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Une panne inattendue

Chapitre 2

Hétéro
Une panne inattendue
Je termine mon appel en disant à mon oncle que je reste deux ou trois jours pour visiter la région et que je l’appellerai le matin de mon départ pour Arcachon. Cet oncle est un fana de pêche, il a un bateau et aime bien que je l’accompagne, ce n’est pas ma tasse de thé, car si ça ne mord pas assez, je m’impatiente, je bouge, je fais du bruit et j’entends toujours la même phrase "je fais fuir le poisson", après quelques heures (deux ou trois) on remballe et on rentre. Le coup de fil terminé, je rejoins le lit, Sandrine m’enlace puis après un long baiser langoureux, nous tombons petit à petit dans les bras de Morphée.
Je me réveille vers cinq heures avec une agréable sensation. Sandrine et moi sommes en position "cuillère" sur le côté gauche, j’ai une main sur son sein gauche et l’autre sur son minou, en particulier son bouton d’amour, mon sexe en érection est entre ses fesses dans la raie culière, mon bassin fait de lents va-et-vient. Sandrine se réveille, recule son bassin pour mieux sentir le frottement de ma hampe de chair contre son petit anneau plissé, elle gémit, respire de plus en plus vite et dit :
— Mmmm Ohhh oui c’est bon, j’ai envie que tu me prennes par derrière.
Elle se met à quatre pattes et replie ses jambes sous son torse, mon sexe continue à frotter son anneau brun, je lui malaxe les seins tour à tour et tire sur ses tétons durcis par le désir.
— Tu sais Sandrine, ça risque de te faire mal si tu n’as jamais pratiqué la sodomie.— J’ai essayé deux ou trois fois avec mon ex, il était brute, et ça ne m’a pas plu. Mais avec toi j’en ai envie.— Si tu y tiens, on verra ça demain, je vais te prendre en levrette.
Je tiens mon sexe et le dirige vers sa fontaine d’amour, elle est trempée par le désir, la cyprine coule, je la pénètre en douceur, lentement. Sandrine pour un gémissement de plaisir :
— Ouiii Philippe va au plus profond, je suis bien quand tu es en moi... mmmm remplis-moi.

Mon bassin entame des mouvements d’avant-arrière, Sandrine recule le bassin pour aller encore plus à l’encontre de mon mat de chair. Elle râle, gémit, sa respiration est saccadée, elle pose sa tête contre le matelas, elle s’ouvre au maximum, je tire délicatement sur ses tétons, d’une main et frotte son bouton d’amour de l’autre, l’orgasme l’envahit, elle crie, bouge la tête de droite à gauche, son corps se tend, elle pousse un râle et jouit, son corps se détend :
— Reste en moi... jouis, remplis-moi, c’est si bon de te sentir me pénétrer.
Je sens la jouissance arriver, j’ai la sensation d’avoir des mini-décharges électriques qui fourmillent dans mes jambes, remontent vers mon sexe, je jouis en respirant bruyamment. Mon sperme emplit le minou de Sandrine, mon sexe diminue, il est expulsé de son étui soyeux. Nous nous couchons sur le dos, nos corps se détendent.
— Phillipe je n’ai jamais ressenti ce bien-être, ce plaisir avec aucun homme avant toi, je suis heureuse que tu sois resté et je redoute déjà ton départ.— C’est pareil pour moi, et si tu le veux on pourra se revoir, ici et chez moi quand tu en auras envie, car moi c’est déjà le cas.
Après un moment à discuter, nous retombons dans les bras de Morphée. Le lendemain ou plutôt le matin, nous nous réveillons vers huit heures. Passage à la salle de bain, Sandrine en premier, puis alors que c’est à mon tour, elle prépare un solide petit-déjeuner. Autour du repas, nous programmons l’activité du jour. Je propose de visiter Carcassonne (que je ne connais pas), en moto. Sandrine n’a pas d’équipement, je lui propose d’aller en ville, en voiture pour acheter un casque, un blouson et des gants. Sandrine est enchantée par cette idée. Après avoir rangé la cuisine, elle me dit :
— Veux-tu aller dans la chambre et m’y attendre s’il te plaît ? Et attends avant de t’habiller.
Surpris, je rejoins la chambre et m’assieds. Au bout de vingt minutes, Sandrine me rejoint nue. Elle se love contre moi, me caresse le torse, le ventre, m’embrasse fougueusement, prend mon sexe en main, se penche en me poussant pour que je m’allonge, et commence à me sucer, j’ai une érection instantanée, je ne reste pas inactif, j’embrasse son cou, ses seins, que je tète alternativement, j’en tire les tétons dressés fièrement. J’arrive sur son bouton d’amour, elle gémit, et soupire de plaisir, avec le pouce, je continue à frotter son clito, et avec deux doigts je pénètre son abricot, je sens que ceux-ci pénètrent plus facilement. Je demande pourquoi, Sandrine me répond j’ai lubrifié mon petit anneau brun, je veux que tu me prennes là, maintenant. Elle se met à quatre pattes sur le lit :
— Tu es sûre ?— Ouiii j’en ai envie, je te l’ai dit cette nuit, je n’ai pas changé d’avis.
Je caresse son dos, son cou, tout en passant mon gland le long de la raie, Sandrine mouille ce qui lubrifie mon sexe que je passe du minou à l’anneau brun. Je tiens ses hanches et approche mon gland de cet étui serré. Je pousse lentement tout en frottant son clito d’une main et en la tenant par une hanche... Le gland pénètre légèrement. :
— Ouiiii c’est bon... quelle sensation, viens en moi... vite chéri !
Je pénètre un peu plus, le gland est passé, Sandrine se contracte et pousse un cri étouffé.
— Tu veux que j’arrête ?— Noonn, continue, prends-moi !
Je continue la pénétration, Sandrine est toujours crispée, mon sexe est dans son étui serré, j’arrête de bouger, pour que Sandrine s’habitue à cette présence. Elle gémit doucement, et commence à bouger le bassin d’avant en arrière. :
— Ouiii Hooo que c’est bon, la douleur s’est estompée, je ressens du plaisir... mmm.
Je la tiens par les hanches et je commence les va-et-vient, lentement puis j’accélère, Sandrine gémit plus fort, sa respiration est plus rapide, elle se frotte le clito, je vais de plus en plus vite, je lâche une hanche et caresse un sein, je le malaxe, je roule le téton durci par le plaisir entre mes doigts, je tire dessus de temps en temps, je vois le bord de son anneau rouler autour de mon sexe à chaque mouvement, comme s’il l’avalait, Sandrine crie, râle, elle hoquète, sa tête va de droite à gauche, son corps se contracte, elle se cabre, elle semble tétanisée, l’orgasme l’envahit, elle tressaute, puis pose sa tête sur le lit, elle reste les fesses en l’air, je fais encore quelques mouvements du bassin et voir cet anneau avaler mon sexe à chaque mouvement déclenche mon orgasme...
Nous roulons sur le côté, on s’embrasse, nos langues se nouent, nos mains caressent, nos corps se détendent. Après un moment, nous passons dans la salle de bain, sous la douche alors que mon sexe est à demi bandé, Sandrine se met à genoux et me suce, me tète, elle lève ses yeux malicieux, sort mon sexe et me dit :
— J’ai toujours envie de toi, que m’arrive-t-il ? Je voudrais que tu me prennes par tous les trous en même temps, j’ai besoin de ton corps, de me sentir remplie de toi.— J’ai aussi envie de ton corps, tes seins, ton ventre, tes fesses, tes cuisses, ton minou...
Nous finissons de prendre la douche, et nous nous apprêtons. Nous allons en ville, faisons trois magasins pour voir lequel est le mieux placé. Notre choix fait, j’achète un casque modulable, un blouson en cordura et des gants. :
— Alors, prête pour une balade à moto ? Il y a quarante minutes de route sans autoroute, et un peu moins par itinéraire rapide. On mangera sur place puis on visitera la ville, que je ne connais absolument pas. Ca te va ?— Ouiii très bien, bon on retourne à la maison et on y va !
La route se passe bien, Sandrine apprécie le confort de cette routière. Parfois elle s’avance et se tient en passant ses bras devant mon torse. A un moment, ses mains descendent vers ma braguette et me caressent par-dessus le jean. Je passe ma main entre mes fesses et son minou que je caresse autant que faire se peut par-dessus le jean, aussi. Nous arrivons à Carcassonne, je cherche un parking souterrain pour que la moto ne soit pas brûlante au départ. Après avoir choisi un restaurant, nous prenons le déjeuner, puis nous parcourons le centre-ville et les tours (enfin quelques-unes) de près. Après des heures de marches, nous prenons un rafraîchissement, le bar est presque vide, au fond une arrière-salle où il fait frais, nous optons pour cette solution.
Le barman prend la commande, Sandrine ouvre ma braguette, je n’ai pas mis de boxer, elle plonge la main dans mon jean, me caresse, mon sexe se raidit, elle le sort, se penche et tète mon gland, le prend en bouche, fait tourner sa langue, me suce. Le barman arrive avec les commandes, il reste immobile, puis dépose les boissons et reste un moment à nous regarder, j’avais prévenu Sandrine de l’arrivée de notre commande, mais elle a voulu continuer cette délicieuse fellation, de nous savoir observés m’excite, je pose une main sur la tête de Sandrine, accompagnant sa cadence, le barman se frotte le pantalon, puis s’éclipse (sûrement pour se masturber).
Dans les minutes qui suivent, mes jambes se contractent, ma main se crispe sur la tête de Sandrine, je jouis en raidissant mes jambes et en les allongeant, j’étouffe un gémissement de plaisir. Sandrine nettoie mon sexe et le remet dans mon jean, je soulève le bassin pour refermer la braguette. :
— Tu as aimé chéri ?— Oh oui, mais je peux pas te faire jouir, ici.— Tu te rattraperas à la maison.— Ca fait deux fois que tu me dis "chéri", tu le dis quand tu prends du plaisir ?— Non pas du tout, je me surprends à t’appeler ainsi, ça sort du cœur, c’est spontané.
Les boissons réglées, nous sortons, le barman qui nous a servis n’est pas là, il doit se faire plaisir dans un coin. Nous rejoignons la moto, puis une fois équipés, nous prenons la route du retour.Arrivés à la maison, nous nous mettons à l’aise, moi un short flottant, Sandrine une chemise ample et longue. Elle sert des rafraîchissements sur la terrasse, quand elle se penche, je vois qu’elle n’a rien mis à part la chemise. Nous prenons quelques gorgées, puis Sandrine s’absente et revient avec un tube de lubrifiant et un préservatif. :
— Je veux que tu me prennes par tous les trous.
Je la fais allonger sur un tapis de mousse, qui est là pour le bronzing, puis je déboutonne sa chemise, sa poitrine est fièrement dressée, de beaux seins en poire, je suis attiré par ces bijoux de la nature, je les caresse en embrassant Sandrine, je les malaxe, puis je les lèche et aspire les aréoles, les tétons sont durs et tendus, je les tète, tout en caressant le ventre, en descendant vers le mont de Vénus, Sandrine gémit, respire plus vite et plus fort, son fruit de la passion est trempé, je passe un doigt le long des pétales qui s’ouvrent, Sandrine râle en gémissant. Je la fais mettre sur le côté et lui demande d’écarter la jambe qui est dessus et de la replier, le pied près du genou de l’autre jambe. Elle a un regard interrogatif.
Je prends le lubrifiant et prépare son anneau brun, puis je pose mon majeur dessus et fais des petits cercles, Sandrine tressaute et gémit plus fort, cette zone est hyper érogène... je me couche tête-bêche, mon sexe est devant son visage, elle le lèche puis le prend en bouche, avec le majeur je fais des cercles sur son anneau, et tout en tournant, je la pénètre lentement. De l’autre main, je pénètre sa fontaine d’amour avec deux doigts et je frotte son clito avec le pouce. Sandrine gémit plus fort, elle bouge le bassin pour accélérer les deux pénétrations, son anneau plissé est détendu, d’une voix tremblante, elle me dit :
— Pénètre-moi plus, remplis-moi c’est trop bon, mmmm, ouiiii !
J’ajoute délicatement un doigt, et je fais des mouvements d’aller-retour, les deux doigts entrent et sortent tout comme ceux qui sont dans le minou. Mon sexe va-et-vient dans sa bouche gourmande... Elle râle et gémit à la limite du cri... elle me suce en émettant des "mmmm". Sandrine me tient la base du sexe pour éviter que j’aille trop en profondeur et ne pas avoir de haut-le-cœur... Je donne des coups de bassins pas toujours contrôlés, tellement je suis excité. Je fais carrément l’amour à cette bouche tant désirée, ses lèvres roulent autour de mon sexe à chaque mouvement de mon bassin, Sandrine se contracte, elle tremble, ses jambes bougent, elle a des soubresauts, elle pousse un cri éclate, en sanglots, et jouit au moment où je déverse mon sperme dans sa bouche. Je fais encore quelques va-et-vient dans son corps, elle se détend. Je me couche à côté d’elle, Sandrine me regarde tendrement (amoureusement ??). Nous nous enlaçons et nous embrassons avec fougue. Je lui demande :
— Pourquoi ces sanglots, quelque chose t’a déplu ?— Mais non au contraire, une extrême jouissance produit cet effet, j’ai très rarement joui aussi intensément. Je ne comprends pas pourquoi j’ai toujours envie de toi, mais pas seulement pour faire l’amour, je te veux contre moi, en moi, à côté de moi... Je ne sais pas ce qui m’arrive, enfin si je crois savoir.— Je pense que tu avais des occasions, pour avoir du plaisir, et belle comme tu es, les courtisans ne doivent pas manquer.— Pas du tout, je n’ai eu que très peu de relations depuis mon divorce, mais avec toi ce qui m’arrive est incroyable.— Pour tout te dire chérie, moi aussi je ne comprends pas pourquoi j’ai autant envie d’être près de toi, enfin je crois savoir, mais on en parlera plus tard.
Il est temps de prendre un verre et de dîner, je propose "grillades" ou "sushi", Sandrine me suggère un peu des deux. Nous passons commande pour vingt heures. Un passage à la douche et on s’habille en mode relax. Moi débardeur et short, Sandrine Top tank court qui moule bien sa poitrine, et short mini qui laisse voir le pli des fesses, et qui moule son abricot. :
— Tu dois faire des ravages, ou plutôt attirer les regards ainsi vêtue !— Mais non, car je m’habille comme ça qu’à la maison quand je suis seule. Si quelqu’un vient, j’enfile une chemise longue ou une robe d’intérieur.
Je prépare le BBQ (barbecue), car avoir de la braise est assez long, on s’installe sur le canapé, TV allumée, on se blottit l’un contre l’autre, en attendant les sushis. Tout en discutant et commentant le programme TV, Sandrine pose sa main sur mon short et caresse mon sexe. :
— Tu sais il faut tout de même "recharger" la batterie, car on a fait beaucoup de "sport en chambre".— Ouii je sais, mais je suis bien comme ça, encore une fois, cela ne m’est jamais arrivé, mais j’aime te caresser le sexe et le sucer, même si tu bandes pas.— Demain soir ou après demain de bonne heure, je dois aller chez mon oncle, il va se demander pourquoi je ne viens pas !— Philippe, tu me manques déjà !— Toi aussi et ça me rend maussade de devoir y aller. Mais si tu veux, j’écourte mon séjour et je repasse deux ou trois jours sur le chemin du retour.— Sandrine me saute au cou, m’embrasse fougueusement, nos langues se lient, à tour de rôle, on se suce les lèvres... ouiii !
La sonnette retentit, déjà vingt heures, Sandrine me demande d’aller chercher la commande, car elle n’est pas vêtue pour. Je vais donc ouvrir la porte, je prends et paye la commande. Je reviens, pose tout dans la cuisine. Sandrine sort de la viande, je vais voir si la braise est faite, oui c’est parfait, je commence donc à cuire les steaks de viande et des escalopes de poulet, Sandrine prépare une salade. Quand tout est prêt, nous passons à table. Nous discutons de divers sujets puis arrive celui de mon départ. Je me rends compte que cela nous rend moroses. Le dîner terminé, on range tout, puis re-canapé. La soirée est en mode langoureux, caresses, baisers... puis vers vingt heures, nous passons à la salle de bain et hop au lit. Avant de se coucher, Sandrine me dit :
— Il faut que je t’avoue quelque chose, ne voulant avoir que de rares amants, je me fais jouir avec les doigts et un compagnon... !— Un compagnon ? dis-je intrigué.
Elle me montre un gode de taille moyenne, ancienne génération, soigneusement caché dans un placard et sourit. Elle ajoute :
— On pourrait s’en servir pour me faire une double pénétration, qu’en penses-tu chéri ?— Ben si tu veux, on verra ça. Bon au lit !
Nous nous couchons, enlacés, nos corps collés l’un à l’autre.Le lendemain matin, après la salle de bain, le petit-déjeuner, nous allons faire quelques emplettes, on se balade un peu dans la ville, pour rentrer nous faisons un détour pour rouler un peu en moto. Il est onze heures trente, nous rentrons. Une fois les courses rangées, nous allons dans la chambre pour nous mettre en tenue relax, Sandrine est nue, elle n’a pas encore mis de vêtement et demande :
— Qu’est-ce que tu veux manger à midi.
Je m’approche et tout en la poussant délicatement vers le lit, je lui réponds :
— TOI !
Je la couche sur le lit, je l’embrasse, nos langues se nouent, je suce chaque lèvre à tour de rôle, puis je suce sa langue, je lui demande de me donner de sa salive que j’avale avec bonheur, pendant ce temps, ma main caresse son ventre, son mont de Vénus, un doigt parcours sa fente, son abricot s’ouvre, le doigt rentre, je descends de manière à avoir la tête entre ses jambes, je lèche et embrasse l’intérieur de ses cuisses qui s’écartent au fil de mes baisers, j’arrive à l’aine, là je reste un moment à embrasser et lécher cette zone près de la fourche, Sandrine gémit fort, sa respiration est saccadée, je veux la faire languir...
Elle met ses mains sur ma tête et me guide vers son minou, je m’abreuve de sa cyprine qui coule, elle se caresse les seins, tire sur les tétons, le lèche le fruit de la passion enfonce ma langue autant que faire se peut, je suce chaque lèvre gonflée de désir à tour de rôle, après avoir parcouru la fente, l’avoir pénétrée avec ma langue, je remonte vers le bouchon d’amour sorti plus que de coutume de son petit capuchon, dressé comme pour me défier. Je le lèche, le titille avec la langue puis le tète comme je le ferais avec un téton...
Sandrine hoquète, son corps tremble, il a des soubresauts, sa tête va de droite à gauche :
— Ouiiii mange-moi, remplis-moi, fais tout ce que tu veux... je suis à toi... !
Elle se cambre, son corps tendu somme un arc, serre ses mains très fort, je tète le clito tout en limant son abricot avec deux doigts, elle pousse un cri, elle jouit, sa cyprine coule, je la bois. Puis son corps retombe sur le lit, elle ne bouge plus. Je la laisse se détendre, ma bouche toujours sur sa fontaine d’amour, je reprends son clito en bouche, ses mains se crispent sur ma tête, son bassin bouge de haut en bas, sa respiration est saccadée, elle râle, elle hoquète :
— Ouiiii encore... mmm... mange-moi !
Elle pousse un gémissement mêlé d’un cri et elle jouit à nouveau, moins intensément.Au lieu de préparer le repas, nous décidons d’aller au restaurant, alors que je vais mettre mon jean, Sandrine se met à genoux devant moi elle prend mon sexe :
— Mais tu n’as pas joui !— C’est pas grave !— Mais je veux mon biberon de chair et le lait !
Elle embrasse le gland, le tète, lèche le sexe sur toute sa longueur de bas en haut, titille le frein avec le bout de sa langue, puis fait ses lèvres rondes, les pose sur le gland, j’ai l’impression d’être contre son anneau plissé... je lui tiens la tête et je pénètre cette bouche, chaude, douce, humide, mmmm j’ai l’impression de la prendre par derrière tellement la sensation est forte, je commence les mouvements du bassin parfois trop profondément et Sandrine a un haut-le-cœur, j’accélère les mouvements, j’ai envie de jouir, mes mains se crispent sur sa tête, j’accélère encore, des fourmillements puis des ondes partent du bas des jambes et remontent vers mon bas-ventre, je déverse mon sperme dans la bouche de Sandrine, qui me regarde droit dans les yeux et avale son lait ! C’est excitant de la voir me regarder ainsi avant d’avaler.
Le reste de la journée, nous traînons dans la maison. Des caresses par ci, des baisers par là.Le soir je prépare mes affaires, je les range dans la moto. Sandrine me demande :
— Tu vas partir en fin d’après-midi ?— Heu, oui car demain ce sera plus dur !
Après un rafraîchissement et quelques câlins, c’est le départ, il me semble voir des larmes couler des yeux de ma chérie, j’ai la gorge serrée, je démarre direction Arcachon. Environ trois heures de route par voie rapide, de nuit c’est mieux.
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