes. Elle me regarde et me dit : En plus, tu as fait l’effort de te maquiller, comment dois-je t’appeler maintenant ? DanielLE (Elle insiste bien sûr LE) Non, appelle-moi Sarah. Eh bien, Sarah, est-ce que tu veux me faire l’honneur de dîner avec moi ce soir. Cela fait un moment que je n’ai pas eu d’invitée. Avec plaisir, merci. Elle se lève et se dirige vers la cuisine. Boulettes de viande avec de la ratatouille, ça te va ? Oui, très bien, j’arrive t’aider. Pas la peine, c’est déjà prêt, juste à réchauffer. Elle fait chauffer le repas et met la table. Viens manger, c’est prêt. Je m’installe, elle me sert et nous mangeons face à face l’une de l’autre.Je me mets à la regarder et je vois qu’elle me regarde aussi, qu’elle m’examine.Je sens une envie chez elle d’en découvrir plus chez moi.A la fin du repas, elle me dit : Sarah, j’aimerais te demander quelque chose. Oui, Christiane, dis-moi. J’aimerais que tu me fasses l’amour comme une femme, qu’on se gouine toutes les deux, si tu veux bien. Je me lève et je m’approche d’elle. Je me penche et prends sa tête entre mes mains pour l’embrasser. Voilà ma réponse. Je lui prends la main et nous nous installons sur le divan. Nous nous enlaçons, nos lèvres se touchent, un long baiser...Je sens sa main sur ma cuisse et me caresse tendrement.Je l’imite et nous devenons de plus en plus excitées.Les baisers se font plus sensuels, les caresses plus appuyées.Je passe la main dans son dos à la recherche de la fermeture éclair de sa robe. Je dénude ses épaules et l’embrasse dans le cou. Laisse-toi faire, Christiane, je m’occupe de toi. J’entends ses soupirs de plaisir. Je descends vers sa poitrine, pendant que mes mains détachent son soutien-gorge pour pouvoir m’occuper de sa poitrine.Je lèche son téton puis je le prends entre mes lèvres. Je le tète comme un bébé qui tète le sein de sa maman.En levant la tête, je la vois fermer les yeux et apprécier ce que je lui fais.Ma main descend sur sa cuisse et je m’insinue entre ses cuisses. Elle écarte ses cuisses comme pour m’autoriser à aller plus loin.Ma main se pose sur sa culotte qui est humide. Je quitte son téton pour l’embrasser tout en écartant sa culotte pour glisser ses doigts dans sa cavité humide.Sa respiration s’accélère à mesure que mes doigts entrent en elle et que je l’embrasse avec passion.Je l’allonge sur le divan, j’ôte sa culotte et je me place la tête entre ses jambes.Ma langue se met à la recherche de son clitoris pendant que ma main caresse sa cuisse. Ho Sarah, fais-moi jouir, cela fait tellement longtemps... Ma langue lèche son clitoris, sa respiration devient de plus en plus rapide, son petit bouton grossit et je le prends entre mes lèvres pour le sucer comme son téton tout à l’heure.Son sexe devient de plus en plus humide, je m’apprête à insérer mon majeur entre ses lèvres humides.Son liquide est un peu amer, mais agréable au goût. Mon doigt est avalé si facilement dans son minou, je joue avec mon doigt dans sa cavité, je tourne, je m’enfonce, je me retire...Elle commence à crier de plaisir... Oh oui, oui oui encore, j’adore..... J’ôte mon doigt pour y mettre ma langue, ma main caresse son sein.J’adore caresser les seins, c’est tellement agréable. Les siens sont plus petits que ceux de Dany, mais tellement plus sensibles. Ses tétons sont tout durs.Son sexe est trempé et ma langue imprégnée de son liquide d’amour, je la sens vibrer sous mes coups de langue et mes caresses, elle est sur le point d’exploser... Oh Sarah je vais jouir..... oooouuuuiiiiiiiiiiiiiii. Elle explose sur mon visage, j’ouvre grand la bouche pour réceptionner sa cyprine. Elle m’inonde la bouche et le bas du visage.Je me relève et je vois le bonheur sur son visage. Je l’allonge à côté d’elle, je pose mes lèvres sur les siennes pour un long baiser langoureux. Merci Sarah, c’était trop bon, mais tu n’as pas pu en profiter pleinement. Ne t’inquiète pas, j’ai pris de plaisir presque autant que toi, j’ai aimé te faire jouir et j’ai respecté ton souhait que je sois une femme qui te fait l’amour. Elle m’embrasse à nouveau. Merci encore pour ce moment, Christiane, pour ça et pour m’avoir permis d’être une femme. Tu veux prendre une douche ? Oui, merci, tu m’as inondé... hihihihi. La douche me fait un bien fou.Je m’habille et je salue ma nouvelle amie avant de retourner chez moi.Elle me fait un clin d’il en disant : Sarah sera toujours la bienvenue ici. A demain. A demain, Christiane et merci pour cette soirée. Je marche vers ma voiture en me félicitant de cette soirée, la meilleure depuis un long moment.