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Une occasion

Chapitre 3

Gay
Une occasion (3)

Guidé par mon amant, nous avons gagné la chambre d’ami où il m’a laissé, le temps d’aller prendre une douche dans sa salle de bain. J’ai décidé d’en faire autant, une salle d’eau étant attenante à cette chambre. Je suis resté longtemps sous l’eau chaude, après m’être savonné soigneusement, bite et cul compris. Je sentais le bien-être envahir toutes les parties de mon corps, maintenant parfaitement détendu. Après un énergique essuyage, je suis retourné dans la chambre et me suis glissé sous la couette, à poil, comme je le fais toujours depuis mon adolescence. Un peu excité, je me demandais ce que j’allais encore découvrir cette nuit. Lorsque Daniel est entré, vêtu d’un simple peignoir blanc, laissant voir ses jambes musclées jusqu’au genoux, je me suis remis à bander. Redressé sur les deux coudes, le dos appuyé à l’oreiller, la poitrine dégagée de la couette, je le regardais avec admiration. D’un pas assuré et ferme, il s’est approché du lit en s’exclamant : « ce que tu es beau mon ami. Tu es à croquer. ». Dénouant son peignoir et le laissant glisser à terre, il se dressait près de moi, la bite déjà en érection, les couilles pendantes, bien campé sur ses deux jambes, les mains sur les hanches, la bouche entre ouverte et le regard égrillard. Je n’ai pas pu résister à l’envie subite de toucher ce sexe d’homme mûr et j’ai saisi ses bourses poilues, les soupesant, les caressant, avant de remonter doucement le long de la hampe, puis de tirer sur le prépuce pour dégager un gland épais et rubicond, tout humide déjà.— va-y, suces moi mon chéri. J’en ai très envie.— Je ne l’ai jamais fait, tu sais.— Sois sans crainte, je viens de me laver et tu n’es pas obligé d’avaler mon sperme. Après un long moment d’hésitation, surmontant un léger dégoût, mais poussé par le désir, je pris son chibre en bouche et commençais par sucer son gland, puis engloutissais peu à peu ce phallus impressionnant. A mon étonnement, je respirais une odeur de savon et de citron émanant de son pubis touffu, tandis que sous ma langue je sentais réagir ce membre viril, palpitant entre ms lèvres comme un petit animal. J’eus alors un élan passionné pour ce mâle qui s’offrait à moi et des deux mains je me mis à caresser frénétiquement ses fesses à la toison si douce, tout en pompant goulûment son vit dur et dressé. C’est alors que Daniel s’est dégagé doucement et soulevant le duvet, s’est étendu à mes côtés, me pressant contre son corps nu et chaud, m’a embrassé tendrement et a caressé ma teub, puis commencé une lente masturbation. Timidement je lui rendais la pareille. Nous nous sommes ainsi échauffés un moment en échangeant des mots doux, des baisers sur la bouche, sur les joues, sur le cou, tout en nous acharnant toujours sur nos pines brûlantes et raides. En bon pédagogue, toujours doux et respectueux, la vois grave et chaleureuse, il me proposa alors de m’initier au 69 et m’expliqua comment nous positionner. A l’idée de me faire à nouveau pomper, je n’hésitais pas et me plaçais tête-bêche, sur son côté, les jambes écartées à hauteur de son visage, le bras droit sur sa hanche et je repris sa queue en bouche. Je sentis peu après ses lèvres charnues engloutir ma verge. Progressivement nous avons atteint le même rythme et nous sucions avec passion. Je n’avais plus la moindre réticence et me livrais totalement au plaisir extrême qui s’emparait à nouveau de moi, grognant de satisfaction, respirant cette odeur de mâle en sueur, frétillant du cul, les couilles serrées, la bite en feu. Nous avons explosé presque en même temps, déchargeant notre semence dans nos bouches avides. A mon grand étonnement j’ai tout avalé, sans broncher, trouvant même que le sperme de mon amant n’avait pas mauvais goût, mi âcre, mi sucré, coulant sans être trop visqueux, abondant. Essoufflés, nous sommes retombés sur notre couche, moites et comme libérés d’une grande tension. Accroupi sur le lit, les jambes croisées, le sexe au repos sur une cuisse, les coudes sur les genoux, je contemplais maintenant mon amant, partagé entre l’admiration, l’affection et le désir que m’inspirait ce long corps, étendu sur le ventre, la tête posée sur les bras. Epaules larges et bien dessinées, hanches étroites, chute des reins élégante et finissant par des fesses musclées et poilues, jambes puissantes aux mollets saillants, c’était vraiment un beau mâle. Lentement je tendis une main vers ces mamelons offerts à ma convoitise. Lorsque je la posais sur une fesse, je sentis Daniel tressaillir de tout son être, comme s’il n’attendait que ce contact. Mieux assuré, je palpais délicatement ce muscle fessier ferme et rebondi, descendais vers les reins, puis remontais sur l’autre fesse, enfin m’aventurais vers le sombre ravin humide et tiède où se nichait l’anus. Daniel me dit alors dans un souffle : — il te plait mon cul ? Continue mon chéri, cela me fait du bien. Lèche moi la raie et mon petit œillet, j’en ai très envie.
A ces mots je sentis ma verge se réveiller et se relever par à-coups vers mon nombril et une douce chaleur m’envahir à nouveau. Sans plus réfléchir, j’allais m’asseoir sur les jambes de mon partenaire et m’inclinant vers son postérieur, je commençais à lui embrasser les fesses, puis à les lécher. Mon pénis maintenant bien raide battait contre mon ventre, au rythme de mon sang qui y affluait. Lorsque ma langue pénétra dans le pli inter fessier, Daniel redressa le cul et je me retrouvais le nez dans la raie, chatouillé par les poils humides et odorants de cette caverne obscure. Sur excité, j’enfonçais ma langue dans cet antre, collant les poils contre les parois, salivant beaucoup et touchant enfin l’anneau plissé de l’anus. Daniel grognait sous ces caresses et lâchait par moments des « Vas-y, continue » et des « oh mon chéri, mon chéri » ou encore des « que c’est bon ». Avec ma langue je cherchais à ouvrir sa rose et je parvins sans grand effort à l’y introduire. Le sphincter s’ouvrait et se refermait spasmodiquement sur ma langue que j’enfonçais de plus en plus profondément. N’y tenant plus mon amant me cria « arrêtes, tu vas me faire jouir ». Retiens toi pour pouvoir me baiser. J’ai envie que tu me prennes ». Comme je me redressais, il s’est retourné, s’est appuyé sur ses avant-bras et m’a proposé une nouvelle fellation. Me mettant à genoux, le sexe à portée de ses lèvres, je me suis offert une fois de plus à ce plaisir intense, jamais ressenti avant ce soir. Après m’avoir sucé un moment, lubrifiant mon vit de sa salive, donnant à ma verge toute sa longueur et toute sa raideur, il m’a abandonné, s’est remis sur le ventre et m’a presque crié : « Maintenant baise moi ». Sans hésiter, je me suis couché sur lui, de ma main droite j’ai pointé mon membre viril vers sa rondelle bien humectée, appuyé le gland sur celle-ci et je me suis enfoncé en lui lentement, forant de tout mon poids. Sans peine ma verge s’est engloutie dans ses entrailles, venant percuter sa prostate. J’ai débuté un ramonage, comme si j’étais dans le vagin de ma femme, d’abord tout doucement, avec des mots tendres, puis plus rapidement et enfin sauvagement, en hurlant de plaisir. Rapidement arrivé à l’orgasme, j’ai inondé son cul de ma semence, étonné par l’abondance de celle-ci après déjà deux éjaculations lors des fellations. Epuisé, apaisé, vidé, je suis resté étendu sur le corps pantelant de mon amant d’un soir, le chibre toujours bandé dans son cul serré. Daniel ne bougeait pas, murmurant sans cesse des « Merci, merci, c’était divin. Tu es un amant extraordinaire ». Peu à peu ma verge s’est ramollie et a glissé doucement hors de cet antre chaud. Se retournant, Daniel m’a embrassé avec passion et je me suis paisiblement endormi à ses côtés, bercé par ses paroles amoureuses et ses tendres caresses sur tout mon corps.
(à suivre)
Patrocle
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