Il commence à me parler et je reste choquée par ce qu’il me dit, je ne le connais pas, comme ça, j’en reste comme deux ronds de flan. — Tu aimes ça te faire prendre par 2 mecs dans ta voiture hein ? Tu joues les salopes à sortir en boîte à moitié à poil, et couverte de sperme ? Tu crois que je ne t’ai pas vue partir avec eux ? Que je ne t’ai pas suivie ? Mais si je t’ai suivie, je t’ai regardée et j’ai adoré jouer les voyeurs et te voir te faire prendre comme une salope par tous les trous. Oh oui, j’ai aimé ça. Touche ma queue, comme elle est dure pour toi. Je vais te prendre après eux, je vais te défoncer ta petite chatte et ton joli petit cul. Parce que tu es ma salope, tu m’appartiens. Je n’ai jamais vu Romain comme ça. Dominateur, il m’excite, rien qu’avec ses mots, je suis prête à faire tout ce qu’il me demandera, je veux être soumise à lui. Il attrape mes poignets et me les plaque dans le dos, pour m’empêcher de le toucher, avec une écharpe posée sur ma chaise, il me les attache. Je ne peux plus bouger mes mains. Je suis entièrement soumise à lui. D’un coup, il arrache mon haut et mon soutien-gorge qui descendent le long de mes bras et sont bloqués à mes poignets. Ma jupe prend le chemin de mes chevilles. Il m’attrape et me porte devant le lit, me demande de me mettre à genoux, ce que je fais, je le vois enlever ses vêtements et me dit : — Alors c’est ça que tu aimes ? Hein. Qu’on te domine ? Je voulais pas te montrer mon côté dominateur, je ne pensais pas que tu serais une soumise, je voulais prendre mon temps, mais ce soir, tu m’as montré que tu l’étais. Je vais donc te traiter comme tu dois l’être, et je vais être ton maître pour ce soir et les jours à venir. As-tu compris ? Que m’arrive-t-il ? Je devrais lui dire non, que je n’aime pas le SM, que je refuse d’être sa soumise, mais mon corps me dit autre chose. Je me sens submerger d’un désir incontrôlable, et là, je m’entends lui répondre : — Oui maître, je serai votre soumise tant que vous voudrez bien de moi. Il se place devant moi et me dit. — Ouvre la bouche. J’ouvre ma bouche et me voilà avec son sexe à l’intérieur, il me baise la bouche comme s’il me baisait le vagin. Je suis trempée. Ma cyprine coule le long de mes jambes, tellement il m’excite. Ses mains sont posées sur ma tête pour m’empêcher de me reculer. Il enfonce sa grosse queue plus profondément dans ma bouche, elle touche mon amygdale. D’un coup, il se recule et me dit de me mettre sur le lit à 4 pattes. Forcément avec les bras dans le dos, je me retrouve la tête dans le matelas, le cul en l’air sur les genoux, les jambes écartées. Il se penche et me lèche du clito à mon anus. Je suis trempée. Mon anus est encore dilaté de tout à l’heure. Il se place juste derrière moi et me pénètre le vagin d’un coup. Je hurle de plaisir. Je me sens pleine à nouveau, mais je réagis de suite. — Tu as oublié le préservatif. Une claque magistrale retombe sur mes fesses et j’entends : — Je ne t’ai pas autorisée à parler salope. Pas de préservatif, tu m’appartiens, je fais ce que je veux, si tu tombes enceinte, ce n’est pas grave, vu que maintenant, tu es à moi. Je n’en croyais pas mes oreilles, mais j’ai répondu. — Oui maître, je suis à vous, baisez-moi, engrossez-moi. Faites de moi ce que vous voulez. Je ne me reconnais pas, mais j’aime ça. J’aime sa queue et son côté dominant, lui qui était tendre, trop tendre pour moi, je me suis trompée.Il s’est retiré de mon vagin et m’a prise sauvagement dans mon petit trou, j’ai hurlé de douleur, et la douleur s’est changée en plaisir, un plaisir intense. — Je vais jouir, Maître.— Vas-y jouis salope, je jouirai dans ta chatte après. Il m’a fait jouir avec ses grands coups de queue, mon vagin et mon anus se sont contractés, il s’est retiré, a attrapé une lingette bébé que je garde toujours à côté de mon lit, s’est nettoyé vite fait la queue, et m’a de nouveau pénétré la chatte. Sa main est passée sur mon clitoris, il joue avec, je vais repartir, c’est sûr. Je le sens se raidir dans mon dos. Son sexe pulse, et là, je le sens éjaculer en moi, je sens sa semence prendre possession de moi. D’un coup, il se retire, me détache les bras, me les caresse et me dit. — Je t’ai toujours aimée, maintenant, je sais que tu m’appartiens, je vais te chérir et tu feras tout ce que je te demande. — Oui maître. J’accepte tant que vous me baiserez comme ça et que vous me respecterez devant nos amis. Depuis 6 mois, nous sommes ensemble officiellement, je suis sa soumise et j’aime ça. Il m’a offerte à plusieurs hommes et me regarde me faire prendre. Il aime être cocu et voyeur. Et j’aime tout ce qu’il me donne. Fin
