Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 26 J'aime
  • 1 Commentaire

Une nuit à l'opéra

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Les choses se passaient trop bien pour que Fersen ne précipite pas plus les évènements. La petite Maire était fort prometteuse en voluptés nouvelles, et très sensible apparemment à son charme. L’excitation durcissait encore le sexe de Fersen, et son pantalon laissait clairement deviner son excitation, qu’il dut cacher avec son chapeau pour sortir de la pièce. Les couloirs de l’opéra étaient bondés ; c’était l’entracte. Mais il ne comptait pas laisser tomber là son affaire. Terriblement excité, bandant comme un taureau, il passa sa langue sur sa lèvre. Il partait à la chasse. Il croisa quelques connaissances qui le reconnurent à peine tant ses traits étaient déformés par la luxure.
Il retrouva Marie avec sa famille près du buffet. Elle se tenait la tête baissée, visiblement gênée et honteuse. Ses seins avaient repris leur place initiale dans son corsage, bien qu’un observateur attentif pouvait distinguer le haut d’un mamelon rose, révélateur de la tension sexuelle que subissaient ses seins. La trace de cyprine qui avait traversé tous les jupons de sa robe pour en tacher l’extérieur avait disparu.
Lorsqu’elle le vit, elle comprit. Il fallait se soumettre au désir du comte, sinon il ne la laisserait jamais, et c’était la ruine aux yeux de sa famille. Il fallait lui donner ce qu’il voulait : elle-même. Il lui fit un signe de tête vers une petite salle de réception déserte, dans laquelle elle le rejoignit quelques instants plus tard. C’était un petit salon avec un canapé, quelques fauteuils et une table basse. Elle entra, le cœur battant, et résignée à se donner entièrement à cet homme qu’elle connaissait à peine. Il le fallait. Sans vraiment comprendre pourquoi, elle sentit un liquide humide couler entre ses cuisses dès qu’elle le vit, et son sexe se mit à pulser avec force. C’était presque gênant, et elle serra instinctivement les jambes sous sa robe. Mais un morceau de tissu fut pris dans le mouvement, et le frottement stimula le clitoris qui n’attendait que de gonfler. Marie eut un moment de panique.
Elle, une fille de bonne famille, obligée de coucher avec cet homme pour qu’il la laisse tranquille, ressentant une émotion nouvelle entre les jambes à la simple vue de ce dernier ? Si elle avait été seule, elle se serait donné du plaisir immédiatement pour faire partir cette sensation. Mais elle ne put pas.
Fersen la regardait, toute troublée. Il s’approcha d’elle et prit son menton pour le relever. Elle n’osa même pas le regarder dans les yeux. Il l’embrassa sur la joue, doucement, puis glissa sur sa bouche qu’il baisa avec tranquillité puis avec fureur, la mordant presque. Marie se laissait faire, complètement passive. Elle laissait accélérer la fin. Il la plaqua contre un mur et ses mains commencèrent à remonter les multiples jupons de sa robe, dévoilant des jambes parfaites, aux cuisses rondes et fraîches. Il pressa son pantalon gonflé d’envie contre son aine, et le frotta du haut vers le bas. Marie ne put réprimer un gémissement. Le tissu épais et rêche la brûlait... et lui procurait une délicieuse sensation qu’elle refoulait au plus profond d’elle. Fersen continua longuement, pressant de plus en plus fort son pantalon contre sa chatte. Et puis Marie n’y tient plus.
Elle ne voulait pas seulement se faire baiser pour avoir la paix ; elle voulait qu’il aille jusqu’au bout du plaisir qu’il lui faisait ressentir, elle voulait jouir de cet homme si viril et sûr de lui et accueillir sa semence en elle.
Alors elle se rua sur le pantalon du comte, n’y tenant plus, déboutonna la ceinture et le laissa glisser jusqu’à ses chevilles. Le magnifique chibre de Fersen apparut alors, et Marie agrippa cette queue et tomba à genoux pour commencer à la sucer. Elle donnait de grands coups de langue, descendait de haut en bas, attrapait les bourses d’une main qu’elle faisait rouler entre ses doigts tandis que de l’autre elle branlait la hampe majestueusement tendue. Fersen aurait pu jouir immédiatement, s’il n’avait pas eu un parfait contrôle de lui-même. Il la redressa et lui plaqua avec force les cuisses contre le mur. Marie était ainsi écartelée et maintenue, le sexe offert. Fersen put enfin s’insérer en elle avec un râle de soulagement ; sa queue était si bien humectée par la salive et le sexe de Marie si dilatée par l’excitation qu’il la pénétra d’un coup sec, jusqu’au bout. Marie eut un cri de surprise, teinté de plaisir, qui dut s’entendre au dehors de la pièce où ils étaient.
Mais il y avait tant de gens dehors au buffet que personne n’avait dû entendre. Fersen la pilonna, donnant de grands coups de boutoir dans ce jeune sexe offert à lui. Marie, la tête rejetée en arrière, serrait les dents, les yeux exorbités. Elle chercha à prendre encore plus de plaisir en ondulant des hanches sous lui, si bien qu’elle finit par trouver le point qui faisait exploser toutes les terminaisons nerveuses de son système. Elle attrapa les hanches du comte, qui eut un mouvement de surprise, et les guida dans la bonne direction et à la bonne vitesse. Mais Fersen n’appréciait pas que l’on puisse prendre du plaisir sans lui.
Il sortit d’elle, et, le sexe rouge et tendu, il se détourna. Marie fut horrifiée, elle entendait pourtant la respiration saccadée du comte, elle ne comprenait pas ce qu’elle avait fait de mal ! Il lui dit alors d’attraper le dossier d’une chaise avec ses deux mains. Marie le fit, et se cramponna. Il lui passa alors ses jupes par-dessus la tête, dégageant son fessier galbé. Fersen fit glisser un index de l’anus jusqu’au clitoris, récoltant l’humidité de sa raie. Puis, sans prévenir, il la pénétra violemment par-derrière. Maire poussa un cri de douleur, chercha à se débattre... Mais il ne lui avait pas demandé de se maintenir pour rien, et donna de grands coups sans ménager sa rosette. Il avait quand même à cœur de ne pas la priver complètement de plaisir pour l’instant, et lui massa avec deux doigts le clitoris, qu’il pinçait légèrement. Fersen poussait des râles de plaisir, la fin était bientôt proche.
Il changea de trou et la prit en levrette, son doigt excitant toujours ce qui pouvait l’être. Marie avait commencé à pousser de petits gémissements de plaisir, qui se transformèrent en cris. Puis, il saisit sa taille à deux bras, donna deux grands coups, la laissa jouir en hurlant et avant d’éjaculer lui-même sur sa fesse. Il ne se retira pas et resta en elle jusqu’à ce que ses vagues de plaisir se calment. Lorsqu’il rompit leur étreinte, Marie était échevelée, rouge, les yeux luisants de plaisir, les petites lèvres gorgées d’envie et le clitoris décalotté. De la sueur perlait sur son décolleté. Elle remit sa robe en place, garda le sperme sur elle et remonta elle même le pantalon de Fersen pour le reboutonner. Elle lui lança un regard reconnaissant et sortit. Fersen reprenait un peu ses esprits lorsqu’il entendit un toussotement dans un coin de la pièce.
Assis sur un canapé, dans un coin d’ombre de la pièce à laquelle ils avaient tourné le dos pendant leurs ébats, se tenait assis le frère de Marie.
— Eh bien mon brave, je vois que vous avez donné bien du plaisir à ma petite sœur !
Fersen sursauta, les yeux écarquillés.
— Comment êtes-vous entré, balbutia-t-il ?— Croyez-vous que je n’ai pas vu votre petit manège dans la loge ? Vous m’avez donné bien du plaisir ! Je savais que vous termineriez ce qui avait été commencé, alors je me suis installé ici et j’ai attendu. J’ai fort apprécié le spectacle. Voyez-vous cette tache, là (il lui montra un coussin) ? Vous m’avez forcé à me masturber contre un coussin, vilains que vous êtes ! Quoique je n’ai pas vraiment à me plaindre...— Vous allez prévenir votre famille, c’est ça ?— Oh non... Je ne pense pas. En tout cas pas tout de suite. Voyez-vous, ma sœur et moi partageons des liens de sang... et de chair. Vous avez remarqué qu’elle n’a pas beaucoup saigné pour une vierge, n’est-ce pas ?
Fersen resta muet. L’autre continua, appréciant son trouble :
— Quoi qu’il en soit, cet affront ne restera pas impuni. Passez chez moi demain soir. Nous trouverons un moyen de régler cela.
Puis, il se leva, et, avec un léger sourire aux lèvres, lança un regard lubrique avant de passer sa main entre les jambes de Fersen, pressant légèrement ce qui pouvait encore être stimulé.
Diffuse en direct !
Regarder son live