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Une panne inattendue

Chapitre 3

Hétéro
Une panne inattendue
Depuis mon départ, Sandrine est toujours dans mes pensées, je dois en convenir, je l’aime, mais c’est un coup de foudre d’une rare intensité. A plusieurs reprises, je sens mon téléphone (qui est dans ma poche intérieure) vibrer, arrivé à mi-parcours, je m’arrête sur une aire où il y a une station. Je vais prendre un café, anxieux de savoir ce qui est dans mon téléphone, car je suppose que ces SMS viennent de Sandrine. En effet, j’ai deux SMS et une vidéo. Elle me dit combien elle m’aime, elle n’en revient pas d’avoir un tel coup de foudre. Dans la vidéo, elle me parle de notre rencontre, de notre séjour chez elle, des larmes coulent. Je lui réponds que de mon côté, j’ai les mêmes sentiments avec la même intensité. Je lui dis à demain au téléphone. Elle me répond de l’appeler après mon arrivée pour la rassurer. Le reste du trajet se passe bien, j’ai toujours Sandrine dans mes pensées.
Arrivé chez mon oncle, après les salutations (et bises) d’usage, il m’aide à monter mes affaires dans la chambre que j’utilise à chaque venue.
— J’ai un coup de fil à donner, mon oncle, et je pense que je vais écourter mon séjour.— Ah bon, tu ne restes pas dix ou douze jours comme prévu ?— Non j’ai un contretemps, je t’expliquerai plus tard.
J’appelle Sandrine, elle soupire de joie, nous parlons un moment, puis fatigué par la route, je mets fin à la conversation en lui faisant pleins de câlins.Je dis à mon oncle que vu la fatigue, je ne serai pas apte à être prêt à sept heures pour la pêche !La journée se passe tranquillement, elle est ponctuée de SMS. Le soir avant manger, je vais dans ma chambre, j’appelle Sandrine en face to face. Elle est en nuisette transparente, se place devant une lampe pour me laisser profiter du spectacle. Elle me dit combien elle a envie de moi, ce qui est aussi mon cas. Je lui demande de s’assoir sur le bord du canapé, de soulever sa nuisette et de se caresser la fontaine d’amour et de se caresser les seins, elle gémit et me demande à voir mon sexe qui est tendu. Je commence à faire coulisser ma main le long de ma hampe de chair, Sandrine approche son téléphone de manière à ce que j’ai son visage en gros plan. Elle est magnifique, ses yeux gris clair semblent presque transparents. Je le lui dis, elle recule le téléphone, le pose sur un support et reprend ses caresses, elle frotte son bouton d’amour d’une main et pénètre son fruit de la passion de l’autre... ma main s’active :
— Tu es magnifique et te voir te donner du plaisir m’excite, j’aimerai être là et lécher tes lèvres intimes, les sucer, puis mettre ma langue au plus profond !
Sandrine gémit et respire plus fort. Je me masturbe avec des cadences différentes, lentement, puis rapidement, etc.
— J’ai envie d’avoir ton sexe dans ma bouche pour te boire, pendant que tu me lèches et que tu me pénètres avec deux doigts, mmm, je vais jouir, je te sens en moi !
Elle se courbe, se contracte, ses jambes sont agitées de tremblements, elle gémit et râle alors que l’orgasme l’envahit. De la voir ainsi m’amène à l’orgasme, j’ai l’impression d’être dans son antre buccal, mmm mon sperme gicle sur mes cuisses. Nous discutons un moment ainsi en nous regardant amoureusement. Puis nous mettons fin à notre discussion. Les jours suivants sont moroses, je vais à la pêche avec mon oncle, mais le cœur n’y est pas, je me traîne comme une âme en peine. De temps en temps, je vais en ville, seul ou avec mon oncle qui me fait remarquer :
— Tu n’as pas l’air en forme, tu es absent, tu es toujours pensif !— Tu n’y es pour rien mon oncle, mais ces quatre derniers jours m’ont fait encore plus réaliser combien j’aime la femme que j’ai dépannée en venant. Un coup de foudre incroyable.— Et bien qu’est-ce tu fais ici avec ton vieil oncle, va la voir !
— Je reviendrai dès que possible avec elle, je te la présenterai !
J’ai décidé de partir le lendemain, le repas est plus gai, je suis moins morose. J’appelle Sandrine pour lui dire que je serai chez elle demain vers midi, est-ce que ça lui convient. Je l’entends crier de joie, et se mettre à pleurer :
— Tu m’as tellement manqué !— Mais ça ne fait que quatre jours !— Une éternité mon chéri, à demain, je t’embrasse de partout.— A demain mon amour, moi aussi partout, partout !
Je dors mal, excité de retrouver ma chérie. Le lendemain matin, je suis prêt à sept heures et demie, la moto chargée. Mon oncle a préparé le "petit-déj", je l’avale de bon cœur. Après avoir salué mon oncle et lui avoir dit à très bientôt. J’envoie un SMS à Sandrine pour lui dire que je pars. Réponse : je suis impatiente de te voir, arrive vite !Je démarre, après une heure de route, je vois qu’il faut faire le plein. Je m’arrête dans une station. J’en profite pour boire un café et envoyer un SMS à ma chérie ! Je redémarre, l’euphorie de retrouver Sandrine m’occupe l’esprit et je frôle l’accident en dépassant un véhicule, je n’ai pas vu celui qui me doublait. Je fais un signe d’excuse et me concentre plus sur la conduite. Parti peu après huit heures, j’arrive peu après midi. Je me gare dans le garage qui est ouvert, à peine descendu de la moto, Sandrine est là, elle me saute au cou. :
— Oulala chérie, laisse-moi arriver et me mettre à l’aise, j’ai envie de te serrer dans mes bras sans toutes ces barrières (ma veste de moto) mon jean, etc.!
Nous entrons à la maison, elle est vêtue d’un top tank court et d’une jupe courte genre tennis ! Arrivés dans le salon, on se serre, on s’embrasse, on se caresse le cou, les joues, on se suce les lèvres, nos langues se lient, ma main caresse son dos et descend vers ses fesses, l’autre main caresse le ventre, le mont de Vénus par-dessus sa jupe. Je la soulève, ma main est en contact avec l’abricot, je caresse la fente, Sandrine gémit... elle enlève son top tank me donnant accès à ses trésors. Je me courbe et lèche chaque sein, puis j’aspire les aréoles, et enfin je tète comme si j’étais un bébé, de l’autre main qui est sous la jupe je caresse sa fente, ses lèvres intimes sont gonflées et glissantes. Sandrine gémit, elle se cambre :
— Mmm tu m’as manqué, je te veux !
Elle s’écarte, enlève sa jupe, déboutonne mon jean qui se retrouve à mes pieds :
— Ahhh Monsieur n’a pas mis de boxer ?— Ben non, c’est pour avoir moins de barrières maintenant !
Je reprends ma tétée, et les caresses de son fruit de la passion, j’en écarte les pétales et passe un puis deux doigts, je pénètre ce fruit dont les pétales sont ouverts, je fais des va-et-vient, Sandrine gémit, pousse des petits cris étouffés. Elle s’écarte, je la regarde interrogatif :
— Je veux mon petit biberon de chair et mon lait, j’en ai besoin et trop envie, après on essaiera la double pénétration.
Elle s’agenouille devant moi, prend mon sexe, se caresse les joues avec, puis le passe sur son cou, puis elle dépose de doux baisers sur mon gland, elle le lèche comme si c’était une glace, le tète, puis en ronronnant, elle pose ses lèvres faites rondes et avance la tête, mmmm que c’est bon d’entrer dans cet étui accueillant, doux, humide, sa langue lèche et s’enroule autour de ma hampe de chair, elle l’aspire, me pompe, je pose mes mains de chaque côté de sa tête, que je tiens fermement et je commence à donner des coups de reins, elle ne me tient pas le sexe à la base, ce qui provoque des haut-le-cœur quand mon gland arrive au fond de sa gorge, j’évite en principe, mais parfois je me laisse emporter, elle me suce comme si sa vie en dépendait, je sens les fourmillements qui commencent, puis cette onde partir du bas de mes jambes et remonter vers mon bas-ventre...
Je crispe mes mains sur sa tête, Sandrine lève ses yeux magnifiques, elle me regarde au moment où je jouis, elle reçoit mes giclées, qu’elle avale avec plaisir ! Puis me pompe et nettoie le sexe jusqu’à la dernière goutte.
Je la fais assoir sur le bord du canapé, je me mets entre ses jambes, j’embrasse son minou comme si c’était une bouche, tout en caressant ses seins et en tirant sur les tétons, je remonte vers le bouton d’amour, que je suce puis tète comme un mamelon, pendant ce temps, je pénètre son abricot et fais des aller-retour avec deux doigts. Sandrine penche la tête en arrière, gémit, râle, pousse des petits cris étouffés... son corps a des soubresauts, elle se contracte, resserre les cuisses et m’appuie sur la tête, presque à m’étouffer... Elle pousse un cri alors que l’orgasme éclate. Je reste un moment dans cette position, j’embrasse son minou puis elle se détend et s’affale dans le canapé :
— Oh mon chéri, mon amour comme ça m’a manqué, tu me fais toujours jouir à me faire tomber dans les pommes !— Toi aussi ma chérie, avec toi je jouis comme jamais.
On va dans la chambre, je range mes affaires, je mets un short ample, puis nous regagnons le salon où Sandrine nous sert un rafraîchissement, alcoolisé cette fois-ci, car nous ne ressortons pas. Après trois verres, Sandrine est pompette et se désinhibe. Nous faisons des projets pour le repas du soir, afin que tout soit prêt. Puis Sandrine s’assoit à côté de moi et se love contre moi.
— Bon mon amour, je te laisse recharger les batteries et je te veux encore, mais en moi cette fois, je veux que tu me remplisses, je veux que nous ne fassions qu’un.
D’un pas incertain, elle va dans la chambre et revient avec son "compagnon" et un tube de lubrifiant. On allume la TV puis on regarde distraitement, en se demandant comment nous allons faire pour tenir séparés des jours entiers. Première solution, on se voit tous les week-ends en se déplaçant un coup chacun. Mais il y a les week-ends où elle travaille, il y a son fils aussi à gérer, ça, c’est à voir avec son père. Et si cet amour déjà fort grandit, il faudra envisager la vie commune à Hyères, car je ne peux pas déplacer mon entreprise alors que Sandrine peut exercer dans ma région. Pour les cinq jours à tenir, notre amour nous y aidera. Sandrine m’avoue qu’elle craignait qu’après mon départ pour Arcachon, notre relation s’arrête là. C’était pareil pour moi. Nous sommes rassurés. Tout le temps où nous parlions, Sandrine avait mis sa main dans mon short et me caressait doucement le sexe.
De mon côté, j’avais la main sur ses fesses et de temps en temps je titillais son petit anneau brun, à chaque fois elle avait un sursaut. Je me couche au sol et fais s’accroupir Sandrine sur mon visage, quand sa fontaine d’amour entre en contact avec ma bouche, elle soupire, fait des petits mouvements d’avant arrière, d’une main, je frotte son clito alors qu’elle bouge toujours son bassin, de l’autre, je titille son anneau plissé. Sandrine gémit, sa respiration accélère. Je la fais se lever, elle demande pourquoi, car elle est surprise. Je lubrifie sa raie culière, je me couche sur le dos, avec le vibro à côté de moi. Je la fais s’accroupir au-dessus de mon sexe et le dirige vers sa petite porte de derrière. Elle descend lentement, je tiens ses hanches pour la guider. Son anneau entre en contact avec mon gland, je soutiens ses fesses pour marquer une pause, elle me dit :
— Non ne t’arrête pas, entre en moi ! Prends-moi je suis à toi, je ferai tout ce que tu voudras !
Son bassin descend, mon gland passe l’anneau, Sandrine gémit et soupire de plaisir, je la fais se coucher, dos à moi, elle bouge son bassin, je prends le vibro, le passe le long de sa fente, ses pétales s’ouvrent, je rentre le gode, Sandrine crie de plaisir. Je la tiens par les hanches et imprime des mouvements d’avant arrière en lui demandant de faire les mêmes mouvements avec son gode. Elle accélère les va-et-vient du gode, je me synchronise à la même cadence, je sens le gode (plus dur) frotter contre mon sexe, séparés par une fine paroi ! Sandrine se frotte le bouton d’amour tout en faisant entrer et sortir le gode...
Elle hoquette, elle tremble, puis tout son corps se contracte, elle se courbe un peu et crie tout en éclatant en sanglots. Je la fais se mettre à quatre pattes, je reprends possession de son anneau brun qui roule à chaque mouvement de mon sexe, comme s’il l’avalait puis le relâchait. J’accélère, car voir mon sexe entouré de cet anneau qui roule m’excite, les fourmillements et ondes quasi électriques partent du bas pour arriver dans mon ventre et j’explose, je remplis Sandrine. Puis nous roulons sur le côté :
— Mon chéri c’était génial, ce serait bien si tu avais deux sexes pour le prendre comme ça !— Moi aussi j’ai bien joui, je sentais ton gode frotter mon sexe qui étaient séparés juste par une fine peau. Ce doit être meilleur avec un sexe moins dur !
Nous allons à la salle de bain pour nous doucher. La toilette finie, Sandrine s’agenouille, prend mon sexe débandé, me regarde et dit :
— Je sais qu’il faut attendre, même avec ton sexe mi-bandé, j’ai envie de t’avoir dans ma bouche, je veux sucer, téter ton sexe... et j’arrive à un point où des mots crus doivent augmenter l’excitation, non ? — Et bien je n’utilise jamais de mots injurieux, mais c’est vrai que des mots crus ajoutent un peu à l’excitation.
Nous nous habillons (léger) et allons sur le canapé. Tout en buvant, nous discutons :
— Tu m’as dit que tu voudrais deux sexes pour une double pénétration, tu l’as déjà fait ?— Non pas du tout, mais d’avoir essayé avec le gode m’a fait venir cette idée.— Tu ne serais pas gênée qu’un autre homme te prenne ?— Si, mais avec toi si tu en as également envie je veux essayer, une fois, et puis on arrête.— Je risque d’être hyper-jaloux.— Ah ça je ne veux pas être la cause de ce sentiment, je t’aime trop, n’en parlons plus !
Les deux jours suivants sont bien occupés, courses au supermarché, balade en moto, Andorre qui prend une bonne partie de la journée (plus de trois heures de route aller) le lendemain, Narbonne qui prend aussi la journée (deux heures de route aller). La première journée est assez fatigante, donc le soir quelques caresses, câlins et baisers. Le deuxième jour, au retour, nous trouvons un petit coin tranquille à l’ombre, nous nous y arrêtons. Derrière les buissons, il y a une petite clairière et la moto est peu visible de la route. Arrivés à l’abri des regards, nous nous embrassons, nos lèvres se rejoignent, nos langues se lient, nous nous suçons la langue, je demande à Sandrine de sa salive, mmm ça fait monter mon excitation.
Je la fais pivoter, une fois le dos à moi, je passe sous son T-shirt et caresse ses seins en l’embrassant dans le cou, je les malaxe, en même temps, je roule les tétons entre mes doigts, je tire dessus, Sandrine gémit, penche la tête en arrière pour que je la couvre de mes baisers dans le cou. Je défais sa ceinture et le bouton du jean et j’ouvre la braguette, je passe ma main dans son jean et caresse son mont de Vénus, elle gémit, fait des mouvements de bassin pour faciliter l’approche de son abricot, elle écarte un peu les jambes, j’atteins son bouton d’amour que je caresse en même temps que ses seins, elle avance le bassin, ma main est sur sa fente que je caresse, je recourbe un doigt et la pénètre, elle gémit plus fort, je mets deux doigts dans ce nid d’amour, Sandrine gémit fort, sa respiration s’accélère :
— Ohh oui c’est bon je te voudrais totalement en moi mmmm continue c’est bon !
Elle baisse son jean :
— Tu veux que je te prenne là, on risque de nous voir !— Oui ça ne fait rien j’ai trop envie de te sentir en moi !
Sandrine se penche, je passe mon sexe sur ses lèvres intimes, gonflées par le désir, je la pénètre, elle soupire de plaisir et recommence à gémir, j’entame des mouvements de bassin, je la pilonne ! Elle gémit, me demande d’aller au fond et plus vite, je la tiens fermement par les hanches, mon piston va-et-vient, je pose un doigt sur son anneau brun, elle gémit encore plus, elle hoquette, je la pistonne par les deux trous, je sens son corps ce contracter, elle pousse un cri et l’orgasme l’envahit ! Je continue à pistonner son minou, j’ai comme des décharges électriques dans les jambes, elles montent vers son bas-ventre, mes mains se contractent sur ses hanches, je pousse un râle et je pousse mon bassin pour qu’il soit contre les fesses de Sandrine, je sens son fruit de la passion se contracter encore un peu et je me vide, je le remplis.Après quelques minutes dans cette position, nous nous rajustons, Sandrine me saute au cou, m’embrasse :
— J’avais envie de te sucer en même temps, c’était très bon, surtout que l’on risquait d’être surpris en pleine action.— Ouiii, mais j’étais un peu sur mes gardes, je ne veux pas que quelqu’un te voit nue... je ne suis pas possessif, mais tout de même, et c’est interdit par la loi.
Sandrine rit, on rejoint la moto et on redémarre. On arrivera vers sept heures. Une fois à la maison, nous passons à la salle de bain, chacun notre tour, pour éviter les tentations. Puis rafraîchissements et canapé pour se relaxer suite à la route faite. Tout en discutant, je lui annonce que je dois partir demain, car je dois m’occuper des papiers de l’entreprise. Sandrine fait la moue. Je lui dis que je vais voir avec mon chef d’équipe (qui a ma totale confiance et qui est apte à me remplacer) pour qu’il prenne la direction à partir du jeudi soir, ainsi je pourrai venir pour un long week-end. Soit un week-end sur deux soit tous les week-ends pendant quelque temps, pour que Sandrine puisse s’organiser. Je lui demande si elle est prête à venir s’installer à Hyères. Elle est ravie et confirme que son amour pour moi la pousse à venir puisque moi je ne peux pas le faire.
Elle vient se mettre à genoux entre mes jambes, prend mon sexe en main par la jambière qui est large, j’avance mon bassin, Sandrine lèche mon gland, le suce, lèche mon sexe de haut en bas, puis se caresse les joues et le cou, elle repose ses lèvres sur le gland et le prend lentement en bouche, elle serre bien ses lèvres, sa langue lèche le dessous de ma hampe de chair, bientôt j’arrive presque à sa gorge, je pousse un peu, elle a un haut-le-cœur, mais me demande d’insister. De temps en temps, elle arrive à me faire une gorge profonde, mais devant la difficulté et le désagrément, je lui fais tenir la base du sexe pour pouvoir prendre sa bouche comme si c’était un minou, sans haut-le-cœur.
Je me lève et je me mets tête-bêche, Sandrine écarte les cuisses, lui lèche son bouton du bonheur, je le titille de la langue, je l’aspire, il est sorti de son capuchon, je le suce comme un téton, tout en pénétrant son fruit d’amour avec deux doigts (un de chaque main en lui écartant les pétales, ayant passé une main sous chaque fesse). Nous gémissons tous les deux, Sandrine pousse de petits cris, elle se tend comme un arc, elle crie et jouit peu avant que je lui remplisse la bouche du "lait" qu’elle aime boire. Après un moment en mode relax pour se détendre, nous dînons, puis regardons la TV, assis (lovés même) dans le canapé. L’ambiance est un peu morose, mais j’insiste en disant que le week-end prochain, on se voit, nous sommes lundi donc trois jours, car la reprise du travail m’oblige à ne venir que vendredi dans la soirée (si cela convient). Sandrine est affirmative, elle trouve que trois jours, c’est long, elle ne reprend que la semaine prochaine. Je lui dis :
— Il y a le téléphone et les SMS !
Elle retrouve le sourire. La soirée est bien avancée, je propose d’aller se coucher, car demain, j’ai de la route. Passage dans la salle de bain, puis au lit. Nous bavardons un moment puis Sandrine me tourne le dos, jambes légèrement fléchies, je me colle à elle en position "cuillère", je caresse ses joues, puis le cou, et enfin ses trésors durcis par le désir, tout comme les tétons, elle recule le bassin afin que mon sexe soit dans sa raie culière, je descends vers le fruit de la passion, j’arrête ma main sur le mont de Vénus, j’atteins son bouton d’amour, je le titille, puis le pince délicatement entre deux doigts, je le décapuchonne et le masturbe comme un mini-sexe, Sandrine, gémit et pousse de petits cris étouffés :
— Ohhh que c’est bon, je n’avais jamais fait ça... continue mon amour.
Je mets deux doigts à côté du clito, je les serre, ma main à plat sur le mont de Vénus et je fais des va-et-vient en frottant ma main sur cette partie du corps, le clito est enserré... les aller-retour, la masturbe, je pose l’autre main sur ses fesses et avec un doigt je touche son anneau plissé, son corps réagit immédiatement, elle recule le bassin, c’est fou comme cette partie est sensible, j’aime ça. En faisant de petits ronds sur son anneau, je trouve que ça glisse sans forcer, elle a lubrifié sa raie culière, je comprends le message. Ma main quitte les fesses et l’anneau, sur lequel je pose mon gland, Sandrine recule brusquement dans un grand mouvement, ce qui génère la pénétration instantanée de sa porte arrière. Elle marque un temps d’arrêt et commence à gémir et à respirer fort.
C’est elle qui imprime des va-et-vient avec son bassin, mon sexe la pénètre de plus en plus à chaque mouvement, tout le membre est entré, on change de position, à quatre pattes, elle pose son visage sur le matelas, les fesses en l’air, je reprends possession de ses entrailles, d’une main, je frotte le clito, de l’autre les seins, je tire directement sur les tétons et les roule entre mes doigts, Sandrine gémit, elle râle, pousse de petits cris, je la pilonne plus vite, je frotte le clito plus fort, elle a des gestes désordonnés, sa tête va de droite à gauche, elle hoquette, pousse un cri au moment où l’orgasme la foudroie. Je reste en elle un moment puis je me retire le sexe toujours bandé. Sandrine se retourne, prend mon sexe à la base, et voit le préservatif, elle l’enlève en disant avec un grand sourire :
— Chéri, mon amour, tu as eu peur de me faire un petit par derrière ?— Ben noonnn c’est juste pour que le biberon que tu vas prendre, ne sois pas souillé !
Nous nous enlaçons et tout en bavardant, les voix se font murmure et on tombe dans les bras de Morphée. Il est temps de dormir, demain départ.
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