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Une panne inattendue

Chapitre 1

Hétéro
J’ai hésité à faire ce récit, car mes précédents récits ont reçu un accueil mitigé...Bon, je me lance !Je dois aller chez un de mes oncles (j’en ai trois) à Arcachon. J’habite près de Hyères et j’ai décidé d’y aller en moto. J’ai une grosse routière. Je prépare les bagages, nous sommes en mai, c’est la bonne saison, ni trop chaud, ni trop froid. Je pars demain, donc je mets tout dans le garage, je chargerai demain, ahh sans oublier la combinaison anti-pluie, car dans le sud-ouest, il pleut plus fréquemment qu’ici.
Ahhh j’oubliais de me présenter, je m’appelle Philippe, j’ai 39 ans, séparé de ma compagne après dix ans de vie commune. Pas de mariage, donc pas de divorce et tout ce qui en découle. Séparation faite d’un commun accord, donc pas de griefs et disputes inutiles.
Ce soir, un repas léger, une bonne douche, un programme TV et au lit. Je pense partir vers neuf heures et demie.Le lendemain matin debout à l’aube (enfin il ne faut pas exagérer) heuu à sept heures, débarbouillage, petit-déjeuner et hop... changement des bagages. Dans la valise de droite et dans la valise de gauche et enfin dans le top case avec au-dessus... la... Combinaison anti-pluie. Je retourne dans la cuisine, un petit café avec la machine à "capsules". Fermeture de l’eau, débranchement des TV, Box Internet. Mise en marche de l’alarme, et me voilà parti. Il est neuf heures vingt. Je suis le planning.
En moto, l’autoroute est encore plus monotone qu’en voiture, donc j’alterne les deux. Nationale, mais pour contourner les agglomérations, autoroute, car les traversées, c’est la croix et la bannière. Je rejoins Marseille, puis pour évite,r la ville je prends l’autoroute du littoral. Puis direction Montpellier ... Béziers.
Arrivé à Aigues-Mortes, je trouve un bar restaurant avec parking, je me gare, je m’installe sur la terrasse, pour avoir la moto à l’œil. Je roule depuis trois heures environ et j’ai fait 220 kilomètres, j’ai encore du chemin.
Je prends un repas rapide, et un café. Ca me fait une pause. Arrivé vers douze heures trente, il est treize heures quinze, je paye et rejoins la moto que j’avais garée au fond du parking à l’ombre d’un bosquet.
J’entends des soupirs, des chuchotements, curieux, je m’approche d’un buisson, et derrière, il y a une jeune femme à genoux qui suce le sexe d’un gars plus âgé (je comprends mieux pourquoi il y a une grosse Mercedes sur le parking) l’homme est penché et respire fortement et caresse les seins de la jeune femme (qui doit avoir 25 ans). Je sens que mon boxer et mon jean deviennent trop serrés, je déboutonne le jean, sors mon sexe et je me masturbe, la vision est hyper-excitante, la tête de la femme fait des va-et-vient, le sexe de l’homme est luisant de salive, je sens une onde monter de mes jambes, je me contracte, l’orgasme me saisit, mes giclées tombent dans l’herbe, je pousse un râle de plaisir. L’homme entend et se retourne et me voit, j’ai l’impression qu’il regarde vers mon bas-ventre, imperturbable, il se fait sucer, puis serre fortement la tête de la femme, se contracte, se cambre en donnant un coup de reins vers l’avant, il pince les seins (la femme pousse un cri) puis il jouit.
Je me suis rajusté et rejoins la moto. Je m’équipe. Le couple sort du bosquet et l’homme me dit :
— Bel engin... Bonne route.
Je le remercie et je redémarre. Arrivé près de Castelnaudary, ça fait un peu plus de trois heures et deux cent cinquante kilomètres que je roule, je pense qu’il me faut chercher un bar/restaurant pour une pause et un rafraîchissement. Juste avant la ville dans un renforcement de la route pour permettre l’arrêt de deux ou trois voitures, je vois un SUV, porte de coffre relevée et une femme qui regarde le côté arrière droit de son véhicule, une valise posée derrière la voiture. Je m’arrête sur cet emplacement, j’enlève mon casque et mon blouson et je m’enquiers du problème.
— J’ai la roue arrière droite à plat et j’avoue ne pas arriver à la changer, plusieurs voitures sont passées sans s’arrêter.— Bonjour madame, je vais essayer de vous dépanner, ils n’ont pas dû bien voir que c’est une très belle femme qui est à côté de son véhicule, dis-je en souriant.
— Ohh Excusez-moi monsieur, tellement préoccupée par cet incident, je ne vous ai même pas salué.— Ce n’est pas grave ma chère dame.
Je soulève la plaque du coffre, il y a une roue (type galette), le cric. Je mets tout en place et essaye de dévisser les boulons. J’y arrive pour trois sur quatre, mais le dernier est récalcitrant, et avec la clé pour dévisser, ce n’est pas gagné, car elle est courte et on applique moins de force. Il y a une maison pas loin, je vais pour demander un outil approprié quand près du portail sur le côté, je vois un tube pas très long.Je rentre la clé dans le tube (un peu plus gros que la clé), je tire, et le boulon cède. Je me suis coincé un bout de peau (entre le pouce et l’index) et ça saigne un peu. La femme est désolée, se sent coupable. Je la rassure, disant que ce n’est pas grave. Une fois la roue changée, je me frotte les mains avec de l’herbe, et commence à saluer cette belle femme, car je me prépare à démarrer.
— Venez jusque chez moi, c’est à quelques kilomètres, vous pourrez vous laver les mains et mettre un pansement pour ne rien tacher avec votre sang. Au fait mon prénom est Sandrine, cessons les madame et monsieur, ce sera plus amical.— D’accord, moi c’est Philippe, OK je vous suis.
Nous prenons la route, parcourons une dizaine de kilomètres, un petit renfoncement, puis un portail s’ouvre, et "au bout de l’allée une grande maison" (ne voyez là aucun rapport avec une chanson connue). Les portes des deux garages s’ouvrent, Sandrine me fait signe de rentrer dans celui de droite, elle entre dans l’autre. Je pose casque, blouson et gants sur la moto, et aide Sandrine à porter sa valise.
— Galant avec ça ! dit-elle. Arrivée devant la porte, elle ouvre et me dit de la suivre.— Il y a trois salles de bain, prenez celle-ci et si vous voulez prenez une douche, je soignerais votre blessure après.
Bonne idée, je vais chercher quelques affaires dans le top case, je prends la douche, salvatrice, car j’avais pas mal transpiré et j’avais les mains sales. Alors que je viens de mettre le boxer, Sandrine entre :
— Ohh excusez-moi, je croyais que vous aviez terminé, elle fait mine de ressortir.— Mais non Sandrine, je ne suis pas nu, considérons que j’ai un maillot de bain, vous pouvez me soigner.
Elle a, semble-t-il, pris aussi une douche, elle a revêtu une nuisette assez transparente et par-dessus une robe d’intérieur en tissu léger (genre soie).Sandrine met de l’alcool à 70° (oulala ça pique) puis nettoie avec un coton, met un pansement et une bande courte, pour éviter les mouvements du pouce afin que ça cicatrise.Lors de ces soins, des attouchements, frôlements dus aux gestes ont commencé à agir, et mon boxer commençait à être de plus en plus serré.Sandrine jetait un coup d’œil par intermittence, un sourire s’affichait sur ses lèvres légèrement ourlées et bien dessinées, bref des lèvres attirantes :
— Heu je vais me rhabiller afin de prendre la route, car je ne suis pas arrivé, j’ai encore un peu plus de trois cents kilomètres à faire, il est sept heures moins le quart, j’arriverai vers dix heures et demie ou onze heures, dis-je.— Mais vous allez où, prenez le temps d’un rafraîchissement, prenez place sur le canapé, je prépare les boissons.— Je vais à Arcachon, je suis parti de Hyères ce matin, j’ai fait une étape à Aigues-Mortes en prenant nationales et autoroutes, mais là, vu l’heure, je vais prendre l’autoroute, c’est monotone, mais plus rapide.
Sandrine arrive avec des boissons, elle s’assoit dans le fauteuil en face de moi, les jambes légèrement écartées. Mon sexe est complètement serré dans mes vêtements.
— Vous allez y faire quoi ?— Je vais chez un oncle que je n’ai pas vu depuis très longtemps, je prends huit ou dix jours de vacances, ce qui m’arrive rarement.— Si c’est pas indiscret, vous faites quoi dans la vie ? Tchin tchin, dit-elle en prenant son verre.
Nous trinquons, et je poursuis :
— J’ai une petite entreprise de menuiserie aluminium, j’ai cinq salariés, dont un quasiment depuis le début qui connaît bien le travail et qui me seconde bien.— Mais alors vous pouvez rester quelques jours, pour vous remercier de m’avoir aidée et de vous être blessé pour moi, allez j’insiste. La maison est grande !— C’est très gentil et tentant, mais je ne veux pas vous importuner ni votre mari ni vos enfants.
Sandrine enlève sa robe d’intérieur en disant :
— Ce soir il fait chaud. Je vais commander vietnamien, vous aimez au moins.— Mais je ne veux pas vous déranger.— J’insiste, ça me fait plaisir de vous avoir à la maison, mon mari enfin mon ex-mari ne sera pas dérangé par vous, il est parti avec une jeunette de vingt-deux ans, donc j’ai divorcé, et mon fils est en vacances chez mes parents.— Bien puisque vous insistez, j’accepte.
Sandrine va dans la cuisine pour préparer des amuse-gueules, et une bouteille de whisky et une autre de pastis. Elle se penche et je vois sa poitrine, une merveille, que dis-je ? Un, enfin deux bijoux. Elle relève la tête et voit mon jean avec une bosse bien formée.
— Philippe, allez vous mettre à l’aise, vous êtes gêné dans ce jean serré.— C’est gênant, heu... bon je vais dans la moto chercher un short.— Vous savez, je vous ai vu en boxer, tout à l’heure, si ça vous dit, remettez-vous en boxer, ce n’est pas impudique.
Elle se relève, sert à boire, un pastis pour moi, un whisky pour elle, et vient s’assoir sur le canapé.
— Si vous faites allusion à la bosse qui est au niveau du bas-ventre, cela ne me gêne pas, allez dans la chambre et mettez-vous à l’aise.
Je vais dans la chambre, enlève jean, chaussettes et je reviens pieds nus. Sandrine a repris sa place dans le fauteuil, les jambes un peu plus écartées, mais pas trop, sa nuisette laisse deviner son corps, car elle n’est pas totalement transparente. Nous trinquons à nouveau, elle se lève pour aller à la cuisine, elle se penche donc et prend appui sur ses bras, je vois à nouveau sa poitrine magnifique, une fois qu’elle est debout, je devine un ventre plat, des cuisses bien formées, un fessier ferme et légèrement rebondi.Je ne peux pas m’empêcher de me frotter le boxer sur la bosse. Elle revient avec des amuse-bouche et voit mon geste avant que je n’aie le temps d’arrêter. Elle sourit, pose les plateaux, vient s’assoir à côté de moi et dit :
— C’est moi qui vous fais cet effet ?— C’est sûr, vous êtes, enfin de ce que j’ai pu deviner et entrevoir, une très belle femme.
Elle prend son verre et boit une gorgée, sa cuisse se colle à la mienne, ça devient tendu. Allez, je me lance. Je me tourne vers elle, saisis délicatement son menton, j’approche mes lèvres des siennes, elles entrent en contact, nos langues se cherchent, se frottent, s’enroulent, mmm quel baiser sensuel. Elle pose sa main sur "la bosse", caresse mon sexe par-dessus le tissu, je caresse son cou, puis ma main passe le décolleté de sa nuisette, je caresse ses seins, l’autre main caresse son dos et descend vers ses reins, elle se colle à moi, soulevant une fesse, ma main descend, passe sur la raie culière, un doigt s’insinue, puis rencontre son anneau brun, je fais de petits cercles, elle sursaute en reculant son bassin et gémit. Sandrine passe sa main dans mon boxer, et prend mon sexe à pleine main et commence des va-et-vient.
Je malaxe ses seins, puis j’arrive à en sortir un de la nuisette, tout en caressant son anneau plissé, je lèche le sein et le tète, puis j’aspire le téton, je le pince entre mes lèvres et tire dessus...
Sandrine se recule :
— Il y a un problème ? Tu veux stopper là ? dis-je.— Mais non, je veux enlever la nuisette qui gêne et enlever ton boxer pour avoir accès à ton sexe... mmm j’en ai envie, je veux le goûter.
Une fois nue, je la couche sur le canapé, elle écarte les cuisses, je les embrasse à l’intérieur en remontant vers son abricot, j’écarte les lèvres gonflées par le désir, je les lèche, puis les suce une à une, alternativement, les cuisses s’écartent au maximum, Sandrine râle, gémit, je la pénètre avec deux doigts et tout en limant, je pose mes lèvres sur son bouton d’amour, Sandrine gémit, râle plus fort, son corps vibre, son bassin avance vers ma bouche, elle appuie ma tête contre son minou, l’orgasme l’emporte, elle crie son plaisir, de la cyprine gicle, je m’en abreuve. Elle s’affale sur le canapé un court instant.
Sandrine se relève, se place entre mes jambes, prend mon sexe en main, lèche le gland puis ma hampe de chair au-dessous sur toute la longueur, elle titille le frein avec la langue, puis dépose un baiser sur le gland qu’elle prend en bouche, elle me tète, me suce, aspire, prend mon sexe entier dans la bouche, sa tête monte et descend, je vois mon sexe entrer et sortir de ce doux étui luisant de salive, je caresse ses seins, tire sur les tétons... puis je pose une main sur sa tête, sans forcer, je suis sa cadence, je sens une onde partir des jambes et monter, je la préviens.
— Sandrine recule ta tête, je vais jouir !
Elle l’avance, me regarde droit dans les yeux, mes jambes se contractent, je prends sa tête entre mes mains, quelques mouvements de bassin et les giclées frappent son palais, sa langue, je n’en finis pas de déverser mon foutre. Un filet coule à la commissure de ses lèvres, toujours en me fixant dans les yeux, elle avale, nettoie mon sexe, récupère le filet qui arrive presque au menton avec un doigt et l’avale. En restant dans cette position et ayant toujours mon sexe (qui perd du volume) en main, Sandrine me dit :
— Quelle quantité de doux breuvage, il y a longtemps que tu n’avais pas joui ? Tout comme moi. J’aime sucer et avaler, mais je n’en ai pas trop l’occasion.— Quel plaisir, en effet je n’ai pas trop le temps et l’envie de draguer. Et toi tu ne m’as pas dit ton âge, si ce n’est pas indiscret, ni ce que tu fais dans la vie.
Nous buvons quelques gorgées et Sandrine me dit :
— Je suis infirmière, je travaille avec une associée, à mi-temps en libéral. C’est vrai que les occasions ne manqueraient pas, mais ça ne me dit rien non plus. Ah j’ai trente-six ans. Et un fils adolescent, je me suis mariée jeune.— Je ne comprends pas qu’un homme puisse quitter une belle femme comme toi, même pour une jeunette.
Sandrine se lève, me prend la main, me tire hors du canapé, nous nous embrassons passionnément. Elle nous dirige vers un tapis épais, s’agenouille, et tout en me caressant le torse d’une main et les cuisses de l’autre, me reprend en bouche en gémissant doucement. Je bande à nouveau, elle se couche et me dit :
— Prends-moi, j’ai envie de te sentir en moi.
Je me couche entre ses jambes, je lèche son minou tout en passant une main sous ses fesses, j’ai remarqué qu’elle était sensible quand on touche son anneau plissé, je caresse son petit trou en léchant son minou et son bouton d’amour. Elle gémit plus fort, sa respiration est saccadée, elle dit :
— Ouiii mmmm prends-moi, viens en moi.
Elle écarte les cuisses ouvrant grand son compas. Je me redresse et avance sur les coudes, je pose mon gland sur ses lèvres trempées et glissantes de cyprine et de ma salive, elles s’écartent sous la poussée, telles des pétales, et mon sexe pénètre son fruit de la passion. Elle gémit, passe ses pieds derrière mon dos, ses mains derrière mon cou et me serre contre elle pour que je la pénètre au plus profond. Sandrine donne des coups de bassin tout comme moi à la cadence inverse, mon sexe va et vient (entre ses reins... ne voyez aucune imitation)... parfois je le sors complètement, elle me dit de la pénétrer, j’accélère les mouvements de va-et-vient, elle gémit très fort, elle hoquète, sa tête va de droite à gauche, elle se contracte, son corps a des soubresauts, elle pousse un cri au moment où l’orgasme la submerge. Je donne encore quelques coups de reins et je sens l’orgasme m’envahir à nouveau, les giclées frappent les parois de son antre d’amour.
Nous nous embrassons avec fougue, mon sexe diminue et sort de cet étui soyeux. Nous roulons sur le côté et nos corps se détendent.Nous allons ensuite à la salle de bain nous doucher, puis une fois vêtus en mode relax, on commande à manger, vietnamien. En attendant la livraison, nous nous asseyons sur le canapé et regardons la TV, Sandrine se love contre moi. Le livreur arrive, le repas pris, Sandrine se lève, range, nettoie, puis elle se penche pour prendre un produit dans l’élément du bas, je me colle à elle, la tenant par les hanches, mon sexe le long de sa raie, elle recule, je fais quelques mouvements de hanche... Une fois la cuisine rangée, nous prenons un verre, puis deux en regardant la TV et en se caressant tendrement. L’heure d’aller au lit sonne, je me dirige vers la chambre qui m’a été attribuée, Sandrine me dit :
— Tu ne vas pas rester seul dans un grand lit, viens dans le mien, il y a de la place. Il est en cent quatre-vingts.
Après un passage dans la salle de bain, nous nous couchons. Enlacés, après quelques caresses et quelques baisers où nos langues tournent et se lient. Sandrine se met sous le drap et me dit :
— J’ai une folle envie de te sucer, puis on dort, même si je ne jouis pas, je prends, au moins mon biberon de chair pour me faire plaisir.
Elle joint le geste à la parole, prend la base de mon sexe en main, le lèche de bas en haut, embrasse mon gland, engloutit mon sexe, en faisant ses lèvres rondes, j’ai l’impression de pénétrer un minou, elle me pompe, m’aspire, me tète, me branle avec ses bouches, je gémis de plaisir, ma respiration accélère, je prends délicatement sa tête entre mes mains, j’accompagne les mouvements de sa tête, je me contracte, l’orgasme m’envahit, j’explose dans cet étui doux et humide, les giclées arrivent sur son palais, sa gorge, sa langue. Elle nettoie mon sexe, remonte à ma hauteur, m’embrasse et me souhaite bonne nuit. Soudain je me lève, Sandrine me demande pourquoi, est-ce que quelque chose qui m’a déplu ? — Mais non pas du tout, c’était agréable et génial, comme toujours, mais j’ai oublié d’appeler mon oncle qui doit se faire du souci, car je devais être chez lui en fin de soirée...
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