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une nuit hors du temps...les désirs interdits

Chapitre 3

Hétéro
Mais je n’arrivais toujours pas à trouver le sommeil. Je me sentais frustré de devoir m’arrêter après une telle expérience. Je voulais continuer, je devais continuer. Tout en douceur, je posai ses mains, le long de son corps, et me reculai un peu afin qu’elle puisse se mettre sur le dos. Ce qu’elle fit doucement sans même s’en rendre compte. Lucie semblait dormir paisiblement, avec un petit sourire illuminant son visage. Je décidai d’y aller franco, et je descendis délicatement la bretelle du haut de pyjama de satin...puis l’autre bretelle faisant apparaître la poitrine magnifique de ma soeur.
« Waahh...je crois que je viens de faire un rêve au moins aussi cochon que le tien! » me dit-elle subitement, ne s’étant apparemment pas encore rendue compte de la situation. « C’était si bon! David me manque trop!!!...mais qu’est ce que je fais les seins à l’air moi? » « Bah, écoute, je veux pas que tu m’en veuilles...mais bon, tu te rappelle quand on jouait au docteur, étant petit? »« Jouer au docteur, tu te fous de moi? Tu connais le sens de cette expression? Déjà, d’une, on était gosse, et de deux, si je dis que j’ai joué au docteur avec mon frère de 23 ans, les gens se poseraient des questions, tu crois pas?! Je répète ma question, qu’est ce que je fais seins nus? »« Bah t’en fais pas; je suis ton frère après tout. Il n’y a pas de pudeur entre frère et soeur, si? »« Sauf si l’un des deux déssape l’autre, tu crois pas? » me répondis-t-elle, visiblement amusée, une fois passé l’effet de surprise. «  Et pourquoi tu as soulevé mon haut? »« Je m’ennuyais...j’ai pas sommeil, trop chaud! Et puis, il faut dire que tu as éveillé mon intérêt avec tes seins à l’air tout à l’heure. »« C’est vrai qu’on crève de chaud içi. Mais là n’est pas la question: si j’avais continué de dormir, t’aurais fait quoi? C’est presque flippant tu trouves pas? Tu es mon frère! »« Alors quand on est gamin, tout nu dans un bain, qu’on se touche les parties, c’est pas gênant, mais quand on dort torse nu l’un à coté de l’autre, ça devient un crime? »« Ne fais pas l’andouille, tu vois exactement de quoi je parle...T’as vraiment du bol qu’il fasse aussi chaud! Même sans la couette j’étouffe... Bon tant pis, j’enlève mon haut mais tu te retourne, s’il te plait...« Arrêtes voir un peu, je les ai vu tout à l’heure, et tu n’as rien dis... »« Oui, mais c’était avant que tu t’amuses à me déssapper » me répondit-elle en se couchant sur le ventre. « Bonne nuit! »
Mais je sentais bien que cette position ne lui convenait pas. Elle bougeait sans arrêt, puis semblant subitement se souvenir du motif de cette position inconfortable, elle se remettait sur le ventre.
Après de longues minutes, elle finit par abdiquer:« Bon, ça va. Dans cette position, je peux pas dormir. T’es chiant hein! Oh, et puis zut, après tout, si ça t’amuse de mater mes seins, moi j’ai besoin de dormir. Et puis, personne n’y trouverait à redire, c’est pas comme si on faisait des trucs cochons. D’ailleurs, ça me fait repenser à mon rêve avec David... »
Je ne répondis rien à ce sujet, me rappelant juste le degré d’humidité du sexe de ma soeur, traduisant en effet, son niveau d’excitation au souvenir de ce rêve, combiné à mes entreprises dont elle n’avait pas souvenir.« Lucie...depuis tout à l’heure on dort dans les bras l’un de l’autre, et mes mains sont souvent en contact avec tes seins.. »« Oui, j’ai senti ça oui. Et alors? »« Un peu plus ou un peu moins, ça te dérange si je les caresse? Je trouve que tu as une poitrine magnifique. Y’a des fois, j’ai les boules que tu sois ma soeur, parce que tu es plus jolie que toutes mes ex. Et puis, sorti du contexte, c’est saoulant de dormir à coté d’un canon, sans pouvoir la toucher. ».« Tu me trouve si belle? C’est vrai? Ca me touche venant de toi, parce que je sais que c’est sincère, contrairement aux gros lourds qui te sortent un « t’es bonne» en guise de compliment... En même temps, on peut guère sortir du contexte, comme tu dis, tu crois pas?»« Arrêtes, depuis tout à l’heure je les touche sans m’en rendre compte » dis-je dans un horrible mensonge. « Un peu plus un peu moins, ça change pas grande chose!. Et...oui, tu es magnifique, à la salle de bain, je pensais que c’était quelqu’un d’autre », le répondis-je, en tout honnêteté.
« Ok pour les toucher. Ce ne sont que des caresses après tout. Et puis, si ça te calme un peu, après, on pourra au moins un peu dormir. Il est 2h30 heures du mat’, j’hallucine! »
Je m’assis donc sur le ventre de ma soeur et me mis à lui masser les seins en me concentrant afin de lui donner un maximum de sensation.
« Tu sais que ça fait un bien fou?me dit-elle. « Tu as appris ça où? »« Nulle part, je suis mon instinct. »« Et ben ton instinct masse très bien! »
Sans lui demander son avis, je me mis à lui lécher la poitrine, les têtons. D’abord surprise, elle finit par ne rien dire. Caresse ou salive, aucun mal irrémédiable n’était fait. Et puis, des petits gémissements réguliers me firent comprendre qu’elle appréciait cette initiative.
« Tu es vraiment magnifique, tu le sais? » lui dis-je.« Attends, ça devient un peu bizarre », me répondit-elle, en déduisant des mouvements bizarres de la couette que mon pénis avait repris ses exercices. Waouw, je suis toute chose là...mais tu sais, là, ça devient même glauque. On est frangin....et toi tu bandes! Je ne veux pas que cette nuit vienne bousiller les liens qui nous lient. Et quand même, c’est pas courant de se faire caresser et léchouiller les seins par son frère... »« Ecoutes, on va dire que ce qui se passe cette nuit est en dehors du temps. Ca n’existe pas. Ca sera un instant perdu, comme si on était en train de rêver et de dormir. Ce ne sera que cette nuit, Lulu. Et puis bon, on ne fait que se toucher; c’est tout: on ne fait de mal à personne. De simples caresses...rien de plus! Ca n’ira pas plus loin».
« Je n’en suis pas si sûr, justement » me dit -elle. « Et ça me fait un peu peur . Entre mon rêve étrange de tout à l’heure, tes caresses et cette chaleur de l’été, j’ai peur de perdre le contrôle. J’ai un copain, et il hallucinerait s’il me voyait ainsi. Et puis,tes caresse me font du bien. Elle font naitre en moi des envies malsaines. »« Ecoutes, tu me l’as dit tout à l’heure, ton copain, il est loin, et il te manque aussi physiquement. Tu éprouves ce manque. Mais il ne serait pas jaloux de ton propre frère! Lulu, c’est un pacte, ok? Tant que rien de mal n’est fait, on peut un peu se laisser aller, non? Comme quand on était gamin. Tu as déjà eu mon petit soldat dans ta main, et ça faisait rire maman! Tu te rappelle pas? »« Oh, si, répondit elle... continue tes caresses, j’adore ça! » me répondit-elle, apparemment un peu plus sereine.« On peut un peu se laisser aller Lulu, y’a pas de mal à se faire du bien, nan? Ca sera la seule nuit de notre vie, après tout. Je suis un homme, et tu es une femme. Pas de panique, ce ne sont que des caresses »« En attendant, on voit que tu n’es pas à ma place. Toi, tu ne ressens rien, tu t’amuses. J’aimerais bien te voir à ma place! »« Bah si tu veux me caresser le torse, moi, ça ne me gênerait pas. Et si ça peut te permettre de déculpabiliser un peu... »
Sans attendre que je termine, Lucie se redressa et inversa nos positions. Comme j’étais déjà torse nu, elle me fis des petites caresses sur les pectoraux, et quelques baisers mais en descendant plus bas, elle se rendit compte que j’étais complément nu.
« Ben mon cochon, on peut dire que tu t’es bien foutu de ma gueule oui! T’es complétement à poils! »« Ca n’a rien à voir, je crevais de chaud. Et tu n’as pas voulu enlever la couette au début je te rappelle... »« En tout cas, je ne te laisse pas indifférent non plus on dirait » me lanca-t-elle avec un petit sourire complice.« Je ne suis qu’un homme! Et tu es si belle »!
Tandis que je parlais, Lucie pris mon sexe en main.
« Au docteur, hein? » me dit-elle, avec un gros sourire. « Tes caresses m’ont rendue complétement folle! » termina-t-elle avant d’enfouir mon pénis dans sa bouche. Le paradis sur Terre, je croyais réellement rêver. Lucie était en train de me pomper, avec un enthousiasme incroyable. Les coups de langues sur mon gland mêlés à la surprise et à l’excitation, me donnèrent une envie de jouir très rapidement. Lucie faisait faire des aller retour à mon gland entre sa bouche et le fond de sa gorge profonde. Elle arrivait à placer mon sexe en entier dans sa bouche.
«Juste cette nuit, hein? lui répondis-je en enlevant son shorty. Je me mis à mon tour à brouter le minou de ma soeur, et les effluves de liquide vaginal achevaient de parfaire mon excitation. J’enfouissais ma langue au plus profond de la chatte de ma soeur qui semblait aux anges. Je trouvais rapidement le clitoris de Lucie, et le lapai tantôt doucement, tantôt rapidement, tout en enfouissant deux doigts dans son vagin. L’effet provoqué pas mes caresses la fit accélérer le mouvement. Je n’eus pas le temps de lui faire comprendre quoique ce soit et je jouis dans sa bouche, à grandes pompes. Je continuais mes caresses, sans toutefois me rendre compte que mon pénis était toujours en érection, et en redoutant un peu que Lucie m’en veuille de ne pas l’avoir prévenue. Mes craintes ne durèrent pas, puisque je constatais rapidement que Lucie me regardait avec un clin d’oeil, me montrant tout le sperme qui avait jaillis dans sa bouche sur sa langue, avant de l’engloutir goulument, et de finir un nettoyage en profondeur de mon sexe. De mon coté, aux crispations mesurées de ma soeur, je compris vite que mes coups de langues l’avait faite jouir.
« Hummm...je ne pensais pas que je pourrais dire ca à mon frère un jour,...mais que c’était bon! »me dit Lucie. Mais je rêve ou tu bandes encore! Je te fais tout cet effet? »«Je te le répète, tu es magnifique. Tu ne regrettes rien? On a bien dépassé le stade de la caresse mammaire tu trouves pas? »« Ecoutes, je crois qu’avant de me coucher, j’aurais condamné, par principe la moindre caresse de la part d’un frère sur sa soeur. Quel que soit le lien les unissant. A la limite, même les demis frères et demies soeurs tu vois. Mais ce soir, j’ai fais un rêve et j’ai eu des sensations si forte, que je ne me suis plus du tout contrôlée! De la folie: je pense qu’on devrait pas être autorisé à passer 6 mois sans baiser! »« Ben en même temps, t’as pas baisé là, faut pas pousser. »« Oui, mais je parle de jouir avec un homme, finalement, ça se ressemble. Mais là, ça va mieux. Même si en y repensant, j’hallucine! J’ai fais un 69 avec mon frère. C’est dingue. »« Oui, et vu le sirop que tu as consommé, tu as l’air d’avoir aimé ça! »« Dis moi que tu n’as pas aimé, hypocrite. Quoiqu’il en soit, ca restera entre nous. C’était une parenthèse, et on n’en reparlera jamais, même pas entre nous. C’est fini. Maintenant, il faut dormir! »
Je me couchais donc au contact de ma soeur, et essayais de trouver le sommeil. Au bout d’un moment, je fini par comprendre que je passerais certainement une nuit blanche. La vision de ma soeur me suçant la bite était là, persistante, et le goût de son liquide vaginal, était toujours dans ma bouche. Au lieu de me calmer, cette vision m’avait radicalement dopé. Je décidais de braver les conclusions de ma soeur, et m’enfouis sous la couette. Je constatais qu’elle était toujours à poil, et en la contournant par le fond lit (ou ce qu’il en restait, car il ne ressemblait plus trop à un lit) je remontais sous la couette, la tête né à né avec son sexe. Je n’eus le temps de mettre que trois ou quatre coup de langues avant que Lucie ne m’éjecte radicalement.
« On a dit stop là, merde! T’es con ou quoi? »« Et qu’est ce que ça change? »lui répondis-je.« On est frangins, voilà ce que ça change. Alors plus de massage léchage de sein ou de minou. Dodo maintenant! »« Ok. Pfff, t’es pas drôle. Bonjour la nuit hors du commun! »« Dis t’es gonflé! Tu en connais beaucoup toi des types qui se sont fait sucer la bite par leur soeur? »« Ok, oublie, bonne nuit. »
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