Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par Anonyme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 13 J'aime
  • 3 Commentaires

Une nuit sympa

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Marc et moi formons depuis 20 ans un couple très uni, complice et complémentaire, pour preuve voici le récit d?une petite soirée chaude vécue il y a quelques années.     Marc avait décidé de m?emmener dans une discothèque qui à l?époque avait une ambiance rétro. Comme très souvent il était convenu que je serais vêtue d?un corsage, d?une petite jupe fendue, de bas et porte-jarretelles et d?une paire de hauts talons. Par contre, comme à chaque sortie de ce type je ne devais avoir ni slip ni soutien-gorge. En entrant dans la salle je devais avoir mon corsage déboutonné jusqu?à la base des seins.     Nous sommes arrivés vers les 22 H et il y avait déjà pas mal de monde, nous sommes allés au bar et moi, juchée sur un tabouret, je m?arrangeais pour qu?un éventuel voisin puisse voir ma cuisse et devine que je portais des dessous sexy. Tout de suite, en sirotant son verre mon mari commença à me caresser discrètement. Au bout de 10 minutes un homme, en passant près de nous s?aperçut que le main de mon mari était sous ma jupe et il vint s?asseoir à côté de moi pour profiter du spectacle. Je me tournai vers lui et lui fit un grand sourire. Mon mari cessa de me caresser et se consacra au spectacle des danseurs. Je parlais alors de tout et de rien avec mon voisin et m?arrangeais pour guider la conversation sur des sujets un peu chauds. A plusieurs reprises il posa sa main sur mon genou, je ne bougeais pas, il regardait du côté de mon mari qui lui sourit également. Comprenant qu?il ne risquait rien il commença à remonter le long de ma cuisse. Je ne bougeais toujours pas et mon mari continuait à sourire. Alors il prit son courage à deux mains et plongea sa main jusqu?à ma chatte. Je voyais toujours sa figure quand il sentit mes poils, je serrai fortement les jambes afin de garder cette main contre ma chatte. Habituée à exhiber mes charmes je me tournais légèrement sachant que cela aurai pour effet d?entrouvrir mon corsage et de lui laisser voir un sein je le regardais alors droit dans les yeux et très lentement je déboutonnais un bouton puis un autre, il pouvait alors distinguer ma poitrine sans que tout le bar en profite. Il n?osa pas plonger sa main dans mon corsage de peur d?attirer l?attention des autres consommateurs. Aussi, n?y tenant plus, il m?invita à danser une série de slows. j?acceptai et, la piste étant pleine à craquer, il m?entraîna au milieu de celle-ci, il me prit par la taille d?une main et profita de l?obscurité pour plonger l?autre dans mon corsage. Fou de désir il ne put s?empêcher de pétrir très durement ceux-ci et de tirer sur les tétons. S?apercevant de sa violence il s?excusa mais je lui avouai que j?étais maso et que cela ne me déplaisait pas du tout. Il me dit :    - En plus de ça tu es maso ? Tu es vraiment un vrai phénomène,, je crois que je vais passer une nuit de rêve     - Et tu ne sais pas encore tout, tu vas avoir d?autres surprises, ce soir je suis là pour me faire baiser par un maximum de mecs en même temps, j?y tiens absolument, j?espère que tu n?as rien contre.     - Non bien au contraire, c?est un de mes fantasme et c?est super si je peux le réaliser. Ce soir nous sommes, avec quelques copains à une soirée de fin d?année et après notre repas nous sommes venus dans cette boite pour tenter de nous faire une fille, il y a justement l?un de nous qui danse un peu plus loin viens je vais lui parler.     Tout en dansant il m?entraîna vers un autre couple et je le vis se pencher vers un gars et lui parler à l?oreille. L?autre opina de la tête et nous continuâmes à danser. Il s?arrangea pour que l?autre soit dans mon dos et aussitôt je sentis une main me pétrir les fesses. J?avais à présent une main entre mes cuisses et une autre me tâtait les fesses. Mesdames je ne sais pas s?il vous est arrivé de jouir en dansant en tentant désespérément de ne rien laisser voir mais j?étais devenue un vrai bout de bois dans les bras de mon cavalier accrochée de toutes mes forces à son cou.     La série de slows terminée nous sommes retournés au bar accompagnés cette fois de l?autre et en arrivant je vis MARC, mon mari, avec un grand sourire. Il me dit :    - Tu n?as pas perdu de temps, je vais voir s?il y a de la place derrière le bar, je reviens.     Derrière le bar, la salle continuait mais à cet endroit il n?y avait pas de lumière, juste un très très faible éclairage provenant de la salle de danse, des banquettes avec de très hauts dossiers et une table basse le tout faisant comme des boxes pouvant accueillir 8 à 10 personnes.     Pendant ce temps j?étais au bar avec un homme de chaque côté et deux mains qui malaxaient ma chatte complètement trempée, mon mari arriva pour nous dire qu?il était très tôt et qu?il y avait de la place de libre derrière, nous décidâmes d?y aller et le nouvel arrivant me proposa d?aller chercher ses copains, ce que j?acceptais vivement et je partis avec MARC et mon étalon dans un box.     A peine assise il vint à côté de moi, mon mari s?assit en face et je du poser mes pieds sur la table basse et écarter les cuisses autant que je pouvais, sans attendre il plongea ses doigts dans ma chatte et commença à s?exciter faisant de violents aller et retour.     La tête rejetée en arrière, les reins cambrés, les yeux mi-clos je jouissais comme une folle, mes gémissements heureusement couverts par la musique venant de la salle de danse. Je distinguais alors mon soupirant arrivant avec ses trois copains. Ils stoppèrent à la vue du spectacle leurs yeux s?habituant à la faiblesse de la lumière. Puis ce fut la ruée, qui pétrissait un sein, qui pétrissait l?autre, qui mettait ses doigts dans ma chatte, tous avaient peur que ce soit un mirage et voulaient se rassurer. Puis ils se calmèrent, s?organisèrent, pendant que certains s?amusaient à me faire jouir d?autres commentaient et organisaient la fin de la soirée car ils avaient été renseignés sur le fait que je voulais un maximum d?hommes en même temps et cela n?était pas possible dans ce lieu.     Après que tous aient touché, palpé, pétri, malaxé, ils décidèrent de continuer la soirée ailleurs. Il se levèrent et je les suivis. Dans l?ascenseur conduisant au parking ce fut de nouveaux attouchements et je sortis de celui-ci le corsage grand ouvert et la jupe roulée autour de la taille. Je voulus la redescendre mais l?un me dit :    - Tu es exhibitionniste alors non seulement tu ne redescends pas ta jupe mais tu l?enlèves et ton corsage aussi et tu viens à poil à la voiture, nous te suivons.     Je me dirigeais vers la voiture en ondulant des hanches, j?entendais derrière moi les commentaires :    - Belle jument, regardez un peu ce cul, putain on va te le bourrer toute la nuit, elle en veut la salope elle ne va pas être déçue, en plus elle est maso on va la vacciner.     Ils demandèrent à MARC ce que je refusais absolument de faire ou de me laisser faire, il leur répondit que jusqu?à présent, dans nos expériences passées il n?y avait jamais eu de limite.     Entièrement à poil au milieu d?eux je les entendis faire nombre de désirs.     - J?aimerais la laisser dans cette tenue sur le trottoir, à faire la pute et éventuellement se faire tabasser par les autres femmes.     - Moi je la verrai bien au milieu d?une foule de mecs complètement déjantés.     - Moi j?imagine une secte, une messe noire où elle serait torturée avant d?être violée par un nombre incalculable d?hommes et de femmes.     Tous ces commentaires m?excitaient au plus haut point, j?étais trempée et à la vue de sexes mâles exhibés et tenus fièrement par leurs propriétaires je ne pus m?empêcher de me jeter dessus et de les prendre à tour de rôle à pleine bouche, suçant l?un pendant que je branlais d?autre, tendant mes fesses vers leurs mains, sollicitant des caresses profondes, faisant comprendre que je voulais des pénétrations profondes et violentes, je gémissais, grognais, râlais.     Mais ils me laissèrent sur ma faim, me firent monter dans la voiture, MARC se mit au volant moi derrière entre deux hommes et un troisième monta devant afin de guider mon mari, les autres suivirent dans une autre voiture. Pendant tout le chemin je suçais ces deux queues, les branlais, j?avais des doigts plein la chatte et ils commencèrent à me pénétrer, je devrais dire violer, l?anus tant la pénétration fut grosse, plusieurs doigts en même temps, violente voir sauvage.     - Tu as dis que tu étais maso alors tu acceptes sans rien dire.     Arrivés à destination nous étions dans un grand parking que je ne connaissais pas, je demandais ou nous étions et il me fut précisé que ce parking très isolé était le lieux de prédilection de voyeurs et hommes en peine de relations connu des seuls initiés.     Il y avait une dizaine de voitures ce qui était très peu vu la grandeur du parking mais si chacune avait un voir deux hommes ? ? ? ? ?    Nous nous sommes garés à une extrémité, ils me firent descendre, toujours à poil, et me dirent :    - Avec l?autre voiture nous allons à l?autre bout, tu restes là et quand on fait un appel de phares tu viens nous rejoindre. En venant vers nous, si quelqu?un veut jouer avec toi tu acceptes, tu n?as pas le droit de refuser quoique ce soit.     Et ils repartirent me laissant seule dans cette tenue.     J?avais accepté d?obéir à MARC comme d?habitude et je savais que même si certaines choses seraient dures à faire ou à subir, avec lui présent je ne risquais absolument rien, je l?avais vu à l??uvre avec des gars non réglos par le passé, et je dois reconnaître qu?il est très efficace et dissuasif, corpulent et pratiquant les arts martiaux au plus haut degré. Je les vis donc s?éloigner mais ne fut rassurée que quand je vis la voiture stopper à l?autre bout du parking, une centaine de mètres.     J?attendis les appels de phares et me mis en route.      ? Aie, arrivée à mi-chemin ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?    Mais en fait je ne sais pas si mon histoire vous intéresse ? ? ? ? ? ? ?    Si vous voulez la suite faites le moi savoir, mon adresse est laure_pelletier@romandie.com    Celle de mon mari Marc marc.stripper@caramail.com    Au fait, la discothèque est à Genève près de l?aéroport, si l?un d?entre vous me reconnaît qu?il me le fasse savoir
E-mail: laure_pelletier@romandie.com
Diffuse en direct !
Regarder son live