Ce soir là, je dormais j’ai un ami, Guillaume, il dort dans la même chambre que sa sœur, Estelle, une petite brune avec une poitrine pas bien grosse.Leur mère avait installé un matelas entre le lit de Guillaume et le lit d’Estelle mais par sens de l’hospitalité, Guillaume me laissa son lit et décida de dormir sur le matelas.Le soir venu, Guillaume et moi étions persuadé que sa sœur était endormie, notre conversation dévia donc sur le sexe, nous nous racontions nos expériences.J’avais le barreau, je commençais donc à me caresser doucement, j’entendais alors du bruit sous le drap de Guillaume, lui aussi se branlais !« Tu te branle mec ! »Guillaume rigola :« Ben ouais, fais en autant ! »« Mais t’inquiète j’ai déjà commencé ! »On poursuivit nos branlettes respectives.« Mathieu ? »« Oui ? »« Ça te dirait pas de me branler ? »« Mais qu’est ce que tu me demandes là Guillaume ! »« Ben quoi ça va ! Entre potes ! Si tu veux je te branle aussi ! »J’étais très excité, aussi je répondis « Ok ».Guillaume s’installa à côté de moi dans le lit et passa sa main sous la couette, il commença à faire des vas et vient avec sa main sur ma verge.Je fis de même. C’était bon de sentir une autre bite que la sienne.On s’agitait de plus en plus. Je finis par craquer :« Tu veux que j’te suce ? »Guillaume ouvrit de grands yeux, j’avais peur de sa réponse :« Oh que oui ! Vas-y ! »Je me glissais sous la couverture et approchais ma tête de sa queue.Elle n’était pas très grande mais assez épaisse, je continuais de le branler.J’approchais mes lèvres de son gland et déposais un petit bisou sur celui-ci. Ce n’était vraiment pas désagréable.Je léchais sa verge des couilles jusqu’au gland, comme une glace, je le léchais ainsi un moment avant d’enfin le prendre en bouche.J’aspire son gros gland, il me remplissait bien la bouche, je pompais sa verge de plus belle.Je l’entendais pousser de long soupires, presque des gémissements, je m’activais donc encore sur sa belle bite.Après quelques minutes de ce traitement, je sentis sa verge se remplir, son gland gonflé et tout explosa. Le sperme me gicla au fond de la gorge, le goût n’était pas écœurant, je me forçais à avaler ce précieux liquide. Je sortis la tête de la couette, j’avais du foutre qui dégoulinait sur mon menton, Guillaume me nettoya tout ça, goutant à son propre jus et me roula une bonne pelle.« Merci, c’était génial, me dit-il, maintenant je vais te rendre la pareil »Je m’allongeais sur le dos, et il glissa sous la couette…
