Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 86 J'aime
  • 2 Commentaires

Une nuit qui dérape ...

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Nous nous retrouvons donc en cette belle soirée d’été, après avoir partagé un agréable dîner avec des amis, au cours duquel Caroline a bu plus que d’habitude, sans doute pour oser franchir le pas, oser me tromper ouvertement, même si cela se fait d’un commun accord.
Car ce soir, Caroline a souhaité franchir un pas de plus … Alors que je l’observerais, elle devait séduire un homme lors d’une soirée en boite et voir ce qu’elle se sentirait capable de faire. Elle me confie qu’elle aurait envie de sucer une belle queue, peut-être même deux si l’occasion se présente de rencontrer deux amis …
Nous avons choisi un club que nous ne pensons pas trop fréquenté par nos relations. Elle a choisi une petite robe noire sophistiquée, très courte couvrant à peine ses fesses que les volants évanescents découvrent lorsqu’elle bouge, dont le profond décolleté laisse entrevoir ses tétons et tenant par deux petites bretelles.
Après nous être une première fois aventurés sur la piste, je me dirige vers le bar alors que mon amie persiste au milieu des danseurs.
Je l’observe du coin de l’œil, me doutant que son visage, son corps, sa robe ne vont pas laisser indifférente la gente masculine.
D’abord timide malgré l’alccol, elle danse bientôt sans retenue dans un coin de la piste. Insensiblement un petit groupe d’homme se réunit à proximité, lui lançant des regards intéressés, l’entourant parfois, afin de nouer le contact.
Souriant de manière presque angélique, elle se trémousse à la fois de manière très élégante, innocente et provocante au milieu de ce groupe d’une dizaine d’hommes (visiblement des amis), avec lequel se crée de toute évidence une certaine intimité. Lequel choisira-t-elle pour réaliser notre fantasme ?
Sa petite robe noire est suffisamment transparente et courte pour laisser deviner l’absence de sous-vêtements... ce qui ne laisse pas de marbre ses courtisans, qui ne laissent pas passer une occasion de lui caresser les bras ou de la prendre par le creux des reins pour un pas de danse, gestes auxquels elle réponds d’un coup d’œil entendu.
Y ayant été invitée, elle les suit dans un coin de la salle, à leur table, pour partager un verre et faire connaissance. Assidûment entourée de deux hommes, assise sur un canapé, sa robe remontant presque à la naissance de ses jambes et laissant sans doute entrevoir sa petite chatte à son vis-à-vis, elle accepte sans broncher les effleurements sur ses jambes et ses bras.
Ayant repris leurs tours de danse, je me mêle petit à petit au groupe, sans qu’il ne se doutent de l’existence d’un quelconque lien avec cette jeune femme qu’ils aimeraient séduire, me permettant ainsi d’être aux premières loges pour jouir de la tournure de la soirée.
Tout en poursuivant les tours de danses et les discussions particulières, les amis se pressent, parfois par deux ou trois, les discussions se prolongent, quelques gestes rapprochent les corps. Les bretelles de sa robe tombent régulièrement, dévoilant parfois brièvement l’un de ses jolis petits seins. Elle les remonte comme si rien ne s’était passé.
Puis les contacts physiques se font plus pressants, des mains passent plus ou moins discrètement sur les reins de mon amie en dansant. Lorsque l’une de ses bretelles tombe, elle offre désormais de plus en plus longuement et ostensiblement ses seins à la vue des convives, jusqu’à ce que l’un deux la remonte en lui caressant le téton au passage, lui valant en guise de remerciement de se coller à lui en lui passant les bras autour du cou.
Passant de mains-en-mains, elle danse sans retenue, montant sur le podium et virevoltant sans se soucier de dévoiler complètement sa petite chatte aux convives qui se pressent à ses pieds.

Une partie du groupe ayant rejoint le bar, elle prend place sur l’un des tabourets. Me trouvant juste à côté d’elle, je l’entends soudain soupirer et constate que la main de Marc, l’un de ses courtisans, remonte le long de ses cuisses jusqu’à effleurer sa petite chatte qu’elle dévoile maintenant largement, ne tardant pas à lui rendre quelques unes de ses caresses. Le tout l’air de rien, en buvant un verre de vodka orange et en discutant.
Voici donc l’homme qu’elle aurait choisi de sucer… Je suis de plus en plus excité de connaître la suite des événements…
A son invitation, Caroline le suit alors pour aller danser en privé. Ne la voyant soudain plus, je la cherche du regard mais aperçois à sa place les trois amis avec lesquelles nous avons dîner et espère qu’ils ne nous ont vu ni l’un ni l’autre, et surtout qu’ils ne verront rien car il semble trop tard pour arrêter la machine.
Une quinzaine de minutes plus tard, mon amie et son cavalier reparaissent aussi soudainement qu’ils ont disparu, venant semble-t-il des toilettes. Mon amie passe devant moi avec un sourire entendu et en passant sa langue au coin de sa bouche, là où une goutte du plaisir qu’elle a donné à son compagnon d’un instant perle encore. Ils se dirigent vers le reste du groupe que nous rejoignons à leur suite, avec une complicité qui ne laisse rien ignorer de leurs brèves relations charnelles. Elle s’assied autour de la table, dans un canapé et est happée par David, un autre des amis, avec lequel elle entame la discussion.
Et là contrairement à ce qui était prévu, le scénario recommence: discours rapprochés, bretelles qui tombent, petite robe qui remonte en voulant saisir son verre, effleurements, caresses, escapade sur la piste de danse et disparition ... Je suis interloqué.
A peine Caroline et David ont ils quitté la table pour aller danser, que les convives assaillent Marc de commentaires sans ambiguïté pour obtenir ses confidences. Après avoir fait durer le suspens, Marc leur racontes qu’il a passé ses mains sur ses fesses par dessous sa robe sur la piste et qu’elle lui a répondu en caressant sa queue tout en lui glissant à l’oreille « j’ai envie d’elle »… L’ayant entraînée dans une des cabines de toilettes pour hommes, elle s’est agenouillée pour le sucer longuement et avec délectation. Puis, elle lui a enfilé un préservatif et il l’a prise en levrette avant de jouir dans sa bouche. Ses confidences déchaînent les commentaires des convives, qui se demandent avec envie si d’autres auront le plaisir de baiser mon amie.
Pour ma part, je suis sidéré. Elle a été beaucoup plus loin que ce que nous avions prévu… Je suis aussi inquiet qu’excité.
Les effets de manches de Marc m’ont fait oublier que Caroline et David s’était absentés maintenant depuis plus de vingt minutes, moment qu’ils choisissent pour réapparaître, tout sourire… Chacun des amis se regarde de manière complice, quelque peu salaces mais surtout très excités.
Après avoir bu un grand verre de vodka orange en expliquant en me regardant dans les yeux avoir tout donné sur la piste, elle embrasse à pleine bouche David avant de s’effondrer dans le canapé aux côtés de Sacha et Michel, avec lesquels elle entame une discussion. Lorsque sa bretelle tombe une fois de plus, le premier en profite pour caresser longuement son sein avant qu’elle ne la remonte elle-même d’un air aguicheur.
S’étant absentée pour aller aux toilettes, les commentaires reprennent de plus bel. David se révèle plus prompt à partager ses exploits et à raconter qu’après qu’elle l’ait sucé sur le siège des toilettes, elle s’était empalée sur lui sans même lui laisser le temps de mettre une capote. En rigolant il explique que dans leur précipitation, ils avaient même oublié de verrouiller la porte et que quelqu’un était entré et avait profité du spectacle pendant quelques instants au moment où il la prenait en levrette. Tout fier, il finit son histoire en racontant qu’il l’avait faite crier avant de lâcher tout son sperme dans sa bouche et sur son visage, concluant que c’était une sacrée salope… Ils étaient ressortis des toilettes sous les commentaires de la dizaine d’hommes qui se trouvaient là.
Lorsqu’elle revient, Caroline demande si l’un de nous peut l’accompagner à la voiture car elle a oublié quelque chose. Ayant l’embarras du choix, elle choisit Sacha… Me doutant de la tournure des événements, je me décide à les suivre discrètement, de plus en plus inquiet de son audace: se faire pénétrer par un homme n’était déjà pas prévu, par un deuxième encore moins et sans capote pas du tout…
Sur le retour du parking, ma curiosité est récompensée… Dans l’escalator, Sacha passe ses doigt sous sa robe, déclenchant un violent soupire et un fougueux baiser. En sortant du parking, elle l’entraîne dans une galerie assez faiblement éclairée et s’offre à lui. Je peux l’apercevoir se faire embrasser, caresser, pénétrer… M’approchant un peu plus, je l’entends gémir, puis jouir, avant qu’elle ne lui lèche longuement sa queue…
Je reviens à la tablée quelques minutes avant eux. En arrivant, Caroline me demande à l’oreille un mouchoir. Je la regarde d’un air inquisiteur. Elle me répond sans détour et sans gêne aucune qu’elle a du sperme qui coule le long de ses jambes… Elle prend le mouchoir que je lui tends et tente le plus discrètement possible de s’essuyer en se cachant derrière un pilier. Je la rejoins et lui demande à l’oreille ce qui s’est passé. Gênée, se rendant compte de la situation et craignant ma réaction, elle me dit que dans l’excitation, il n’a pas pu sortir à temps et a éjaculé au plus profond de sa chatte et que son sperme commence à en sortir. Elle me dit être désolée et me demande si nous rentrons.
Je ne sais pourquoi, mais mes craintes disparaissent soudain pour ne laisser place qu’à l’excitation.
Bien qu’il ne soit pas plus de 3h, tous les fantasmes n’étant pas assouvis, le groupe que nous formons désormais propose de poursuivre l’aventure chez l’un deux, qui habite une maison non loin. Caroline tente de se défiler, mais j’approuve la proposition en la prenant par la taille. Interloquée, elle essaye de protester, mais elle finit par suivre le mouvement.
Certains vont dormir en arrivant alors que, avec quatre des amis, nous nous installons au salon. Les convives étant excités, les choses ne tardent pas à dégénérer, malgré une certaine perte d’enthousiasme de l’objet de leurs fantasmes… Caroline semble à son tour inquiète, ne comprenant pas pourquoi nous ne sommes pas rentrés.
Je viens m’asseoir à côté d’elle avec un verre, la prend dans mes bras. Je lui caresse le bras, puis l’embrasse sous le regard approbateur des participants. Je fais tomber sa bretelle, caresse longuement son sein droit avant de le lécher, ce qu’elle accepte sans trop protester.
Je la bascule sur le canapé, relève complètement sa jupe et découvre entièrement sa chatte à la vue des amis. Elle me regarde, interloquée. Je me mets à la caresser, lui arrachant quelques soupirs. Un des hommes s’approche, soulève sa tête et viens s’asseoir sur le canapé. Baissant son pantalon, il en sort sa queue qu’il présente à portée de la bouche de Caroline. Elle proteste, la soirée ne se déroulant pas selon le scénario et semblant partir en vrille.
Je redouble de caresses sur sa chatte et elle finit par prendre la queue, dans sa bouche pendant que ma langue lui lèche la chatte et lui arrache des soupirs de plaisir. Il ne faut pas si longtemps pour que je la pénètre alors qu’elle suce cette belle queue, pendant que les trois autres convives la regardent.
Ce spectacle aiguise plus encore l’excitation de chacun et malgré les protestations de Caroline, qui, dessaoulant, comprend qu’elle va se faire baiser à la chaine, je cède ma place à un autre homme qui la pénètre d’un coup et la fait rapidement gémir de plaisir.
Déchaînée par l’excitation, mon amie perd parfois tout contrôle et ne se rend plus compte que les queues s’enchaînent. Lorsque, soudain, l’un des amis tente de la sodomiser, elle tente une dernière fois de se soustraire en me regardant pour me demander de l’aide, mais je ne réagis pas. La grosse queue pénètre en elle et lui arrache un cri de plaisir. Elle ne protestera plus…
Elle se fait longuement baiser sur le canapé et sur le tapis du salon, dans toutes les positions, les queues se succédant dans sa chatte et dans son cul. Ses cris finissent pas réveiller les assoupis, qui après avoir observé la scène, viennent s’y mêler. Épuisé, je décide d’aller me coucher et m’endors, bercé par les soupirs de la jeune femme.
Au réveil, je pars à sa recherche et la trouve endormie sur le ventre, dans un grand lit, aux côtés de deux hommes. La pièce sent le sexe, le sperme. Je soulève le drap qui la recouvre et je découvre sa petite chatte encore entrouverte et luisante, dont coule lentement les abondantes offrandes que lui ont visiblement faites ses amants.
Je vais alors me rendormir, apaisé et excité en sachant tous le plaisir qu’elle a pris, mais aussi inquiet de ce qui s’était passé, inquiet de sa réaction à son réveil.
Je suis réveillé quelques heures plus tard par les mêmes gémissements qui m’avaient bercés pour m’endormir. Je me lève et la découvre, suçant une queue pendant qu’elle se fait prendre sur le côté par les deux hommes qui l’encadrait dans son sommeil. Je m’approche, elle me regarde dans les yeux d’un regard perdu jusqu’à ce qu’elle soit submergée par le plaisir.
Les convives de la veille se réveillent les uns après les autres et la vue de ces ébats suscite en eux un regain de désir. J’observe les ébats durant un long moment, les queues se succèdent, dans sa chatte, dans son cul… Elle jouit à répétition, et doit régulièrement essuyer sa chatte, qui dégouline du sperme des hommes qui la baisent chacun leur tour, plusieurs fois chacun…
Je lui glisse un mot à l’oreille et m’en vais l’attendre à la maison, où elle dois me rejoindre pour me raconter ses plaisirs. En début de soirée, elle m’appelle pour me demander si elle peut ne rentrer que le lendemain… Sa voix est saccadée, elle a de la peine à réfréner les soupirs que les coups de queue qu’elle reçoit lui arrachent… Je lui donne mon accord.
Elle ne rentre que le lendemain après-midi, épuisée, heureuse mais aussi craintive de connaître ma réaction. Elle commence par s’excuser des risques pris en laissant dix inconnus éjaculer en elle. Elle me dit qu’elle ne s’est tout d’abord pas rendu compte de ce qu’elle faisait et qu’ensuite il était trop tard.
Lorsque je l’ai rassurée, elle me raconte dans le détail ce qui s’est passé. Dès le début la situation lui a échappé. Excitée par l’aventure, étourdie par l’alcool, elle s’est laissée pénétrer sans arriver à protester compte par le premier homme. Puis, elle était tant excitée qu’elle a voulu me faire la surprise d’aller plus loin que prévu. Ce n’est que lorsque le troisième a fini par lâcher son sperme au plus profond de sa chatte qu’elle s’est dit qu’il fallait arrêter là.
Elle n’a accepté qu’à contre-cœur de poursuivre la soirée, mais après coup, elle est heureuse de cette expérience, elle aurait regretté de ne pas l’avoir vécue… Je m’excuse pour la responsabilité que je porte car je n’ai rien fait pour qu’ils se protègent et je lui explique que lorsqu’elle est revenue du parking, je n’ai plus eu que pour envie qu’elle se donne entièrement à eux. Pour toute réponse, elle m’embrasse et m’avoue qu’elle n’est pas sûr de pouvoir se passer à l’avenir de sentir différentes queues la pénétrer, et surtout de sentir sa chatte pleine du sperme de plusieurs hommes…
Elle m’apprend qu’au cours de la seconde nuit, seuls six d’entre-eux sont restés. Mais ils l’ont baisée toute la soirée et toute la nuit, avec douceur et violence à la fois. Et de même dire qu’il lui ont fait essayer la double pénétration… Elle a adoré et s’est faite ramoner pendant des heures avec parfois ce petit plaisir en plus qui l’a amenée à jouir comme jamais. Mais ce qu’elle a le plus aimé c’est sentir autant de queue éjaculer leur sperme en elle, ce qui a dû lui arriver plus de trente fois durant le week-end…
Notre conversation dure longtemps. Elle me confie, avec beaucoup de gêne, en rougissant, qu’elle aimerait pouvoir se faire baiser par d’autres hommes aussi en mon absence car c’est un plaisir différent de se retrouver seule avec eux… En parlant elle me dit qu’elle aimerait notamment pouvoir avoir un petit cercle d’amants réguliers avec lesquels elle pourrait renoncer à se protéger, sans prendre des risques inconsidérés comme le soir précédant.
Sans lui avouer et surtout lui montrer que cette idée m’excite terriblement, j’accepte à une condition… qu’elle soit d’accord que je la prête à mes amis lorsque ceux-ci ont envie d’un joli petit cul à baiser…
Choquée par ma proposition, elle refuse en me disant qu’elle ne veut pas que mes amis sachent… Elle est sidérée et pleine de honte lorsque je lui dit que certains d’entre eux l’avaient probablement vue le soir précédant se donner ainsi en public… Après une longue discussion, elle accède à ma demande, en me disant qu’elle se laisserait faire si l’occasion se présentait, mais uniquement s’ils sont autorisés à éjaculer en elle… Je lui dit qu’elle saurait si quelqu’un l’avait vue et de qui il s’agirait lorsqu’un jour un de mes amis passerait sans rien lui demander sa main sur sa chatte…
Marché conclu… Nous décidons de répéter ce genre d’aventures aussi souvent que nous le souhaitons. A suivre donc…
Diffuse en direct !
Regarder son live